| Kembs | |
La mairie. | |
Blason |
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| Administration | |
|---|---|
| Pays | |
| Région | Grand Est |
| Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
| Circonscription départementale | Haut-Rhin |
| Arrondissement | Mulhouse |
| Intercommunalité | Saint-Louis Agglomération |
| Maire Mandat |
Joël Roudaire 2020-2026 |
| Code postal | 68680 |
| Code commune | 68163 |
| Démographie | |
| Gentilé | Kembsois |
| Population municipale |
5 694 hab. (2022 |
| Densité | 346 hab./km2 |
| Géographie | |
| CoordonnĂ©es | 47° 41âČ 23âł nord, 7° 30âČ 16âł est |
| Altitude | Min. 222 m Max. 255 m |
| Superficie | 16,45 km2 |
| Type | Bourg rural |
| Unité urbaine | Kembs (ville-centre) |
| Aire d'attraction | Bale - Saint-Louis (partie française) (commune de la couronne) |
| Ălections | |
| Départementales | Canton de Brunstatt-Didenheim |
| Législatives | SixiÚme circonscription |
| Localisation | |
| Liens | |
| Site web | http://www.kembs.fr/ |
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Kembs [kÉms] â est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la CollectivitĂ© europĂ©enne d'Alsace, en rĂ©gion Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
[modifier | modifier le code]La commune est situĂ©e entre le Rhin Ă l'est et la forĂȘt de la Hardt Ă l'ouest, Ă cheval sur la basse terrasse rhĂ©nane et la basse plaine. Elle est marquĂ©e par un talus d'un vingtaine de mĂštres de haut endiguant le grand canal d'Alsace[1].
Outre le bourg, la commune comprend des hameaux tels que Loechlé, Richardshaeuser ou Schaeferhof issus de l'ancienne commune de Neuweg supprimée en 1830.
Environnement et hydrographie
[modifier | modifier le code]Dans le cadre de la prolongation de la concession du barrage, de l'Ă©cluse et de la centrale principale en 2010 (concession dĂ©sormais renouvelĂ©e jusqu'en 2035), EDF s'est engagĂ© Ă mettre en Ćuvre plusieurs mesures compensatoires. Ceci a permis une opĂ©ration de renaturation sur environ 100 hectares de lâĂźle du Rhin, avec remise en eau d'un ancien bras du Rhin dit « le vieux Rhin »[2] ainsi que la construction d'une centrale de restitution de 8,4 MW dite Centrale K et inaugurĂ©e Ă l'automne 2016[3].
Environ 60 millions dâeuros et plus de cinq ans de chantier ont permis un inventaire de la biodiversitĂ©, le dĂ©placement de plus de 380 000 m3 de dĂ©blais, la plantation de 150 000 plants, dans la rĂ©serve naturelle de la petite Camargue alsacienne ainsi que la construction de la nouvelle centrale[2].
Dans ce cadre, le dĂ©bit rĂ©servĂ© au Vieux Rhin est passĂ© de 20 m3/s Ă 52 m3/s en hiver et jusquâĂ 150 m3/s en Ă©tĂ©. Les apports naturels de graviers dans le Rhin se font Ă nouveau via une « Ă©rosion maĂźtrisĂ©e des berges complĂ©tĂ©e d'une injection de matĂ©riaux graveleux dans le Rhin » et la trame verte et bleue bĂ©nĂ©ficie lĂ de deux passes Ă poissons, nouvelles, ainsi que d'une « passe Ă castors »[2].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Grand canal d'Alsace, le Rhin, le canal de Neuf-Brisach, le ruisseau l'Augraben et le ruisseau de Rosenau[4],[5],[Carte 1].
Le Grand canal d'Alsace, d'une longueur de 93 km, prend sa source dans la commune de SchĆnau et se jette dans le Rhin Ă Erstein, aprĂšs avoir traversĂ© 31 communes[6].
Le Rhin, long de 1 233 km est le plus long fleuve se déversant dans la mer du Nord et de l'une des voies navigables les plus fréquentées du monde. Il traverse la Suisse, l'Autriche, l'Allemagne et les Pays-Bas et marque la frontiÚre entre l'Allemagne et la France[7].
