Chaudefonds-sur-Layon | |||||
Pont de Chaudefonds. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Loire Layon Aubance | ||||
Maire Mandat |
Yves Berland 2020-2026 |
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Code postal | 49290 | ||||
Code commune | 49082 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Califontains | ||||
Population municipale |
934 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 63 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 19′ 37″ nord, 0° 42′ 17″ ouest | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 95 m |
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Superficie | 14,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Angers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chalonnes-sur-Loire | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Chaudefonds-sur-Layon est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Ce village rural se trouve dans la vallée encaissée des Coteaux du Layon et dans le Val de Loire inscrit au Patrimoine mondial de l'UNESCO.
La commune possède un important passé minier lié à l'exploitation du bassin houiller de Basse Loire.
Géographie
Localisation
Ce village angevin de l'Ouest de la France se situe en limite nord des Mauges, sur la route[1] D 125 qui va de Chalonnes-sur-Loire (5 km) à Val-du-Layon (3 km)[2].
Le territoire des Mauges est la petite région qui couvre la partie sud-ouest du Maine-et-Loire, délimitée au nord par la Loire (fleuve) et à l'est par le Layon (rivière)[3].
Géologie et relief
La commune s'étend sur près de 15 km2 (1 477 hectares), et son altitude varie de 12 à 95 mètres[4].
Chaudefonds-sur-Layon se situe sur les unités paysagères de la Loire des promontoires, du plateau des Mauges et du couloir du Layon (est de la commune)[5]. La commune de Chaudefonds se trouve partagée entre les reliefs des coteaux et la vallée du Layon. La géologie de la région est constituée de nombreux bassins sédimentaires carbonifères, dont certains possèdent des gisements productifs en charbon : c'est le sillon houiller de la Basse-Loire[6],[7].
À signaler la présence du col d'Ardenay (1,5 km de long pour un pourcentage moyen de 3,5 % avec des pourcentages de 6 % se terminant par un faux plat de 400 mètres) à une altitude de 20 mètres, démarrant au pont de Chaudefonds-sur-Layon et arrivant dans le hameau d'Ardenay par la D 121, se terminant à 75 mètres d'altitude. C'est l'unique col du Maine-et-Loire.
Hydrographie
Les rivières du Jeu et du Layon traversent son territoire[1].
Protections sur la commune
Outre des protections sur des bâtiments (monuments historiques et inventaires), la commune figure à l'inscription[8] de Natura 2000 (vallée de la Loire de Nantes aux Ponts-de-Cé et zones adjacentes), des zones naturelles d'intérêt écologique floristique et faunistique (basse vallée du Layon, vallée du Louet, vallée du Jeu, ruisseau de la Contrie et de l'Oyon), au schéma d'aménagement et de gestion des eaux (Layon, Aubance) et dans la zone du Patrimoine mondial de l'UNESCO (Val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes-sur-Loire).
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée » et « Moyenne vallée de la Loire »[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 632 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Beaucouzé à 18 km à vol d'oiseau[11], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,3 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Urbanisme
Typologie
Au , Chaudefonds-sur-Layon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[16]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,9 %), prairies (26,1 %), cultures permanentes (23,8 %), forêts (9,5 %), terres arables (3,3 %), zones urbanisées (2,4 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Formes anciennes du nom : Feodum de Chaudefondz en 1211, Calidus fons en 1244[20], Chaudefonds en 1793 et 1801, Chaudefonds-sur-Layon en 1925[21].
Le village doit son nom (en latin calidus fons) à une fontaine chaude, la source Sainte-Madeleine, dont l'eau sort à 15° et visible à côté du lavoir[20],[22].
Nom des habitants : les Califontains[22].
Histoire
Moyen Âge
La fondation de la paroisse date au moins du XIIe siècle, et appartenait au seigneur de Chemillé[20].
Du XIIIe au XVIe siècle la seigneurie appartient aux seigneurs de La Jumellière[20].
