| Type |
Application, client HTTP, plateforme informatique, navigateur (d) |
|---|
| Inventeur | |
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| Date |
| Utilise | |
|---|---|
| Usage |
Navigation web (en) |
Un navigateur web (ou navigateur Web ou fureteur au Québec) est un logiciel conçu pour consulter le World Wide Web, il peut mémoriser et trier les pages Web préférées de l'utilisateur dans des dossiers et sous-dossiers (marque-pages ou favoris).
Il en existe pour tous les matériels (ordinateur personnel, tablette tactile, téléphone mobile ou télévision).
Depuis les années 2010, les plus utilisés sont Google Chrome, Mozilla Firefox, Microsoft Edge (remplaçant d'Internet Explorer), Safari, Opera.
Terminologie
[modifier | modifier le code]Les termes « navigateur (web/Web) » ou « logiciel de navigation » sont recommandés en France par la Délégation générale à la langue française et aux langues de France (DGLFLF)[1], ainsi qu'au Canada par l'Office québécois de la langue française. Leur origine vient de Netscape Navigator, le navigateur phare en 1995-1996. Le premier terme utilisé était browser, comme en anglais. Par la suite, on a vu « fureteur »[2] (utilisé au Canada), « butineur », « brouteur », « arpenteur », « fouineur » ou encore « explorateur » (inspiré d'Internet Explorer). Le terme « navigateur Internet »[2], bien qu'incorrect, est également souvent rencontré. « Navigateur Web » est utilisé aussi au Canada[3],[2], tout comme « fureteur » (au Québec)[2].
Fonctionnalités les plus utiles
[modifier | modifier le code]Accéder à un site web
[modifier | modifier le code]Il existe plusieurs maniÚres d'accéder à un site web ; la plus courante est d'entrer l'adresse web dans la barre d'adresse du navigateur. On peut également cliquer sur un lien hyper-texte dans une page web, qui conduira à une autre page web.
Les navigateurs permettent de conserver tous les sites favoris de l'utilisateur, en les classant, ce qui permet de retrouver trĂšs facilement et rapidement le site Web dont on a besoin.
Rendu
[modifier | modifier le code]à l'écran
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Un navigateur web doit, au minimum, ĂȘtre capable d'afficher le texte d'une page web. Un navigateur en mode texte n'affiche souvent rien de plus. Les navigateurs couramment utilisĂ©s fonctionnent cependant en mode graphique et sont capables d'utiliser une typographie Ă©laborĂ©e, d'ajouter des images dans le texte, de jouer de la musique et des animations ainsi que d'interagir avec les actions de l'utilisateur.
Une page web est un texte Ă©crit dans le langage informatique HyperText Markup Language (HTML) qui donne au navigateur le texte Ă afficher ainsi que la structure gĂ©nĂ©rale de la mise en page : titres, paragraphes, listes, tableaux, etc. La mise en page peut ĂȘtre amĂ©liorĂ©e par l'utilisation de feuilles de style en cascade (CSS) : marges, alignements, espacements, couleurs, bordures, etc.
La position des images dans une page web est donnée par le langage HTML. Les images sont généralement dans un format de données parmi les quatre suivants : GIF, JPEG, PNG ou WebP.
Depuis 2014, une bonne partie de ces rendus est réalisée par l'API d'HTML5.
Sur d'autres dispositifs
[modifier | modifier le code]La plupart des navigateurs permettent d'imprimer les pages web en noir et blanc ou en couleurs. En outre, des dispositifs particuliers peuvent ĂȘtre utilisĂ©s pour pallier un handicap visuel ou moteur.
Concurrence
[modifier | modifier le code]RÚglementation européenne
[modifier | modifier le code]La rĂ©glementation europĂ©enne, notamment le rĂšglement (UE) 2022/1925 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 14 septembre 2022 relatif aux marchĂ©s contestables et Ă©quitables dans le secteur numĂ©rique considĂšre comme «navigateur internet» « une application logicielle qui permet aux utilisateurs finaux dâaccĂ©der Ă des contenus internet hĂ©bergĂ©s sur des serveurs connectĂ©s Ă des rĂ©seaux tels que lâinternet, y compris les navigateurs internet autonomes, ainsi que les navigateurs internet intĂ©grĂ©s ou inclus dans un logiciel ou Ă©quivalent, et dâinteragir avec ces contenus[4] ».
