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  2. Flines-lez-Raches — Wikipédia
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50° 25′ 38″ nord, 3° 11′ 02″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Flines.

Flines-lez-Raches
Flines-lez-Raches
L'église Saint-Michel, classée aux monuments historiques.
Blason de Flines-lez-Raches
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Douaisis Agglo
Maire
Mandat
Annie Goupil-Deregnaucourt
2020-2026
Code postal 59148
Code commune 59239
Démographie
Gentilé Flinois
Population
municipale
5 745 hab. (2023 en évolution de +3,14 % par rapport à 2017)
Densité 299 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 25′ 38″ nord, 3° 11′ 02″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 40 m
Superficie 19,22 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Flines-lez-Raches
(ville isolée)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Orchies
Législatives Seizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Flines-lez-Raches
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Flines-lez-Raches
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Flines-lez-Raches
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Flines-lez-Raches
Liens
Site web http://www.flines-lez-raches.fr/
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Flines-lez-Raches (aussi Flines-lez-Râches) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Située sur la route nationale 50.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Flines-lez-Raches
Faumont Coutiches
Râches Flines-lez-Raches Bouvignies
Anhiers Lallaing Marchiennes

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Raches Aval, le canal du Décours, le Marais des Six Villes, le Marichon et divers autres petits cours d'eau[1],[Carte 1].

La Scarpe canalisée et une section canalisée de la Scarpe, d'une longueur de 67 km, prend sa source dans la commune de Arras et se jette dans l'Escaut canalisée à Mortagne-du-Nord, après avoir traversé 34 communes[2].

Le Raches Aval, d'une longueur de 13 km, prend sa source dans la commune de Roost-Warendin et se jette dans la Scarpe canalisée à Marchiennes, après avoir traversé cinq communes[3].

Le canal du Décours, d'une longueur de 16 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Scarpe canalisée à Saint-Amand-les-Eaux, après avoir traversé sept communes[4].

Le Marichon, d'une longueur de 10 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le canal du Décour à Marchiennes, après avoir traversé deux communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Flines-lez-Raches[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : Mer de Flines (2,7 ha)[Carte 1],[6].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le 18 mars 1997 et le SAGE proprement dit a été approuvé le 12 mars 2009, puis révisé le 5 juillet 2021. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[7].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voir Climat des Hauts-de-France et Climat du Nord-Pas-de-Calais.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon la classification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[9]. Par ailleurs Météo-France publie en 2020 une nouvelle typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique[10] et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[11]. Elle est en outre dans la zone H1a au titre de la réglementation environnementale 2020 des constructions neuves[12],[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 690 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Douai à 10 km à vol d'oiseau[14], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[15],[16]. La température maximale relevée sur cette station est de 40,8 °C, atteinte le 25 juillet 2019 ; la température minimale est de −20,5 °C, atteinte le 8 janvier 1985[Note 2].

Statistiques 1991-2020 et records station DOUAI (59) - alt : 26 m, lat : 50°23'22"N, lon : 3°04'01"E
Records établis sur la période du 1er mars 1962 au 2 octobre 2025
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,5 1,5 3,3 5,1 8,5 11,4 13,2 13 10,4 7,8 4,5 2,1 6,9
Température moyenne (°C) 4 4,5 7,2 10,1 13,5 16,5 18,6 18,4 15,3 11,5 7,3 4,5 11
Température maximale moyenne (°C) 6,4 7,4 11,2 15,1 18,5 21,6 23,9 23,9 20,1 15,2 10,1 6,9 15
Record de froid (°C)
date du record
−20,5
08.01.1985
−12,5
07.02.1991
−11
13.03.13
−4,5
11.04.03
−1,5
05.05.1996
1
02.06.1962
4,1
17.07.1971
0,8
17.08.1966
0
19.09.1977
−6
30.10.1997
−9,5
23.11.1998
−12,5
29.12.1996
−20,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15
01.01.22
19,5
24.02.21
24,8
31.03.21
28
20.04.1968
31,3
27.05.05
36
27.06.11
40,8
25.07.19
36,6
12.08.24
35,5
15.09.20
29
01.10.11
20,5
07.11.15
16,2
31.12.22
40,8
2019
Précipitations (mm) 57,8 51,4 52,5 41,9 56,6 63,3 68,1 68,1 60,9 64,4 71 73,2 729,2
Record de pluie en 24 h (mm)
date du record
19,4
01.01.03
25,8
07.02.24
35
05.03.12
35
26.04.03
52
30.05.16
40,5
24.06.1969
77,1
03.07.05
67
25.08.1990
45,2
20.09.14
52,4
10.10.13
32
13.11.10
28,8
02.12.00
77,1
2005
Source : « Fiche 59178001 » [PDF], sur object.files.data.gouv.fr/meteofrance/data, édité le : 06/10/2025 dans l'état de la base (consulté le 31 octobre 2025)
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
6,4
1,5
57,8
 