Ancien Régime
Les mines de charbon présentes à Chaudefonds sont anciennes, et existent dès le XVe siècle[23].
À la veille de la Révolution française (royaume de France), Chaudefonds dépend du doyenné de Jallais, du grenier à sel d'Ingrandes et de l'élection d'Angers[20].
Époque contemporaine
À la réorganisation administrative qui suit la Révolution le département de Maine-et-Loire succède à la province de l'Anjou. Chaudefonds est intégrée en 1790 au canton de Rochefort et au district d'Angers, puis en 1800 au canton de Chalonnes et à l'arrondissement d'Angers[21].
Comme dans le reste de la région, à la fin du XVIIIe siècle se déroule la guerre de Vendée, qui marque de son empreinte le pays tout entier. En mars 1793 les Vendéens s'emparent de Chaudefonds, où un comité catholique et royaliste est créé pour administrer la commune. Il fonctionne jusqu'en novembre. Le président du comité, Pierre-Marc de Jourdan (seigneur du Jeu et de La Berthelotière), est arrêté puis guillotiné aux Ponts-de-Cé en décembre 1793[24].
Chaudefonds connait au XIXe siècle, et jusqu'au début du XXe siècle, un essor industriel avec le développement de ses mines de charbon ; notamment aux Malécots à Ardenay, où siège de nouveaux depuis 2010 un chevalement à l'endroit même de l'ancien, en mémorial de ces temps miniers[7],[25]. La chapelle Sainte-Barbe-des-Mines, située à la limite entre les communes de Chaudefonds et de Chalonnes, et aujourd'hui restaurée, était la chapelle dédiée aux mineurs.
Parallèlement l'exploitation de la chaux se développe sur la même période, la carrière de Saint-Charles fut la dernière à fonctionner, et ferma ses portes en 1964. Aujourd'hui, de nombreux fours à chaux en bon état sont toujours visibles.
Pendant la Première Guerre mondiale, 42 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, quatre habitants sont tués[26].
Politique et administration
Administration municipale
La commune est créée à la Révolution (Chaudefonds puis Chaudefonds-sur-Layon en 1925)[21]. Le conseil municipal est composé de 15 élus[27].
Intercommunalité
Jusqu'en 2016 la commune est intégrée à la communauté de communes Loire-Layon. Cette structure intercommunale regroupe dix communes : Chalonnes-sur-Loire, Champtocé-sur-Loire, Chaudefonds-sur-Layon, Denée, Ingrandes, La Possonnière, Rochefort-sur-Loire, Val-du-Layon, Saint-Georges-sur-Loire et Saint-Germain-des-Prés[33]. L'intercommunalité est membre du Pays de Loire en Layon, structure administrative d'aménagement du territoire. Cette intercommunalité regroupe quatre communautés de communes : Coteaux-du-Layon, Gennes, Loire-Layon et Vihiersois-Haut-Layon[34].
À la suite de la révision du schéma départemental de coopération intercommunale, le les communautés de communes Loire-Layon, Coteaux du Layon et Loire Aubance fusionnent dans la communauté de communes Loire Layon Aubance[35].
Autres circonscriptions
Chaudefonds-sur-Layon fait partie du canton de Chalonnes-sur-Loire et de l'arrondissement d'Angers[36].
Jusqu'en 2014, le canton de Chalonnes-sur-Loire comporte cinq communes (Chalonnes-sur-Loire, Chaudefonds-sur-Layon, Denée, Rochefort-sur-Loire et Val-du-Layon). Il a été constitué en 1790 (canton de Rochefort-sur-Loire), et modifié en 1800 (canton de Chalonnes-sur-Loire)[21]. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune reste rattachée à ce même canton de Chalonnes-sur-Loire, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[37].
