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La ville de Londres

Le Libor Ă©tait un des taux de rĂ©fĂ©rence du marchĂ© monĂ©taire de diffĂ©rentes devises. Il Ă©tait calculĂ© comme la moyenne Ă©crĂȘtĂ©e des rĂ©ponses des principales banques Ă  la question : « quel taux pensez-vous que les autres banques vous demanderaient pour vous prĂȘter de l'argent ? Â», avec plusieurs horizons (maturitĂ©s) proposĂ©es. Il agissait comme principale rĂ©fĂ©rence, avec l'Euribor pour la fixation des taux des crĂ©dits Ă  court terme dans le monde, pour un certain nombre de prĂȘts Ă  plus long terme, allant des cartes de crĂ©dit aux prĂȘts immobiliers Ă  taux variable.

Ces taux étaient calculés chaque jour ouvré pour cinq devises et sept maturités allant du jour le jour à sept ans[1], et publié par Thomson Reuters.

Son nom a Ă©tĂ© formĂ© Ă  partir des initiales de la dĂ©nomination anglaise London interbank offered rate en français : « taux interbancaire pratiquĂ© Ă  Londres Â». Historiquement, c'est le premier des nombreux taux IBOR.

En 2012, des révélations issues de la banque Barclays mettent en évidence que les opérateurs de marché de plusieurs des banques du panel s'étaient entendus pour soumettre des estimations sous-évaluées par rapport aux taux réels auxquels auraient fait face ces banques, dans le but de minorer la perception des tensions (difficultés de financement) auxquelles les banques faisaient face sur le marché à court terme. Le 25 septembre 2012, la supervision du Libor a été transférée à l'autorité de contrÎle prudentiel britannique (la Financial Services Authority). Celle-ci recommanda que le taux soit fixé non plus sur la base de déclaration, mais de transactions réelles, que les soumissions de chaque banque soient rendues publiques au bout de trois mois, et que la manipulation de ce taux puisse faire l'objet de poursuites criminelles. En 2012 et en 2013, le gouvernement britannique a mis en application la plupart de ces recommandations. ParallÚlement, un nombre important de banques ont été poursuivies et condamnées à des amendes pour leur participation à la manipulation du taux en 2012 et avant.

À la suite de ce scandale, l'abandon en 2021 du Libor comme taux de rĂ©fĂ©rence est annoncĂ© en 2017.

Définition

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Pour une devise considĂ©rĂ©e et pour une Ă©chĂ©ance donnĂ©e, le Libor est un indice de taux calculĂ© chaque jour ouvrĂ© Ă  11h (heure de Londres) et publiĂ© par l'ICE Benchmark Administration[2], devant en principe reflĂ©ter le taux moyen auquel un Ă©chantillon de seize grandes banques internationales Ă©tablies Ă  Londres prĂȘtent « en blanc Â»[3] (c’est-Ă -dire sans que le prĂȘt soit gagĂ© par des titres) Ă  d'autres grandes banques (voir IBOR).

L'Ă©chantillon des banques choisies est connu Ă  l'avance et plutĂŽt stable dans le temps. Les taux les plus extrĂȘmes (les quatre plus hauts et les quatre plus bas) relevĂ©s sont Ă©cartĂ©s du calcul en utilisant une moyenne tronquĂ©e, afin de protĂ©ger l'indice d'Ă©ventuelles erreurs ou d'une crise de liquiditĂ© qui affecterait telle ou telle banque de l'Ă©chantillon. C'est en quelque sorte un baromĂštre de la stabilitĂ© financiĂšre et de la santĂ© du systĂšme bancaire mondial[3].

Devises concernées

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Les devises pour lesquelles il existe un taux LIBOR sont les suivantes :

  • le dollar amĂ©ricain (USD) ;
  • la livre sterling (GBP) ;
  • le yen (JPY) ;
  • le franc suisse (CHF) ;
  • l'euro (EUR), bien que le LIBOR soit fort peu utilisĂ© pour cette devise, dont l'indice de rĂ©fĂ©rence est l'EURIBOR.

ÉchĂ©ances publiĂ©es

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Les maturitĂ©s publiĂ©es sont :

  • 1 jour (spot-next ou overnight),
  • 1 semaine,
  • 2 semaines,
  • 1 mois,
  • 2 mois,
  • 3 mois,
  • et ainsi de suite jusqu'Ă  12 mois.

