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Pour les articles homonymes, voir Labrouste.

Alexandre Labrouste
Alexandre Labrouste vers 1840.
Fonction
Directeur
CollĂšge Sainte-Barbe
1838-1868
Biographie
Naissance
4 mars 1796Voir et modifier les données sur Wikidata
Ancien 4e arrondissement de Paris
DécÚs
18 fĂ©vrier 1866Voir et modifier les donnĂ©es sur Wikidata (Ă  69 ans)
5e arrondissement de Paris
Nom de naissance
Pierre Victor Alexandre LabrousteVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
CollÚge Sainte-BarbeVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Juriste, écrivain, instituteurVoir et modifier les données sur Wikidata
PĂšre
François-Marie-Alexandre LabrousteVoir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Théodore Labrouste
Henri LabrousteVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinction
Officier de la LĂ©gion d'honneur‎ (1861)Voir et modifier les donnĂ©es sur Wikidata

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Pierre Victor Alexandre Labrouste, nĂ© le 4 mars 1796 Ă  Paris, ville oĂč il est mort dans le 5e arrondissement le 18 fĂ©vrier 1866[1], est un juriste et pĂ©dagogue, directeur du collĂšge Sainte-Barbe de 1838 jusqu’à sa mort.

Portrait d'Alexandre Labrouste en médaillon sur la façade du collÚge Sainte-Barbe (1884).

Origines familiales

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NĂ© Ă  Paris sous le Directoire, Alexandre Labrouste est issu d’une famille de juristes bordelais favorables aux idĂ©es rĂ©volutionnaires mais toutes girondines dans leur modĂ©ration. Ainsi, son pĂšre, François-Marie-Alexandre Labrouste[2], membre du Conseil des Cinq-Cents en 1796 puis du Tribunat jusqu’en 1807, sera Ă  ce titre un soutien utile Ă  l’Empire. Parmi ses trois frĂšres, Alexandre comptera deux architectes de renom, ThĂ©odore, nĂ© en 1799, et Henri, nĂ© en 1801, cĂ©lĂšbre auteur de la bibliothĂšque Sainte-GeneviĂšve sur la place du PanthĂ©on.

ÉlĂšve au collĂšge Sainte-Barbe Ă  la suite de son frĂšre aĂźnĂ©, Labrouste y fait preuve de qualitĂ©s si remarquĂ©es par Victor de Lanneau, le directeur de l’Institution, que ce dernier en vient Ă  regretter publiquement son dĂ©part.

AprĂšs son succĂšs au baccalaurĂ©at, il entreprend des Ă©tudes de droit pour acquĂ©rir ensuite une charge d’avouĂ©[3] dans la capitale. Il dĂ©montre dans ces fonctions d’un sĂ©rieux et d’une efficacitĂ© qui lui valent, selon les contemporains, l’estime de ses collĂšgues comme celle de ses clients. Le 27 septembre 1820, il se marie avec Julie Andrieux, fille aĂźnĂ©e de François Andrieux, littĂ©rateur mais d’abord juriste comme son pĂšre qui l’a, de plus, cĂŽtoyĂ© au Tribunat comme au Conseil des Cinq-Cents.

La direction du collĂšge Sainte-Barbe

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Au dĂ©but de la Monarchie de Juillet, « barbiste Â» engagĂ©, Labrouste intervient rĂ©guliĂšrement dans la bonne marche du collĂšge, notamment au sein de sa SociĂ©tĂ© des actionnaires mais surtout de sa Commission de surveillance. Depuis 1835, il en assure les fonctions de secrĂ©taire pour se voir proposer, trois ans plus tard, Ă  la suite d'Adolphe de Lanneau[4], la direction de l’Institution.

Labrouste, qui espĂšre alors devenir juge de paix pour ensuite entrer au tribunal de premiĂšre instance de Paris comme magistrat, aprĂšs avoir refusĂ© cette offre, l’accepte quand il apprend que le poste qu’il visait a Ă©tĂ© donnĂ© Ă  un confrĂšre. Cette solution lui plaĂźt d’autant plus qu'il manifeste depuis toujours d’un fort intĂ©rĂȘt pour les questions pĂ©dagogiques.

Soucieux d’offrir Ă  Sainte-Barbe les conditions de sa pĂ©rennitĂ©, il met toutefois des conditions Ă  son arrivĂ©e. D’abord que les dettes de l’institution – alors importantes au point d’en menacer la survie - soient totalement Ă©teintes et qu’ensuite, clĂ© puissante de rĂ©ussite, que lui soit donnĂ©e carte blanche dans le choix des enseignants et de ses collaborateurs, du plus humble au plus Ă©levĂ© en grade.

