Technopedia Center
PMB University Brochure
Faculty of Engineering and Computer Science
S1 Informatics S1 Information Systems S1 Information Technology S1 Computer Engineering S1 Electrical Engineering S1 Civil Engineering

faculty of Economics and Business
S1 Management S1 Accountancy

Faculty of Letters and Educational Sciences
S1 English literature S1 English language education S1 Mathematics education S1 Sports Education
  • Registerasi
  • Brosur UTI
  • Kip Scholarship Information
  • Performance
  1. Weltenzyklopädie
  2. Politique de distribution — Wikipédia
Politique de distribution — Wikipédia 👆 Click Here! Read More..
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Distribution (commerce))
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Distribution.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Les informations figurant dans cet article ou cette section doivent être reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » (juin 2024).

Vous pouvez améliorer la vérifiabilité en associant ces informations à des références à l'aide d'appels de notes.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article contient une ou plusieurs listes (octobre 2020).

Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus agréables à la lecture, les listes pouvant être aussi introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents items.
D'autre part, Wikipédia n'a pas pour rôle de constituer une base de données et privilégie un contenu encyclopédique plutôt que la recherche de l'exhaustivité.

La politique de distribution est une des politiques de la stratégie marketing des entreprises de production qui concerne l'organisation de la mise à disposition de leur fabrication sur le marché. Elle fait partie du marketing mix.

Les entreprises de service et les chaînes de distribution ont l'équivalent : des politiques d'implantation.

La politique de distribution se fait au bénéfice d'un intermédiaire revendeur, d'un producteur-consommateur intermédiaire, d'un acheteur ou un consommateur final.

Elle s'opère concrètement selon des mécanismes du producteur au client acheteur avec l'intervention d'un seul niveau de distribution intermédiaire (exemple : fournisseur-producteur → détaillant → client acheteur). Dans le cas du circuit long, la mise à disposition s'effectue via une cascade d'opérateurs successifs (exemple : fournisseur-producteur → grossiste → détaillant → client acheteur).

Le terme canal de distribution désigne le mode de mise à disposition dans lequel les produits sont acheminés via des réseaux de magasins ou des méthodes de vente d'un même type (exemple : le canal de vente des hypermarchés).

Le terme « circuit de distribution » désigne la palette des canaux de distribution choisis par un producteur pour faire passer ses produits du stade de leur production au stade de leur consommation.

Enjeux du management de la distribution

[modifier | modifier le code]

Un point de distribution tend à devenir un produit au sens marketing caractérisé par un ensemble d'attributs (proximité physique ou virtuelle, choix, praticité, accueil et savoir-faire) créateur de sens et d'univers de solutions pour le client. Dans ce contexte, l'acte d'achat prend un sens sociétal qui dépasse la simple consommation comme fin en soi. Le management de la distribution a donc un caractère qui doit tenir compte de contraintes fonctionnelles spécifiques à l'activité de distribution.

Le producteur attend de la distribution de :

  • transporter et répartir la production
  • transformer un lot de production en lot de vente (assortir)
  • stocker les produits
  • financer la vente (situation souvent inverse)
  • mettre à disposition du matériel (situation souvent inverse)
  • assurer une publicité et remonter l'information consommateur

Le distributeur attend de son fournisseur :

  • un droit de référencement (en fonction du merchandising réalisé par la distribution sur site physique ou virtuel)
  • des délais de paiement importants
  • des efforts de publicité (politique pull)
  • un budget versé en fonction de la progression des ventes (remise conditionnelle)
  • de plus la présence de marque de distributeur en prix d'appel est une certaine concurrence[1]

Spécificité française : l'intervention du législateur dans le rapport fournisseur-distributeur

[modifier | modifier le code]

Certains procédés sont considérés comme illicites par la loi française :

  • salariés payés par le fournisseur du distributeur chez le distributeur (dans la limite du cadre légal en vigueur dans le pays, ex. : Délit de marchandage en droit du travail français)
  • la pratique du délotage illicite mais possible (produits vendus en lots par les producteurs, puis séparés par les diitions de leur fabrication sur le marché. Elle fait partie du marketing mix. Les entreprises de service (Accor, McDonald's, Air France, etc.) et les chaînes de distribution (Carrefour, Leclerc, Intermarché, etc.) ont l'équivalent : des politiques d'implantation.stributeurs).