Importance économique

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Les LIBOR qui sont les plus utilisĂ©s sont le 1, le 2 et surtout le 3 mois, qui sert de rĂ©fĂ©rence principale au marchĂ© des swaps. De plus, l'expĂ©rience montre que les donnĂ©es fournies par les banques participantes pour les Ă©chĂ©ances supĂ©rieures Ă  trois mois peuvent ĂȘtre fort approximatives, voire intĂ©ressĂ©es[4].

Par ailleurs, les taux publiés pour le yen et les dollars australien et néo-zélandais sont en fait calculés et non constatés, à cause du décalage horaire, alors que ces marchés sont fermés depuis longtemps dans leur pays d'origine. Il est donc prudent de les considérer avec un certain degré de scepticisme.

Le LIBOR 3 mois Dollar sert de base Ă  l'un des contrats Ă  terme les plus actifs du monde, vĂ©ritable marchĂ© directeur des taux d'intĂ©rĂȘt amĂ©ricains Ă  court et moyen terme : le contrat eurodollar. Ce contrat se traite notamment sur le CME Ă  Chicago, le LIFFE Ă  Londres et le SGX Ă  Singapour.

Histoire du Libor

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Origines du Libor

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Le LIBOR a Ă©tĂ© formalisĂ© en 1985 par la British Bankers' Association pour unifier les diffĂ©rents taux d'intĂ©rĂȘt utilisĂ©s par les banques lors de la souscription de prĂȘts syndiquĂ©s sur le marchĂ© des Eurodollars et Ă©tendre son usage Ă  d'autres instruments financiers[5]. Il est progressivement devenu central pour tout une gamme de produits dĂ©rivĂ©s.

Scandale du Libor

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Article dĂ©taillĂ© : Scandale du Libor.

Outre son caractÚre déclaratif plutÎt que basé sur des transactions effectivement recensées, le taux Libor est une moyenne qui n'a de sens que si toutes les grandes banques sont trÚs proches de cette moyenne. La crise économique mondiale des années 2008 et suivantes a fait exploser ces écarts à la moyenne, faisant perdre tout son sens au Libor[6].

L'une des prĂ©occupations des salles de marchĂ© depuis est de trouver un taux alternatif au Libor pour mieux rendre compte du coĂ»t rĂ©el de financement, tel que le taux OIS (Overnight Indexed Swap) par exemple[rĂ©f. souhaitĂ©e][7].

En 2011, la banque UBS, en Ă©change de clĂ©mence, rĂ©vĂšle aux autoritĂ©s amĂ©ricaines de rĂ©gulation qu'elle et de nombreuses autres institutions bancaires se sont concertĂ©es pendant 3 ans, de 2006 Ă  2009, pour orienter le taux Libor en violation des dispositions anticoncurrentielles (le taux change chaque jour en fonction des rĂ©ponses envoyĂ©es par les banques Ă  un questionnaire quotidien permettant cette fixation). Il s'agissait soit de diminuer les risques de vulnĂ©rabilitĂ© (en cas de taux Libor fixĂ© trop haut), soit de cacher des vulnĂ©rabilitĂ©s (pour les banques dĂ©clarant des taux plus bas que ceux qu'ils payent) et possiblement de manipuler les cours dans l'objectif d'obtenir des plus-values[8]. À la suite de ces rĂ©vĂ©lations, les autoritĂ©s de rĂ©gulation du secteur bancaire, le Financial Services Authority (FSA) britannique, mais aussi le FBI et le dĂ©partement de la Justice des États-Unis, ont diligentĂ© des enquĂȘtes, tandis que le Financial Times rĂ©vĂšle en fĂ©vrier 2012 que plusieurs traders et responsables ont Ă©tĂ© limogĂ©s par de nombreuses banques Ă  la suite de la rĂ©vĂ©lation du scandale[8].