DĂšs sa prise de fonctions, l’objectif prioritaire de Labrouste est l'amĂ©lioration des locaux qui sont Ă  cette date dans un Ă©tat dĂ©plorable[5]. AprĂšs deux annĂ©es d’incertains conflits juridiques, il parvient Ă  racheter la totalitĂ© des bĂątiments et des terrains, y compris en mobilisant ses fonds personnels. Il peut dĂšs lors reconstituer l’emprise du collĂšge d’origine et mĂȘme y ajouter certaines parcelles voisines. Le Directeur a ainsi la possibilitĂ© de lancer, dĂšs 1840, la construction de l’établissement moderne, dont il rĂȘve depuis sa prise de fonctions. MenĂ© d’aprĂšs les plans et sous la direction de ses deux frĂšres, ThĂ©odore et Henri, le chantier est terminĂ© en 1853.

Labrouste dispose, dĂšs lors, d’un outil dont la modernitĂ© frappe les observateurs de l’époque : clartĂ© des salles, espaces gĂ©nĂ©reux et fonctionnels, chauffage collectif efficace, habile combinaison dans la construction de matĂ©riaux Ă  faible coĂ»t[6]. À partir de cet instant, le directeur de Sainte-Barbe va donner Ă  son Ă©tablissement un dĂ©veloppement sans prĂ©cĂ©dent. Preuve du succĂšs de l’entreprise, les effectifs triplent et dĂ©passent le millier d’élĂšves en une dizaine d’annĂ©es.

Façade du collĂšge Sainte-Barbe dans la cour intĂ©rieure, Ɠuvre d'Ernest Lheureux, Ă©lĂšve d'Henri Labrouste, 1881-1884.

Au cƓur de cette dynamique, Labrouste a saisi dĂšs 1835 que l’attractivitĂ© d'une structure provient d’abord, non pas de la qualitĂ© des Ă©tudes initiales offertes aux Ă©lĂšves en dĂ©but de cursus, mais, par effet inversĂ©, de l’efficacitĂ© des prĂ©parations permettant aux Ă©lites d’intĂ©grer les Ă©coles d’État fondĂ©es par la RĂ©volution puis affermies par l’Empire, ainsi Normale supĂ©rieure ou Polytechnique[7]. La crĂ©ation de ces classes prĂ©paratoires, appelĂ©e par Labrouste « Instituts prĂ©paratoires aux Ă©coles spĂ©ciales du gouvernement Â» Ă©tablit dĂ©finitivement la rĂ©putation de l'Ă©tablissement : en 1853, plus du tiers de la promotion reçue Ă  l’X sort de Sainte-Barbe[8].

Autre intuition gĂ©niale, Labrouste crĂ©e enfin une annexe hors de la capitale pour les collĂ©giens. Cette fondation permet de rĂ©pondre au manque de place du site parisien qui bride la croissance des effectifs des classes prĂ©paratoires. Elle souscrit aussi aux bienfaits de l’hygiĂšne moderne permis par l'Ă©loignement de la ville afin de favoriser le dĂ©veloppement harmonieux des jeunes enfants. Ouverte en 1852 Ă  Fontenay-aux-Roses, cette propriĂ©tĂ© accueille ses internes au cƓur d’un parc et des locaux amĂ©nagĂ©s par ThĂ©odore. Les effectifs, infĂ©rieurs Ă  la centaine lors de l’ouverture, passent Ă  plus de quatre cents Ă©lĂšves en quelques annĂ©es[9].

Un directeur d’élite pour un public d’élite

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Assurant avec constance un vĂ©ritable sacerdoce fait de grandes et de petites servitudes[10], le directeur, secondĂ© par des adjoints d’élite, souvent barbistes, agrĂ©gĂ©s de l’UniversitĂ© et par ailleurs professeurs de haute volĂ©e (ainsi Alphonse Blanchet mais surtout AimĂ© Godart, futur fondateur de l'École Monge), s’applique aussi Ă  amĂ©liorer les mĂ©thodes pĂ©dagogiques. Il met en place un systĂšme d'apprentissage tout entier construit sur le rĂ©sultat. Ainsi, l'Ă©valuation est basĂ©e sur un contrĂŽle incessant qu'on qualifie, terme appelĂ© Ă  faire florĂšs, de « colles Â» constituĂ©es d'interrogations orales trĂšs frĂ©quentes auxquelles sont soumis deux Ă©lĂšves choisis au hasard. Les notes attribuĂ©es, puis les moyennes qui en dĂ©coulent, donnent lieu ensuite Ă  des classements trimestriels. HabituĂ©s Ă  cette rĂ©itĂ©ration constante des conditions de passation des concours - Ă  cette Ă©poque uniquement oraux - les Ă©lĂšves de Sainte-Barbe affrontent ces derniers avec une efficacitĂ© inĂ©galĂ©e.

