Bernécourt | |||||
Église Saint-Georges. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Toul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Mad et Moselle | ||||
Maire Mandat |
Claude Marie Leroy 2020-2026 |
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Code postal | 54470 | ||||
Code commune | 54063 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bernécourtois[1] | ||||
Population municipale |
173 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 50′ 38″ nord, 5° 50′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 240 m Max. 295 m |
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Superficie | 9,38 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Nord-Toulois | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Bernécourt est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Géographie
Village situé à l'embranchement des routes de Pont-à-Mousson à Saint-Mihiel, et de Thiaucourt à Toul, à 20 km de Toul et à 35 km de Nancy,
D’après les données Corine Land Cover, le ban communal de 953 hectares comportait en 2011, 58.5 % de zones agricoles, 15 % de forêts 20% de prairies et 6.5 % de zones urbanisées.
Le territoire est arrosé par le Ruisseau de Bernecourt sur 2,23 km[2].
La commune fait partie du parc naturel régional de Lorraine[3].
communes limitrophes
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Bernecourt[4],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Rupt de Mad, Esch, Trey ». Ce document de planification concerne les bassins versants du Rupt de Mad, de l’Esch et du Trey. Le périmètre a été arrêté le 2 juin 2014, la commission locale de l'eau (CLE) a été créée le , puis modifiée le 0. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Parc naturel régional de Lorraine[5].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 11 km à vol d'oiseau[8], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
Typologie
Au , Bernécourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,5 %), prairies (19,3 %), forêts (15,2 %), zones urbanisées (6,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
Bernaicuria (1120/1163[18]), Breneincourt (1322), Brenaincourt (1339), Brenaicuria et Brenaicourt (1370), Brenécourt (1421), Breneicourt (1441), Breneycourt (1551), Berneycourt-Belle-Fontaine (1588), Beurnecourt-Belle-Fontaine ou Bernecourt (1719), Bernecourt (1793), sont les différentes graphies recensées par le Dictionnaire topographique de la France[19].
Pour l'étymologie, à comparer à Bennecourt dans les Yvelines (Bernencurtis autrefois).
Histoire
Le répertoire archéologique du comte Beaupré mentionne le signalement de E. D. Olry de ruines au lieu-dit Devant le bois de Vassogne (Voisogne, Vouassagne), et à la Monnerie sur la commune voisine de Flirey[20], néanmoins les éventuelles traces d'occupations anciennes sur le territoire de Bernécourt n'ont pas encore été découvertes (ou ont été détruites au fil des évènements de l'histoire).
Toutefois la vie du village a laissé des traces dans les archives, que les historiens nous rapportent ainsi[21] :
En 1322, Pierresson Delomet, dit Froideaux, cède au comte de Bar des revenus qu'il a à Bernécourt, puis, plus tard
« En 1536, le duc Antoine établit à Bernécourt deux foires l'année, le 1er mai, et le 25 novembre, et un marché chaque jeudi de la semaine ; de plus, il affranchit, pendant trois ans, ces foires et marchés des droits de vente et tonlieu qui se payaient aux foires de Pont-à-Mousson, à condition toutefois que les habitants de Bernécourt participent à l'entretien de la halle de Pont-à-Mousson.
En 1588, les habitants de Bernécourt demandèrent au duc Charles III et en obtinrent la permission de fermer leur village de portes et murailles Le duc de Lorraine, après avoir envoyé sur les lieux, pour lui faire son rapport, le sieur de La Ferté, avec un ingénieur choisi par ce dernier, fit droit à la double requête des habitants de Bernécourt et leur permit de clore et d'environner leur village de fossés, murailles, portes et porteries, d'après le plan qui leur en fut montré.
En 1619, le duc Henri érige en fief, en faveur de Charles Nicolas, sieur de Lorry, une maison que celui-ci possédait près du village de Bernécourt, laquelle était bâties et dressée en forme de château, environnée de hautes murailles et fortifiée aux quatre coins de quatre tours dont la toiture est en forme de pyramide. »
Lepage estime qu'il s'agit très probablement du fief de Gorge-Salée, dont parle Maillet dans son Pouillé du Barrois[22]. L'histoire explique ainsi la forme des divisions parcellaires de la commune qui représente en zonage cadastral (ZONE ZR fig 1 - ban communal) le tracé des anciens murs du village.
