Fratercula arctica · Perroquet de mer
Règne | Animalia |
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Embranchement | Chordata |
Classe | Aves |
Ordre | Charadriiformes |
Famille | Alcidae |
Genre | Fratercula |
Répartition géographique
VU A4abcde : Vulnérable
Le Macareux moine (Fratercula arctica), aussi appelé perroquet de mer ou calculot, est une espèce d'oiseaux marins pélagiques nord-atlantique qui vit en haute mer, sauf lors de sa reproduction qui le contraint à rejoindre la terre ferme où il niche sur les pentes enherbées, les îles ou sur des falaises (insulaires ou continentales).
Morphologie
Cet oiseau marin, de la taille d'un pigeon, est facile à identifier par sa silhouette arrondie, sa marche en position verticale et ses vives couleurs (chez l'adulte et le jeune à partir de trois ans). Il présente une silhouette caractéristique avec une assez grande tête, une courte queue, un corps assez rond. Les pattes palmées, relativement courtes, sont rouges en été puis virent au jaune en hiver. D'une trentaine de centimètres de long, son envergure peut atteindre soixante cemtimètres pour un poids de 500 g. Le plumage est noir sur le dos, le cou, la nuque et les ailes, mais blanc sur le ventre, les joues et le dessus de l'œil. Celui-ci, cerclé de rouge se prolonge vers l'arrière par un fin sourcil noir.
Ses courtes ailes lui confèrent un vol bas sur l'eau mais puissant. Le macareux ne se sert pas de ses pattes palmées pour nager, mais de ses ailes.
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Un macareux moine vue de profil.
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Ailes.
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Un macareux moine sur l'ile Skomer au Royaume-Uni.
Plumage
En période nuptiale, le dos, le cou, la nuque, la raie sommitale et les ailes sont entièrement noirs, contrastant avec le plumage blanc pur du ventre, des joues, du dessus des yeux et des lores. Les pattes palmées sont dégagées et bien visibles, de couleur orange.
Hors période nuptiale, la face est plus foncée, devenant noirâtre et les côtés grisâtre clair. L'abdomen est gris aussi. Les pattes et les doigts deviennent jaune pâle. L'oiseau peut alors être confondu avec le Mergule nain.
Le plumage du reste du corps est le même toute l'année.
Tête
L'œil est cerclé de rouge et souligné par un fin sourcil noir se prolongeant vers l'arrière.
Le bec est la partie la plus remarquable : grossièrement triangulaire et volumineux, légèrement crochu, il est formé de couches cornées successives, pointe rouge, base bleu foncé entourée de jaune. Hors période nuptiale, il est sombre et plus petit car il perd les plaques ornementales.
L'apparition d'une coloration plus vive sur le bec et sur les pattes marque le début de la saison des amours.
Le plumage et les couleurs sont si différents en période nuptiale et en période internuptiale que l’on croyait autrefois qu’il s’agissait de deux espèces distinctes[1].
Dimorphisme sexuel
Cette espèce ne présente pas de dimorphisme sexuel.
Poussin
D'abord couvert d'un duvet brun-noir les trois premières semaines, il se couvre de plumes à un mois. Son bec est plus long et foncé.
Le juvénile du premier hiver, encore plus petit que l'adulte, prend son plumage final, mais en plus terne. Son bec reste sombre, long et pointu, et ses pattes roses.
Afin de protéger le poussin du vent, les parents creusent avec leurs pattes et leur bec des terriers dans l'herbe du haut des falaises, parfois jusqu'à trois mètres de profondeur.
Comportement
Alimentation
Le régime alimentaire du macareux moine se compose presque entièrement de poissons fourrages. Ses proies de prédilection sont ainsi des petits poissons, mesurant entre sept et dix-huit centimètres, comme le lançon, le hareng, le sprat ou le capelan. Cependant, l'examen de son contenu stomacal démontre qu'il mange occasionnellement des crevettes, d'autres crustacés, des mollusques et des vers polychètes, en particulier dans les eaux côtières[2]. Un macareux moine adulte doit en moyenne avaler quarante-cinq proies par jour.
