Cette page compile la liste des familles princières, éteintes ou non, de la noblesse autrichienne (c'est-à-dire des territoires composant l'empire d'Autriche puis, à la suite du compromis de 1867, l'Empire austro-hongrois). Le style en usage pour s'adresser aux familles princières austro-hongroises est Durchlaucht (Altesse sérénissime). On peut aussi user de Fürstliche Gnaden (Sa Grâce princière).
Dans l'empire d'Autriche, le titre de prince constitue le plus haut rang de la noblesse suivi de celui de comte, les deux titres sont d'ailleurs intimement liés et de nombreuses familles sont à la fois princière et comtale (voir Kinský, Clary ou Esterházy). Ensemble, ils composent la haute noblesse (hoher Adel), la classe la plus élevée de la hiérarchie sociale impériale. Ce cercle restreint, souvent appelé les 100 Familien (100 familles), disposait, outre d’immenses richesses en fortune et en terres, d’une influence prédominante à la Cour impériale et donc sur la politique et la diplomatie de l’Empire.
Connu aussi comme Croÿ-Dülmen, trois branches dont certaines ducales ; usant aussi de la particule de.
von
Dietrichstein
éteinte en ligne agnatique, puis recréée pour l'époux de la dernière héritière ; les cadets sont comtes de Dietrichstein & Proskau-Leslie (première branche) puis de Dietrichstein-Mensdorff-Pouilly (seconde branche)[5]
descendance en ligne agnatique directe disparue, leurs possessions en Bohême passent au plus proche descendant via mariage, les princes de Schwarzenberg, leurs possessions en Styrie font de même en faveur des Herberstein[7],[8],[9],[10].
↑Schloss Eggenberg. By Barbara Kaiser. Graz: Christian Brandstätter Verlag, 2006. p. 204. (ISBN3-902510-80-3) (English Édition) or (ISBN3-902510-96-X) (German Édition)
↑Die Fürsten und Freiherren zu Eggenberg und ihre Vorfahren. By Walther Ernest Heydendorff. Graz: Verlag Styria, 1965. pp. 187-8.
↑Hans Ulrich Fürst von Eggenberg: Freund und Erster Minister Kaiser Ferdinand II.. By Hans von Zwiedineck-Südenhorst. Vienna: Wilhelm Braumüller K. K. Hof- und Universitätsbuchhändler, 1880. p. 123.
↑Ein Staat in Alt-Österreich: Besitzungen der Eggenberger. By Franz Kammerhofer. Graz: Franz Kammerhofer, 1998. p. 172. (ISBN3950080813)