Bataillon de marche no 13 | |
Création | |
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Dissolution | |
Pays | France |
Branche | Armée de terre |
Type | Bataillon de marche |
Rôle | Infanterie puis appui feu |
Guerres | Seconde Guerre mondiale |
Batailles | aucune |
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Le bataillon de marche no 13 (BM 13) est une unité militaire des forces françaises libres pendant la Seconde Guerre mondiale.
Formé en 1943 au Cameroun en Afrique française libre, il devient ensuite un bataillon d'artillerie.
Historique
Le bataillon de marche no 13 est créé le [1] sous les ordres du capitaine Fernand Audier à partir du 2e bataillon du régiment de tirailleurs du Cameroun, renforcés d'artilleurs[2].
Stationné à Ngaoundéré, le BM 13 est rapidement rattaché à la 2e brigade de marche du Cameroun, qui devient en août 1943 la Brigade mixte d'Afrique française libre (BM-AFL). Le BM 13 devient l'unité de défense contre blindés et défense contre avions de cette brigade. Le bataillon est dissous le : son infanterie renforce les trois autres bataillons de marche de la brigade et sa compagnie lourde (canons antichars et antiaériens), renforcée des sections d'artillerie de la BM-AFL, forme le bataillon lourd d'artillerie no 13[2],[3].
Celui-ci, mis sur pied à Douala le , rejoint l'Algérie par la route entre février et avril 1944. Le , à Batna, le bataillon no 13 devient le groupe de transport no 512[4].
Références
- Archives petites unités 12P, Service historique de la Défense (lire en ligne), p. 213 & 309
- Sylvain Cornil-Frerrot, « Les Forces françaises libres d’Afrique équatoriale française », Revue de la Fondation de la France libre, no 34, , p. 23-32 (lire en ligne)
- Bernard Le Marec, Les Français libres et leurs emblèmes, Lavauzelle, (ISBN 978-2-7025-0367-6, lire en ligne), p. 70-71
- Jacques Sicard, « Les bataillons de marche de l'Afrique française libre et leurs insignes », Militaria Magazine, no 105, , p. 47-51