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Élections municipales de France d'outre-mer en 1956 | ||||||||||||||
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Les élections municipales se déroulent en en France d’outre-mer. Selon la loi 55-1489 du , les élections municipales sont instituées dans les communes de plein et moyen exercice, d'Afrique occidentale française, Afrique équatoriale française, Madagascar, Cameroun et Togo[1].
Résultats
Les élections municipales portent à la tête de plusieurs villes d’Afrique des hommes qui sont de futurs chefs d’État[2].
Maire : Félix Houphouët-Boigny (RDA)
Maire : Barthélemy Boganda
Maire : Fulbert Youlou (UDDIA)[3]
Maire : Sékou Touré
Maire : Lamine Guèye (SFIO), réélu, par 20 voix contre 15 et 2 abstentions.
Maire : Léon Mba
Maire : Djibo Bakary
Maire : Sourou Migan Apithy
Soudan français
- Bamako, Maire : Modibo Keïta (1915-1977)
- Kayes, Maire : Mamadou Sidibé[4].
- Mopti, Maire : Barema Bocoum[5]
Au Cameroun, les élections municipales se déroulent les et dans 3 communes[6] :
- Douala; Maire : Rudolph Tokoto
- Nkongsamba; Maire : Daniel Kemayou
- Yaoundé; Maire : André Fouda
Notes et références
- ↑ Gallica, Lois, décrets et ordonnances relatifs à la réorganisation municipale en Afrique ...
- ↑ Jeune Afrique, La marche vers les indépendances, 25 janvier 2010
- ↑ UDDIA: Union de défense des intérêts africains
- ↑ Carenews, Petite histoire de Kayes, 4 mars 2015
- ↑ Assemblée nationale, Barema, Kissourou Bocoum, consulté en 2024
- ↑ Archives nationales d’Outre-mer, Ministère des Colonies, Délégation du Cameroun et du Togo, Dossiers d'élections (1950/1959)