Certains procédés observés sont dorénavant plus encadrés dans le droit français :

  • les prestations de coopération commerciale au sens large (exemple : marge arrière).

Le chiffre d'affaires d'un producteur chez un distributeur (grande distribution) est en général 10 à 15 fois plus faible que celui d'un distributeur pour un producteur[2]. D'où la naissance d'un rapport de force en faveur de la distribution pouvant pousser les producteurs à envisager le choix d'une distribution qu'ils dominent (franchise, VPC, etc.).

Management opérationnel de la distribution

[modifier | modifier le code]

Management opérationnel du réseau par le fournisseur

[modifier | modifier le code]
Pour les aspects généraux du management opérationnel des flux physiques : Logistique.

En fonction de ses objectifs, le producteur peut rechercher une certaine différenciation au niveau de la distribution de ses produits/services[3] :

  • effet d'attraction (la création d'un trafic) par le distributeur
  • effet de curiosité (l'envie de rentrer dans le lieu de distribution)
  • effet de statut (valorisation du client)
  • théâtralisation du lieu de vente (ce qui augmente la durée de visite dans le lieu de vente)
  • théâtralisation du merchandising (ce qui donne envie d'acheter)
  • effet d'appropriation (ce qui augmente la durée de visite par l'espace non marchand)
  • effet de fidélisation non directement transactionnelle (un effet boule de neige du bouche à oreille)
  • effet club (créant un sentiment d'appartenance).

Management opérationnel des distributeurs

[modifier | modifier le code]
Pour les aspects généraux du marketing opérationnel des distributeurs : Merchandising.

Le droit de référencement payé par le fournisseur au distributeur est généralement fonction :

  • De l'historique des rapports humains (dont la fidélité des partenaires commerciaux)
  • Du volume traité avec ou sans prise en compte d'autres produits
  • Du niveau de centralisation de la centrale d'achat du distributeur et du choix opéré par celle-ci en termes de MDD (Marque de distributeur)
  • Des avantages octroyés en termes d'organisation et d'espace rayon (plus généralement du merchandising sur site physique ou virtuel)
  • Du niveau de participation à la promotion/communication (ex : présence dans un catalogue) par la fourniture de photos, intervention d’icônes de la marque, etc.
  • De la notoriété de la marque du producteur et du degré d'innovation apporté par le produit
  • Des autres rémunérations offertes par le fournisseur (voir ci-dessus).

Management tactique et stratégique d'une entreprise de distribution

[modifier | modifier le code]

Choix des fournisseurs ou de son assortiment par le distributeur

[modifier | modifier le code]

Caractéristiques principales du distributeur évaluées par le consommateur

[modifier | modifier le code]

Le distributeur peut envisager d'améliorer ses ventes par la construction de son marketing mix (retailing mix)[4]. Le distributeur construit son marketing opérationnel en arbitrant plusieurs paramètres :

  • La qualité de l'emplacement de vente offert qui peut être apprécié par : un seuil minimal de population pour assurer un chiffre d'affaires consistant, une localisation cohérente avec le concept de vente, une couverture performante d'un territoire géographique déterminé.
  • Le niveau de sa politique de prix, fonction généralement de la part réservée aux différentes marques en présence : grandes marques, marques de distributeur avec marque enseigne, marques de distributeur avec marque de fantaisie, marques « réservées » par producteurs à l'enseigne, marques « premiers prix ».
  • Les décisions d'assortiment : Assortiment de base, personnalisé, optimum…
  • La fournitures aux clients de services auxiliaires : Assurance, banque…
  • L'entretien d'une communication à l'adresse de la clientèle acquise et potentielle dans la zone de chalandise afin de :
    • Augmenter la fréquentation et le ticket moyen (panier moyen)
    • Construire et promouvoir l'image de l'enseigne (externe, nationale)
    • Créer du trafic (externe, locale) par des imprimés sans adresse (ISA)
    • Fidéliser la clientèle (carte, coupon…)[5] ainsi que ses hommes clefs au sein de l'entreprise (tous ceux qui organisent et gèrent efficacement le contact avec la clientèle…)

