| Luc Chatel | |
Luc Chatel en 2015. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Député français | |
| â (5 ans) |
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| Ălection | 10 juin 2012 |
| Circonscription | 1re de la Haute-Marne |
| Législature | XIVe (CinquiÚme République) |
| Groupe politique | UMP (2012-2015) LR (2015-2017) |
| Prédécesseur | Sophie Delong |
| Successeur | BérangÚre Abba |
| â (5 ans et 1 mois) |
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| Ălection | 16 juin 2002 |
| Réélection | 10 juin 2007 |
| Circonscription | 1re de la Haute-Marne |
| Législature | XIIe et XIIIe (CinquiÚme République) |
| Groupe politique | UMP |
| Prédécesseur | Jean-Claude Daniel |
| Successeur | Sophie Delong |
| Secrétaire général de l'UMP | |
| â (5 mois et 19 jours) |
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| Président | Présidence collégiale |
| Prédécesseur | MichÚle Tabarot |
| Successeur | Laurent Wauquiez |
| Vice-président délégué de l'UMP | |
| â (1 an, 6 mois et 27 jours) |
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| Président | Jean-François Copé |
| Prédécesseur | Jean-Claude Gaudin |
| Successeur | Nathalie Kosciusko-Morizet (indirectement) |
| Ministre de l'Ăducation nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative[N 1] | |
| â (2 ans, 10 mois et 23 jours) |
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| Président | Nicolas Sarkozy |
| Gouvernement | Fillon II et III |
| PrĂ©dĂ©cesseur | Xavier Darcos (Ăducation Nationale) Roselyne Bachelot (Jeunesse et vie associative) |
| Successeur | Vincent Peillon (Ăducation Nationale) ValĂ©rie Fourneyron (Jeunesse et Ăducation Populaire) |
| Porte-parole du gouvernement | |
| â (2 ans, 7 mois et 26 jours) |
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| Président | Nicolas Sarkozy |
| Gouvernement | Fillon II |
| Prédécesseur | Laurent Wauquiez |
| Successeur | François Baroin |
| SecrĂ©taire d'Ătat chargĂ© de l'Industrie et de la Consommation | |
| â (1 an, 3 mois et 5 jours) |
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| Président | Nicolas Sarkozy |
| Gouvernement | Fillon II |
| Prédécesseur | Poste créé |
| Successeur | Christian Estrosi (Industrie) Hervé Novelli (Consommation) |
| Maire de Chaumont | |
| â (5 ans, 5 mois et 21 jours) |
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| Ălection | |
| Prédécesseur | Jean-Claude Daniel |
| Successeur | Christine Guillemy |
| SecrĂ©taire d'Ătat chargĂ© de la Consommation et du Tourisme | |
| â (8 mois et 28 jours) |
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| Président | Nicolas Sarkozy |
| Gouvernement | Fillon II |
| Prédécesseur | Poste créé |
| Successeur | Lui-mĂȘme (Consommation) HervĂ© Novelli (Tourisme) |
| Conseiller régional de Champagne-Ardenne | |
| â (12 ans et 6 jours) |
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| Ălection | 15 mars 1998 |
| Réélection | |
| PrĂ©sident | Jean-Claude Ătienne Jean-Paul Bachy |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Luc Marie Vernon Chatel |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Bethesda, Maryland (Ătats-Unis) |
| Nationalité | Française |
| Parti politique | UDF-PR (1991-1998) DL (1997-2002) UMP (2002-2015) LR (2015-2017) |
| DiplÎmé de | Université Panthéon- Sorbonne |
| Profession | Directeur des ressources humaines |
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| Maires de Chaumont | |
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Luc Chatel, nĂ© le Ă Bethesda (Maryland, Ătats-Unis), est un homme politique et homme d'affaires français.
DĂ©putĂ© de la Haute-Marne de 2002 Ă 2007 et de 2012 Ă 2017, maire de Chaumont de 2008 Ă 2013, il est secrĂ©taire d'Ătat chargĂ© de la Consommation et du Tourisme puis de l'Industrie et de la Consommation de 2007 Ă 2009. Il est Ă©galement ministre de l'Ăducation nationale et porte-parole du gouvernement sous la prĂ©sidence de Nicolas Sarkozy.