Lorsqu'il pêche, le macareux moine plonge sous l'eau en utilisant ses ailes semi-étendues qui lui servent de pagaies pour nager. Ses pieds palmés agissent ainsi comme gouvernail. Nageant vite, il peut atteindre des profondeurs considérables. En moyenne, ses plongées durent une minute. Le macareux moine pêche à vue et peut attraper plusieurs petits poissons à la fois lorsqu'il est submergé. Sa langue musclée et rainurée permet de les tenir en rangée dans son bec. Celui-ci possède également des dentelures inversées l'aidant à stabiliser sa prise. Les reins et les glandes salines nasales du macareux moine, quant à eux, lui permettent de tolérer le sel marin qu'il avale en pêchant. Il peut ainsi s'approvisionner en haute mer[3].
Comportement social
Cet oiseau peu farouche et curieux, très grégaire en période de nidification, marche et sautille d'une manière souvent jugée comique et malhabile, en dodelinant de la tête. Il vole très mal, mais est un excellent nageur, capable de longues apnées. Bien protégé du froid par une bonne couche de graisse, il est particulièrement adapté à la pêche sous-marine, qu'il pratique habilement souvent à plus de quinze mètres sous la surface par petits groupe de deux ou trois oiseaux.
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Macareux moine en vol.
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Un macareux moine collectant du matériel pour construire son nid sur l'ile de Skomer au pays de Galles. Avril 2022.
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Des macareux moines se courtisent sur l'ile Skomer. Avril 2022.
Comme les pingouins, il nage vivement, voire acrobatiquement en utilisant ses courtes ailes et en s'aidant de ses pattes palmées et de sa queue. Il avale directement ses proies en nageant, sauf quand il nourrit son poussin. Il les conserve alors et les transporte (jusqu'à une trentaine ; coincées transversalement dans son bec, d'une manière caractéristique ; entre la langue et sa mandibule supérieure) au fur et à mesure qu'il les pêche sous l'eau. Quand ils les apportent aux poussins, les adultes sont parfois poursuivis par des goélands ou des labbes qui cherchent à leur voler cette nourriture. Ils s'échappent si nécessaire en plongeant dans l'eau.
En mer, le macareux dort en se laissant flotter, le bec sous l'aile.
Le macareux émet un cri plaintif en période de nidification ressemblant à un « arrr-ouh » grognant et étouffé.
Reproduction
Lors de la parade nuptiale, le bec s'orne de couches cornées vivement colorées. Les couples se forment alors. Les partenaires se touchent le bec frontalement. Le mâle excité pousse la femelle qui rejoint l'eau où l'accouplement se passe. Les couples monogames sont fidèles durant la saison de reproduction. Le macareux creuse à l'aide de son puissant bec et de ses pattes de profonds terriers (un à deux mètres de long) où il construit et protège son nid.
L'espérance de vie théorique d'un macareux moine est d'environ vingt-cinq ans mais, comme la plupart des espèces à longue durée de vie, il se reproduit peu : il ne pond qu'un seul œuf par an, posé à même la terre au fond du terrier, de fin avril à mai. L'œuf est couvé durant 40 à 43 jours. Le poussin mange des poissons entiers apportés par les parents qui les lui présentent pendus et alignés de chaque côté du bec, ceci durant 6 semaines où les parents ne s'alimentent plus ou presque plus.
Le jeune oiseau doit ensuite jeûner une huitaine de jours, ses parents effectuant alors leur mue et ne pouvant provisoirement plus voler, car ayant perdu leurs rémiges. Affamés, les petits sortent alors du nid, toujours au crépuscule et s'élancent maladroitement du haut de la falaise en agitant leurs petites ailes. C'est un moment où ils sont particulièrement vulnérables, car non protégés par les parents, exposés à la prédation et attirés par les sources de lumière les plus proches s'il y en a.