Le canal de Neuf-Brisach, d'une longueur de 35 km, est un canal, chenal non navigable qui relie la commune de Biesheim Ă Kunheim, oĂč il se jette dans le canal du RhĂŽne au Rhin[8].
L'Augraben, d'une longueur de 23 km, prend sa source dans la commune de Hagenthal-le-Haut et se jette dans le Grand canal d'Alsace sur la commune, aprÚs avoir traversé sept communes[9].

Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Ill Nappe Rhin ». Ce document de planification concerne la nappe phrĂ©atique rhĂ©nane, les cours d'eau de la plaine d'Alsace et du piĂ©mont oriental du Sundgau, les canaux situĂ©s entre l'Ill et le Rhin et les zones humides de la plaine d'Alsace. Le pĂ©rimĂštre sâĂ©tend sur 3 596 km2. Il a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est la rĂ©gion Grand Est[10].
La qualitĂ© des cours dâeau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de lâeau et lâAgence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]Plusieurs Ă©tudes ont Ă©tĂ© menĂ©es afin de caractĂ©riser les types climatiques auxquels est exposĂ© le territoire national. Les zonages obtenus diffĂšrent selon les mĂ©thodes utilisĂ©es, la nature et le nombre des paramĂštres pris en compte, le maillage territorial des donnĂ©es et la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence. En 2010, le climat de la commune Ă©tait ainsi de type climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, selon une Ă©tude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une mĂ©thode combinant donnĂ©es climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des donnĂ©es couvrant la pĂ©riode 1971-2000[11]. En 2020, le climat prĂ©dominant est classĂ© Cfb, selon la classification de Köppen-Geiger, pour la pĂ©riode 1988-2017, Ă savoir un climat tempĂ©rĂ© Ă Ă©tĂ© frais sans saison sĂšche[12]. Par ailleurs MĂ©tĂ©o-France publie en 2020 une nouvelle typologie des climats de la France mĂ©tropolitaine dans laquelle la commune est exposĂ©e Ă un climat semi-continental[13] et est dans la rĂ©gion climatique Alsace, caractĂ©risĂ©e par une pluviomĂ©trie faible, particuliĂšrement en automne et en hiver, un Ă©tĂ© chaud et bien ensoleillĂ©, une humiditĂ© de lâair basse au printemps et en Ă©tĂ©, des vents faibles et des brouillards frĂ©quents en automne (25 Ă 30 jours)[14]. Elle est en outre dans la zone H1b au titre de la rĂ©glementation environnementale 2020 des constructions neuves[15],[16].
Pour la pĂ©riode 1971-2000, la tempĂ©rature annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de prĂ©cipitations est de 653 mm, avec 8,2 jours de prĂ©cipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[11]. Pour la pĂ©riode 1991-2020, la tempĂ©rature moyenne annuelle observĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, sur la commune de Saint-Louis Ă 12 km Ă vol d'oiseau[17], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de prĂ©cipitations est de 764,3 mm[18],[19]. La tempĂ©rature maximale relevĂ©e sur cette station est de 39,1 °C, atteinte le ; la tempĂ©rature minimale est de â23,5 °C, atteinte le [Note 2].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Kembs est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Kembs[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 4],[21],[22]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bùle - Saint-Louis (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[22]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (48,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (49,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (48,6 %), terres arables (26,4 %), zones urbanisĂ©es (15,8 %), eaux continentales[Note 6] (9,3 %)[25]. L'Ă©volution de lâoccupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 3].

Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Connue depuis l'Antiquité, Kembs est située à l'intersection des antiques voies nord - sud et ouest - est se prolongeant au-delà du Rhin : Cambete figure sur la Table de Peutinger et sur l'Itinéraire d'Antonin. Au Ier siÚcle, le castel romain devint une résidence impériale puis, au IVe siÚcle, une forteresse importante. Lors de l'édification du grand canal d'Alsace en 1950, la découverte de vestiges d'une pile de pont en maçonnerie sur le Rhin datant du Ier siÚcle confirma cette importance[1].
