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Georges Charpak
Description de cette image, également commentée ci-après
Georges Charpak en 2005 (photo studio Harcourt).

Données clés
Naissance 8 mars 1924
Dąbrowica (Pologne, maintenant Ukraine)
Décès 29 septembre 2010 (à 86 ans)
Paris 5e (France)
Nationalité Drapeau de la France Français
Données clés
Domaines Physique nucléaire et physique des particules
Institutions CNRS, ESPCI ParisTech, CERN
Diplôme École nationale supérieure des mines de Paris
Renommé pour Travaux sur les détecteurs des particules à hautes énergies, invention de la chambre proportionnelle multifils (1968)
Distinctions Prix Nobel de physique 1992
Médaille d'argent du CNRS

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Hersz Georges Charpak[1] dit Georges Charpak, né à Dąbrowica le 8 mars 1924 et mort à Paris le 29 septembre 2010, est un physicien français lauréat du prix Nobel de physique en 1992 pour ses travaux sur les détecteurs de particules à hautes énergies.

Biographie

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Fils de Maurice Charpak, commerçant, et d'Anna Chapiro[2], Georges Charpak est né le 8 mars 1924, déclaré le 1er août 1924, dans le village de Dąbrowica en Pologne (maintenant en Ukraine). Sa famille, juive, émigre en France en 1931 alors qu'il a 7 ans et emménage à Paris, avenue d'Orléans, avant de déménager en 1936 pour le square Albin-Cachot[3], dans le 13e arrondissement.

En 1937, dès l'âge de 13 ans, Georges Charpak rejoint le mouvement des « Faucons rouges », « mouvement semblable aux scouts... mais laïc et d’obédience socialiste[4] » dont le local est situé rue du Château dans le 14e arrondissement. Il quitte ce mouvement en 1938 après les accords de Munich et rejoint les « Auberges de Jeunesse[5] ». En juin 1940, la partie nord de la France est occupée par les Allemands.

Il obtient son baccalauréat à 17 ans en 1941, alors qu'il est inscrit au lycée Saint-Louis à Paris[6]. Il commence ses classes préparatoires dans le même lycée où il est pensionnaire[7]. Son jeune frère André et ses parents refusent de porter l'étoile jaune et sont dénoncés par leur concierge ; ils choisissent de s'enfuir[8] avant la rafle du Vél' d’Hiv de juillet 1942. Il possède une fausse carte d'identité, sous le nom de Jacques Charpentier[9], qui le domicilie à Troyes.

En 1942, il vit à Montpellier[10], avec sa mère et son jeune frère[11] et poursuit ses classes préparatoires au lycée Joffre de Montpellier. Son père travaille comme bûcheron dans les Cévennes pour passer inaperçu en raison de son fort accent[11].

En novembre 1942, les Allemands franchissent la ligne de démarcation et occupent la totalité du territoire national.

Georges Charpak entre dans un mouvement de Résistance[8], par l'entremise d’une de ses camarades de lycée[9]. On lui donne des responsabilités, il rencontre des résistants du réseau FTP communiste et des résistants du réseau gaulliste Combat. A posteriori, il estime qu'il n'avait pas l'étoffe suffisante pour remplir sa tâche, en raison de son jeune âge et de son impréparation, et se sent responsable de la fin tragique de certains résistants qu'il a côtoyés[12].

En 1943, âgé de 19 ans, il échoue au concours d’entrée à l'École polytechnique, mais réussit à celui de l'École des mines de Paris ; pendant l’été, il est arrêté par la police à la suite d’imprudences, interrompant ainsi ses études[a].

Il est d’abord interné à la prison de Montpellier, jusqu'au mois de décembre où il est transféré au centre de détention d'Eysses[14], dans lequel il donne et reçoit des cours de mathématiques et de physique[15]. En février 1944, une tentative d’évasion collective échoue où treize de ses camarades sont tués ou fusillés[16]. Il quitte le camp d'Eysse pour Compiègne le 30 mai où il est transféré dans le camp de Royallieu le 3 mai. Il quitte ce camp le 18 juin en train dans le convoi 1229. Après trois jours de transport avec des centaines d'autres déportés, restant enfermé dans un wagon sous une température écrasante, il arrive au camp de concentration de Dachau[14] près de Munich en Allemagne le 20 juin, sous le matricule 73251. Après une période de quarantaine, il est envoyé le 14 juillet à Landsberg am Lech, dans une base aérienne de la Luftwaffe à une soixantaine de kilomètres de Dachau. Il a notamment comme camarades de déportation Georges Arjaliès[17], Victor Boulerot[18], Gilbert Burlot et Marcel Miquet[19]. L'année suivante, fin avril, Willy Wagner, le commandant du camp, décide d'envoyer les déportés à pied à Dachau. Georges Charpak quitte la base le 25 avril 1945 pour le complexe concentrationnaire de Kaufering à une dizaine de kilomètres. Là, il découvre les conditions épouvantables dans lesquelles sont détenus les déportés juifs. Les déportés arrivent le 27 avril à Allach. Georges Charpak sera libéré trois jours plus tard par les Américains mais doit subir une quarantaine en raison des risques d'épidémies (typhus,..). Après la libération du camp le 30 avril 1945, il est rapatrié en France par la Croix Rouge le 11 mai 1945 . Sa pratique de plusieurs langues a selon lui contribué à sa survie[20].

Après la guerre, il reçoit « quelques décorations et [est] homologué au grade de lieutenant des Forces françaises de l'intérieur[21] ».

Il devient citoyen français en 1946[22], en partie grâce à son statut d'élève-ingénieur de l’École des mines[23]. Cette naturalisation lui avait précédemment été refusée, malgré sa croix de guerre[23].

Il sort diplômé de l’École des mines en 1947. En 1948, il est admis au CNRS comme chercheur dans le laboratoire de physique nucléaire du Collège de France, dirigé par Frédéric Joliot-Curie . Il obtient son doctorat ès-sciences en 1955. Alors que Frédéric Joliot-Curie veut lui faire faire de la physique nucléaire, il choisit le sujet de sa propre thèse[24], qu'il soutient en 1954, sur des détecteurs[25].

Promu maître de recherches au CNRS en 1959, il est recruté par Leon Lederman à l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire[b] près de Genève. Il en devient chercheur permanent en 1963. C'est dans ce dernier laboratoire qu'il met au point la chambre proportionnelle « multifils » qui remplace rapidement les chambres à bulles en permettant un traitement informatique des données. Il prend soin de déposer des brevets. Il choisit alors de résider à Gex où il s'achète une maison.