Liste de navigateurs
[modifier | modifier le code]La concurrence est animĂ©e par de nombreux acteurs, la technologie Ă©tant mĂ»re et accessible, aprĂšs trente cinq ans dâinnovations. Il existe des versions diffĂ©rentes des navigateurs selon le type de machines : tĂ©lĂ©phone mobile, tablette ou ordinateur.

Voici, pour les navigateurs les plus populaires et par ordre alphabétique, les noms de leurs versions bureautique et mobile :
- Brave, considéré comme le navigateur qui protÚge le plus la vie privée en 2020[5] ;
- Google Chrome, Chromium ;
- Microsoft Edge, successeur dâInternet Explorer ;
- Mozilla Firefox, Firefox Mobile ;
- Opera, OperaGX (Navigateur pour les gamers), Opera Mini ;
- Safari ;
- Vivaldi (émanation d'Opera).
Parts de marché
[modifier | modifier le code]Moyenne en pourcents :
- Chrome (Google) (71,2 %)
- Safari (Apple) (14,1 %)
- Edge + IE (Microsoft) (4,15 %)
- Firefox (Mozilla) (2,35 %)
- Samsung Internet (Samsung Electronics) (1,9 %)
- Opera (Opera Software) (1,15 %)
- Autres (5,15 %)
| Source | Chrome (Google) |
Safari (Apple) |
Edge + IE (Microsoft) |
Firefox (Mozilla) |
Samsung Internet (Samsung Electronics) |
Opera (Opera Software) |
Autres |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| StatCounter[6] | 73,2 % | 13,3 % | 4,6 % | 2,2 % | 1,7 % | 1,8 % | 3,2 % |
| W3Counter[7] | 69,2 % | 14,9 % | 3,7 % | 2,5 % | 2,1 % | 0,5 % | 7,1 % |
| Moyenne | 71,2 % | 14,1 % | 4,15 % | 2,35 % | 1,9 % | 1,15 % | 5,15 % |
Note : ces statistiques ne sont que des estimations et comprennent une marge d'erreur difficile à estimer. Ces erreurs sont dues à plusieurs raisons : certains navigateurs se font passer pour d'autres afin de contourner certains sites web refusant l'accÚs aux navigateurs non testés et de plus en plus de navigateurs, directement ou par le biais des extensions, bloquent les appels aux services de statistiques dans le but de protéger la vie privée de l'utilisateur.
Web mobile
[modifier | modifier le code]| Source | Chrome (Google) |
Safari (Apple) |
Samsung Internet (Samsung) |
Opera (Opera Software) |
UC Browser (UCWeb) |
Firefox (Mozilla) |
Autres |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| StatCounter[8] | 66,9 % | 22,7 % | 3,6 % | 1,7 % | 1,3 % | 0,6 % | 3,2 % |
Navigateurs les plus utilisés par pays
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Histoire
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Les navigateurs web sont des logiciels complexes et en constante évolution, tant au niveau des fonctionnalités les plus utiles qu'au niveau de la sécurité, car les nouvelles fonctionnalités offrent de nouvelles failles.

Octobre 1990, le HTML
[modifier | modifier le code]Le premier navigateur s'appelle WorldWideWeb. Il est développé par l'inventeur du langage HTML, Tim Berners-Lee, en octobre-novembre 1990. C'est un navigateur en mode graphique. C'est également un éditeur HTML, ce qui n'est pas commun. La rapidité de développement est rendue possible par l'ordinateur choisi pour ce projet, un NeXT. Toutefois, le choix de cet ordinateur, rare, a sévÚrement limité la diffusion du navigateur. Plus tard, le navigateur est renommé Nexus pour éviter la confusion avec le World Wide Web.