En 2021, une nécropole de l'Antiquité tardive est exhumée dans la commune. Le chantier archéologique dévoile un enclos funéraire mérovingien et plusieurs centaines de tombes alamanes datées du Ve siÚcle. Identifiés par leurs fibules particuliÚres, propres aux soldats germaniques, plusieurs des défunts de la nécropole de Cambete pourraient avoir appartenu aux forces auxiliaires qui appuyaient les légions romaines dans la défense de la frontiÚre du Rhin[26].
Du Moyen Ăge Ă la guerre de Trente Ans, Kembs Ă©tait partagĂ©e entre les deux plus grands propriĂ©taires d'alors : l'Ă©vĂȘque et le prieurĂ© Saint-Alban-de-BĂąle. La paroisse et l'Ă©glise ont Ă©tĂ© citĂ©es au XIIe siĂšcle. Le village fut dĂ©truit et reconstruit Ă plusieurs reprises aux XIVe et XVe siĂšcles. Agrandi Ă partir de 1550, il fut unifiĂ© aprĂšs les destructions de la guerre de Trente Ans[1].
Le XVIIe siÚcle vit la création d'une liaison postale (en 1680) et l'installation d'une communauté juive.
En 1830, la commune absorba une partie du territoire de l'ancienne commune de la Chaussée ou Neuweg qui comprenait les lieux-dits Schaeferhof, Loechle et Richardshaeuser. Ces annexes avaient été créées sous Louis XIV le long de la voie nord - sud afin de desservir les redoutes et corps de garde construits le long du Rhin à partir de 1677, ouvrages dont il ne reste plus rien aujourd'hui.
Le canal de Huningue fut construit au XIXe siĂšcle et rendu navigable en 1830.
De 1871 à 1918, en vertu du traité de Francfort, la commune est annexée par l'Empire allemand, comme toute l'Alsace-Lorraine, et devient Grosskems. Elle fait partie du Bezirk Oberelsass.
Le XXe siÚcle vit l'inauguration de l'usine hydroélectrique par le président Albert Lebrun en 1932, la destruction du lieu de culte juif entre 1918 et 1945 et la reconstruction de l'usine hydroélectrique entre 1946 et 1949. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Kembs fut détruite aux deux-tiers[1]. L'usine hydro-électrique fut sérieusement endommagée en 1940 puis en 1944. Le l'usine fut enlevée de haute lutte par des unités de la 9e DIC qui y anéantirent un bataillon ennemi.
-
Vue générale (1932).
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Vue générale (1932).
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La force électrique des usines de Kembs (1932).
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Jeunes Alsaciens lisant un compliment au Président (1932).
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Kembs est membre de l'intercommunalité Saint-Louis Agglomération[27], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Saint-Louis. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[28].
Sur le plan administratif, elle est rattachĂ©e Ă l'arrondissement de Mulhouse, Ă la circonscription administrative de l'Ătat du Haut-Rhin, en tant que circonscription administrative de l'Ătat, et Ă la rĂ©gion Grand Est[27].
Sur le plan Ă©lectoral, elle dĂ©pendait jusqu'en 2020 du canton de Brunstatt-Didenheim pour l'Ă©lection des conseillers dĂ©partementaux au sein du conseil dĂ©partemental du Haut-Rhin. Depuis le , elle dĂ©pend du mĂȘme canton pour l'Ă©lection des conseillers d'Alsace au sein de la collectivitĂ© europĂ©enne d'Alsace[29].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]D'aprĂšs le site officiel de Kembs :
Ătaules, dĂ©partement de la Charente-Maritime (France) ;
Lencouacq, département des Landes (France).
Ăquipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Kembs dispose de quatre écoles : l'école élémentaire Jean Monnet et l'école maternelle Les Lutins à Kembs village ; l'école élémentaire Léonard de Vinci et l'école maternelle Paul Klee à Kembs Loechlé.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations de rĂ©fĂ©rence des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[35].
En 2022, la commune comptait 5 694 habitants[Note 7], en évolution de +10,43 % par rapport à 2016 (Haut-Rhin : +0,88 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Le pic observĂ© autour de 1930 correspond Ă l'arrivĂ©e massive dâouvriers pour le chantier du grand canal d'Alsace: les excavations, ainsi que la construction de la premiĂšre usine hydroĂ©lectrique et des Ă©cluses de ce canal (situĂ©es sur la commune) ont durĂ© de 1928 Ă 1932.