À partir de 1980[26], il est professeur associé du laboratoire d'électricité générale de l’École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris (ESPCI) et titulaire de la chaire Joliot-Curie pour un an en 1984. Il y développe les applications médicales de ses détecteurs de particules (radiologie douce développant des doses irradiantes moindres) et participe, avec son collaborateur Claude Hennion, à la fondation de nombreuses « startups » d'imagerie biomédicale dont « Molecular Engines Laboratories[27] », « Biospace Instruments » avec son fils Yves Charpak, médecin-consultant[28], et « SuperSonic Imagine » avec Mathias Fink[29].

Il est élu membre de l'Académie des sciences le 20 mai 1985. En 1991, il prend sa retraite du CERN.

Georges Charpak au Festival international de géographie en 1998.

Georges Charpak reçoit le prix Nobel de physique en 1992 « pour son invention et le développement de détecteurs de particules, en particulier la chambre proportionnelle « multifils »[30],[31] », avec comme double affiliation l’ESPCI et le CERN. Tout comme Pierre-Gilles de Gennes un an plus tôt, le prix Nobel de Georges Charpak est « entier » : depuis cette date, il n'y a pas eu d’autre cas d’attribution du prix Nobel de physique à un lauréat seul.

À partir de 1996, avec le soutien de l'Académie des sciences et de ses collègues Pierre Léna et Yves Quéré, il prend la tête d'un important mouvement de rénovation de l'enseignement des sciences à l'école primaire, baptisé « La main à la pâte », qui touche aujourd'hui près d'une école sur trois en France et essaime dans le monde entier. Des collaborations internationales ont été signées pour étendre cette initiative à de nombreux pays dans le monde.

Militant pour l'énergie nucléaire civile, il a proposé en 2001 une nouvelle unité de mesure de la radioactivité, le DARI (pour « dose annuelle due aux radiations internes », unité de mesure adaptée à l’évaluation de l’effet des faibles doses d’irradiation), correspondant à environ 0,25 millisievert[32].

En août 2009, il s'élève contre le coût de la construction du réacteur nucléaire expérimental français Iter, dont le budget prévisionnel venait de passer de cinq à quinze milliards d’euros, menaçant les financements de la recherche scientifique européenne ainsi que « de nombreuses recherches autrement plus importantes, y compris pour l’avenir énergétique de notre planète », mais considère que « ... notre problème d'énergie est urgent. C'est immédiatement qu'il faut économiser l'énergie, et remplacer les combustibles fossiles[33] ».

Il meurt le 29 septembre 2010 dans le 5e arrondissement de Paris[1],[34].

Œuvres

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  • Georges Charpak et Dominique Saudinos, La Vie à fil tendu, Paris, Éditions Odile Jacob, coll. « Sciences », septembre 1993, 231 p. (ISBN 2-7381-0214-X et 978-2738102140, lire en ligne)
  • Research on Particle Imaging Detectors, World Scientific, 1995
  • Feux follets et champignons nucléaires (avec Richard Garwin), Éditions Odile Jacob, 1997 (ISBN 2-7381-0857-1)
  • La Main à la pâte : les sciences à l'école primaire, présenté par Georges Charpak, Flammarion, 1998, (ISBN 2-08-035507-4)
  • Enfants, chercheurs et citoyens (avec Leon Lederman), Éditions Odile Jacob, 1998 (ISBN 2-7381-0641-2)
  • Devenez sorciers, devenez savants (avec Henri Broch), Éditions Odile Jacob, 2002 (ISBN 2-7381-1093-2)
  • Soyez savants, devenez prophètes (avec Roland Omnès), Éditions Odile Jacob, 2004 (ISBN 2-7381-1676-0)
  • De Tchernobyl en tchernobyls (avec Richard Garwin et Venance Journé), Éditions Odile Jacob, 2005 (ISBN 2-7381-1374-5)
  • L'Enfant et la Science (avec Pierre Léna et Yves Quéré), Éditions Odile Jacob, 2005 (ISBN 2-7381-1684-1)
  • Mémoires d'un déraciné, physicien et citoyen du monde, Éditions Odile Jacob, 2008 (ISBN 978-2-7381-2184-4)

Prix et distinctions

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L'Académie des sciences recense les distinctions et prix suivants décernés à Georges Charpak[35] :

  • médaille d'argent du CNRS, 1971[36] ;
  • prix Jean-Ricard de la Société française de physique, 1973 ;
  • docteur honoris causa de l'Université de Genève, 1977 ;
  • prix du Commissariat à l'énergie atomique de l'Académie des sciences, 1984 ;
  • professeur émérite de l’École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris, 1984 ;
  • membre associé étranger de l'Académie nationale des sciences (États-Unis), 1986 ;
  • prix annuel de la section des Hautes énergies de la Société européenne de Physique, 1989 ;
  • prix Nobel de physique pour l'invention et le développement des détecteurs de particules élémentaires, notamment de la chambre proportionnelle multifils, 1992 ;
  • membre de l'Académie universelle des cultures, 1993 ;
  • docteur honoris causa de l'université Aristote de Thessalonique, 1993 ;
  • membre de l'Académie autrichienne des sciences, 1993 ;
  • membre du Haut Conseil à l'intégration, 1994-1996 ;
  • docteur honoris causa de l'université libre de Bruxelles, 1994 ;
  • docteur honoris causa de l'université de Coimbra, 1994 ;
  • membre de l'Académie des sciences de Russie, 1994 ;
  • docteur honoris causa de l'Université d'Ottawa, 1995 ;
  • membre de l'Académie des sciences de Lisbonne, 1995 ;
  • membre correspondant de l’Académie nationale de médecine, 2002 ;
  • Officier de la Légion d'honneur Officier de la Légion d'honneur, 2007 ;
  • Médaille Grand Vermeil de la Ville de Paris, 2009.

Avant la distinction reçue par Serge Haroche en 2012, Georges Charpak était le dernier prix Nobel français de l'après-guerre dans les domaines de la physique nucléaire et de la physique des particules élémentaires.

Le 10 novembre 2001 est inauguré l'amphithéâtre Charpak sur l'université de la Réunion, où se trouve une plaque avec ses mots.

L'École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne a ouvert en 2008 une filière d'ingénierie portant son nom en micro-électronique, informatique et nouvelles technologies à Gardanne (près d'Aix-en-Provence)[37]. L'inauguration a eu lieu en sa présence.

Le fonds d'innovation de l'ESPCI inauguré en mai 2011[38] porte son nom[39].

Le vendredi 29 juin 2012, le maire de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) a inauguré la nouvelle cité sanitaire qui porte le nom de Georges Charpak[40].