Il est vice-prĂ©sident dĂ©lĂ©guĂ© de lâUnion pour un mouvement populaire (UMP) de 2012 Ă 2014 avant d'en devenir secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral. Le , il est nommĂ© porte-parole de la campagne prĂ©sidentielle de François Fillon. AprĂšs l'Ă©lection, il rejoint le secteur privĂ©.
Depuis dĂ©cembre 2017, il dirige la plateforme de l'Automobile (PFA), le lobby du secteur automobile en France. Depuis 2020, il dirige Odyssey, un groupe privĂ© dâenseignement français Ă lâĂ©tranger.
Biographie
[modifier | modifier le code]Ătudes et carriĂšre professionnelle
[modifier | modifier le code]Luc Chatel est nĂ© dans une famille industrielle haut-marnaise, d'un pĂšre amiral, Robert Chatel[1], et d'une mĂšre professeur de danse classique. Il passe sa scolaritĂ© chez les jĂ©suites, au lycĂ©e Saint-Louis-de-Gonzague dans le 16e arrondissement de Paris. Ătudiant Ă l'universitĂ© Paris-1 PanthĂ©on-Sorbonne, il y obtient une maĂźtrise de sciences de gestion en 1987, puis un DESS de marketing en 1988[2].
Il s'investit alors dans le syndicalisme étudiant, comme représentant des étudiants au conseil d'administration de l'université, président du syndicat étudiant ADEG, puis de la Junior-Entreprise Sorbonne Conseil[2].
DiplÎmé, il intÚgre le groupe international de cosmétiques L'Oréal en 1990. Il travaille initialement dans le marketing en qualité de chef de produit, puis aux ressources humaines et devient DRH d'une entité du groupe, poste qu'il occupe jusqu'à son élection à l'Assemblée nationale, en 2002, aprÚs avoir réduit durant quatre ans son temps de travail à 80 % pour s'engager en politique[3],[2].
Vie privée
[modifier | modifier le code]Luc Chatel est veuf d'Astrid Herrenschmidt. Cette derniÚre, qu'il avait épousée en 1991 et avec qui il a eu quatre enfants, se suicide par pendaison[4] en janvier 2012 à leur domicile de Boulogne-Billancourt[5].
Depuis 2014, il est en couple avec Mahnaz Hatami[6],[7], qu'il épouse le 11 mai 2017[8], et avec qui il a une fille le 26 avril 2018.
Débuts politiques
[modifier | modifier le code]Il adhÚre en 1991 au Parti républicain[2]. Gérard Longuet lui conseille de se construire une expérience professionnelle avant de se lancer en politique[9].
En 1993, il devient conseiller municipal de Bayard-sur-Marne (Haute-Marne) d'oĂč est originaire sa famille, puis conseiller municipal de Chaumont en 1996[10]. Il est battu aux cantonales de 1994[9].
Président de la Fédération de la Haute-Marne du Parti républicain, en 1995, rebaptisé Démocratie libérale en 1997, il intÚgre le bureau politique en 1998. En 1998, il devient vice-président du conseil régional de Champagne-Ardenne jusqu'en 2004[2].
Il est élu député le 16 juin 2002, pour la XIIe législature, dans la 1re circonscription de la Haute-Marne puis réélu en 2007 au premier tour avec 53,88 % des voix[11]. Il fait partie du groupe UMP. Membre de la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale lors de son premier mandat de député, travaillant en particulier sur les problÚmes de consommation, il est rapporteur de projets ou de propositions de loi relatifs à ce domaine, notamment du projet de loi avorté relatif aux actions de groupes à la française (class actions)[12]. Il a également été chargé de faire voter une loi sur les prix dans la grande distribution limitant la marge des distributeurs[13].
En 2004, il devient secrétaire national puis porte-parole national de l'UMP dirigée par Alain Juppé, conservant ce poste lors de la prise en main du parti par Nicolas Sarkozy. Au sein du parti, il est membre du mouvement Les Réformateurs.
SecrĂ©taire d'Ătat Ă la Consommation, au Tourisme et Ă l'Industrie
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Ayant convaincu Nicolas Sarkozy de l'intĂ©rĂȘt d'un secrĂ©tariat d'Ătat Ă la Consommation[9], il est nommĂ©, le , dans le gouvernement Fillon II, secrĂ©taire d'Ătat auprĂšs de la ministre de l'Ăconomie, des Finances et de l'Emploi, chargĂ© de la Consommation et du Tourisme, responsabilitĂ©s ministĂ©rielles Ă©largies en mars 2008 Ă l'Industrie et Ă la fonction de porte-parole du gouvernement, en remplacement de Laurent Wauquiez.
