Pour les articles homonymes, voir Hayward.
La mise en forme de cet article est à améliorer ().
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Le détail des points à revoir est peut-être précisé sur la page de discussion.
- Les titres sont pré-formatés par le logiciel. Ils ne sont ni en capitales, ni en gras.
- Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
- Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
- L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
- Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
- Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
- Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil «
Source - Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
- Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
- La présentation des références doit suivre les conventions bibliographiques. Il est recommandé d'utiliser les modèles {{Ouvrage}}, {{Chapitre}}, {{Article}}, {{Lien web}} et/ou {{Bibliographie}}. Le mode d'édition visuel peut mettre en forme automatiquement les références.
- Insérer une infobox (cadre d'informations à droite) n'est pas obligatoire pour parachever la mise en page.
Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification.
Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article.
| Naissance | |
|---|---|
| Nationalité | |
| Formation | |
| Activité |
| A travaillé pour | |
|---|---|
| Dir. de thèse |
Sensational Jellyfish, Lessons From A Starfish, Spiderwomen |
Eva Simone Hayward est une philosophe américaine. Formée à l’histoire des sciences, à l’histoire du cinéma et de l’art et à la sémiotique psychanalytique, elle est maîtresse de conférence au département des études sur les médias et la culture de l’Université d'Utrecht aux Pays-Bas. Elle est l’autrice d’essais décisifs dans les champs des études trans et de l’épistémologie[1],[2].
Éducation et carrière
Eva Hayward obtient une licence en études américaines (summa cum laude) à l'université du Nouveau-Mexique (UNM) en 2001[3]. En 2008, elle obtient un doctorat en Histoire de la conscience à l'Université de Californie, Santa Cruz (UCSC), sous la direction de Donna Haraway. Après avoir obtenu son doctorat, elle travaille comme assistante de recherche en biologie marine au Long Marine Laboratory[1].
À l'Université du Nouveau-Mexique, elle a été maîtresse de conférence en arts cinématographiques et a contribué à la conception du programme interdisciplinaire de cinéma et de médias numériques. Elle a également enseigné à l’Université d’Arizona où elle a rejoint, en 2014, la Transgender Studies Initiative[4].
Au cours d'un séjour au Centre de recherche sur le genre de l'Université d'Uppsala, en Suède, elle a organisé la « toute première conférence internationale sur l'animalité et la culture visuelle » en Suède[5]. À cette occasion Ester Ehnsmyr a déclaré à propos de son travail :
Hayward a contribué à développer un nouveau terrain pour le travail transdisciplinaire - en mélangeant l'art et la représentation visuelle avec la zoontologie et les études féministes sur la techno-science[1].
Diffusion de la science
Hayward a été chroniqueuse pour IndyWeek de juin 2011 à février 2013. Elle y a publié une vingtaine d'essais sous forme de chroniques mensuelles, sur des sujets allant de « Pourquoi le changement de sexe n'a rien d'extraordinaire » à « Ce que Maurice Sendak nous a appris sur la façon d'affronter nos peurs »[6].
Elle a également publié des articles dans d'autres publications populaires telles que Yes ! Magazine, Women & Environments Magazine et AEQAI [7],[8],[1] Le rédacteur en chef de l'AEQAI, Daniel Brown, a écrit à ses lecteurs : « ...nous espérons que vous apprécierez sa brillance et son humour autant que nous[9] ».