Indicateurs du distributeur

[modifier | modifier le code]

Dans le cadre de leurs relations commerciales, les intérêts du distributeur et du producteur doivent être ménagés. Au cours de la négociation, l'historique des commandes, des volumes vendus ne sont pas les seuls indicateurs à prendre en compte. Le distributeur établit son appréciation du fournisseur sur la base d'une palette d'indicateurs :

  • La marge brute : prix de vente - prix d'achat (ou marge sur coût variable)
  • Le taux de marque
  • Le coefficient multiplicateur : prix de vente / prix d'achat = 1/(1-taux de marque)
  • La vitesse de rotation des stocks (en jours) : 365 / (chiffre d'affaires de la période/valeur du stock moyen)
  • Le gain de trésorerie : si le délai de paiement est supérieur à la vitesse de rotation des stocks
  • Les avantages divers susceptibles d'être obtenus du fournisseur (Accord de coopération, droits de référencement, remises différées, avantages "hors factures", budgets de "participation", etc.)
  • Un indicateur synthétique comme le taux de rentabilité du capital immobilisé (taux de marge nette * rotation des investissements)

Choix du distributeur par le fournisseur

[modifier | modifier le code]

Choix stratégiques

[modifier | modifier le code]
Choix des objectifs du circuit

L'objectif d'un circuit de distribution se détermine à partir du niveau de services souhaité par le client et la dispersion des attentes selon les segments du marché (choix, délai, crédit, livraison, installation, réparation…). Le choix des segments et celui des circuits sont étroitement liés. Chaque producteur doit ensuite concevoir ses objectifs de distribution à partir des principales contraintes :

  • liées aux produits : durée de vie, volume, degré de standardisation, technicité, valeur…
  • liées aux caractéristiques des intermédiaires : tous les intermédiaires n'ont pas les mêmes aptitudes à assumer le transport, la promotion, le stockage, le contact avec le client…
  • légales : le refus de vente est interdit. Un fournisseur ne peut pas refuser a priori de livrer un intermédiaire qui a passé une commande. La pratique des conditions discriminatoires de vente et des différences abusives de prix appliquées d'un client à l'autre est prohibée. Enfin, quelques circuits sont obligatoires pour certains biens (les produits pharmaceutiques, par exemple).
  • liées aux habitudes et au comportement d'achat des consommateurs.
Choix de nature du circuit

Le circuit de distribution est caractérisé par sa longueur, c'est-à-dire le nombre de niveaux qu'il comporte correspondant au nombre d'intermédiaires. Le canal de distribution est une catégorie d'intermédiaires au sein du circuit. La tendance est au raccourcissement des circuits de distribution. La vente directe par Internet est à ce titre en plein essor.

Les différents canaux de distribution peuvent être nommés & décrits arbitrairement de la façon suivante :

  • Canal direct : Fabricant-Consommateur
  • Canal court : Fabricant-Détaillant-Consommateur
  • Canal long : Fabricant-Grossiste-Détaillant-Consommateur
  • Canal long intégré : Fabricant-Centrale d'Achat-Détaillant-Consommateur
  • Canal très long : Fabricant-Grossiste-Semi-Grossiste-Détaillant-Consommateur

Le nombre d'intermédiaires qu'il convient d'utiliser pour chaque niveau de distribution est fonction du degré de couverture du marché visé par l'entreprise. On peut imaginer trois types de couverture[6] :