Le fief de Bernécourt releva ensuite du marquisat de Pont-à-Mousson. Il devint en 1719 le siège d'une baronnie.La commune fut en 1790 le chef-lieu d'un canton dépendant du district de Pont-à-Mousson.
Époque contemporaine
L'abbé Grosse précise dans son ouvrage, vers 1836, au sujet de la commune de Bernécourt :
« Elle possède une brigade de gendarmerie à cheval, logée dans une caserne qui fut bâtie sous le règne de Louis XV, en 1761. Le village est aussi un lieu d'étape, et aux fameuses journées de Juillet 183o, plusieurs régiments de cavalerie, du camp de Lunéville, stationnèrent longtemps près de celte commune avant de se rallier à la révolution (de 1830)[23] »
- Dommages au cours de la guerre 1914-1918.
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 173 habitants[Note 3], en évolution de −6,99 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et modestement viticole, au XIXe siècle :
« Surf. territ. : 937 hect. 750 en terres lab., 24 en prés, 1 en vignes, 122 en bois ; le reste en jardins, chènevières, etc. L'hectare semé en blé peut rapporter 15 hectol., en orge 18, en seigle 15, en avoine 20 ; planté en vignes 70 ; on y sème très-peu d'orge et de seigle. Les chevaux et les bêtes blanches sont l'espèce dominante de bestiaux.»[30]
Secteur primaire ou Agriculture
Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.
D'après le recensement agricole 2010 du ministère de l'Agriculture (Agreste[31]), la commune de Bernécourt était majoritairement orientée[Note 4] sur la polyculture et le poly-élevage (auparavant même production) sur une surface agricole utilisée[Note 5] d'environ 854 hectares (surface cultivable communale) en légère baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 905 à 544 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 10 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 15 unités de travail[Note 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château XVIIe siècle.
- Lavoir monumental XIXe siècle.
- Église Saint-Georges, reconstruite après 1918.
Personnalités liées à la commune
Nadine Morano a résidé quelque temps à Bernécourt en compagnie de son mari et de ses 3 enfants.
Héraldique, logotype et devise
Blason | De gueules, à trois bandes d'argent ; au chef d'or chargé de trois croisettes pommetées au pied fiché d'azur. |
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Détails | La commune a adopté les armes de Claude Guérin, premier seigneur du lieu. |
- La commune a adopté les armes de Claude Guérin, premier seigneur du lieu. Celui-ci porte "de gueules, à trois bandes d'argent ; au chef d'or chargé de trois croisettes pommetées au pied fiché d'azur".
Voir aussi
Bibliographie
- G. Hamm, Carte archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005
- THIERY Dominique, « En passant par Bernécourt », 1989, Études touloises n° 49
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
- Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
- Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
Cartes
- « Réseau hydrographique de Bernécourt » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
- Ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, Décret no 2015-73 du 27 janvier 2015 portant renouvellement du classement du parc naturel régional de Lorraine.
- « Fiche communale de Bernécourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- « SAGE Rupt de Mad, Esch, Trey », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bernécourt et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bernécourt ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel Parisse, « Écriture et réécriture des chartes : les pancartes aux XIe et XIIe siècles. », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 155, no 1, , p. 263 (DOI 10.3406/bec.1997.450867, lire en ligne, consulté le ) :
.« Confirmation par Henri, évêque de Toul, de donations faites par différents donateurs aux chanoines réguliers de Riéval.B. Copie du XVIIIe siècle, Bibl. raun. Nancy, ms 992 (14), p. 153-154 : item aliam vallem juxta Bernaicuriam, a fonte usque ad viam que itur de Neveys ad Sorbeyum continuamque culturam in Bernaicuria et quosdam agros eidem in diversis locis adjacentes et portiones quasdam in predicta silva ab hominibus predictorum dominorum. »
- Comité des travaux historiques et scientifiques, Dictionnaire topographique de la France : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, 1861-1952 (BNF 37326793).
- Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, A. Crépin-Leblond, (OCLC 458681864, lire en ligne).
- Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département... Volume 1, (lire en ligne), p. 132.
- Claude de Maillet, Mémoires alphabétiques pour servir à l'histoire, au pouillé et à la description générale du Barrois, Bar-le-Duc, R. Brifflot, 1749.
- E. Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press, (réimpr. 2012) (1re éd. 1836), 972 p. (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 69.
- « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative : publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 61.
- « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4,4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».