Longévité
Le Macareux moine vit environ vingt-cinq ans, le record étant de trente-six ans pour un macareux écossais[4].
Aire de répartition
Cette espèce ne vit qu'en Atlantique nord. C'est la seule espèce de macareux présente en Atlantique, les trois autres ne vivant que dans le Pacifique. Son aire de répartition était probablement plus importante à la préhistoire ; il ne se reproduit aujourd'hui que localement sur les côtes isolées d'Europe du nord, de l'Islande et de la partie orientale de l'Amérique du Nord.
En Amérique du Nord, il niche du Canada (entre autres, près des Îles de la Madeleine sur les rochers aux Oiseaux ainsi que sur l'archipel de Mingan) sur la Côte-Nord, au Québec (Canada). Une colonie de 21000 individus (selon un comptage de 2013[5]) est recensé sur l'archipel de Saint-Pierre et Miquelon, en particulier sur l'île du Grand Colombier. En Europe, c'est en Islande que les plus grandes colonies sont présentes (2 à 3 millions de couples), avec d'autres populations plus réduites en Irlande, en Écosse, aux Shetland, en Scandinavie, aux Îles Féroé et en Bretagne.
Le macareux moine et l'Homme
Étymologie
Le nom scientifique de l'espèce, Fratercula arctica, signifie « petit frère de l'Arctique » en latin ; la mention petit frère (ainsi que sa dénomination moine) est peut-être à rapprocher de son plumage.
Menaces et protection
Le poussin est particulièrement vulnérable au phénomène dit de pollution lumineuse. Au premier envol du nid, il s'oriente vers les lumières les plus proches au lieu de gagner la mer où il doit apprendre à se nourrir seul. C'est pourquoi les macareux ne survivent aujourd'hui que sur des îles ou lieux isolés (où on leur a également dans le passé donné la chasse ou pillé leurs pontes).
Le film Islande, le paradis des macareux a été consacré à ce sujet par les réalisateurs Jean-Marc Robert et Mike Magidson[6]. Il présente une nouvelle tradition islandaise de la petite île de Heimaey (sud de l'Islande) où chaque année vers le , des enfants passent plusieurs nuits dehors pour ramasser dans des cartons, des centaines de macareux qui, lors de leur premier envol, ont été instinctivement attirés par les lumières les plus proches (phares, lampadaires, éclairage urbain, etc.) et se sont posés au sol au lieu d'aller en mer. S'ils n'étaient pas ainsi sauvés, ils se feraient alors manger par les chats ou les chiens ou écraser ou blesser par les voitures, s'ils ne mouraient pas simplement de faim. Le film montre les enfants les collectant et les transportant le jour suivant sur le rivage où ils les relâchent, contribuant ainsi à la survie de la colonie[7].
La chasse de loisir et le braconnage ont été d'autres causes de disparition et de régression. Ainsi, en 1880, l'effectif français de macareux, concentré aux Sept-Îles, comptait encore 10 000 à 15 000 couples, mais quelques chasseurs les massacrèrent, ne laissant plus que 1 000 couples en 1910[8],[9]. Les ornithologues de l’époque se sont donc rassemblés pour créer la Ligue française pour la protection des oiseaux, une branche de la Société nationale d'acclimatation de France, dont la mission était de protéger les espèces animales et végétales sauvages ainsi que les milieux naturels. Cette mobilisation a permis d’une part d’interdire la chasse au macareux mais aussi d’obtenir le classement de la Réserve des Sept-Îles en Réserve naturelle pour la conservation de la nature (réserve des Sept-Îles). À cette occasion, la Ligue française pour la protection des oiseaux a fait de cette espèce son emblème.