Il fait partie du groupe de ministres (appelé « G7 ») que le président Sarkozy consulte directement. Il intervient dans les dossiers de la crise du secteur automobile et de la téléphonie (lancement du 33700, service de lutte contre les SMS frauduleux) mais n'instaure pas l'action de groupe dans la législation française[14].
Il est élu maire de Chaumont le 9 mars 2008, avec 56,15 % des voix au premier tour[15].
Le , l'AFUL et l'April[16] l'accusent ouvertement de favoriser des pratiques anticoncurrentielles, en incitant l'Assemblée nationale à rejeter l'amendement 999 à la loi de modernisation de l'économie, qui aurait rendu obligatoire l'affichage détaillé du prix des licences des logiciels pré-installés sur les ordinateurs vendus au grand public.
Ministre de l'Ăducation nationale
[modifier | modifier le code]Il prend progressivement une place d'importance dans le gouvernement et la majoritĂ©. Il accĂšde, le , Ă un ministĂšre de plein exercice, en remplaçant de Xavier Darcos comme ministre de l'Ăducation nationale, tout en conservant le porte-parolat[9].
Face Ă des enseignants et des lycĂ©ens Ă©chaudĂ©s par la baisse des budgets et du nombre de fonctionnaires menĂ©e par son prĂ©dĂ©cesseur[rĂ©f. nĂ©cessaire], il parvient Ă esquiver les conflits sans changer les orientations politiques, notamment en recevant rĂ©guliĂšrement les syndicats en tĂȘte Ă tĂȘte. Ă ce poste, il mĂšne le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux[rĂ©f. nĂ©cessaire], se penche sur des sujets grand public comme la culture et le sport Ă l'Ă©cole ou les rythmes scolaires. Au point d'annoncer dĂ©but mai 2010 l'organisation d'un dĂ©bat national sur la question de ces rythmes scolaires et d'envisager notamment le raccourcissement des grandes vacances, voire la mise en place d'un zonage, comme pour les autres vacances. Son projet paraĂźt alors sĂ©duire une large majoritĂ© de Français[17]. Cependant, le ministre se dĂ©clare conscient « des consĂ©quences Ă©conomiques » que cela pourrait engendrer. Il travaille de surcroĂźt Ă la mise en place d'une autonomie des Ă©tablissements et d'une amĂ©lioration de la gestion des ressources humaines dans son ministĂšre[9].
L'approche « marketing » de ses actions ne va pas sans controverse, par exemple quand, lors de la visite d'un supermarché destinée à vanter la baisse des prix des fournitures scolaires, à la veille de la rentrée scolaire 2009, des mÚres de famille sympathisantes de l'UMP sont choisies pour figurer auprÚs du ministre[18],[19].
Son dernier acte en tant que ministre est la publication d'un décret modifiant l'évaluation des enseignants, décret décrié par plusieurs syndicats d'enseignants, et signé au lendemain de la défaite de Nicolas Sarkozy aux présidentielles (7 mai 2012)[20].
Comme porte-parole, il suscite des critiques de « langue de bois », sans pour autant hésiter à tancer publiquement les sorties polémiques des ministres[9].
Il mÚne une réforme du lycée général et technologique[21],[22],[23],[24],[25].
L'aprĂšs gouvernement
[modifier | modifier le code]En août 2012, il crée le groupe « Réforme et liberté » avec des députés issus de la famille libérale (Hervé Novelli, MichÚle Tabarot et Hervé Mariton), en vue du congrÚs de l'UMP[26]. Il est élu vice-président du parti à l'issue du congrÚs du 18 novembre 2012, aux cÎtés du président Jean-François Copé et de la secrétaire générale MichÚle Tabarot. En janvier 2013, son poste change pour celui de « vice-président délégué ». Laurent Wauquiez et six nouveaux vice-présidents (trois pro-Copé ; trois pro-Fillon) sont également nommés.
Il annonce sa démission de son mandat de maire de Chaumont le 6 septembre 2013 ; son adjointe Christine Guillemy lui succÚde[27].