 
 
7,4
1,5
51,4
 
 
 
11,2
3,3
52,5
 
 
 
15,1
5,1
41,9
 
 
 
18,5
8,5
56,6
 
 
 
21,6
11,4
63,3
 
 
 
23,9
13,2
68,1
 
 
 
23,9
13
68,1
 
 
 
20,1
10,4
60,9
 
 
 
15,2
7,8
64,4
 
 
 
10,1
4,5
71
 
 
 
6,9
2,1
73,2
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Urbanisme

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Typologie

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Au 1er janvier 2024, Flines-lez-Raches est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Flines-lez-Raches[Note 3], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[18],[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[19]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,1 %), zones urbanisées (18,1 %), forêts (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), mines, décharges et chantiers (4,6 %), prairies (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %)[22]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par la ligne 16 du réseau urbain Évéole et par la ligne 857 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 2.

Toponymie

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Le nom Flines viendrait du verbe germanique flean, flihen, couler. La ville se trouve sur la gauche de la Scarpe et proche du gigantesque marais des Six-Villes. Flines était alors sujette à des inondations.

D'après les registres de l'état civil, cette commune a porté les noms suivants :

  • avant 1802 : Flines
  • de 1803 à 1806 : Flines-lez-Marchiennes
  • de 1807 à Septembre 1813 : Flines-lez-Raches
  • d'octobre 1813 à janvier 1848 : Flines-lez-Marchiennes
  • depuis février 1848 : Flines-lez-Raches

Ses habitants sont appelés les Flinois[23].

Histoire

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En se baignant dans un lac appelé la mer de Flines, des enfants ont trouvé environ 400 pièces de monnaie appartenant aux différents âges de l'empire romain. En 1806, ces pièces étaient détenues en Préfecture. Parmi elles, quelques-unes sont gauloises, dont deux en or. Le lieu de la trouvaille est également celui où fut découvert un bateau antique[24].

Flines-lez-Raches dans son canton et son arrondissement

En 2008, des fouilles archéologiques réalisées sur le boulevard des Alliés par le service archéologique de la Communauté d'agglomération du Douaisis, ont permis de découvrir un centre de production de tuiles gallo-romaines[25] :

En direction de Coutiches, le site regroupe les traces de plusieurs bâtiments datant des IIe et IIIe siècles. Ces bâtiments servaient d'ateliers de tuiliers, dont un de 6,50 mètres sur 20 mètres de long avec un sol pavé de tuiles et des traces de canalisations en terre cuite.

Le sol étant très argileux, la matière première était à proximité.

Après le début de la Première Guerre mondiale, Flines-lez-Raches est occupé au mois de septembre 1914 et devient base arrière des troupes allemands. La « Kommandantur » installée face à la mairie impose le couvre-feu, réquisitionne bétail, vivres, bois et métaux et dépouillera, en 1917, l'église de ses cloches. La « maison des Dames de Flins », communément appelée « couvent » devient caserne avant d'être aménagée en « Lazarett ». La fabrique de briques réfractaires Duthoit-Soufflet est transformée en étable pour les chevaux de cavalerie, la « ferme Desprez » en étable de vaches laitières — avec laiterie, atelier de production fromagère et cantine. La brasserie Lespagnol[26] est réquisitionnée pour l'établissement d'un centre d'abattage qui fournit l'armée allemande dans toute la région. Dans l'usine de confection de vêtements du groupe Halimbourg-Akar est installé un atelier de réparation d'armes et de canons. La faïencerie Dubus devient prison. Les écoles sont occupées par des entrepôts de vivres et de matériel militaire. Un cinéma pour la troupe fonctionne dans la grande salle de l'école Saint-Michel[27].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Lors du premier tour des élections municipales le 15 mars 2020, vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 4 467 inscrits, dont 1 873 votants (41,93 %), 22 votes blancs (1,17 %) et 1 815 suffrages exprimés (96,90 %). La liste étiquetée divers gauche Agir durablement pour bien vivre ensemble menée par la maire sortante Annie Goupil-Deregnaucourt[28] recueille 1 186 voix (65,34 %) et remporte ainsi vingt-quatre sièges au conseil municipal contre cinq pour la liste divers droite Rassemblement flinois menée par Jean-Michel Zabinski avec 629 voix (34,66 %)[29],[30].