Bibliographie sélective
Articles publiés dans des revues scientifiques
Traduit en français
- Eva S. Hayward (trad. emma b), « N'existe pas » [« Don't Exist »], Trou noir, (originellement publié dans TSQ: Transgender Studies Quarterly, vol. 4.2, 2017, lire en ligne)
- Eva S. Hayward (trad. emma b), « Encore des leçons à apprendre auprès des étoiles de mer » [« More Lessons from a Starfish: Prefixial Flesh and Transpeciated Selves »], Trou noir, (originellement publié dans Women’s Studies Quarterly, vol. 36.3-4, 2008, lire en ligne)
En collaboration
- avec Che Gossett, « Trans in a Time of HIV/AIDS », TSQ: Transgender Studies Quarterly, vol. 7.4, 2020 [lire en ligne]
- avec Che Gosset. « Impossibility of That », Angelaki: Journal of the Theoretical Humanities, vol. 22:2, 2017 [lire en ligne]
- avec Jami Weinstein. « Introduction: Tranimalities in the Age of Trans* Life », TSQ: Transgender Studies Quarterly, vol. 2, 2015 [lire en ligne]
- avec Adela C. Licona. « Trans~Waters~ Coalitional Thinking on Art + Environment », University of Arizona’s Terrain.org: A Journal of the Built + Natural Environments, December 17, 2014. [lire en ligne]
- avec Malin Ah-King. « Toxic Sexes: Perverting Pollution and Queering Hormone Disruption », O-zone: A Journal of Object Oriented Studies, vol. 1, Autumn 2013 [lire en ligne]
- avec Lindsay Kelley. « Carnal Light », Parallax, vol. 19(1), 2013 [lire en ligne]
Articles monographiques
- « Refracting The Love Life of the Octopus », Enfolded Vision, vol. 1, Fall 2005 ; retravaillé sous le titre « OctoEyes », Frontiers in Communication, vol. 3, 2019 [lire en ligne]
- « Sensational Jellyfish: Aquarium Affects and the Matter of Immersion », differences: A Journal of Feminist Cultural Studies, vol. 23.3, 2012 [lire en ligne]
- « T2=F2M+M2F », The Triangle: LGBTQ resource for the Raleigh, Durham and Chapel Hill area, vol. 1:10, 2011.
- « Fingeryeyes: Impressions of Cup Corals », Cultural Anthropology, vol. 25.4, 2010 [lire en ligne]
- « Spider City Sex », Women & Performance: a journal of feminist theory, vol. 20.3, 2010 ; retravaillé sous les titres « Spiderwomen: notes on Transpositions » in Trystan Cotten (dir.), Transgender Migrations, Routledge, 2012 et « Spiderwomen » in Reina Gossett, Eric A. Stanley et Johana Burton (dir.), Trap Door. Trans Cultural Production and the Politics of Visibility, MIT Press, 2017 [lire en ligne]
- (en) « Transpositions (Three Forms) », Women & Environment, nos 78/79, fall/winter 2009 (lire en ligne)
- « The Nature-Culture Divide; or, Transdisciplining Diversity », GLQ: A Journal of Lesbian and Gay Studies, vol. 11.2, 2005.
Voir également
Références
- Ehnsmyr, « How can art shape science, and how can science shape art? » [archive du ], Centre for Gender Research Uppsala University, gender.uu.se,
- ↑ Licona et Hayward, « Trans~Waters~ Coalitional Thinking on Art + Environment », Terrain.org,
- ↑ (en) « Eva Hayward, The Department of Gender & Women's Studies », gws.arizona.edu (consulté le )
- ↑ « Dr. Eva Hayward - Utrecht University », sur www.uu.nl (consulté le )
- ↑ « Cinematic Arts Fall 2008 APR Unit Response Report and Initial Action Plan », Academic Program Review, UNM., (consulté le ), p. 9
- ↑ (en) « Columns, Eva Hayward », Indy Week (consulté le )
- ↑ (en) Eva Hayward, « Sex in the Wild (a First-Hand Account) », YES! Magazine, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ (en) Hayward, « Cat's Cradle: AIDS, Toxoplasmosis Gondii, and Impurrrfect Love », www.antennae.org.uk, ANTENNAE The Journal of Nature in Visual Culture, (consulté le )
- ↑ (en-US) Brown, « Letter From The Editor, AEQAI », aeqai.com, (consulté le )