En 1992, Erwise
[modifier | modifier le code]Le premier navigateur pour le systÚme X Window sur Unix est Erwise, créé en 1992 en Finlande par les étudiants Kim Nyberg, Kari SydÀnmaanlakka, Teemu Rantanen et Kati Borgers (née Suominen)[10].
Le troisiĂšme navigateur est ViolaWWW.
En 1993, NCSA Mosaic
[modifier | modifier le code]En 1993, apparaĂźt NCSA Mosaic. Ce navigateur, disponible sur de nombreux systĂšmes, provoqua l'accĂ©lĂ©ration fulgurante et exponentielle du Web. Il est le premier navigateur Ă afficher les images (GIF et XBM) dans les pages web elles-mĂȘmes, puis Ă supporter les formulaires interactifs dans les pages.

En 1995, Netscape et Microsoft
[modifier | modifier le code]DÚs 1995, Netscape Navigator devient le navigateur dominant, développé par Marc Andreessen, ancien développeur de Mosaic.
En 1995, Microsoft sort également Internet Explorer 1.
à partir de 2000 et aprÚs plusieurs années de « guerre des navigateurs », c'est Internet Explorer qui devient le navigateur le plus utilisé. La raison en est principalement sa pré-installation au sein de Microsoft Windows, le systÚme d'exploitation le plus utilisé sur les ordinateurs personnels à cette époque.
à compter de 2005, on note une régression de la part de marché d'Internet Explorer (en raison des procÚs pour abus de position dominante depuis 1998[11], surtout au bénéfice de Mozilla Firefox.
En décembre 2008, Google Chrome
[modifier | modifier le code]En décembre 2008 sort le navigateur Google Chrome, édité par Google. En 2010, il fait partie des trois navigateurs les plus utilisés[12] et, en 2012, il devient le navigateur le plus utilisé[13].
De nombreux autres navigateurs se partagent les miettes, notamment :
- les navigateurs basés sur le moteur de rendu Gecko de Mozilla Firefox : K-Meleon, SeaMonkey, Flock, Waterfox, IceWeasel et Galeon ;
- les navigateurs basés sur Presto : Suite internet Opera version 9 et plus, Opera Mobile, Opera Mini, Wii Internet Channel, Nintendo DS Browser, Sony Mylo ;
- les navigateurs basés sur KHTML du projet KDE : Konqueror ; ou sur son fork (WebKit) : Safari d'Apple, OmniWeb d'OmniGroup, Midori du projet Xfce, Epiphany.
Les versions dites « mobile »
[modifier | modifier le code]Devant le développement croissant des smartphones et des tablettes numériques, plusieurs concepteurs de navigateurs sortent des versions dites « mobile » : Le navigateur Firefox Mobile (nom de code Fennec) est la version mobile de Firefox, Opera Mobile pour Opera, Internet Explorer Mobile la version mobile d'IE, etc. Des éditeurs proposent des navigateurs uniquement pour mobiles : UC Browser, Dolphin Browser, etc.
Enfin, depuis le milieu des années 1990, apparaßt une multitude d'autres navigateurs plus ou moins populaires.
Les navigateurs assistés par intelligence artificielle
[modifier | modifier le code]à partir de 2023, une nouvelle génération de navigateurs web intÚgre nativement l'intelligence artificielle générative. Ces navigateurs sont capables de lire, résumer et structurer l'information à la place de l'utilisateur,[14].
Cette rupture technologique est initiée par l'intégration de « copilotes » dans les navigateurs existants, comme Microsoft Copilot dans Microsoft Edge ou Gemini dans Google Chrome. De nouveaux acteurs proposent en outre une navigation repensée autour de l'IA. C'est le cas de l'entreprise Perplexity AI, qui, bien qu'initialement moteur de réponse, propose une interface se substituant à la navigation classique en affichant des réponses sourcées plutÎt qu'une liste de liens bleus[15].