Labrouste interdit aussi le bizutage, tradition enracinĂ©e dans tous les Ă©tablissements de la montagne Sainte-GeneviĂšve[11], le remplaçant par un tutorat individuel des nouveaux Ă©lĂšves par les anciens[12]. Cette reprise en main, peut-ĂȘtre un peu contradictoire avec les prĂ©ceptes libĂ©raux de Lanneau, conduit d'ailleurs au dĂ©but de sa mise en Ɠuvre, une partie des Ă©lĂšves Ă  s'y opposer. À deux reprises, en mars 1844, puis en janvier 1847, les internes se soulĂšvent contre la direction, saccagent les locaux en rĂ©clamant des droits dont la diversitĂ© Ă©tonne[13]. Par une fermetĂ© sans concession qui passe souvent par l'exclusion dĂ©finitive, Labrouste reprend les choses en main. Aucune rĂ©volte ne sera Ă  relever dans les dĂ©cennies qui suivront.

Signe d'un sens de l'autoritĂ© insĂ©parable de ce qui prĂ©cĂšde, Labrouste entretient avec les diffĂ©rents ministres de l’instruction publique, notamment sous le Second Empire, des relations qui, quoique rĂ©guliĂšres, ne l'empĂȘchent pas d'affirmer ses convictions quand elles visent Ă  assurer la pĂ©rennitĂ© de Sainte-Barbe. Ainsi, il s’oppose publiquement en 1852 Ă  Fortoul lorsque ce dernier lance son « systĂšme de bifurcation Â» qui sĂ©pare, dĂšs la classe de 4e, les Ă©tudes de lettres de celles des sciences, dĂ©buts timides d'une spĂ©cialisation des parcours scolaires. Faisant fi des instructions, Labrouste ne change pas l’organisation de son Ă©tablissement jusqu'Ă  l'abandon, Ă  bas bruits, de cette rĂ©forme aventureuse. Les ministres suivants, Rouland mais surtout Duruy, abordent Ă  leur tour l'institution de la rue Valette avec un intĂ©rĂȘt mĂątinĂ© de mĂ©fiance et surtout de prudence, compte tenu des soutiens qu'elle connait alors dans tous les Ă©chelons de l’État[14].

Directeur hors pair constamment soutenu par ses mandants de 1838 Ă  sa mort brutale en fonction - Ă  70 ans - en 1866, trĂšs supĂ©rieur Ă  ses successeurs, Alexandre Labrouste apparaĂźt pour ces raisons un tĂ©moin intĂ©ressant de la situation du systĂšme Ă©ducatif dans une pĂ©riode fondatrice, celle qui prĂ©cĂšde les lois scolaires de la IIIe RĂ©publique. Paradoxe qui accompagne souvent les victoires des pionniers, beaucoup d'innovations inventĂ©es Ă  Sainte-Barbe se retrouveront Ă  divers titres dans l'enseignement public, non sans affaiblir les Ă©tablissements privĂ©s. En effet, en adoptant quelques traits de son organisation mais surtout ses principes d'excellence, le nouveau pouvoir donnera Ă  ses lycĂ©es, notamment parisiens, les clĂ©s d'un irrĂ©sistible triomphe[15].

Sources

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  • Jules Quicherat, Histoire de Sainte-Barbe, collĂšge, communautĂ©, institution, Paris, Hachette, 1460-1864, 3 vol.