Ăconomie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- La réserve naturelle de la petite Camargue alsacienne.
- La premiÚre centrale hydroélectrique[38] et l'écluse de Kembs-Niffer[39], la premiÚre écluse du grand canal d'Alsace[40].
- L'église Notre-Dame-de-la-Maternité à Loechlé (XXe siÚcle)[41].
- L'ancien relais de poste (XVIIIe siĂšcle)[42].
- L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste (XVIIIe siÚcle)[43].
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L'église Saint-Jean-Baptiste.
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L'église Notre-Dame-de-la-Maternité à Loechlé.
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L'usine hydro-électrique.
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Entrée de l'usine EDF de Kembs.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Lors du traité de Versailles en 1919, la France se voit attribuer le droit d'exploiter le Rhin pour produire de l'électricité. L'ingénieur René Koechlin construisit la centrale de Kembs et l'écluse attenante entre 1928 et 1932. Les 6 turbines produisent en moyenne 920 GWh par an, pour une puissance installée d'environ 150 MW. Les éclusiers sont des agents assermentés salariés d'EDF[44]. La centrale d'origine détruite pendant la Seconde Guerre mondiale a été reconstruite aprÚs-guerre. Elle représentait alors environ 5 % de la production électrique du pays (archive INA).
Héraldique
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Les armes de Kembs se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Louis Abel, Kembs en Sundgau rhĂ©nan : l'Ă©glise et l'architecte du XVIIIe siĂšcle : François-Antoine Zeller (1740-1816) et son activitĂ© en Haute-Alsace, Association du Souvenir de l'Ăglise St-Jean-Baptiste de Kembs, diff. Librairie Oberlin, 1986, 285 p.
- J. Dieterlen, Kembs : premier échelon du Grand canal d'Alsace, La Navigation du Rhin, Strasbourg, 1932, 482 p.
- L'Usine hydro-Ă©lectrique de Kembs : topographie et rĂ©gime du Rhin historique et description du projet, Ănergie Ă©lectrique du Rhin, Imprimerie Braun, Mulhouse, 1929, 16 p.
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivitĂ©. », sur MĂ©tĂ©o-France, (consultĂ© le ). Site Ă©laborĂ© Ă partir des donnĂ©es de projections climatiques de rĂ©fĂ©rence DRIAS-2020. Entrer le nom de la commune pour afficher une liste dâindicateurs climatiques caractĂ©risant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- â Les ruisseaux intermittents sont reprĂ©sentĂ©s en traits pointillĂ©s.
- â Les records sont Ă©tablis sur la pĂ©riode du au .
- â Une unitĂ© urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes prĂ©sentant une zone de bĂąti continu (pas de coupure de plus de 200 mĂštres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitiĂ© de sa population dans cette zone bĂątie.
- â Dans une agglomĂ©ration multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population reprĂ©sente plus de 50 % de la population de lâagglomĂ©ration ou de la population de la commune la plus peuplĂ©e. L'unitĂ© urbaine de Kembs comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- â La notion d'aire d'attraction des villes a remplacĂ© en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohĂ©rentes avec les autres pays de l'Union europĂ©enne.
- â Les eaux continentales dĂ©signent toutes les eaux de surface, en gĂ©nĂ©ral des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent Ă l'intĂ©rieur des terres.
- â Population municipale de rĂ©fĂ©rence en vigueur au 1er janvier 2025, millĂ©simĂ©e 2022, dĂ©finie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de rĂ©fĂ©rence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
[modifier | modifier le code]- â « RĂ©seau hydrographique de Kembs » sur GĂ©oportail (consultĂ© le 14 juin 2024).
- â « QualitĂ© des eaux de riviĂšre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consultĂ© le ).