Liste des maires

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Titulaires de la fonction de maire de Flines-lez-RachesVoir et modifier les données sur Wikidata
IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
DébutFin
Edouard Debruille (d)mai 1884mai 190016 ans
Jacques Delzenne (d)mai 1900mai 191212 ans
Joseph Deregnaucourt (d)mai 1912décembre 19197 ans et 7 mois
Michel Warusfel (d)décembre 1919septembre 19222 ans et 9 mois
Jacques Delzenne (d)novembre 1922mai 19296 ans et 6 mois
Auguste Caron (d)mai 1929juin 19323 ans et 1 mois
Hyppolite Dupuis (d)août 1932novembre 19353 ans et 3 mois
André Godin (d)novembre 1935septembre 19448 ans et 10 mois
Claude Vonarx (d)octobre 1944mai 19538 ans et 7 mois
Édouard Bouchar (d)mai 1953mars 196511 ans et 10 mois
Gaston Thomas (d)mars 1965août 19655 mois
Édouard Bouchar (d)août 1965mars 19715 ans et 7 mois
Daniel Henno (d)[31],[32]
(11 mars 1933 - 23 juillet 2019)
mars 1971mai 1999
(démission)
28 ans et 2 mois Parti communiste français
Daniel Lemaire (d)[33],[34]
(3 juillet 1942 - 13 avril 2017)
mai 1999octobre 2011
(démission)
12 ans et 5 mois Parti communiste français
divers gauche
Annie Goupil-Deregnaucourt (d)[35],[36]
(née le 8 mars 1954)
novembre 2011En cours14 ans et 1 mois Parti communiste français
Front de gauche
divers gauche

Politique environnementale

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La commune abrite un site à risque Seveso, EPC france (EPC groupe), pour lequel le sous-préfet, le 22 janvier 2009, à la suite de l'arrêté préfectoral du 2 mars 2007, a installé un centre local d'information et de coordination (CLIC) qui a été consulté sur le contenu et les orientations stratégiques du plan de prévention des risques technologiques (PPRT), les cartes d'aléa et d'enjeux, le projet de zonage brut de l'usine.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

En 2023, la commune comptait 5 745 habitants[Note 5], en évolution de +3,14 % par rapport à 2017 (Nord : +0,43 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2002 3162 4522 7673 2413 4713 5743 6643 660
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 6723 8494 0424 1154 1874 0204 0584 0164 074
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 3544 5424 5924 1404 2144 2594 3504 3864 812
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
5 0945 1165 0475 0985 2945 4415 4465 4485 521
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2018 2023 - - - - - - -
5 5975 745-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement agée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 751 hommes pour 2 846 femmes, soit un taux de 50,85 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,8 
4,9 
75-89 ans
7,3 
17,3 
60-74 ans
17,8 
22,4 
45-59 ans
21,3 
18,6 
30-44 ans
19,0 
16,2 
15-29 ans
15,6 
20,3 
0-14 ans
18,0 
Pyramide des âges du département du Nord en 2022 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,5 
5,5 
75-89 ans
8,2 
14,9 
60-74 ans
16,4 
19 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
19,9 
0-14 ans
17,7 

Sports

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  • L'Olympique Flinois, club de football créé en 1949 évolue désormais en D1 après son titre de champion durant la saison 2019-2020 stoppé précipitamment, la plus haute division dans laquelle le club a évolué depuis sa création.