En juillet 2024, OpenAI entre également sur ce marché avec l'annonce de SearchGPT, brouillant la frontiÚre entre un agent conversationnel et un navigateur web[16]. D'autres navigateurs innovants, comme Arc (via sa fonctionnalité Browse for Me), génÚrent automatiquement des pages web personnalisées en synthétisant plusieurs sources en temps réel. Comet est un autre navigateur web basé sur Chromium et alimenté par l'intelligence artificielle[17]., lancé par Perplexity AI en juillet 2025[18].
Ces Ă©volutions marquent le passage d'une navigation « passive » Ă une navigation « agentique », oĂč le logiciel accomplit des tĂąches pour l'utilisateur.
Fonctionnement
[modifier | modifier le code]Un navigateur web est composé de divers modules logiciels permettant de communiquer suivant les standards des réseaux : un moteur de rendu des standards du Web, une interface utilisateur adaptée au systÚme d'exploitation qui l'accueille et, accessoirement, un gestionnaire d'extensions (plugins).
Techniquement c'est, au minimum, un client HTTP.
Il en existe pour différents systÚmes d'exploitation (Linux, Windows, Mac OS, iOS et Android).
Le navigateur se connecte au serveur web hébergeant la ressource visée et la télécharge. Le protocole de communication généralement utilisé est HTTPS (version plus sécurisée de l'ancien protocole HTTP).
Le moteur de rendu du navigateur traite cette ressource, télécharge les éventuelles ressources associées (dépendances) et affiche le résultat sur l'écran de l'utilisateur.
Interface utilisateur
[modifier | modifier le code]Pour la grande majorité des navigateurs sur le marché, l'interface utilisateur est composée d'une zone d'affichage, éventuellement gérée sous forme d'onglets, d'une barre de menus déroulants, d'une barre d'outils, d'une barre d'état et, surtout, d'une barre d'adresse, parfois fusionnée, comme dans le cas de Firefox, de Chrome et de Chromium, avec la barre de recherches. Selon les navigateurs, il est possible de réorganiser et d'afficher ou non ces différents éléments.
La barre de menus abrite les favoris (ou marque-pages), les commandes des fichiers (ouverture, fermeture), les options de configuration, etc.
Scripts
[modifier | modifier le code]Dans le contexte du Web, un script est un programme informatique intégré à la page web et exécuté par le navigateur. Un script permet des tùches simples comme vérifier les données entrées dans un formulaire, gérer des menus ou réagir aux déplacements du pointeur de la souris. Le principal langage de script, cÎté client, est le JavaScript. Ce langage est standardisé par l'ECMA sous le nom d'ECMAScript.
Plugins
[modifier | modifier le code]Les navigateurs pouvant difficilement gérer l'ensemble des formats de données existants et futurs, les éditeurs de navigateurs ont été amenés à développer un mécanisme de modules d'extension qui prennent le nom de plugins ou de contrÎles ActiveX pour Internet Explorer.
Ceux-ci permettent d'afficher directement dans la fenĂȘtre du navigateur des donnĂ©es de formats trĂšs diffĂ©rents allant de documents PDF au contenu multimĂ©dia. Ce mĂ©canisme permet Ă©galement d'utiliser des langages de programmation cĂŽtĂ© client comme Flash (FLV)(obsolĂšte, remplacĂ© par webM) pour les animations, les applets Java ou la technologie Silverlight. La large diffusion d'un plugin Ă©tant nĂ©cessaire pour qu'un format de donnĂ©es ait une chance de s'imposer sur le Web, on en trouve en libre tĂ©lĂ©chargement sur les sites des sociĂ©tĂ©s Ă©ditrices de logiciels permettant de crĂ©er un type de contenu particulier.
Extensions
[modifier | modifier le code]Les extensions permettent d'ajouter de nouvelles fonctionnalités au navigateur, comme la météo dans la barre d'état, un blocage des publicités des sites Web et la préservation de la confidentialité des données personnelles issues de la navigation, des outils de développement Web, etc.
Cookies
[modifier | modifier le code]Les cookies sont des fichiers, déposés cÎté client, dans lesquels le serveur écrit des données servant à lier à une visite toute information d'état, comme les préférences d'affichage ou le contenu d'un panier d'achat.