C'est notamment le témoignage suivant qui a déclenché une protection de l'espèce en France :
« La colonie de macareux de l'île Rouzic a été décimée. L'île offre l'aspect d'un véritable champ de carnage. Nous extrayons des trous des poussins morts, des œufs abandonnés et pourris ; nous trouvons une seule femelle occupée à couver et un adulte près d'un poussin de huit à dix jours. Nous apprenons alors par nos matelots que huit jours avant, deux ou trois individus sont venus de Paris et se sont fait débarquer dans l'île avec une caisse de 60 kg de cartouches. Ils n'ont quitté l'île qu'après avoir tout brûlé sur ces inoffensifs oiseaux, tués au moment où ils venaient au nid apporter la nourriture à leurs petits. Les cadavres des victimes (près de trois cents, nous a-t-on dit) ont été ramenés à Perros, et là, jetés sur la grève. Ces messieurs les chasseurs (!), fiers de leur tableau, n'en ont emporté qu'un ou deux exemplaires. Il paraît que ces vandales répètent presque tous les ans ces inutiles et stupides massacres. On peut estimer, dans ces conditions, que la colonie de macareux de l'île Rouzic aura, dans trois ou quatre ans, complètement abandonné ces parages. »
— A. Loiseau, rapportant le signalement fait à la jeune Ligue ornithophile par un lieutenant au Dr Bureau, à la suite d'une excursion aux Sept Îles, en juin 1911.
La Ligue ornithophile signala ces agissements au préfet des Côtes-du-Nord, qui prit immédiatement un arrêté interdisant absolument et en tous temps « la chasse, la destruction, le transport et la vente des macareux », 65 ans avant la loi sur la protection de la nature du [10].
En 1978, après les naufrages de pétroliers, il ne reste que 400 couples aux Sept-Îles (contre 2500 en 1966). La LPO engage des actions pour les sauver en transplantant des poussins des îles Féroé dans des nichoirs artificiels en Bretagne[8].
La population de macareux moines, après avoir considérablement diminué au XIXe siècle lorsqu'ils étaient chassés pour leur chair et leurs œufs ou pour le simple plaisir de les tirer au fusil, s'est reconstituée et constitue actuellement une petite population stable qui a néanmoins de nouveau régressé à la suite de divers problèmes :
- la prédation par les goélands, qui ont localement proliféré à la suite de l'apparition de nombreuses décharges à ciel ouvert et qui s'attaquent aux juvéniles, les parents étant occupés à chasser;
- l'introduction accidentelle de rats sur certaines îles où nichent les macareux et qui pillent les nids.
Le macareux moine est consommé en Islande (parfois crus) et aux Îles Féroé depuis des siècles à cause des régulières pénuries de nourriture. Cependant cela n'a pas une très grande incidence sur les populations locales vus l'abondance du petit alcidé dans ces îles. Cette chasse est contestée au même titre que la chasse à la baleine.
Oiseau emblématique
Le macareux moine est l'emblème de la province canadienne de Terre-Neuve-et-Labrador et de la ville de Perros-Guirec en Bretagne (à cause de la plus importante colonie française de macareux implantée sur les Sept-Îles, un ensemble d'îles proche de la côte).
Le macareux moine est l'oiseau-symbole de l'Islande. Il y est très présent sur les souvenirs touristiques.
Mascotte
Le macareux est la mascotte de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), créée en 1912 par le lieutenant Hemery qui dénonçait l'abattage des macareux moines par les chasseurs, pour nourrir leurs familles, sur les côtes nord de la Bretagne. | |
Le macareux est la mascotte du logiciel Scilab[11]. Dessinée par le Dr Hu Baogang, ex-directeur chinois du laboratoire franco-chinois de recherche en informatique, automatique et mathématiques appliquées (LIAMA) et membre contributeur du conseil scientifique du consortium Scilab. Il explique son choix de l'animal en ces termes : « l'image du macareux reflète à la fois un esprit de liberté et de fierté, qualités que l'on retrouve chez les développeurs s'efforçant de réaliser des logiciels open source. » |
Cinéma
Les Macareux moines ont inspiré la conception des « porgs », petits volatiles du film Star Wars, épisode VIII : Les Derniers Jedi, ces derniers vivant également en colonies sur des crevasses rocheuses d'îles et ayant un mode de vie ainsi qu'une taille similaires à celle des macareux. En effet, des macareux étaient présents sur les lieux de tournage du film (durant les scènes représentant l'île irlandaise de Skellig Michael où Luke Skywalker vit en exil), et plutôt que de retirer via des effets spéciaux tous les macareux présents, ils ont été modifiés pour donner les « porgs »[12].