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Michel.
  • L'église Notre-Dame-de-Pellevoisin.
  • La mer de Flines, lieu-dit, autrefois (écrivait le géologue M Meugy en 1852) « depuis longtemps renommé par la quantité d'objets d'art qui s'y trouvent enfouis. On en a retiré, d'après M. Derode[43], deux bateaux de près de douze mètres de longueur, taillés dans un tronc d'arbre, des haches de silex, des monnaies, des bronzes, des statuettes »[44].
  • La commune était traversé par la ligne de Pont-de-la-Deûle à Bachy - Mouchin qui est aujourd'hui détruite. Il subsiste le bâtiment-voyageurs de la gare.
  • L'Abbaye de Flines : Monique Heddebaut[45] indique qu'il y avait aussi une abbaye qui a été démolie à la Révolution ; les derniers vestiges en ont disparu au milieu du XIXe siècle. Fondée par Marguerite de Constantinople, comtesse de Flandre vers 1234, elle fut le lieu de sépulture de plusieurs comtes de Flandre de la dynastie de Dampierre.
  • Les trois monuments aux morts : l'ancien, apposé sur la façade de l'église ; celui de la guerre franco-allemande de 1870 et celui de la Première Guerre mondiale.
  • L'église Notre-Dame-de-Pellevoisin.
    L'église Notre-Dame-de-Pellevoisin.
  • La mer de Flines.
    La mer de Flines.
  • La gare.
    La gare.
  • Le monument aux morts ancien.
    Le monument aux morts ancien.
  • Celui de la guerre de 1870.
    Celui de la guerre de 1870.
  • Celui de la Grande Guerre.
    Celui de la Grande Guerre.
  • La mairie.
    La mairie.

Personnalités liées à la commune

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  • Jeanne de Constantinople (entre 1194 et 1200-1244), comtesse de Flandre et de Hainaut
  • Jean-Jacques Stenven (1950), artiste peintre

Folklore

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Flines-lez-Raches a pour géants Prosper, Prosperine, Marcel et Saint-Michel[46].

Héraldique

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Les armes de Flines-lez-Raches se blasonnent ainsi : D'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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  • Compagnie des mines de Flines
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    • Insee (communes)
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  • « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur Météo-France, novembre 2022 (consulté le 31 octobre 2025). Site élaboré à partir des données de projections climatiques de référence DRIAS-2020. Entrer le nom de la commune pour afficher une liste d’indicateurs climatiques caractérisant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques.

Notes et références

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Notes

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  1. ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. ↑ Les records sont établis sur la période du 1er mars 1962 au 2 octobre 2025.
  3. ↑ Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2026, millésimée 2023, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2025, date de référence statistique : 1er janvier 2023.

Cartes

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  1. ↑ a et b « Réseau hydrographique de Flines-lez-Raches » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. ↑ « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le 21 septembre 2024)
  3. ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 17 juillet 2023).