Le 27 juin 2012, Barclays rĂ©vĂšle qu'elle versera 290 millions de livres « pour mettre fin Ă  des enquĂȘtes des rĂ©gulateurs britannique et amĂ©ricain dans une affaire de manipulation du taux interbancaire britannique Libor et europĂ©en Euribor entre 2005 et 2009 Â». En agissant ainsi, Barclays semblait jouir d'une bonne santĂ© financiĂšre et pouvait mener Ă  terme diffĂ©rentes levĂ©es de fonds sans ĂȘtre mise sous surveillance par les institutions de rĂ©gulation[9]. Le 10 juillet 2012, le SĂ©nat des États-Unis convoque le secrĂ©taire au TrĂ©sor, Timothy Geithner, et le prĂ©sident de la Fed, Ben Bernanke, pour en savoir plus sur le « scandale du Libor Â». En effet, le Libor sur le dollar amĂ©ricain se calcule d'aprĂšs des informations fournies par 18 institutions de niveau mondial, dont des banques amĂ©ricaines (parmi lesquelles Citigroup et JPMorgan Chase)[10].

Pour limiter les risques de conflit d'intĂ©rĂȘts et d'abus de position dominante dans le secteur financier, notamment pour ce qui a trait Ă  la dĂ©termination du taux de base inter-bancaire, un nombre grandissant d’experts en matiĂšre de rĂ©gulation financiĂšre recommandent l’adoption de rĂ©formes structurelles profondes, notamment en France oĂč les Ă©conomistes du forum mondial des fonds de pension et du CJD [11] estiment, qu’au-delĂ  de simples dispositions lĂ©gislatives et rĂ©glementaires nationales, il convient d’adopter une grande loi-cadre europĂ©enne ou internationale inspirĂ©e du Glass-Steagall Act permettant de limiter les nombreux risques d'abus inhĂ©rents Ă  tout oligopole faiblement rĂ©gulĂ©[12],[13].

Ce point de vue se dĂ©veloppe Ă  la faveur de la « crise du Libor Â» au cours de l'Ă©tĂ© 2012, les Ă©ditorialistes du Financial Times au Royaume-Uni appelant dĂ©sormais Ă  l'adoption rapide d'un "Glass Steagall II" pan-europĂ©en[14]

C'est dans cette mĂȘme perspective que l'ex-patron de Citigroup, Sandy Weill, s'est Ă©galement prononcĂ© en faveur d'une stricte sĂ©paration entre les banques d'investissement et les banques de dĂ©pĂŽts aux États-Unis. Cette dĂ©claration a Ă©tĂ© d'autant plus remarquĂ©e que Sandy Weill avait Ă©tĂ©, sous la prĂ©sidence de Bill Clinton, un des Ă©lĂ©ments les plus actifs prĂŽnant l'abrogation des derniĂšres barriĂšres du Glass-Steagall Act[15].

En dĂ©cembre 2012, UBS est condamnĂ©e Ă  verser 1,5 milliard USD Ă  titre de rĂ©paration pour manipulation du taux Libor. La Financial Services Authority a « relevĂ© que les manipulations Ă©taient dĂ©battues dans un forum de discussion interne et par [courriel], et Ă©taient de ce fait amplement connues Â»[16].

En février 2013, RBS (Royal Bank of Scotland) est condamnée à verser 450 millions d'euros (condamné par la FSA britannique, la CFTC américaine et le département américain de la Justice) [17].

En mars 2013, l'organisme de refinancement hypothécaire américain Freddie Mac porte plainte contre une dizaine de grands groupes bancaires et contre la BBA (British Bankers' Association). PremiÚres amendes de 2,5 milliards de dollars pour 3 banques[18].

En octobre 2013, l'organisme de refinancement hypothĂ©caire amĂ©ricain Fannie Mae porte plainte contre neuf grandes banques mondiales : Barclays, Royal Bank of Scotland, UBS, Credit Suisse, Deutsche Bank, Rabobank, Bank of America, Citigroup, JPMorgan Chase[19].

En novembre 2013, UBS conclut un « accord d'immunitĂ© Â» avec les autoritĂ©s europĂ©ennes de la concurrence, lui permettant d'Ă©viter les prochaines amendes (pour raisons de coopĂ©ration avec les enquĂȘteurs)[20]. Cet accord lui permet d'Ă©chapper, fin 2013, Ă  une amende de 2,5 milliards d’euros[21] (dossier du Libor libellĂ© en yen).

En juillet 2014, Lloyds est condamné à une amende de 218 millions de livres pour son implication dans l'affaire du Libor, aux autorités britannique et américaine[22].