Le 10 juin 2014, le bureau politique de l'UMP a désigné Luc Chatel comme secrétaire général de l'UMP. Il est placé sous l'autorité d'un « triumvirat » mené par les trois anciens Premiers ministres François Fillon, Alain Juppé et Jean-Pierre Raffarin[28].
Le , il est nommé conseiller politique par le nouveau président de l'UMP Nicolas Sarkozy[29].
Le 13 février 2016, il est élu président du conseil national des Républicains face à MichÚle Alliot-Marie.
En septembre 2016, il appelle à faire de Les Républicains le parti « des OGM et des gaz de schiste »[30].
Il soutient Nicolas Sarkozy pour le premier tour de la primaire présidentielle des Républicains de 2016[31] et François Fillon lors du second[32].
En mars 2017, alors que l'affaire Fillon a conduit plusieurs personnalitĂ©s Ă quitter l'Ă©quipe du candidat Ă la prĂ©sidence de la RĂ©publique François Fillon, son Ă©quipe de campagne est remaniĂ©e. Luc Chatel est nommĂ© porte-parole[33]. Ă la suite de la publication du livre-enquĂȘte Bienvenue place Beauvau, il porte avec d'autres tĂ©nors LR Ă la connaissance du Parquet national financier et au procureur de la RĂ©publique une douzaine de faits dĂ©lictueux[34],[35].
En mai 2017, il déclare ne pas se représenter aux élections législatives, affirmant prendre acte de la demande de renouvellement du personnel politique notamment manifestée, selon lui, par l'élection d'Emmanuel Macron comme Président de la République[36].
Le 2 novembre 2017, il démissionne de la présidence du conseil national des Républicains et annonce quitter la vie politique, critiquant au passage la ligne droitiÚre de Laurent Wauquiez[37]. Jean Leonetti lui succÚde.
Homme d'affaires
[modifier | modifier le code]Sans mandat politique, il rejoint la société d'investissement Ekkio Capital, en tant qu'associé[38].
En décembre 2017, sur la demande d'industriels du secteur, il devient président de la Plateforme de l'Automobile (PFA), le lobby du secteur automobile en France[39].
Il est par ailleurs professeur associĂ© Ă lâESCP[40].
Depuis 2020, il dirige Odyssey, un groupe privĂ© dâenseignement français Ă lâĂ©tranger[41].
Détail des mandats et fonctions
[modifier | modifier le code]Fonctions gouvernementales
[modifier | modifier le code]- 19 juin 2007 - 18 mars 2008 : secrĂ©taire d'Ătat auprĂšs de la ministre de l'Ăconomie, des Finances et de l'Emploi, chargĂ© de la Consommation et du Tourisme, dans le 2e gouvernement Fillon
- 19 mars 2008 - 23 juin 2009 : secrĂ©taire d'Ătat auprĂšs de la ministre de l'Ăconomie, de l'Industrie et de l'Emploi, chargĂ© de l'Industrie et de la Consommation, ainsi que porte-parole du gouvernement
- 23 juin 2009 - 13 novembre 2010 : ministre de l'Ăducation nationale et porte-parole du gouvernement
- 14 novembre 2010 - 15 mai 2012 : ministre de l'Ăducation nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative
Mandats électifs
[modifier | modifier le code]- Maire de Chaumont (Haute-Marne)
- 09/03/2008 - 06/09/2013
- Conseiller municipal :
- Conseiller régional
- 16/03/1998 - 28/03/2004 : conseiller régional de Champagne-Ardenne et vice-président du conseil régional
- 28/03/2004 - 26/03/2010 : conseiller régional de Champagne-Ardenne
- Député :
- 16/06/2002 - 19/06/2007 : député de la 1re circonscription de la Haute-Marne
- 20/06/2007 - 19/07/2007 : député de la 1re circonscription de la Haute-Marne (remplacé par sa suppléante, Sophie Delong)
- 20/06/2012- : député de la 1re circonscription de la Haute-Marne
Fonctions politiques
[modifier | modifier le code]- 2002-2005 : secrétaire national de l'UMP
- 2002-2007 : secrétaire départemental de l'UMP
- 2002-2007 : porte-parole de l'UMP
- 2012-2014 : vice-président délégué de l'UMP
- 2014 : secrétaire général de l'UMP
- 2014-2015 : conseiller national de l'UMP
- 2016-2017 : président du Conseil national du parti Les Républicains
Décorations
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Chevalier de la Légion d'honneur, [42].