Protocoles
[modifier | modifier le code]Les protocoles HTTP et HTTPS ne sont pas les seuls protocoles de communication qu'un navigateur web peut utiliser. Il peut aussi gĂ©rer les transferts de fichiers Ă l'aide de FTP ou WebDAV. Certains navigateurs (comme Firefox) supportent les protocoles Gopher et NNTP (pour communiquer avec un serveur de news (« newsfeed », flux de donnĂ©es, sorte d'ancĂȘtre de RSS) sur Usenet qui prĂ©cĂ©dent de peu HTTP et sont devenus confidentiels aujourd'hui. Ces protocoles de communication sont gĂ©nĂ©ralement standardisĂ©s par l'IETF.
Certificats
[modifier | modifier le code]Les certificat électroniques sont trÚs largement utilisés sur les sites de commerce électronique, les webmails ou autres sites sensibles (banques, impÎts, etc.) pour ajouter une couche de sécurité supplémentaire aux échanges.
Blockchain
[modifier | modifier le code]De nouveaux navigateurs web basent leur technologie sur la blockchain[19],[20],[21]. D'aprÚs IBM, de tels navigateurs visent à offrir un systÚme de stockage des informations de navigation qui préserve la vie privée et la met entre les « mains de l'utilisateur » plutÎt que d'une tierce partie[19].
Vulnérabilités
[modifier | modifier le code]Du fait de sa forte diffusion dans le monde, le navigateur web est une cible privilégiée des malfaiteurs désireux de nuire aux internautes.
L'exploitation des traces numĂ©riques du navigateur web est utilisĂ©e par certaines entreprises de commerce Ă©lectronique[22] afin de « pister » les clients, les cookies Ă©tant susceptibles d'ĂȘtre bloquĂ©s (par des extensions, par exemple).
L'utilisation d'un login sur un navigateur peut, dĂšs la premiĂšre fois, ouvrir la possibilitĂ© dâĂȘtre suivi par des sociĂ©tĂ©s de collecte de donnĂ©es lors des utilisations ultĂ©rieures du navigateur[23].[pas clair]
MalgrĂ© lâutilisation d'un bloqueur de publicitĂ©, il est possible, pour une sociĂ©tĂ© tierce, d'accĂ©der Ă des donnĂ©es privĂ©es[23].[pas clair]
Variétés d'attaques possibles
[modifier | modifier le code]L'internaute est menacé à travers son navigateur par des attaques informatiques comme le profilage et l'analyse comportementale à des fins de revente marketing, le vol de données personnelles par accÚs à ses fichiers[24][pas clair], l'escroquerie par hameçonnage[25], ou par le crash de son ordinateur par un bug du navigateur[26][pas clair].
Modules logiciels pouvant ĂȘtre ciblĂ©s
[modifier | modifier le code]Un navigateur est constitué de modules divers réalisant des fonctions bien déterminées qui possÚdent chacun ses propres vulnérabilités. Par exemple, un interpréteur d'URL est vulnérable aux attaques par hameçonnage, un interpréteur de code HTML ou XHTML (plus récent) peut faire une mauvaise interprétation des instructions de description et un interpréteur de langage de script (JavaScript, VBScript...) est vulnérable aux boucles sans fins ou à des exploitations de bugs. Un environnement d'exécution d'applications (Applet Java, ActiveX, plugins) ou une barre d'outils possÚdent également des vulnérabilités[réf. souhaitée].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- â Commission dâenrichissement de la langue française, « logiciel de navigation », sur FranceTerme, ministĂšre de la Culture (consultĂ© le ).
- « navigateur Web », Grand Dictionnaire terminologique, Office québécois de la langue française (consulté le ).
- â Bureau de la Traduction du Canada, « Web (Recommandation linguistique du Bureau de la traduction) », sur termiumplus.gc.ca (consultĂ© le ).
