Epipedobates est un genre d'amphibiens de la famille des Dendrobatidae[1].
Les espèces de ce genre sont inscrites à l'annexe II de la Cites afin d'en contrôler la commercialisation.
Répartition
Les sept espèces de ce genre se rencontrent en Équateur, au Pérou et en Colombie[1].
Liste des espèces
Selon Amphibian Species of the World (11 juin 2017)[2] :
- Epipedobates anthonyi (Noble, 1921)
- Epipedobates boulengeri (Barbour, 1909)
- Epipedobates darwinwallacei Cisneros-Heredia & Yánez-Muñoz, 2011
- Epipedobates espinosai (Funkhouser, 1956)
- Epipedobates machalilla (Coloma, 1995)
- Epipedobates narinensis Mueses-Cisneros, Cepeda-Quilindo & Moreno-Quintero, 2008
- Epipedobates tricolor (Boulenger, 1899)
Taxinomie
La majorité des espèces qui faisait partie de ce genre ont été transférées dans Ameerega.
Étymologie
Le nom de ce genre est formé du grec epipedos, sur le sol, et de bates, le marcheur, en référence aux habitudes de ces espèces[3].
Publication originale
- Myers, 1987 : New generic names for some neotropical poison frogs (Dendrobatidae). Papeis Avulsos de Zoologia Museu de Zoologia da Universidade de Sao Paulo, vol. 36, no 25, p. 301–306 (texte intégral).
Liens externes
- (en) Référence Amphibian Species of the World : Epipedobates Myers, 1987 (consulté le )
- (en) Référence AmphibiaWeb : genre Epipedobates (consulté le )
- (en) Référence Animal Diversity Web : Epipedobates (consulté le )
- (en) Référence Catalogue of Life : Epipedobates Myers, 1987 (consulté le )
- (fr + en) Référence ITIS : Epipedobates Myers, 1987 (consulté le )
- (en) Référence NCBI : Epipedobates (taxons inclus) (consulté le )
- (en) Référence Tree of Life Web Project : Epipedobates (consulté le )
- (en) Référence UICN : taxon Epipedobates (consulté le )
Notes et références
- Amphibian Species of the World, consulté lors d'une mise à jour du lien externe
- Amphibian Species of the World, consulté le 11 juin 2017
- Myers, 1987 : New generic names for some neotropical poison frogs (Dendrobatidae). Papeis Avulsos de Zoologia Museu de Zoologia da Universidade de Sao Paulo, vol. 36, no 25, p. 301–306 (texte intégral).