Commandeur de l'ordre des Palmes académiques en 2012[43]
Grand-croix de l'ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne en 2012[44]
Commandeur de l'Ordre du Ouissam alaouite [45]
Publication
[modifier | modifier le code]- Le monde qu'on leur prĂ©pare. Ăcole, Ă©conomie, Ătat. Entretiens croisĂ©s entre Luc Chatel et Jean-Pierre ChevĂšnement, dirigĂ©s par Nicolas Beytout, Paris, Plon, 2011 (ISBN 978-2-259-21463-6)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- â Jeunesse et Vie associative ajoutĂ©s le .
Références
[modifier | modifier le code]- â Robert Auguste AndrĂ© Marie CHATEL - Ăcole Navale
- « Un politique venu du privĂ© » », Les Ăchos, 16 juin 2010.
- â « Luc Chatel : « Nous devons jouer sur la concurrence pour peser sur les prix » », sur lesechos.fr,
- â L'Affranchi, Chaumont, 28.01.2012, p. 2.
- â « Suicide d'Astrid Herrenschmidt : Qui Ă©tait l'Ă©pouse de Luc Chatel ? », France-Soir, 22 janvier 2012.
- â Paris Match, 16.02.2017.
- â L'Affranchi de Chaumont, numĂ©ro 1191, 24.02.2017, p. 3.
- â L'Affranchi de Chaumont, numĂ©ro 1205, 02.06.2017, p. 3.
- CĂ©cile Cornudet, « Luc Chatel, le bon Ă©lĂšve de la classe Sarkozy », Les Echos,â (lire en ligne [archive du ], consultĂ© le )
- â « Luc Chatel, le deuxiĂšme porte-parole de l'UMP au gouvernement », Le Nouvel Observateur, 19 juin 2007.
- â Ălections lĂ©gislatives de 2007 - rĂ©sultats dans la 1re circonscription de la Haute-Marne sur le site du ministĂšre de l'IntĂ©rieur.
- â « Luc Chatel, l'homme des class actions », LibĂ©ration, 20 juin 2007.
- â « Pouvoir d'achat : une loi pour faire baisser les prix », sur lemonde.fr, (consultĂ© le ).
- â « L'action de groupe n'est pas encore prĂ©vue, dĂ©plorent des associations de consommateurs », La Tribune, 11 mai 2009.
- â Ălections municipales de 2008 - rĂ©sultats Ă Chaumont sur le site du Figaro.
- â « Vente liĂ©e : Luc Chatel ne veut pas d'informations dĂ©taillĂ©es sur le prix de l'OS », sur zdnet.fr, (consultĂ© le )
- â PrĂšs de deux Français sur trois veulent raccourcir les vacances d'Ă©tĂ©, Jean-Pierre Thiollet, France-Soir, 5 mai 2010
- â « Luc Chatel au supermarchĂ©, le coup montĂ© de la rentrĂ©e? », sur L'Express, (consultĂ© le )
- â « Luc Chatel, un bon Ă©lĂšve Ă l'Ăducation », Challenges, 3 septembre 2009.
- â « DĂ©cret du 7 mai sur LĂ©gifrance »
- â Alexis Sierra, « Les nouveaux programmes scolaires de gĂ©ographie au LycĂ©e », EchoGĂ©o, no 14,â (ISSN 1963-1197, DOI 10.4000/echogeo.12225, lire en ligne, consultĂ© le )
- â Paul-Marie Conti, « Quel avenir pour le « nouveau lycĂ©e » ? », Commentaire, vol. 126, no 2,â , p. 413â422 (ISSN 0180-8214, DOI 10.3917/comm.126.0413, lire en ligne, consultĂ© le )
- â Isabelle HarlĂ© et XaviĂšre LanĂ©elle, « Enjeux et tensions autour de la rĂ©forme du lycĂ©e (2010-2012) en Sciences Ă©conomiques et sociales », Ăducation et SociĂ©tĂ©s, vol. 35, no 1,â , p. 51â66 (ISSN 1373-847X, DOI 10.3917/es.035.0051, lire en ligne, consultĂ© le )
- â https://www.afae.fr/wp-content/uploads/2017/02/L_AP_transgression_incertitude.pdf
- â Camille Giraudon, « "Une Ă©cole pour chacun" ? L'autonomie enseignante face Ă l'injonction Ă la personnalisation. EnquĂȘte ethnographique au sein de trois lycĂ©es sur la rĂ©forme Chatel », theses.hal.science, UniversitĂ© de Rennes 1,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- â « Chatel et les libĂ©raux de l'UMP lancent RĂ©forme et libertĂ© », sur Le Point, (consultĂ© le )
- â « Luc ChĂątel quitte ses fonctions de maire de Chaumont »
, sur lexpress.fr, L'Express, (consulté le ).