- â RĂšglement (UE) 2022/1925 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 14 septembre 2022 relatif aux marchĂ©s contestables et Ă©quitables dans le secteur numĂ©rique.
- â (en) Douglas J. Leith, « Web Browser Privacy: What Do Browsers Say When They Phone Home? » [PDF], .
- â « Parts de marchĂ© selon StatCounter (Monde) », sur gs.statcounter.com, .
- â « Parts de marchĂ© selon W3Counter (Monde) », sur www.w3counter.com, .
- â Parts de marchĂ© selon StatCounter
- â StatCounter
- â (en) « Xconomy : The Greatest Internet Pioneers You Never Heard Of : The Story of Erwise and Four Finns Who Showed the Way to the Web Browser », sur xconomy.com, (consultĂ© le ).
- â « Aux USA, aprĂšs des annĂ©es de procĂšs, Microsoft reste indemne et sans rival », sur ladepeche.fr, (consultĂ© le ))
- â « StatCounter Global Stats - Browser, OS, Search Engine including Mobile Usage Share », sur StatCounter Global Stats (consultĂ© le ).
- â « 01 Business Forum », sur BFM BUSINESS (consultĂ© le ).
- â (en) « The Browser Company launches Arc Search, an AI-powered iPhone browser that browses for you », sur The Verge, (consultĂ© le ).
- â « Perplexity, le moteur de recherche qui dĂ©fie Google », Le Monde,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- â (en) « SearchGPT is a prototype of new search features », sur OpenAI, (consultĂ© le ).
- â Edward Back, « On a testĂ© Comet, le navigateur qui bouscule tout : voici pourquoi Perplexity pourrait bien redĂ©finir notre rapport Ă Internet », Futura, (consultĂ© le ).
- â (en) David Pierce, « Perplexity launches Comet, its first browser with AI search », The Verge,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- (en) « IBM Files Patent for a Blockchain-Based Web Browser », sur CoinDesk, (consulté le ).
- â (en-US) « YouTube Censorship Drives Uptake of Crypto-Powered Video Platforms », sur Bitcoin News, (consultĂ© le ).
- â (en) « Daily Users of Braveâs Blockchain Web Browser Pass 4 Million », sur Cointelegraph (consultĂ© le ).
- â Laurent Checola, « Vie privĂ©e sur Internet : des "empreintes digitales" laissĂ©es par les navigateurs web », Le Monde,â (lire en ligne).
- « Il est impossible de protĂ©ger les utilisateurs de Facebook contre lâexploitation de leurs donnĂ©es », sur The Conversation (consultĂ© le ).
- â (en) Willem De Groef, Dominique Devriese et Frank Piessens, « Better Security and Privacy for Web Browsers: A Survey of Techniques, and a New Implementation », Formal Aspects of Security and Trust, Springer,â , p. 24 (ISBN 978-3-642-29420-4, DOI 10.1007/978-3-642-29420-4_2, lire en ligne, consultĂ© le ).
- â Avisha Das, Shahryar Baki, Ayman El Aassal et Rakesh Verma, « SoK: A Comprehensive Reexamination of Phishing Research From the Security Perspective », IEEE Communications Surveys & Tutorials, vol. 22, no 1,â 21/2020, p. 671â708 (ISSN 1553-877X et 2373-745X, DOI 10.1109/COMST.2019.2957750, lire en ligne, consultĂ© le ).
- â (en) Shravan Narayan, Craig Disselkoen, Tal Garfinkel et Nathan Froyd, « Retrofitting Fine Grain Isolation in the Firefox Renderer », USENIX Security Symposium,â , p. 699â716 (ISBN 978-1-939133-17-5, lire en ligne, consultĂ© le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste de navigateurs web
- Ăvolution de l'usage des navigateurs web
- Moteur de rendu HTML, Hypertext Markup Language (HTML)
- World Wide Web
- Plugin
- Marque-page
- Applet
- Gestionnaire de téléchargement
- Hypertext Transfer Protocol
- Cache-Control
- Hypertexte et hyperlien
- Suite Internet
- Test de vitesse de navigateur