Le laboratoire de biomécanique de l'École nationale supérieure d'arts et métiers, créé en 1979, a été renommé en 2013 institut de biomécanique humaine Georges Charpak, eu égard à sa contribution décisive pour l'imagerie médicale et les domaines de recherche appliquée qui en découlent[41].

En France, en 2015, 15 établissements scolaires portent son nom[42] : notamment à Goussainville, avec la particularité d'être au tout numérique, à Brindas, ainsi qu'à Gex, ville où il a vécu.

Le centre de médecine nucléaire de Quimper-Cornouaille, inauguré en novembre 2016, porte son nom.

Il existe également un institut à son nom à Villebon (91), où l'on peut obtenir une licence Sciences et Technologies. L'enseignement proposé dans cet institut respecte les valeurs de Georges Charpak, notamment le concept de la main à la pâte, adapté à un niveau universitaire.

Aussi, Georges Charpak étant lié à Montpellier au cours de sa vie, la ville décide de renommer un parc de huit hectares dans le quartier Port-Marianne en sa mémoire.

Dans la culture

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Georges Charpak apparaît aux côtés de Henri Broch sous les traits du personnage Henri-Georges Brochard dans le tome 2 de la série de romans pour la jeunesse d'Alexandre Moix, Les Cryptides - À la poursuite de l'Olgoï-Khorkhoï (éditions Plon). Il y incarne un scientifique de réputation internationale, qui se fait mystérieusement assassiner par un cryptozoologue qui terrorise Paris.

Il apparait en caméo, aux côtés de Pierre-Gilles de Gennes, dans le film Les palmes de Mr Schutz en conducteur de charrette livrant la pechblende au couple Curie.

Notes et références

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Notes

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  1. ↑ Il n'a ainsi connu les résultats de son passage des concours qu'à son retour de déportation[13] en 1945.
  2. ↑ Couramment connu sous le nom de ses débuts, le CERN.

Références

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  1. ↑ a et b « Fichier des actes de décès : Hersz Georges Charpak », sur MatchID.
  2. ↑ Who’s Who in France : dictionnaire biographique, Éditions Jacques Lafitte, 1992.
  3. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 41-42.
  4. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 42.
  5. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 50.
  6. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 49-50.
  7. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 54.
  8. ↑ a et b Charpak et Saudinos 1993, p. 58.
  9. ↑ a et b Charpak et Saudinos 1993, p. 62.
  10. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 51.
  11. ↑ a et b Charpak et Saudinos 1993, p. 61.
  12. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 63.
  13. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 65.
  14. ↑ a et b Charpak et Saudinos 1993, p. 70.
  15. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 71.
  16. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 72.
  17. ↑ Fabrice Bourrée, « Georges Arjaliès », sur Musée de la Résistance en ligne, 1990
  18. ↑ Mémoire de la Déportation dans l'Ain (1939-1945), « Victor Boulerot », sur Mémoire de la Déportation dans l'Ain (1939-1945), 2011
  19. ↑ Georges Charpak, « Marcel Miquet - Dachau, camp de concentration nazi », sur BS Encyclopédie
  20. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 73.
  21. ↑ Charpak et Saudinos 1993, p. 64.
  22. ↑ « Hommage de l'Académie des sciences à Georges Charpak » [PDF], sur Académie des sciences, 30 septembre 2010.
  23. ↑ a et b « L'enfance d'un Nobel », Le Nouvel Observateur,‎ 29 mai 2008, p. 96
    (Extraits exclusifs dans le Nouvel Obs du livre de Charpak Mémoires d'un déraciné, physicien et citoyen du monde) : « Grâce à l’École des Mines, je fus naturalisé français car [...] la France avait besoin de ses mineurs polonais qui partaient en masse reconstruire leur patrie. Elle leur assurait la nationalité française s'ils acceptaient de continuer leur travail dans les mines. Je jurai que c'était mon souhait. »
  24. ↑ Étude de la période de décroissance du niveau de 57 keV lié à la désintégration du MTh2.
  25. ↑ Aurélie Luneau, « La Marche des sciences : podcast et émission en replay », sur France Culture, 11 août 2015 (consulté le 9 avril 2023)
  26. ↑ Charpak à l'ESPCI, hommage de Jacques Lewiner à l'Académie des sciences le 1er mai 2011.
  27. ↑ Molecular Engines Laboratories, startup fondée en 2000 par Georges Charpak.
  28. ↑ « Biospacelab- In vivo Bioluminescence, visible, NIR I and NIR II / SWIR imaging systems & autoradiography » (consulté le 9 avril 2023)
  29. ↑ SuperSonic Imagine, startup fondée en 2005 par Georges Charpak.
  30. ↑ (en) « for his invention and development of particle detectors, in particular the multiwire proportional chamber » in Personnel de rédaction, « The Nobel Prize in Physics 1992 », Fondation Nobel, 2010. Consulté le 25 juin 2010.
  31. ↑ 2007 Concours Lépine, Le livre des inventions, Éditions Flammarion, septembre 2006.
  32. ↑ Le DARI : unité de mesure adaptée à l'évaluation de l'effet des faibles doses d'irradiation.
  33. ↑ Personnel de rédaction, « Le prix Nobel de physique Georges Charpak demande l'arrêt d'Iter », La Tribune,‎ 10 août 2010 (lire en ligne, consulté le 12 octobre 2010).
  34. ↑ « La mort du physicien Georges Charpak », sur Le Figaro, 30 septembre 2010 (consulté le 9 avril 2023)
  35. ↑ Liste des honneurs attribués à Georges Charpak sur le site de l'Académie des sciences.
  36. ↑ Valérie Burgos, « Médailles d’argent du CNRS 1960-2010 », sur Comité pour l'histoire du CNRS, 31 janvier 2023 (consulté le 11 août 2023).
  37. ↑ (fr) « Le mot du Directeur du CMP », École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne (consulté le 5 août 2009).
  38. ↑ (en) « L'école aux cinq Nobel crée un fonds d'innovation », Reuters,‎ 19 mai 2011 (lire en ligne, consulté le 9 avril 2023)
  39. ↑ « ESPCI Paris : Nous Soutenir », sur www.espci.psl.eu (consulté le 9 avril 2023)
  40. ↑ La Cité sanitaire Georges-Charpak inaugurée à Saint-Nazaire (Ouest France).
  41. ↑ Baptiste SANDOZ, « Institut de Biomécanique Humaine Georges Charpak - Présentation de l'Institut », sur biomecanique.ensam.eu (consulté le 9 avril 2023)
  42. ↑ « De Jules Ferry à Pierre Perret, l'étonnant palmarès des noms d'écoles, de collèges et de lycées en France », sur lemonde.fr, 18 mai 2015 (consulté en octobre 2017).