Notes et références

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  1. ↑ Son acte de dĂ©cĂšs (n°499) dans les registres de dĂ©cĂšs du 5Ăšme arrondissement de Paris pour l'annĂ©e 1866
  2. ↑ NĂ© Ă  Bordeaux en 1762 et tuĂ© lors de l’attentat de Fieschi en 1835.
  3. ↑ Un avouĂ© est, depuis 1791, un officier ministĂ©riel chargĂ© de reprĂ©senter les parties devant les tribunaux et de faire en leur nom les actes de procĂ©dure civile.
  4. ↑ Fils de Victor de Lanneau qui est mort en 1830.
  5. ↑ Vendus comme biens nationaux durant la RĂ©volution, les bĂątiments du collĂšge appartiennent sous l’Empire Ă  de multiples propriĂ©taires avec lesquels Sainte-Barbe entretient des relations difficiles.
  6. ↑ Ces bĂątiments construits par les frĂšres Labrouste encadraient l'arriĂšre de la bibliothĂšque Sainte-GeneviĂšve construite dix ans plus tard. Ils ont Ă©tĂ© dĂ©molis dans les annĂ©es 1960, Ă  l'inverse des locaux rĂ©alisĂ©s en 1884 par Lheureux Ă  destination des classes prĂ©paratoires, aujourd'hui restaurĂ©s et transformĂ©s en bibliothĂšque universitaire. Dans ce dernier cas, l'architecte s'est inspirĂ© des leçons de son maĂźtre, adoptant, outre un style Ă©clectique qui utilise meuliĂšre, pierre, brique et mosaĂŻques pour les dĂ©corations intĂ©rieures, une ossature mĂ©tallique pour les grandes salles, ainsi les amphithéùtres de physique et de chimie comme la salle de dessin.
  7. ↑ Si Sainte-Barbe prĂ©pare avec succĂšs Ă  l’École polytechnique et l’ENS pour sa voie scientifique, elle vise aussi les Mines, la Marine, l’École centrale des arts et manufactures, l’École forestiĂšre et enfin l’École militaire de Saint-Cyr. Ces institutions seront peuplĂ©es, peu Ă  peu, par une multitude de barbistes qui sauront Ă  leur tour porter le renom de leur collĂšge dans les plus hautes sphĂšres de l'État.
  8. ↑ On peut ajouter Ă  cette architecture, les cours gratuits dits « ConfĂ©rences Â» qui permettent la prĂ©paration Ă  la licence universitaire mais surtout Ă  l’agrĂ©gation de grammaire, lesquels, Ă  partir de 1845, rencontrent un succĂšs grandissant.
  9. ↑ Sainte-Barbe des Champs sera fermĂ©e en 1899 quand le collĂšge ne pourra plus assumer les dĂ©penses de gestion du lieu.
  10. ↑ Labrouste adopte ainsi les prĂ©ceptes de Lanneau « Tout voir, tout embrasser, pĂ©nĂ©trer, animer tout, ĂȘtre partout le conseil et le modĂšle, possĂ©der le double avantage d’un caractĂšre ferme et pliant, un jugement docile et sĂ©vĂšre, des vues libĂ©rales, un dĂ©sintĂ©ressement parfait, telles sont les qualitĂ©s, tels sont les devoirs d’un bon directeur de collĂšge Â»
  11. ↑ Y compris Ă  Polytechnique oĂč les « postes et bascules Â» agitent alors l’École Ă  toute arrivĂ©e d’une nouvelle promotion.
  12. ↑ Plus rĂ©vĂ©lateur des mƓurs anciennes de ces Ă©tablissements créés au Moyen Âge, il met fin aussi Ă  la licence qui Ă©tait offerte aux Ă©lĂšves le jour de la Sainte-Barbe de disposer des locaux sans aucune surveillance d’adulte.
  13. ↑ « Le droit de fumer, celui de porter une blouse pour protĂ©ger les vĂȘtements et enfin et surtout le renvoi d'un enseignant jugĂ© trop autoritaire Â». Aucun de ces points ne fut retenu.
  14. ↑ Fait chevalier de la LĂ©gion d'honneur par la IIe RĂ©publique en aoĂ»t 1849, Rouland Ă©lĂšvera Labrouste au grade d'officier en aoĂ»t 1861.
  15. ↑ Sainte-Barbe ne retrouvera jamais son rayonnement du milieu du XIXe siĂšcle, connaissant mĂȘme, Ă  la fin de cette pĂ©riode, de grandes difficultĂ©s financiĂšres, l'État intervenant Ă  plusieurs reprises pour en Ă©viter la fermeture.

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  • Juriste français du XIXe siĂšcle
  • ÉlĂšve du collĂšge Sainte-Barbe
  • Officier de la LĂ©gion d'honneur promu en 1861
  • Naissance en mars 1796
  • Naissance dans l'ancien 4e arrondissement de Paris
  • DĂ©cĂšs en fĂ©vrier 1866
  • DĂ©cĂšs dans le 5e arrondissement de Paris
  • DĂ©cĂšs Ă  69 ans
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