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Boulevard Périer
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| Situation | ||
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| Coordonnées | 43° 16′ 44″ nord, 5° 22′ 51″ est | |
| Arrondissement | 8e | |
| Quartier | Périer | |
| Tenant | Avenue du Prado | |
| Aboutissant | Boulevard Georges-Estrangin | |
| Morphologie | ||
| Type | rue | |
| Longueur | 1 450 m | |
| Largeur | 16 m | |
| Transport | ||
| Métro |   Périer
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| Bus |     
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| Lieux d'intérêt | Consulat général de Madagascar à Marseille | |
| Géolocalisation sur la carte : Marseille
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Le boulevard Périer est une voie marseillaise .
Situation et accès
[modifier | modifier le code]Ce boulevard à forte montée est l'une des deux artères principales du quartier éponyme avec la rue Paradis. Situé dans le 8e arrondissement de Marseille, il va de l’avenue du Prado au boulevard Georges-Estrangin qui la prolonge jusqu'au Roucas-Blanc situé dans le 7e arrondissement.
Il démarre son ascension sur l'avenue du Prado, traverse la place Ernest-Delibes où il croise la rue Paradis, longe de nombreux bâtiments résidentiels de luxe en hauteur puis arrivée en bas des escaliers enchaîne une succession de virages jusqu'à se terminer au boulevard Georges-Estrangin au sommet.
Le boulevard Périer est desservi par la ligne de métro à la station éponyme ainsi que par les lignes de bus du réseau RTM.
Origine du nom
[modifier | modifier le code]Il porte le nom de Théophile Périer, un homme d'affaires marseillais qui fait construire en 1858 un château abritant le lycée Périer[1].
Historique
[modifier | modifier le code]Le chef d'entreprise Frédéric Bohn, président de la Compagnie française d'Afrique occidentale, y a habité et y est mort le [2].
Le boulevard est classé dans la voirie des rues de Marseille le .
Références
[modifier | modifier le code]- Adrien Blès, Dictionnaire historique des rues de Marseille : Nouvelle édition, corrigée et augmentée de 400 noms de voies nouvelles, Éditions Jeanne Laffitte, (ISBN 9782862765259), p. 129
- Xavier Daumalin, « Pouvoir économique et influence politique : Frédéric Bohn (1852-1923) », Cahiers de la Méditerranée, no 92, , p. 53–66 (ISSN 0395-9317, DOI 10.4000/cdlm.8278, lire en ligne, consulté le ).