Taxonomie
D'après Alan P. Peterson et Catalogue of Life (20 mai 2016)[13], cette espèce est constituée des trois sous-espèces suivantes :
- sous-espèce Fratercula arctica arctica (Linnaeus, 1758)
- sous-espèce Fratercula arctica grabae (C. L. Brehm, 1831)
- sous-espèce Fratercula arctica naumanni Norton, 1901
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Œuf de Fratercula arctica arctica - Muséum de Toulouse.
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Œuf de Fratercula arctica grabae - Muséum de Toulouse.
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Œuf de Fratercula arctica naumanni - Muséum de Toulouse.
Notes et références
Notes
Références
- Environnement Canada & Fédération canadienne de la faune, « Faune et flore du pays - Le Macareux moine », (consulté le ).
- (en) Knud Falk, Jens-Kjeld Jensen et Kaj Kampp, « Winter diet of Atlantic Puffins (Fratercula arctica) in the Northeast Atlantic », Colonial Waterbirds, , p. 230-235 (DOI 10.2307/1521457, JSTOR 1521457)
- (en) David Boag et Mike Alexander, The Puffin, Londres, Blandford, , 128 p. (ISBN 0-7137-2596-6)
- « Macareux moine – Fratercula arctica », sur Plume d'eau (consulté le ).
- « Phénomène méconnu, Saint-Pierre et Miquelon abrite la plus grande colonie d'oiseaux migrateurs de France », sur Saint-Pierre et Miquelon la 1ère (consulté le )
- Production : Media Vidéo Compagnie
- Source : synopsis des films en compétition au festival international du film insulaire, 2002, consulté le 13 août 2008.
- Georges Dif, « La Bretagne aux oiseaux », Geo, no 38, , p. 86-110
- 30 millions d'amis, Interview - LPO ; "L'Homme et la nature doivent cohabiter" ; 2012-04-19
- Source : Les réfections françaises, texte signé Aimé Loiseau dans la Revue Études, 5 juillet 1916 (bimensuel fondé en 1856, par les pères de la compagnie de Jésus ; exemplaire numérisé par Gallica/BnF).
- À propos de la mascotte Scilab
- (en) Terri Coles, « Star Wars' porgs are puffins on another planet », sur CBC Television, (consulté le ).
- Catalogue of Life Checklist, consulté le 20 mai 2016
Annexes
Article connexe
Références taxinomiques
- (fr) Référence Oiseaux.net : Fratercula arctica (+ répartition)
- (en) Référence Congrès ornithologique international : Fratercula arctica (Linnaeus, 1758)
- (fr) Référence INPN : Fratercula arctica (Linnaeus, 1758) (TAXREF)
- (en) Référence Paleobiology Database : Fratercula arctica Linnaeus 1758
- (fr + en) Référence ITIS : Fratercula arctica (Linnaeus, 1758)
- (en) Référence Tree of Life Web Project : Fratercula arctica
- (en) Référence Catalogue of Life : Fratercula arctica (Linnaeus, 1758) (consulté le )
- (en) Référence BioLib : Fratercula arctica (Linnaeus, 1758)
- (en) Référence Animal Diversity Web : Fratercula arctica
- (en) Référence Fauna Europaea : Fratercula arctica (Linnaeus, 1758) (consulté le )
- (en) Référence NCBI : Fratercula arctica (taxons inclus)
- (en) Référence UICN : espèce Fratercula arctica
- (en) Référence Zoonomen Nomenclature Resource (Alan P. Peterson) : Fratercula arctica dans Charadriiformes