Chaudefonds-sur-Layon fait partie de la deuxième circonscription de Maine-et-Loire, composée de cinq cantons dont Angers-Sud et Chemillé-Melay. La deuxième circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2021, la commune comptait 934 habitants[Note 2], en évolution de −3,31 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,6 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 475 hommes pour 470 femmes, soit un taux de 50,26 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,63 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie locale
La mairie, le point poste et les principaux commerces, se situent sur la place du centre. Située dans l'académie de Nantes, la commune compte deux écoles maternelle et primaire : une école privée catholique sous contrat "Ave Maria" et une école publique "La Source"[44].
La plupart des structures de santé se trouvent à Chalonnes-sur-Loire, siège du canton, où l'on trouve l'hôpital local ainsi qu'un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes et une maison de retraite[45].
La collecte des ordures ménagères (collecte sélective) est gérée par la communauté de communes Loire-Layon (SYCTOM du Loire-Béconnais)[44].
La rivière Le Layon traversant la commune, on y trouve de nombreux points de pêche.
Chaudefonds possède également un site d'escalade.
Les hauts du coteaux du Grand Pée, peu avant l'entrée du village, accueillent une piste de décollage pour les parapentes et les deltaplanes, c'est un des principaux sites de vol à voile du département.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Le revenu fiscal médian par ménage était en 2010 de 17 810 €, pour une moyenne sur le département de 17 632 €[46].
En 2009, 51 % des foyers fiscaux étaient imposables, pour 51 % sur le département[46].
Tissu économique
En 2009, sur les 89 établissements présents sur la commune, 43 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 18 % sur le département)[47]. L'année suivante, sur les 89 établissements présents, 43 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 38 % de celui du commerce et des services et 6 % du secteur de l'administration et de la santé[46].
Sur 91 établissements présents sur la commune à fin 2013, 26 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 10 % du secteur de l'industrie, 13 % du secteur de la construction, 40 % de celui du commerce et des services et 11 % du secteur de l'administration et de la santé[48].
Agriculture
Comme dans le reste du département, l'agriculture est fortement implantée sur ce territoire rural, dont la viticulture qui représente la première activité agricole.
Entouré de vignobles, Chaudefonds compte de nombreux producteurs de vin, Coteaux du Layon, Cabernet d'Anjou, Anjou village, figurent parmi les nombreux vins produits et représentent la principale économie du village.
Chaudefonds-sur-Layon se trouve dans la zone des vignobles du Val de Loire. Liste des appellations présentes sur le territoire[49] :
- AOC AOP Cabernet d'Anjou, AOC AOP Cabernet d'Anjou nouveau ou primeur, AOC AOP Coteaux du Layon, AOC AOP Coteaux du Layon Sélection de grains nobles ;
- AOC AOP Anjou blanc, AOC AOP Anjou gamay, AOC AOP Anjou gamay nouveau ou primeur, AOC AOP Anjou mousseux blanc, AOC AOP Anjou mousseux rosé, AOC AOP Anjou rouge, AOC AOP Anjou Villages, AOC AOP Crémant de Loire blanc, AOC AOP Crémant de Loire rosé, IGP Maine-et-Loire blanc, IGP Maine-et-Loire rosé, IGP Maine-et-Loire rouge, AOC AOP Rosé d'Anjou, AOC AOP Rosé d'Anjou nouveau ou primeur, AOC AOP Rosé de Loire, IGP Val de Loire blanc, IGP Val de Loire rosé, IGP Val de Loire rouge ;
- IGP Brioche vendéenne, IGP Bœuf de Vendée, IGP Bœuf du Maine, AOC AOP Maine-Anjou, IGP Volailles de Cholet, IGP Volailles d’Ancenis.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune de Chaudefonds-sur-Layon comporte plusieurs inscriptions au Patrimoine[50], dont deux monuments historiques et deux sites protégés[51].
- Ancien logis de la Basse-Guerche (ou Château de la Basse-Guerche) du XVe siècle, monument historique inscrit le (PA00109035).