En novembre 2014, aprĂšs une enquĂȘte de la Financial Conduct Authority (Royaume-Uni), de la Finma (Suisse), de la Commodity Futures Trading Commission (États-Unis) et de l'Office of the Comptroller of the Currency (États-Unis), Bank of America, Citigroup, HSBC, JP Morgan Chase, Royal Bank of Scotland et UBS paient une amende de 4,2 milliards de dollars dans le cadre d'ententes pour manipuler le cours du Libor, un indice de taux de change[23].

En août 2015, un juge condamne Tom Hayes à 14 ans de prison dans l'affaire Libor [24].

Le 27 juillet 2017, la Financial Conduct Authority annonce l'abandon du Libor Ă  la fin de l’annĂ©e 2021[25]. Pour le remplacer sur sa maturitĂ© la plus courte (24 heures, « overnight Â»), le Sonia (Sterling Overnight Index Average) devrait apparaĂźtre d'ici 2021[26].

Notes et références

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  1. ↑ (en) « LIBOR Â», sur theice.com (consultĂ© le 13 dĂ©cembre 2018).
  2. ↑ « ICE Benchmark Administration Replaces the British Bankers' Association as Administrator of LIBOR Â»(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?), sur whiteandwilliams.com (consultĂ© le 1er septembre 2020).
  3. ↑ a et b Marine Rabreau, « Libor : comprendre ce scandale qui fait trembler les banques Â», sur lefigaro.fr, 23 avril 2015 (consultĂ© le 23 avril 2015).
  4. ↑ [1]
  5. ↑ (en) Devin Wiggs, « City of standards: London and the rise of LIBOR in global finance Â», Economy and Society, vol. 51, no 3,‎ 3 juillet 2022, p. 398–421 (ISSN 0308-5147 et 1469-5766, DOI 10.1080/03085147.2022.2080926, lire en ligne, consultĂ© le 29 aoĂ»t 2024)
  6. ↑ (en) Crisis probe puts Libor in spotlight, Financial Times
  7. ↑ (en) John C. Hull, Options, Futures, and Other Derivatives (ISBN 978-0-273-75907-2), The risk-free rate (page 77)
  8. ↑ a et b « La finance mondiale perd ses repĂšres Â», Challenges, no 295, 5 avril 2012, p. 40-41.
  9. ↑ Associated Press et Agence France-Presse, « Le scandale des taux d’intĂ©rĂȘt - Le patron dĂ©missionnaire fait son mea-culpa devant les dĂ©putĂ©s Â», Le Devoir,‎ 5 juillet 2012 (lire en ligne, consultĂ© le 11 juillet 2012)
  10. ↑ Agence France-Presse, « Le scandale du Libor se transporte devant le CongrĂšs des États-Unis Â», Le Devoir,‎ 11 juillet 2012 (lire en ligne, consultĂ© le 11 juillet 2012)
  11. ↑ « Objectif OĂŻkos: 12 Propositions pour 2012 Â», Propositions du CJD,‎ novembre 2011/juin 2012 (lire en ligne, consultĂ© le 19 juillet 2012) p. 98.
  12. ↑ M Nicolas Firzli, « Orthodoxie financiĂšre et rĂ©gulation bancaire: les leçons du Glass-Steagall Act Â» [« Bank Regulation and Financial Orthodoxy: the Lessons from the Glass-Steagall Act Â»], Revue Analyse FinanciĂšre, no 34,‎ janvier 2010, p. 49–52 (lire en ligne, consultĂ© le 14 juillet 2012)
  13. ↑ Marie Lepesant, « Le ModĂšle des Banques Françaises en Question Â», Le Parisien,‎ 11 juin 2012 (lire en ligne, consultĂ© le 12 juin 2012) quoting M. Nicolas Firzli.
  14. ↑ (en) Page Editorial, « Restoring trust after Diamond Â», Financial Times,‎ 3 juillet 2012 (lire en ligne, consultĂ© le 15 juillet 2012) quoting FT Editorial Page.
  15. ↑ L'ex-patron de Citigroup veut casser les grandes banques « Copie archivĂ©e Â» (version du 27 juillet 2012 sur Internet Archive), Pierre-Yves Dugua, Le Figaro.fr, 26 juillet 2012
  16. ↑ Julien Mivielle et Agence France-Presse, « Libor: UBS condamnĂ©e Ă  1,5 milliard US d'amende : La banque suisse UBS a annoncĂ© mercredi qu'elle allait payer une amende de 1,5 milliard de dollars US dans le scandale du Libor aprĂšs un accord avec les autoritĂ©s amĂ©ricaines, britanniques et suisses. Â», La Presse,‎ 19 dĂ©cembre 2012 (lire en ligne, consultĂ© le 20 dĂ©cembre 2012)
  17. ↑ Scandale du Libor : RBS va payer plus de 600 millions de dollars d'amendes, , Les Echos.fr, 06 fĂ©vrier 2013
  18. ↑ CREDIT SUISSE Freddie Mac porte plainte contre les banques dans l'affaire du taux Libor, , Bourse Les Echos.fr, 20 mars 2013.
  19. ↑ Fannie Mae porte plainte contre neuf banques, , Les Echos.fr, 04 novembre 2013.
  20. ↑ UBS va obtenir l'immunitĂ© dans l'affaire des manipulations du Libor, , Bourse Les Echos.fr, 04 novembre 2013
  21. ↑ Euribor : des amendes minimisĂ©es selon leur ordre d’arrivĂ©e, , Les Echos.fr, 04 dĂ©cembre 2013
  22. ↑ Lloyds Bank to Pay Nearly $370 Million to Resolve Libor Investigations, Chad Bray, The New York Times, 28 juillet 2014
  23. ↑ Manipulation du marchĂ© des changes : six banques mises Ă  l'amende, Eric Albert, Le Monde, 12 novembre 2014
  24. ↑ (en) Reuters, « Former UBS and Citigroup trader Tom Hayes sentenced to 14 years in jail in world's first Libor trial Â», sur financialpost.com, 3 aoĂ»t 2015 (consultĂ© le 1er septembre 2020).
  25. ↑ Marie Owens Thomsen Global Head of Investment Intelligence Indosuez Wealth Management, « Mort du Libor: trouver une solution avant 2021 Â», sur agefi.com (consultĂ© le 19 fĂ©vrier 2018).
  26. ↑ « Le LSE se lance dans la bataille des contrats Ă  terme du Sonia Â», sur agefi-quotidien.fr, 20 fĂ©vrier 2018 (consultĂ© le 20 fĂ©vrier 2018).