- â IGN, « Ăvolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « La commune de Kembs », notice no IA00122501, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Environnement-magazine 2015 Biodiversité : Le Petit-Rhin renaßt en Alsace, publié le 8 juin 2015
- â « Une nouvelle centrale hydroĂ©lectrique Ă Kembs », EDF France,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- â Sandre, « le ruisseau de Rosenau »
- â « Fiche communale de Kembs », sur le systĂšme d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consultĂ© le ).
- â Sandre, « le Grand canal d'Alsace »
- â Sandre, « le Rhin »
- â Sandre, « le canal de Neuf-Brisach »
- â Sandre, « l'Augraben »
- â « SAGE Ill Nappe Rhin », sur gesteau.fr (consultĂ© le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI 10.4000/cybergeo.23155).
- â Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustrĂ© par la classification de Köppen », La MĂ©tĂ©orologie, no 116,â (DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
- â « Le climat en France hexagonale et Corse. », sur meteofrance.com (consultĂ© le ).
- â « Zonages climatiques en France mĂ©tropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consultĂ© le ).
- â « RĂ©glementation environnementale RE2020 », sur ecologie.gouv.fr, (consultĂ© le ).
- â « RĂ©partition des dĂ©partements par zone climatique » [PDF], sur ecologie.gouv.fr (consultĂ© le )
- â « Orthodromie entre Kembs et Saint-Louis », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- â « Station MĂ©tĂ©o-France « BĂąle-Mulhouse », sur la commune de Saint-Louis - fiche climatologique - pĂ©riode 1991-2020. », sur object.files.data.gouv.fr/meteofrance/ (consultĂ© le ).
- â « Station MĂ©tĂ©o-France « BĂąle-Mulhouse », sur la commune de Saint-Louis - fiche de mĂ©tadonnĂ©es. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consultĂ© le ).
- â « La grille communale de densitĂ© », sur le site de l'Insee, (consultĂ© le ).
- â « UnitĂ© urbaine 2020 de Kembs », sur le site de l'Insee (consultĂ© le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Kembs ».
- â « Liste des communes composant l'aire d'attraction de BĂąle - Saint-Louis (partie française) », sur le site de l'Insee (consultĂ© le ).
- â Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Insee, (consultĂ© le ).
- â « CORINE Land Cover (CLC) - RĂ©partition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (mĂ©tropole). », sur le site des donnĂ©es et Ă©tudes statistiques du ministĂšre de la Transition Ă©cologique. (consultĂ© le ).
- â Simon Cherner, Parures d'or et scramasaxe : une nĂ©cropole de l'AntiquitĂ© tardive exhumĂ©e en Alsace, lefigaro.fr, 12 septembre 2021
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Kembs », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- â « Saint-Louis AgglomĂ©ration - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalitĂ© (consultĂ© le ).
- â Rachel NoĂ«l, « CollectivitĂ© europĂ©enne dâAlsace : ce qu'il faut savoir sur le projet », sur www.francebleu.fr, (consultĂ© le ).
- â Jean-Luc Nussbaumer, « EugĂšne Moser, maire historique, se raconte », L'Alsace,â (lire en ligne).
- â « NĂ©crologie : AimĂ© Spaeth, ancien maire de Kembs », L'Alsace,â (lire en ligne)
- â N.M., « JoĂ«l Roudaire Ă©lu maire de Kembs », L'Alsace,â (lire en ligne)
- â « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'Ătat (consultĂ© le ).
- â L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- â Calendrier dĂ©partemental des recensements, sur insee.fr.
- â Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- â Fiches Insee - Populations de rĂ©fĂ©rence de la commune pour les annĂ©es 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- â « La centrale hydroĂ©lectrique », notice no IA00122512, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- â « L'Ă©cluse », notice no PA68000041, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- â Voir aussi ces amĂ©nagements sur le site Au fil du Rhin auFilDuRhin.com, consultĂ© le 2023-02-15.
- â « L'Ă©glise Notre-Dame-de-la-MaternitĂ© », notice no IA00122507, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- â « L'ancien relais de poste », notice no IA00122439, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- â « L'Ă©glise paroissiale Saint-Jean-Baptiste », notice no IA00122434, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- â Panneau explicatif Ă l'entrĂ©e de la centrale de Kembs
- â Archives DĂ©partementales du Haut-Rhin