  • la distribution intensive a pour objectif de saturer le plus vite possible les marchés potentiels par des produits courants en étant présent dans un maximum de points de vente.
  • la distribution exclusive a pour objectif de réserver la distribution à un territoire (exclusivité territoriale) ou à quelques points de vente spécialisés (exclusivité concurrentielle), pour conserver un meilleur contrôle des intermédiaires, garder au produit une image de prestige (par exemple vêtements ou alimentation de luxe).
  • la distribution sélective a pour objectif de limiter le nombre de détaillants pour établir des relations de coopération plus fortes et éviter de disperser son effort. Politique intermédiaire entre la distribution intensive et la distribution exclusive, elle concerne souvent des titulaires de marques haut de gamme — parfumerie, parapharmacie — ou de haute technicité — automobile, hifi, multimédia, informatique.
Choix du mode de sollicitation des consommateurs
Stratégie "Push" ou stratégie "Pull"
  • La stratégie "Push" a pour objectif de pousser le produit efficacement dans le canal. Pour cela, le fabricant stimule son réseau de distribution en offrant de bonnes conditions d'achat (remises, ristournes…) et/ou une assistance technique (merchandising par exemple).
  • la stratégie "Pull" vise à tirer la vente du produit par la demande du consommateur. Face à cette exigence, on postule que le distributeur ne peut pas ne pas référencer le produit. Une telle politique suppose que de gros efforts de communication soient consentis afin de sensibiliser la cible.

Choix tactiques (d'implantation)

[modifier | modifier le code]

Le choix de l'implantation peut être réalisé en utilisant divers critères :

Critères quantitatifs :

  • taux de DN (Distribution numérique) : pourcentage des magasins détenteurs de la marque de façon habituelle.
  • taux de DV (Distribution Valeur) : pourcentage du chiffre d'affaires total de la famille de produits concernés réalisé par les magasins qui référencent la marque. Ceci constitue une indication du potentiel de vente des magasins qui détiennent la marque.
  • zone de chalandise : zone d'attraction commerciale du point de vente dont il est possible d'évaluer le potentiel de vente par des courbes isochrones ou par des courbes isométriques (courbes reliant des points situés à des temps de trajet (ou des distances en km) identiques du point de vente).
  • chiffre d'affaires prévisionnel : fonction des ventes prévues.

Critères qualitatifs traditionnels :

  • La situation géographique : le distributeur recherche des pôles d'attraction (rues piétonnières, accès aisé, possibilité de parking…)
  • l'image du point de vente : une fois le point de vente ouvert, on s'assure que la clientèle correspond bien à celle visée et qu'elle est satisfaite des prestations fournies. Pour ce faire, on a souvent recours à un baromètre d'image.
  • le niveau de service : Services antérieurs à l'achat, Services postérieurs à l'achat, Services annexes.

Il est donc possible d'appliquer par exemple cette procédure :

Les étapes de la conquête de la distribution
  1. Identifier les types de points de vente les plus lourds en DV.
  2. Choisir parmi ceux-ci les enseignes les plus dynamiques pour la famille de produits concernée.
  3. Entamer la négociation au niveau des centrales puis éventuellement les poursuivre au niveau régional.
  4. Se faire référencer point de vente par point de vente.
Critères qualitatifs spécifiques à la vente à distance (dont le commerce en ligne)

La vente à distance se caractérise par la réintermédiation de trois nouveaux acteurs très importants du marché qu'il faut prendre en compte dans le management : les moteurs de recherches, les comparateurs de prix et les sites de ventes aux enchères. L'implantation est aussi fonction d'une double contrainte logistique pour les flux physiques à gérer (stockage, personnalisation, livraison fonction du niveau de péremption et d'intangibilité des produits permettant le choix entre une stratégie de transmédiation (des anciens VAD), click and mortar ou pureplayers) et d'urbanisation pour les flux immatériels (fonction des quantités et de la qualité de service attendue).