Voir aussi

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Articles connexes

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  • IBOR
  • Euribor
  • TIBOR
  • Swap
  • MarchĂ© interbancaire
  • Scandale du Libor

Liens externes

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  • (en) British Bankers' Association
v Â· m
Taux de référence
Principaux IBOR
  • Drapeau des Émirats arabes unis EIBOR
  • Drapeau de l’Union europĂ©enne Euribor
  • Drapeau de l’Union europĂ©enne €STR
  • Drapeau du Royaume-Uni EURONIA
  • Drapeau des États-Unis Federal funds rate
  • Drapeau de Hong Kong HIBOR
  • Drapeau d'Afrique du Sud JIBAR
  • Drapeau du Pakistan KIBOR pakistanais
  • Drapeau de l'Ukraine KIBOR ukrainien
  • Drapeau de l'Inde MIBOR indien
  • Drapeau de la Russie MIBOR russe
  • Drapeau de la Lettonie RIGIBOR
  • Drapeau de la Pologne WIBOR
  • Drapeau du Mexique TIIE
  • Drapeau de l'Arabie saoudite SAIBOR
  • Drapeau de la Suisse SARON
  • Drapeau de la RĂ©publique populaire de Chine Shibor
  • Drapeau de Singapour SIBOR
  • Drapeau du Royaume-Uni SONIA
  • Drapeau de la SuĂšde STIBOR
  • Drapeau du Japon TIBOR
  • Drapeau du Japon TONAR
Anciens IBOR
  • Drapeau du Royaume-Uni LIBOR
  • Drapeau de l’Union europĂ©enne EONIA
  • Drapeau de l'Allemagne FIBOR
  • Drapeau de la France PIBOR
  • Drapeau de la Finlande Helibor
Terminologie
  • Taux d'escompte
  • Taux d'intĂ©rĂȘt effectif
  • MarchĂ© interbancaire
  • Overnight indexed swap
  • Taux au jour-le-jour
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