Annexes

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Articles connexes

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  • Institut Villebon - Georges Charpak, qui suit les méthodes et la vision de Georges Charpak sur l'apprentissage

Liens externes

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  • Commissaire Permilleux
  • Philippe Pétain
  • Marcel Peyrouton
  • Marcel Julien Henri Ribière
  • Maurice de Rodellec du Porzic
  • Lucien Rottée
  • Maurice Sabatier
  • Paul Touvier
  • André Tulard
  • Xavier Vallat
  • Milice française
Spoliation
  • Devisenschutzkommando
  • Commissariat général aux questions juives
  • M-Aktion
 v · m Victimes notables
Victimes notables
A – B
  • Henri Abraham
  • Julien Abrahamer
  • Éric Allatini
  • Elena Allatini
  • Salomon Altermann
  • Hans Ament
  • Jacques Arbizer
  • Olga Bancic
  • Tatiana Barbakoff
  • Hélène Basch
  • Victor Basch
  • Jean-Claude Bauer
  • André Baur
  • Albert Bendrihen
  • Joseph Benzacar
  • Claude Ben Zimra
  • Léon Berman
  • Jean-Guy Bernard
  • Léonce Bernheim
  • Reysa Bernson
  • Dweira Bernson-Verhaeghe
  • Hélène Berr
  • Raymond Berr
  • Fanny Beznos
  • Jacques Biélinky
  • Nachman Bindefeld
  • André Bloch
  • Denise Bloch
  • Élie Bloch
  • Eugène Bloch
  • Gilbert Bloch
  • Louise Bloch
  • Marc Bloch
  • Raïssa Bloch
  • René Blum
  • Sophie Blum-Lazarus
  • Moïse Blumenstock
  • Joseph Boczov
  • David Brainin
  • Robert Brunschwig
  • Suzanne Buisson
  • Albert Bulka
C – F
  • Béatrice de Camondo
  • Joseph Cogan
  • Kadmi Cohen
  • Léo Cohn
  • Marianne Cohn
  • Pierre Créange
  • Benjamin Crémieux
  • Édouard Crémieux
  • Elie Cyper
  • Erna Dem
  • David Donoff
  • Albert Dreyfus-Sée
  • Vladimir Dyck
  • André Elbogen
  • Madeleine Elbogen
  • Thomas Elek
  • Robert Enoch
  • Henri Epstein
  • Joseph Epstein
  • Ralph Erwin
  • Richard Fall
  • Alexandre Fasini
  • Aizik Feder
  • Florette Feissel
  • Philippe Feist
  • Maurice Feferman
  • Jacques Feldbau
  • Valentin Feldman
  • Maurice Fingercwajg
  • Benjamin Fondane
  • Otto Freundlich
  • Simon Frid
G – J
  • Régine Gattegno
  • Jonas Geduldig
  • Johanna Geissmar
  • Joséphine Getting
  • René Gimpel
  • Léo Glaeser
  • Ernest Ginsburger
  • Vila Glasberg
  • Esther Gluck
  • Salomon Gluck
  • Simone Goldberg
  • Sura Goldfajn
  • Jacques Gotko
  • Marcel Gradwohl
  • Roger Gradwohl
  • Samuel Granowsky
  • Szlama Grzywacz
  • Claude Gutmann
  • Paul Haguenauer
  • Jacques Halpern
  • Herta Hauben
  • Jacques Helbronner
  • Chaim Herman
  • Pál Hermann
  • Robert Herzog
  • Rudolf Hilferding
  • Berthe Hirsch
  • René Hirschler
  • Simone Hirschler
  • Alice Hohermann
  • Jacob Hopensztand
  • Nathan Hosanski
  • Léon Israël
  • Tamara Isserlis
  • Sylvain Itkine
  • Adolphe Javal
  • André Jacob
  • Max Jacob
  • Louise Jacobson
  • Hélène Jakubowicz
  • Benjamin Jourist
K – L
  • Jacques Kahn
  • Robert Kahn
  • Moïse Kahlenberg
  • Chaja Karaulnik
  • Isidore Kargeman
  • Israël Leizer Karp
  • Ytshak Katzenelson
  • Léopold Kaufmann
  • Roger Kespy
  • Jacques Kipman
  • Henri Klein
  • Samy Klein
  • Bereck Kofman
  • Georges André Kohn
  • Samuel Kohn
  • Chana Kowalska
  • Nathalie Kraemer
  • Mala Kriegel
  • Louis Krzyzkowski
  • Armand Lambert
  • Ernest Lambert
  • Raymond-Raoul Lambert
  • François Lang
  • Henri Lang
  • Marcel Langer (1903-1943)
  • Pierre Lanzenberg
  • Marcel Lattès
  • Albert Lautman
  • Max Leiner
  • Sarah Levan-Reifman
  • Élie Lévy
  • Henri Lévy
  • Madeleine Lévy
  • Deborah Lifchitz
  • Marco Lipszyc
  • René Lisbonne
  • Marcelle Loeb
  • Maurice Loebenberg
  • Fritz Loebmann
  • Zinovy Lvovsky
M – R
  • Georges Mandel
  • Iouri Mandelstam
  • Pierre Masse
  • August L. Mayer
  • Marcel Mermelstein
  • Paula Mermelstein
  • Hélène Metzger
  • Robert Meyers
  • Jacques Milkin
  • Jacqueline Morgenstern
  • Fernand Musnik
  • Litman Nadler
  • Robert Najberg
  • Bernard Natan
  • Irène Némirovsky
  • Léon-Maurice Nordmann
  • Casimir Oberfeld
  • Fernand Ochsé
  • Louise Ochsé
  • Sonia Olschanezky
  • Young Perez
  • Louise Pikovsky
  • Bella Pochez
  • Georges Politzer
  • Siegfried Prock
  • Josué Pruner
  • Édith Pulver
  • Mila Racine
  • Marcel Rajman
  • Robert Ralphy
  • Jean-Jacques Rein
  • David Rapoport
  • Denis Roger-Marx
  • Alma Rosé
  • Horst Rosenthal
  • Meyer Rosner
  • Markus Rottenberg
  • Saoud l'Oranais
S – Z
  • Joseph Saks
  • Charlotte Salomon
  • Hélène Schapiro
  • Sacha Schapiro
  • Willy Schapiro
  • Nadine Schatz
  • Benjamin Schatzman
  • Maurice Schlisselmann
  • Simone Schloss
  • Maurice Schlosser
  • Bernard Schonberg
  • Jacques Schwob d'Héricourt
