Fondation |
2019 |
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Dates-clés | 1970 - CQRI 1994 - IQHEI 2019 - École supérieure d'études internationales |
Type |
Institut d'études supérieures |
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Disciplines | |
Nom officiel |
École supérieure d'études internationales de l'Université Laval |
Régime linguistique | |
Président | |
Directeur |
Philippe Bourbeau |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
200 |
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Enseignants-chercheurs |
80 |
Pays | |
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Localisation |
L'École supérieure d'études internationales (ESEI) remplace l'Institut québécois des hautes études internationales (HEI) depuis le . Comme les HEI, il s'agit d'une école de 2e et 3e cycles de l'Université Laval, dans la ville de Québec dans la province de Québec, au Canada[1].
Cette école supérieure se consacre à l’enseignement, à la recherche et à la diffusion par le biais de publications et d’activités scientifiques.
Historique et structure
L'École supérieure d'études internationales est dirigée par Philippe Bourbeau, professeur au Département de science politique de l'Université Laval.
Présidé par Pierre S. Pettigrew, le Conseil des HEI a aussi été présidé par Michaëlle Jean, ancienne gouverneure générale du Canada, Marcel Massé, et Paule Gauthier.
Les HEI ont changé de statut et de nom après 25 ans. Il avait été créé en 1994 sur les bases du Centre québécois de relations internationales (CQRI), lui-même inauguré en 1970 à l’Université Laval. Le professeur Paul Painchaud a joué un rôle essentiel dans cet événement[2].
Les HEI ont eu pour directeurs et directrice: Louis Bélanger (2013-2019), Michel Audet (2012), Pierre Lemieux (2009-2012), l'honorable Paule Gauthier (2006-2009), Alain Prujiner (2005-2006), Louis Bélanger (2000-2005), Albert Legault (1997-2000) et Alain Prujiner (1994-1997)[2].
Formations
L'École propose des programmes de maîtrise (master) et un doctorat (Ph.D.) interdisciplinaires en études internationales, ainsi qu'un microprogramme de 2e cycle en affaires diplomatiques et stratégiques. La maîtrise dure deux ans à temps plein. Deux parcours sont possibles: professionnel (avec stage et essai) ou de recherche (avec mémoire). Et quatre volets au choix : Sécurité internationale, Développement international, Commerce international et investissement, ainsi que Relations internationales[3].
L'interdisciplinarité combine essentiellement la science politique, le droit et l'économie/gestion. Elle est mise en pratique dans les séminaires interdisciplinaires (SI), dans les activités de recherche, dans les travaux écrits des SI et de fin d'études ainsi que dans les activités parascolaires[3].
La recherche
Plus de quatre-vingts chercheurs sont membres réguliers ou associés de L'école supérieure d'études internationales.
Celle-ci compte plusieurs centres et groupes de recherche:
- Centre d'études interaméricaines (CEI)
- Centre d'études pluridisciplinaires en commerce et investissement internationaux (CEPCI)
- Centre interdisciplinaire de recherche sur l'Afrique et le Moyen-Orient (CIRAM)
- Conseil québécois d’études de géopolitique (CQEG)
- Centre sur la sécurité internationale (CSI)
- Cercle Europe
- Forum d'analyses géopolitiques des ressources naturelles - FORAGE
- Groupe d'études et de recherches sur l'Asie contemporaine (GÉRAC)
- Chaire d'études maghrébines
Publications
- La revue Études internationales, publiée trois fois par an
- Le rapport annuel Les Conflits dans le monde, publié jusqu'en 2011
- Le bulletin Sécurité mondiale, six fois par an jusqu'en 2012
Notes et références
- Thierry Haroun, « Institut québécois des hautes études internationales - Des écoles d'été s'ouvrent aux enjeux internationaux », sur Le Devoir, (consulté le )
- « Historique| Notre école| École supérieure d’études internationales | ULaval », sur École supérieure d’études internationales (consulté le )
- « École supérieure d’études internationales | ULaval », sur l’École supérieure d’études internationales (consulté le )
Lien externe