- â « UMP : le triumvirat prend la direction provisoire avec Chatel », sur lejdd.fr, (consultĂ© le )
- â « « Nominations » », sur u-m-p.org, UMP, (version du sur Internet Archive).
- â « La droite soucieuse de combler son « retard » sur lâĂ©cologie », Le Monde.fr,â (lire en ligne)
- â Ludovic Vigogne, « Primaire Ă droite: la liste des premiers soutiens parlementaires », lopinion.fr, 20 avril 2016.
- â « Primaire Ă droite: Fillon «ne craint pas de retournement» au second tour », sur 20 Minutes, (consultĂ© le )
- â « Fillon promeut Baroin, Jacob et Chatel dans son Ă©quipe », Le Monde,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- â Paule Gonzales, « «Cabinet noir» : les tĂ©nors de la droite rĂ©clament l'ouverture d'une enquĂȘte », Le Figaro,â (lire en ligne)
- â Justine Chevalier, « "Cabinet noir": que va faire la justice de la plainte des proches de Fillon? », BFM TV,â (lire en ligne)
- â Marion Mourgue, « Luc Chatel : «J'ai pris la dĂ©cision de ne pas me reprĂ©senter aux Ă©lections lĂ©gislatives» », Le Figaro,â (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consultĂ© le )
- â « L'ancien ministre Luc Chatel quitte LR et la vie politique », sur europe1.fr, (consultĂ© le )
- â J.-L. P., « Politique, fric, flouze, thune⊠», Le Canard EnchaĂźnĂ©, no 5053,â .
- â Bruno Jeudy, « Luc Chatel, des RĂ©publicains au Mondial de lâauto », parismatch.com, 27 septembre 2018.
- â Claire Lefebvre, « Grandes Ă©coles - Gantzer, Wauquiez, GuĂ©nolé⊠Des professeurs pas comme les autres »
, sur lepoint.fr, Le Point, (consulté le ).
- â Alice MĂ©rieux et David Bensoussan, « Les mĂ©saventures de Luc Chatel dans le business de lâĂ©ducation », sur Challenges, .
- â DĂ©cret du 13 juillet 2019 portant promotion et nomination
- â Marie Caroline Missir, « Crise Ă l'UMP: pendant ce temps lĂ , Chatel se fait dĂ©corer⊠et s'inquiĂšte pour CopĂ© », L'Express,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- â (en) « Actualitepolitique.com / Domain For Sale », sur actualitepolitique.com (consultĂ© le ).
- â « Maroc-France : Luc Chatel dĂ©corĂ© des insignes du commandeur du wissam Al Alaoui - Atlasinfo », sur Atlasinfo, (consultĂ© le ).
Liens externes
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- Ressources relatives Ă la vie publique :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă l'audiovisuel :
- Ressource relative Ă la recherche :
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- Directeur des ressources humaines
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- Personnalité des Républicains
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- Député de la XIIIe législature de la Ve République
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- Ministre français de la Consommation
- Ministre français du Tourisme
- Ministre français de l'Ăducation nationale
- Personnalité liée à Chaumont (Haute-Marne)
- Conseiller régional de Champagne-Ardenne
- Porte-parole du gouvernement français
- Personnalité ayant donné son nom à une loi
- Chevalier de la Légion d'honneur décoré en 2019
- Commandeur des Palmes académiques
- Grand-croix de l'ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne
- Ătudiant de l'universitĂ© Paris 1 PanthĂ©on-Sorbonne
- ĂlĂšve du lycĂ©e Saint-Louis-de-Gonzague
- Naissance Ă Bethesda (Maryland)
- Naissance en août 1964
- Ministre de l'Ăducation nationale durant la CinquiĂšme RĂ©publique française
