Le château, érigé au XVIIIe siècle, est remanié au siècle suivant dans le style du château de la Malmaison. Résidence des juges châtelains d’Aisey, on l’appelait aussi la métairie des juges. Son nom de Bon Espoir est hérité d’une chapelle dédiée à Notre Dame de la Bonne Espérance, détruite au milieu du XIXe siècle par l’abbé Rougeot qui a transformé la métairie en petit château. Ces travaux sont poursuivis ensuite par Henri Armand Rolle (1829-1903), député de la Côte-d'Or[2].
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Le château, jouxté d'imposants communs, est couvert d'ardoises. A l'arrière, le parc conserve quelques parterres à la française. L'accès à la route est assuré par une large allée arborée précédée en bordure par un bassin cylindrique en pierre maçonnées à destination d'abreuvoir et de pédiluve, ombragé par deux rangées d'arbres imposants. Au nord-est du château et ses communs, se cache le menhir de Pierre Percée ou Pierre Fiche.