  • Ariadna Scriabina
  • Mojzesz Seiden ‎
  • Aron Skrobek
  • Marcel Slodki
  • Jacques Solomon
  • Jeanine Sontag
  • Marcel Steinbach
  • Hersz Strasfogel
  • Luise Straus-Ernst
  • Samy Stourdzé
  • Roger Taubert
  • Hirsch Trocki
  • Samuel Tyszelman
  • Alfred Valensi
  • Paul Velsa
  • David Vogel
  • Wolf Wajsbrot
  • Nicole Weil-Salon
  • Juliette Weill
  • Léon Weissberg
  • Joachim Weingarten
  • Joseph Wiener
  • Raymond Winter
  • Rosette Wolczak
  • Aron Wolf
  • Mathieu Wolf
  • Marc Wolfson
  • Eugène Wollman
  • Léon Zadoc-Kahn
  • Fernand Zalkinow
  • Émile Zeizig
  • Annette Zelman
  • Miron Zlatin
 v · m Survivants notables
Survivants notables
A – B
  • Moussa Abadi
  • Pierre Abraham
  • Jules Adler
  • Milo Adoner
  • Pierre Aidenbaum
  • Louise Alcan
  • André Amar
  • Alfred Ament
  • Léo Ansbacher
  • Ernest Appenzeller
  • Alexis Aron
  • Émile Aron
  • Louis Aron
  • Suzanne Aron (Benoit-Lévy)
  • Jean-Michel Atlan
  • Liliane Atlan
  • Raymond Aubrac
  • Blanche Auzello
  • Gérard Avran
  • Édouard Axelrad
  • Robert Badinter
  • Barbara
  • Joseph Bass
  • Nicolas Baudy
  • Nina Baumstein
  • Julien Benda
  • Gabriel Bénichou
  • Bençion Rabinowicz
  • Doris Bensimon
  • Daniel Béresniak
  • Lili Berger
  • Léo Bergoffen
  • Jean-Jacques Bernard
  • Tristan Bernard
  • Antoine Bernheim
  • Nicole-Lise Bernheim
  • Claude Berri
  • Joseph Bialot
  • Joseph Biéder
  • Albert Bigielman
  • Gerda Bikales
  • Norbert M. Bikales
  • Robert Birenbaum
  • Suzanne Birnbaum
  • Danielle Bleitrach
  • Claude Bloch
  • Edmond Bloch
  • Jacques Bloch
  • Ève Line Blum-Cherchevsky
  • Marcel Bluwal
  • Robert Bober
  • Henri Borlant
  • Alfred Brauner
  • Françoise Brauner
  • Victor Brauner
  • Colette Brull-Ulmann
  • Henry Bulawko
  • Bernadette Byk
C – E
  • Jean Cahen-Salvador
  • Julien Cain
  • Moïse Cassorla
  • Moshé Catane
  • David Catarivas
  • Annette Chalut
  • Georges Charpak
  • Thérèse Chassaing
  • Rachel Cheigam-Grunstein
  • Jean-Claude Chermann
  • Francine Christophe
  • Paul Chytelman
  • Michel Ciment
  • Suzanne Citron
  • Robert Clary
  • Fernand Cohen
  • Henriette Cohen
  • Marcel Cohen (écrivain)
  • Jacques Cohn
  • Marthe Cohn
  • Herta Cohn-Bendit
  • Albert Crémieux
  • Rosine Crémieux
  • Roger Cukierman
  • Boris Cyrulnik
  • Natan Darty
  • Bella Darvi
  • Marcel Dassault
  • Henri Dauman
  • Myriam David
  • Monny de Boully
  • Charles Denner
  • Alfred Denner
  • Dominique Desanti
  • Max Deutsch
  • Sacha Distel
  • Charles Dobzynski
  • Michel Drach
  • Huguette Dreyfus
  • Jean-Claude Dreyfus
  • Madeleine Dreyfus
  • Colette Dreyfus-Brisac
  • Henri Dreyfus-Le Foyer
  • Abraham Drucker
  • Jean Drucker
  • Amélie Dubouquet
  • Willy Eisenschitz
  • Lotte H. Eisner
  • Nicole Eizner
  • Odette Elina
  • Jean Elleinstein
  • Denise Epstein
  • Jean Epstein
  • Marie Epstein
  • Roland Epstein
  • Raphaël Esrail
  • Mouny Estrade-Szwarckopf
F – H
  • Odette Fabius
  • Samson Fainsilber
  • Jules Fainzang
  • Daniel Farhi
  • Yvette Farnoux
  • Raphaël Feigelson
  • Suzanne Feingold
  • Léa Feldblum
  • Léon Fellmann
  • Fania Fénelon
  • Jean Ferrat
  • Marc Ferro
  • Lion Feuchtwanger
  • Antoinette Feuerwerker
  • David Feuerwerker
  • Gérald Finaly
  • Robert Finaly
  • Paulette Fink
  • Joseph Fisher
  • Lisa Fittko
  • Eddy Florentin
  • Esther Fogiel
  • Ania Francos
  • Leonhard Frank
  • Françoise Frenkel
  • Sami Frey
  • Saul Friedländer
  • Jean Frydman
  • René Frydman
  • Serge Gainsbourg
  • Denise Gamzon
  • Robert Gamzon
  • Georges Garel
  • Lili Garel
  • Odette Gartenlaub
  • Georges Gheldman
  • Élisabeth Gille
  • Norbert Glanzberg
  • Denise Glaser
  • André Glucksmann
  • Roland Goetschel
  • Alter Mojsze Goldman
  • Eva Golgevit
  • Gisèle Gonse-Boas
  • Gotlib
  • Charles Gottlieb
  • Édouard Gourévitch
  • Nina Gourfinkel
  • Ida Grinspan
  • François Gros
  • Alexandre Grothendieck
  • Jean-Claude Grumberg
  • Nathan Grunsweigh
  • Tony Gryn
  • Simon Gutman
  • Anne Léopoldine Gutmann
  • Victor Haïm
  • Ninon Haït-Weyl
  • Eugène Handschuh
  • Georges Hansel
  • Maurice Hausner
  • Nadine Heftler
  • Max Heilbronn
  • Judith Hemmendinger
  • Bertrand Herz
  • Claire Heyman
  • Elisabeth Hirsch
  • Jean-Raphaël Hirsch
  • Sigismond Hirsch
  • Alain Hirschler
  • Denise Holstein
  • Maurice Honel
I – K
  • Simon Igel
  • Jean-Claude Janet (Jean-Claude Isaac)
  • Jules Isaac
  • Izis
  • Marcel Jabelot
  • Gilberte Jacob
  • Gilles Jacob
  • Madeleine Jacob (déportée)
  • Violette Jacquet-Silberstein
  • Jean Jérôme
  • Robert Job
  • Joseph Joffo
  • Yves Jouffa
  • Marcel Jungerman
  • Émile Kaçmann
  • Élie Kagan
  • Raya Kagan