- Moulins à vent d'Ardenay, du XVIIe siècle, monument historique inscrit le (PA00109036), Inventaire général du patrimoine culturel.
- Site de la Corniche Angevine, qui domine la vallée du Layon et celle de la Loire et qui en fait l'un des sites les plus pittoresques de l'Anjou[52], site protégé classé par arrêté du .
- Site du hameau d'Ardenay, ancien village de mineurs[52], site protégé inscrit par arrêté du . Cet ancien village de mineurs domine la vallée du Layon et celle de la Loire.
- Chapelle du cimetière, du XVIe siècle, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Chapelle Sainte-Barbe des Mines, à la limite de Chalonnes-sur-Loire, ancienne église de mineurs construite en 1856.
Personnalités liées à la commune
- Serge Bernier, impliqué dans l'attentat du Petit-Clamart.
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 690-692.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 1 (A-C), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd., p. 646-647.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- IGN et BRGM, Géoportail Chaudefonds (49), consulté le 19 avril 2011
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Chaudefonds-sur-Layon (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 20 novembre 2011 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- Louis Poirier, « Essai sur la morphologie de l'Anjou méridional (Mauges et Saumurois) », Annales de Géographie, t. 44, no 251, , p. 474 — Voir Mauges.
- IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011.
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 176, 190 et 146 — Données consultables sur WikiAnjou.
- « Coteaux du Layon », sur BDF49 (version du sur Internet Archive), consulté le 28 janvier 2010.
- H. Etienne et J.-C. Limasset, Ressources en charbon de la région Pays-de-la-Loire : Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et Vendée, Nantes, BRGM, (lire en ligne [PDF]).
- DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, Liste des zonages recensés sur la commune de Chaudefonds, consultée le 7 janvier 2011.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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- « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Célestin Port 1874, p. 646-647 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
- École des hautes études en sciences sociales, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Chaudefonds-sur-Layon, consultée le 18 novembre 2011 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 56.
- Célestin Port 1965, p. 692.
- Célestin Port 1965, p. 690-692.
- François Martin, Les mines de charbon, c'était encore hier, chez nous..., Association Sainte-Barbe des Mines, (lire en ligne [PDF]).
- « Monument aux morts de Chaudefonds-sur-Layon », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
- Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
- André Sarazin, Supplément au Dictionnaire Historique, Géographie et Biographique de Maine-et-Loire de Célestin Port, t. second (F-Z), Éditions régionales de l'Ouest Mayenne, (ISBN 2-85554-114-X), p. 254.
- Patrick Garnero (dir.), Annuaire des maires de Maine et Loire, Cannes, EIP Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des mairies de France », 2006-2007 (ISBN 9782352581499, lire en ligne), p. 43-44.
- Ouest-France, Yves Berland succède à Gabriel Ariaux, article du 9 avril 2014.
- « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), document du 11 avril 2014.
- « Chaudefonds-sur-Layon. Yves Berland réélu maire, avec quatre adjoints », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI de Loire Layon (244900833), consulté le 4 août 2013.
- Insee, Observation sociale du territoire du Pays de Loire en Layon, février 2007.
- « Arrêté préfectoral DRCL/BSFL no 2016-176 », sur Préfecture de Maine-et-Loire, .
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Chaudefonds-sur-Layon, consultée le 15 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chaudefonds-sur-Layon (49082) », (consulté le ).
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- Insee, Statistiques locales 2009 du territoire de Chaudefonds, consultées le 19 novembre 2011
- Insee, Statistiques locales du territoire de Chaudefonds-sur-Layon (49082), consulté 7 août 2016.
- INAO, Fiche de Chaudefonds (49), consultée le 19 novembre 2011 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
- Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée, consultée le 20 novembre 2011
- Service Départemental de l'Architecture et du Patrimoine, Chaudefonds, consultée le 20 novembre 2011.
- « La Corniche angevine, le hameau d'Ardenay », sur BDF49 (version du sur Internet Archive), consulté le 28 janvier 2010.