Références

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  1. ↑ « Fiche communale de Flines-lez-Raches », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le 21 septembre 2024)
  2. ↑ Sandre, « la Scarpe canalisée »
  3. ↑ Sandre, « le Raches Aval »
  4. ↑ Sandre, « le canal du Décours »
  5. ↑ Sandre, « le Marichon »
  6. ↑ « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le 21 septembre 2024).
  7. ↑ « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le 21 septembre 2024)
  8. ↑ a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ 18 juin 2010 (DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  9. ↑ Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen », La Météorologie, no 116,‎ février 2022 (DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  10. ↑ « Le climat en France hexagonale et Corse. », sur meteofrance.com (consulté le 31 octobre 2025).
  11. ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 31 octobre 2025).
  12. ↑ « Réglementation environnementale RE2020 », sur ecologie.gouv.fr, 18 novembre 2020 (consulté le 5 octobre 2025).
  13. ↑ « Répartition des départements par zone climatique » [PDF], sur ecologie.gouv.fr (consulté le 31 octobre 2025)
  14. ↑ « Orthodromie entre Flines-lez-Raches et Douai », sur fr.distance.to (consulté le 31 octobre 2025).
  15. ↑ « Station Météo-France « Douai », sur la commune de Douai - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur object.files.data.gouv.fr/meteofrance/ (consulté le 31 octobre 2025).
  16. ↑ « Station Météo-France « Douai », sur la commune de Douai - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 31 octobre 2025).
  17. ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, 28 mai 2024 (consulté le 29 juin 2024).
  18. ↑ « Unité urbaine 2020 de Flines-lez-Raches », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2024).
  19. ↑ a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Flines-lez-Raches ».
  20. ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2024).
  21. ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, 21 octobre 2020 (consulté le 29 juin 2024).
  22. ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 21 mai 2021).
  23. ↑ Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
  24. ↑ « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le 16 août 2022).
  25. ↑ Source La Voix du Nord du 6 avril 2008.
  26. ↑ Louis Lespagnol, Historique des brasseries Lespagnol, Pays de Pélèle, no 46, pp. 20-27.
  27. ↑ Monique Heddebaut, La vie quotidienne à Flines-lez-Raches pendant la Première Guerre mondiale (en ligne).
  28. ↑ D. D., « Annie Goupil, maire sortante, veut plus de développement durable », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ 13 mars 2020, p. 13.
  29. ↑ « Élections municipales, Flines-lez-Raches », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ 16 mars 2020, p. 33.
  30. ↑ « Élections municipales 2020 - 1er tour, Flines-lez-Raches », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ 19 mars 2020, p. 9.
  31. ↑ « Flines-lez-Raches: le maire honoraire Daniel Henno tire sa révérence », La Voix du Nord, 15 mars 2014 : « Au terme de quarante-trois années de mandats successifs, dont vingt-huit en tant que premier magistrat, Daniel Henno, maire honoraire, a décidé de ne plus se présenter. À l’occasion du dernier conseil municipal de la présente mandature, Annie Goupil, maire, a souhaité lui rendre un hommage officiel au nom de la municipalité. »
  32. ↑ Nicolas Foissel, « Flines-lez-Râches : l’ancien maire Daniel Henno est décédé », L'Observateur du Douaisis, 1er août 2019 : « Celui qui a dirigé la commune durant vingt-huit ans rejoint Daniel Lemaire, décédé il y a deux ans et à qui il avait laissé son fauteuil en 1999. »
  33. ↑ Christophe Benoit, « Après plus de 40 années de mandats électoraux, le maire de Flines-lez-Râches Daniel Lemaire décide de passer la main », La Voix du Nord, 27 octobre 2011
  34. ↑ Bruno Place, « L’ancien maire de Flines-lez-Raches, Daniel Lemaire, est décédé », L'Observateur du Douaisis, 14 avril 2017 : « Plus de 45 années de mandat électif pour cet ingénieur flinois de naissance, directeur de l’ENTE à Valenciennes, devenu président du SIRFAG en 1983, maire de Flines les Râches en 1999 puis vice-président de la CAD jusqu’en 2014. Il avait succédé sous l’étiquette du Parti Communiste comme premier magistrat de Flines lez Râches à Daniel Henno. Adjoint au maire dès 1971, Daniel Lemaire avait déjà été premier adjoint de 1977 à 1999. En 2011, suite à sa démission, sa première adjointe Annie Goupil était devenue maire de la commune. »
  35. ↑ Marie-Caroline Debaene, « Orchésis : à un an des municipales, votre maire se représente-t-il ? », La Voix du Nord, Lille,‎ 24 mars 2019 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428) :

    « Flines-lez-Râches. Annie Goupil, 65 ans, souhaite encore écrire un nouveau chapitre pour sa commune. Maire depuis 2011, après avoir remplacé Daniel Lemaire, aujourd’hui décédé. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  36. ↑ Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, Lille, no 24270,‎ 30 juin 2020, p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Flines-lez-Raches : divers gauche »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  37. ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021, 2022 et 2023.
  41. ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Flines-lez-Raches (59239) », 30 juin 2021 (consulté le 6 janvier 2022).
  42. ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2022 - Département du Nord (59) », 26 juin 2025 (consulté le 21 décembre 2025).
  43. ↑ Derode, Histoire de Lille, p. 21 et 31.
  44. ↑ Essai de géologie pratique sur la Flandre française, M. Meugy, membre résident, in Mémoires de la Société royale des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille, imprimerie L. Danel, 1852 (Livre numérique Google : [1])
  45. ↑ Monique Heddebaut, Sur les traces de l'abbaye de Flines, Pays de Pévèle, 1995.
  46. ↑ Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ 24 mai 2021, p. 14-15
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