  • André Kahn
  • Anne-Marcelle Kahn
  • Jean Kahn
  • Daniel Kahneman
  • Daniel-Henry Kahnweiler
  • René Kalisky
  • Adolfo Kaminsky
  • René Kapel
  • Clémentine Kassis
  • Hughette Kassis
  • Maklouf Kassis
  • Louise Kassis
  • Paula Kaufman
  • Sylvain Kaufmann
  • Claude Kelman
  • Colette Kessler
  • Georges Kiejman
  • Robert Klapisch
  • Serge Klarsfeld
  • Edith Klebinder
  • Michel Klein
  • Noah Klieger
  • David Knout
  • Sarah Kofman
  • Jacques Kohn
  • Raymond Kojitsky
  • Ginette Kolinka
  • Serge Korber
  • Joseph Kosma
  • Charles Krameisen
  • Marc Krasner
  • Henri Krasucki
  • Annie Kriegel
  • Arthur Kriegel
  • Henri Krischer
  • Fred Kupferman
L
  • Guy Kurt Lachmann
  • Simone Lagrange
  • Simon Laks
  • Ruth Lambert
  • Lazare Landau
  • Florine Langweil
  • Lucien Lazare
  • Malvine Lanzet
  • Claude Lanzmann
  • Gérard Lebovici
  • Serge Lebovici
  • Edgar Lederer
  • Charles Lederman
  • Andrée Lehmann
  • Léon Lehrer
  • Lili Leignel
  • Claude Lelouch
  • Francis Lemarque
  • Claude B. Levenson
  • Raïssa Levinas
  • Wolff Lévitan
  • Georges Lévitte
  • Simon Levitte
  • Claude Lévy (biologiste)
  • Étienne Lévy
  • Gaston Lévy
  • Jeanne Lévy
  • Lazare-Lévy
  • Paul Lévy (journaliste)
  • Paulette Lévy
  • Raymond Lévy
  • Yvette Lévy
  • Georges Lévy-Alphandéry
  • Yvonne Lévy-Engelmann
  • Jacqueline Lévi-Valensi
  • Paulette Libermann
  • Hersz Librach
  • Josué Lifshitz
  • Raymond Lindon
  • Georges Lipietz
  • Jacques Livchine
  • Michel Loève
  • Fanny Loinger
  • Flore Loinger
  • Georges Loinger
  • Marceline Loridan-Ivens
  • Dorota Lorska
  • Lucien Lublin
  • Jean-Marie Lustiger
M – O
  • Maurice Maidenberg
  • Charles Malamoud
  • Marcel Marceau
  • Claude-Gérard Marcus
  • Arnold Mandel
  • Robert Manuel
  • Germaine Masour
  • Simone Mayer
  • Freddy Menahem
  • Henri Meschonnic
  • Jacqueline Mesnil-Amar
  • Léon Meyer
  • Otto Fritz Meyerhof
  • André Migdal
  • Rachel Minc
  • Henri Minczeles
  • Emanuel Mink
  • Françoise Minkowska
  • Eugène Minkowski
  • Robert Misrahi
  • Michel Mitrani
  • Vidal Modiano
  • Ephraim Mol
  • Sarah Montard
  • Henri Moraud
  • Soma Morgenstern
  • Pierre Morhange
  • Zina Morhange
  • Jean-Claude Moscovici
  • Édith Moskovic
  • Claude Mossé
  • Annette Muller
  • Michel Muller
  • Achille Naftalis
  • Alfred Nakache
  • Jacques Natanson (pédagogue)
  • Richard Neher
  • Renée Neher-Bernheim
  • Henri Nerson
  • Paul Niedermann
  • Maurice Obréjan
  • David Olère
  • Dounia Ourisson
  • Gérard Oury
P – R
  • Charles Palant
  • Mordecai Paldiel
  • Émile Papiernik
  • Jean-Claude Pecker
  • Victor Perahia
  • Georges Perec
  • Roger Perelman
  • Simone Perl
  • Alexandre Persitz
  • Jenny Plocki
  • Rachel Pludermacher
  • Abraham Polonski
  • Germaine Poliakov
  • Léon Poliakov
  • Léo Poll
  • René Polski
  • Popeck
  • Léon Rabinovitch
  • Léopold Rabinovitch
  • Lazare Rachline
  • Emmanuel Racine
  • Maurice Rajsfus
  • Henri Rapaport
  • Freddy Raphaël
  • Adam Rayski
  • Léon Reifman
  • Malka Ribowska
  • Nicolas Ribowski
  • Lionel Rocheman
  • Claude Roger-Marx
  • Paul Roitman
  • Isidore Rosenbaum
  • Paulette Angel Rosenberg
  • Pierre Rosenberg
  • Werner Rosenberg
  • Léonard Rosenthal
  • Odette Rosenstock
  • Hélène Rounder
  • Liliane Rovère
  • Hélène Rytmann
  • Joseph Rytmann
S
  • Marcel Sachs
  • Andrée Salomon
  • Jacob Salomon
  • Jean-Jacques Salomon
  • Jacques Salon
  • Israël Salzer
  • Julien Samuel
  • Vivette Samuel
  • Paulette Sarcey
  • Nathalie Sarraute
  • Jacques Saurel
  • Paul Schaffer
  • Evry Schatzman
  • Dora Schaul
  • Suzanne Schiffman
  • Henri Schilli
  • Madeleine Schnerb
  • Robert Schnerb
  • Lotte Schöne
  • Abraham Schrameck
  • Éric Schwab
  • Léon Schwab
  • Isaïe Schwartz
  • Laurent Schwartz
  • Léon Schwartzenberg
  • Lotte Schwarz
  • André Schwarz-Bart
  • Françoise Seligmann
  • Esther Senot
  • Michel Sima
  • Bouli Simon
  • Shatta Simon
  • Jérôme Skorka
  • Régine Skorka-Jacubert
  • Michel Slitinsky
  • Jacques Smaer
  • Georges Snyders
  • Janine Sochaczewska
  • Denise Soriano-Boucherit
  • Manès Sperber
  • Odette Spingarn
  • André Stora
  • Adolphe Steg
  • Armand Steinberg
  • Jean-Louis Steinberg
  • Hughes Steiner
  •  Sonia Steinsapir
  • Anne-Lise Stern
  • Juliette Stern
  • Jacques Sternberg
  • Lionel Stoléru
  • Léon Strauss
  • Victor Svarc
  • Sam Szafran
  • Albert Szerman
  • Jacob Szmulewicz
  • Mayer Szyndelman
T – Z
  • Albert Tadlewski
  • Boris Taslitzky
  • Arlette Testyler
  • Jacqueline Teyssier
  • Adrienne Thomas
  • Eva Tichauer
  • Daniel Urbejtel
  • Georges Vadnaï
  • Marie Vaislic
  • Georges Vajda
  • Simone Veil