Les autres critères spécifiques à la vente à distance relativement aux clients sont le :

  • Besoin du client de pouvoir s'informer de manière constante dans le temps.
  • Besoin du client d'une économie de temps.
  • Besoin du client d'une discrétion.
  • Besoin du client d'un accès à des produits non disponibles hors ligne.
  • Besoin du client d'une facilité de comparaison des prix et des produits.
  • Besoin du client de la sécurité du paiement (voir Paiement sur Internet) et de la livraison (problème de la confiance valorisant les organisations Click and mortar disposant déjà d'une image de marque).
  • Besoin du client d'une facilité du processus d'achat (attention à la difficulté d'utilisation des monnaies étrangères, de langues étrangères, d'une culture "techno", à la différence de fiscalité comme pour la TVA…).

Droit et distribution

[modifier | modifier le code]
Pour un article sur le droit Français de la distribution : Secteur de la grande distribution en France.

Voir également, dans le domaine bancaire et financier : intermédiaire en opérations de banque et en services de paiement.

Réglementation des opérations de Distribution

[modifier | modifier le code]

En fonction de la nature des produits distribués, des modalités pratiques de distribution -notamment logistiques- et des risques encourus -notamment en matière sanitaire ou de sécurité-, un cadre réglementaire spécifique peut s'imposer aux activités.

Ainsi par exemple, la mise en œuvre des politiques de distribution alimentaire doit respecter la réglementation visant les conditions matérielles de traitement des produits selon qu'ils sont stockés et distribués en température ambiante, en froid dit positif (température réfrigérée) ou en froid dit négatif (température correspondante aux produits surgelés).

Dans le domaine de la distribution des services, la distribution bancaire est précisément encadrée par des normes juridiques visant à protéger les consommateurs, tout spécialement, les épargnants et les emprunteurs.

Différentes enseignes de distribution commerciale

[modifier | modifier le code]

La classification des lieux de distribution est arbitrairement fixée par les différents pays (par exemple plus de 40 000 références vendues pour l'hypermarché et le grand magasin en France). Cependant de manière générale nous pouvons distinguer :

Pour la notion de taille des lieux de distribution, le : Secteur de la grande distribution.
Pour la notion de regroupement de lieux de distribution, le : Centre commercial.
Pour la notion de prix et la diversité des références vendues, le : hard-discount et supermarché.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ Les MDD représentent en moyenne en Suisse (50 % des produits vendus), en Grande-Bretagne (45 %), et en France (30 %) selon Olivier Bitoun, La Suisse championne du monde des MDD, www.lsa.fr, 21/05/2007 [lire en ligne]
  2. ↑ Mercator 7ed, Théorie et pratique du marketing, Lendrevie Lévy Lindon page 441
  3. ↑ M. Dupuis et F. Andrieu, Marketing experientiel et performances des enseignes de distribution, 2004
  4. ↑ Jacques Dioux et Marc Dupuis, La distribution, Pearson éducation, 2005
  5. ↑ Pour en savoir plus sur les techniques de marketing en commerce électronique https://20-elements-let-ecommerce-successful.blogspot.com
  6. ↑ Gérard Cliquet, André Fady, Guy Basset, Management de la distribution, Dunod, 2006, p. 121

Voir aussi

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

  • fournisseur, sur le Wiktionnaire

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Dominique Xardel, Jean-Claude Tarondeau, La distribution, Presses universitaires de France, 1992, 128 p. (lire en ligne)

Articles connexes

[modifier | modifier le code]
  • Assortiment
  • Commerce, liste des types de commerce
  • Commercialisation des produits agricoles
  • Effet de réseau
  • image de marque
  • intermédiaire en opérations de banque et en services de paiement
  • Logistique
  • Management, aspects généraux du management
  • Marketing mix, pour le producteur
  • positionnement
  • segmentation
  • Centrale d'achat

Liens externes

[modifier | modifier le code]

  • Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistesVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Den Store Danske Encyklopædi
    • Universalis
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • BnF (données)
    • GND
    • Israël
v · m
Création d’entreprise
Étapes de la création d'entreprise
  • Processus créatif
  • Entrepreneuriat
  • Étude de marché
  • Organisme d'aide à la création d'entreprise
  • Business angel
  • Statut juridique
  • Échec entrepreneurial
Outils commerciaux de base
  • Techniques de vente
  • Politique de prix
  • Politique de produit
  • Politique de distribution
  • Politique de promotion commerciale
Outils de gestion de base
  • Seuil de rentabilité
  • Bilan
  • Compte de résultat
  • Budget de trésorerie
Outils de gestion d'approfondissement
  • Amélioration des ventes
  • Amélioration de la qualité
  • Amélioration de la compétitivité
  • Amélioration de la rentabilité
  • Embauche de personnel
v · m
Marketing
Concepts clés
  • Stratégie marketing
  • Plan marketing
  • Éditique
  • Stratégie de communication
  • Promotion commerciale
  • Merchandising
  • Cocréation
  • Marketing électronique
  • Marketing direct
  • Marketing personnalisé
Management
Segments
  • Business to business (B2B)
  • Business to consumer (B2C)
  • Consumer to business (C2B)
  • Customer to customer (C2C)
Marketing mix
  • Politique de produit
  • Politique de prix
  • Politique de distribution
  • Service-dominant logic
  • Retailing mix
Contrôle
  • Système d'information marketing
Marque
  • Branding
  • Droit des marques
  • Image de marque
  • Logo
  • Nom de marque lexicalisé
  • Naming (marques)
Marketing sur Internet
  • Publicité en ligne
  • Optimisation pour les moteurs de recherche
  • Marketing par médias sociaux
  • Marketing par courriel
  • Marketing de contenu
  • Native advertising
  • Audience d'un site web
  • Affiliation (internet)
Divers
  • Ambush marketing
  • Buzz
  • Client mystère
  • Étude de marché
  • Fidélisation
  • Inbound marketing
  • Marketing 2.0
  • Marketing d'influence
  • Marketing de contenu
  • Marketing des jeux vidéo
  • Marketing des services
  • Marketing du secteur public
  • Marketing écologique
  • Marketing électronique
  • Marketing mobile
  • Marketing politique
  • Marketing relationnel
  • Marketing sensoriel
  • Marketing social
  • Marketing sportif
  • Marketing viral
  • Placement de produit
  • Produit dérivé
  • Publicité
  • Publireportage
  • Segmentation
  • Sponsor
  • Undercover marketing
  • icône décorative Portail des entreprises
  • icône décorative Portail du management
  • icône décorative Portail du commerce
  • icône décorative Portail de l’économie
Ce document provient de « https://fr.teknopedia.teknokrat.ac.id/w/index.php?title=Politique_de_distribution&oldid=231021489 ».
Catégorie :
  • Politique de distribution
Catégories cachées :
  • Article avec source à lier
  • Article à délister
  • Page utilisant un modèle Bases inactif
  • Page utilisant P8313
  • Page utilisant P3219
  • Page pointant vers des bases externes
  • Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes
  • Article de Wikipédia avec notice d'autorité
  • Portail:Entreprises/Articles liés
  • Portail:Économie/Articles liés
  • Portail:Management/Articles liés
  • Portail:Sciences humaines et sociales/Articles liés
  • Portail:Société/Articles liés
  • Portail:Commerce/Articles liés

  • indonesia
  • Polski
  • الرية
  • Deutsch
  • English
  • Español
  • Français
  • Italiano
  • مصر
  • Nederlands
  • 本語
  • Português
  • Sinugboanong Binisaya
  • Svenska
  • Українска
  • Tiếng Việt
  • Winaray
  • 中文
  • Русски
Sunting pranala
Pusat Layanan

UNIVERSITAS TEKNOKRAT INDONESIA | ASEAN's Best Private University
Jl. ZA. Pagar Alam No.9 -11, Labuhan Ratu, Kec. Kedaton, Kota Bandar Lampung, Lampung 35132
Phone: (0721) 702022
Email: pmb@teknokrat.ac.id