  • Ray Ventura
  • Denise Vernay
  • Pierre Vidal-Naquet
  • Dina Vierny
  • Claude Vigée
  • Pierre Villon
  • Denise Vormus
  • Huguette Wahl
  • Jean Wahl
  • François Wahl
  • Robert Waitz
  • Julia Wallach
  • Osias Wallach
  • Rose Warfman
  • Frida Wattenberg
  • Hélène Waysbord-Loing
  • Colette Weil
  • Robert Weil
  • Joseph Weill
  • Simone Weil Lipman
  • Étienne Weill-Raynal
  • Romain Weingarten
  • Elemer Vagh Weinmann
  • Maurice Vagh-Weinmann
  • Nándor Vagh-Weinmann
  • Feiga Weisbuch
  • Joseph Weismann
  • Francine Weisweiller
  • Georges Wellers
  • Franz Werfel
  • Dora Werzberg
  • Edith Wiesel
  • Gaby Wolff
  • Gil Joseph Wolman
  • Roger Wolman
  • Élie Wollman
  • Olga Wormser
  • Ruth Peter Worth
  • Jacqueline Zadoc-Kahn Eisenmann
  • Henri Zajdenwergier
  • Charles Zelty
  • Ben Zimet
  • Solange Zitlenok
  • Sabine Zlatin
  • Léon Zyguel
  • Jean-Claude Zylberstein
Documentation
  • Mémorial de la déportation des Juifs de France
  • Centre de documentation juive contemporaine
  • Fils et filles de déportés juifs de France
Lieux de mémoire
  • Mémorial de la Shoah
  • Mémorial de la Shoah à Drancy
  • Mémorial de la Shoah (Lyon)
  • Mémorial du Camp de Rivesaltes
  • Camp de Royallieu mémorial de l'internement et de la déportation
  • Site-mémorial du camp des Milles
  • Mémorial des martyrs de la déportation
  • Mémorial national de la déportation (Natzweiler-Struthof)
  • Liste de monuments et musées de la Shoah
Justes parmi les nations
  • Albert Bedane
  • Robert Bengel
  • Odette Bergoffen
  • Rolande Birgy
  • Marc Boegner
  • Hélène Burger
  • Le Chambon-sur-Lignon
  • Lucienne Clément de l'Épine
  • Isabelle Cremer
  • Jean Deffaugt
  • Maurice Dubois
  • Hélène Duc
  • Élisabeth Eidenbenz
  • Jacques Ellul
  • Louis Favre (prêtre)
  • Alice Ferrières
  • Varian Fry
  • Pierre-Marie Gerlier
  • Alexandre Glasberg
  • Vila Glasberg
  • Justin Godart
  • Marcelle Guillemot
  • Adélaïde Hautval
  • Père Jacques
  • Pierre Robert de Saint-Vincent
  • Germaine Lalo
  • Jean Lecanuet
  • Gilbert Lesage
  • Pierre Marie
  • Père Marie-Benoît
  • Jean Meunier
  • Edmond Michelet
  • Madeleine Michelis
  • Joseph Migneret
  • Rösli Näf
  • René de Naurois
  • Thérèse Papillon
  • Paul Ramadier
  • Paul Rémond
  • Henri Reynders
  • Germaine Ribière
  • Jules-Géraud Saliège
  • Madeleine Sorel
  • Jean-Marie Soutou
  • Robert Stahl
  • Joseph Storck
  • Pierre-Marie Théas
  • Eugène Tisserant
  • André Traband
  • André et Magda Trocmé
  • Paul Vergara
  • Édouard Vigneron
v · m
Lauréats du prix Nobel de physique
1901–1925
  • Röntgen (1901)
  • Lorentz, Zeeman (1902)
  • Becquerel, P. Curie, M. Curie (1903)
  • Rayleigh (1904)
  • Lenard (1905)
  • Thomson (1906)
  • Michelson (1907)
  • Lippmann (1908)
  • Marconi, Braun (1909)
  • van der Waals (1910)
  • Wien (1911)
  • Dalén (1912)
  • Kamerlingh Onnes (1913)
  • Laue (1914)
  • W. H. Bragg, W. L. Bragg (1915)
  • Barkla (1917)
  • Planck (1918)
  • Stark (1919)
  • Guillaume (1920)
  • Einstein (1921)
  • N. Bohr (1922)
  • Millikan (1923)
  • M. Siegbahn (1924)
  • Franck, Hertz (1925)
1926–1950
  • Perrin (1926)
  • Compton, C. Wilson (1927)
  • O. Richardson (1928)
  • De Broglie (1929)
  • Râman (1930)
  • Heisenberg (1932)
  • Schrödinger, Dirac (1933)
  • Chadwick (1935)
  • Hess, C. D. Anderson (1936)
  • Davisson, Thomson (1937)
  • Fermi (1938)
  • Lawrence (1939)
  • Stern (1943)
  • Rabi (1944)
  • Pauli (1945)
  • Bridgman (1946)
  • Appleton (1947)
  • Blackett (1948)
  • Yukawa (1949)
  • Powell (1950)
1951–1975
  • Cockcroft, Walton (1951)
  • Bloch, Purcell (1952)
  • Zernike (1953)
  • Born, Bothe (1954)
  • Lamb, Kusch (1955)
  • Shockley, Bardeen, Brattain (1956)
  • Yang, T. D. Lee (1957)
  • Cherenkov, Frank, Tamm (1958)
  • Segrè, Chamberlain (1959)
  • Glaser (1960)
  • Hofstadter, Mössbauer (1961)
  • Landau (1962)
  • Wigner, Goeppert-Mayer, Jensen (1963)
  • Townes, Bassov, Prokhorov (1964)
  • Tomonaga, Schwinger, Feynman (1965)
  • Kastler (1966)
  • Bethe (1967)
  • Alvarez (1968)
  • Gell-Mann (1969)
  • Alfvén, Néel (1970)
  • Gabor (1971)
  • Bardeen, Cooper, Schrieffer (1972)
  • Esaki, Giaever, Josephson (1973)
  • Ryle, Hewish (1974)
  • A. Bohr, Mottelson, Rainwater (1975)
1976–2000
  • Richter, Ting (1976)
  • P. W. Anderson, Mott, Van Vleck (1977)
  • Kapitsa, Penzias, R. Wilson (1978)
  • Glashow, Salam, Weinberg (1979)
  • Cronin, Fitch (1980)
  • Bloembergen, Schawlow, K. Siegbahn (1981)
  • K. Wilson (1982)
  • Chandrasekhar, Fowler (1983)
  • Rubbia, van der Meer (1984)
  • von Klitzing (1985)
  • Ruska, Binnig, Rohrer (1986)
  • Bednorz, Müller (1987)
  • Lederman, Schwartz, Steinberger (1988)
  • Ramsey, Dehmelt, Paul (1989)
  • Friedman, Kendall, R. Taylor (1990)
  • de Gennes (1991)
  • Charpak (1992)
  • Hulse, J. Taylor (1993)
  • Brockhouse, Shull (1994)
  • Perl, Reines (1995)
  • D. Lee, Osheroff, R. Richardson (1996)
  • Chu, Cohen-Tannoudji, Phillips (1997)
  • Laughlin, Störmer, Tsui (1998)
  • 't Hooft, Veltman (1999)
  • Alferov, Kroemer, Kilby (2000)
2001-2025
  • Cornell, Ketterle, Wieman (2001)
  • Davis, Koshiba, Giacconi (2002)
  • Abrikosov, Ginzburg, Leggett (2003)
  • Gross, Politzer, Wilczek (2004)
  • Glauber, Hall, Hänsch (2005)
  • Mather, Smoot (2006)
  • Fert, Grünberg (2007)
  • Nambu, Kobayashi, Maskawa (2008)
  • Kao, Boyle, Smith (2009)
  • Geim, Novoselov (2010)
  • Perlmutter, Schmidt, Riess (2011)
  • Haroche, Wineland (2012)
  • Englert, Higgs (2013)
  • Akasaki, Amano, Nakamura (2014)
  • Kajita, McDonald (2015)
  • Kosterlitz, Haldane, Thouless (2016)
  • Weiss, Barish, Thorne (2017)
  • Ashkin, Mourou, Strickland (2018)
  • Peebles, Mayor, Queloz (2019)
  • Genzel, Ghez, Penrose (2020)
  • Parisi, Hasselmann, Manabe (2021)
  • Aspect, Clauser, Zeilinger (2022)
  • Agostini, Krausz, L'Huillier (2023)
  • Hopfield, Hinton (2024)
  • Clarke, Devoret, Martinis (2025)
  • Prix Nobel
  • Chimie
  • Littérature
  • Paix
  • Économie
  • Physique
  • Physiologie ou médecine
v · m
Lauréats français du prix Nobel
Physique
  • 1903 : Henri Becquerel, Marie Curie et Pierre Curie
  • 1908 : Gabriel Lippmann
  • 1926 : Jean Perrin
  • 1929 : Louis de Broglie
  • 1966 : Alfred Kastler
  • 1970 : Louis Néel
  • 1991 : Pierre-Gilles de Gennes
  • 1992 : Georges Charpak
  • 1997 : Claude Cohen-Tannoudji
  • 2007 : Albert Fert
  • 2012 : Serge Haroche
  • 2018 : Gérard Mourou
  • 2022 : Alain Aspect
  • 2023 : Pierre Agostini et Anne L'Huillier
  • 2025 : Michel Devoret
Chimie
  • 1906 : Henri Moissan
  • 1911 : Marie Curie
  • 1912 : Victor Grignard et Paul Sabatier
  • 1935 : Frédéric Joliot-Curie et Irène Joliot-Curie
  • 1987 : Jean-Marie Lehn
  • 2005 : Yves Chauvin
  • 2016 : Jean-Pierre Sauvage
  • 2020 : Emmanuelle Charpentier
  • 2023 : Moungi G. Bawendi
Physiologie ou médecine
  • 1907 : Alphonse Laveran
  • 1912 : Alexis Carrel
  • 1913 : Charles Richet
  • 1928 : Charles Nicolle
  • 1956 : André Frédéric Cournand
  • 1965 : François Jacob, André Lwoff et Jacques Monod
  • 1977 : Roger Guillemin
  • 1980 : Jean Dausset
  • 2008 : Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier
  • 2011 : Jules Hoffmann
Littérature
  • 1901 : Sully Prudhomme
  • 1904 : Frédéric Mistral
  • 1915 : Romain Rolland
  • 1921 : Anatole France
  • 1927 : Henri Bergson
  • 1937 : Roger Martin du Gard
  • 1947 : André Gide
  • 1952 : François Mauriac
  • 1957 : Albert Camus
  • 1960 : Saint-John Perse
  • 1964 : Jean-Paul Sartre
  • 1985 : Claude Simon
  • 2000 : Gao Xingjian
  • 2008 : J. M. G. Le Clézio
  • 2014 : Patrick Modiano
  • 2022 : Annie Ernaux
Paix
  • 1901 : Frédéric Passy
  • 1907 : Louis Renault
  • 1909 : Paul Henri Balluet d'Estournelles de Constant
  • 1920 : Léon Bourgeois
  • 1926 : Aristide Briand
  • 1927 : Ferdinand Buisson
  • 1951 : Léon Jouhaux
  • 1952 : Albert Schweitzer
  • 1968 : René Cassin
  • 1999 : Médecins sans frontières
Économie
  • 1983 : Gérard Debreu
  • 1988 : Maurice Allais
  • 2014 : Jean Tirole
  • 2019 : Esther Duflo
  • 2025 : Philippe Aghion
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  • Survivant français de la Shoah
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  • Déporté résistant
  • Scepticisme scientifique
  • Élève du lycée Saint-Louis
  • Élève de l'École des mines de Paris
  • Enseignant à l'École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris
  • Docteur honoris causa de l'université de Genève
  • Docteur honoris causa de l'université libre de Bruxelles
  • Docteur honoris causa de l'université Aristote de Thessalonique
  • Docteur honoris causa de l'université de Coimbra
  • Lauréat du prix Nobel de physique
  • Lauréat français du prix Nobel
  • Lauréat du prix Roberval
  • Membre de l'Académie des sciences (France)
  • Membre étranger de l'Académie des sciences de Russie
  • Membre de l'Académie nationale des sciences
  • Membre de l'Académie autrichienne des sciences
  • Personnalité de la liste Portraits de France
  • Résistant polonais en France durant la Seconde Guerre mondiale
  • Lauréat de la médaille d'argent du CNRS
  • Officier de la Légion d'honneur promu en 2007
  • Naissance en mars 1924
  • Naissance en Pologne
  • Décès en septembre 2010
  • Décès dans le 5e arrondissement de Paris
  • Décès à 86 ans
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