Famille d'Anthenaise | |
Armes | |
Blasonnement | d'argent à l'aigle éployée de gueules, au vol abaissé |
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Lignées | d'Anthenaise |
Période | XIe siècle-XXIe siècle |
Pays ou province d’origine | Maine |
Allégeance | Royaume de France |
Demeures | Château d'Anthenaise |
Fonctions militaires | Gouverneur de Craon, de Fougères, de Sablé, Château-Gontier |
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La famille d'Anthenaise est une famille subsistante de la noblesse française, d'extraction chevaleresque (1391), originaire de la Mayenne. Elle a formé plusieurs branches, établies principalement en Normandie, en Anjou, dans le Comté de Laval (département de la Mayenne actuel). La famille d'Anthenaise a fourni de nombreux officiers.
Histoire
En 1911, Gustave Chaix d'Est-Ange introduit sa notice en mentionnant que cette famille appartient « à l'ancienne noblesse chevaleresque du Maine. »[1]. Selon lui, elle a eu pour berceau l'importante seigneurs d'Anthenaise de son nom, située près de Laval. Pour l'Abbé Angot, il ne faut pas confondre les seigneurs d'Anthenaise avec les descendants ou du moins avec les aînés de la Famille d'Anthenaise. Si elle s'y rattache, comme branche cadette, la preuve n'est pas connue ; on ne la connaît avec certitude qu’à partir du XIVe siècle[2].
La Famille d'Anthenaise fondue, dès le XIIIe siècle, dans les Chamaillard[3]. La famille Chamaillard a ainsi facilité la transmission des biens de la famille de Beaumont-Brienne et de celle d'Anthenaise à la Famille d'Alençon, et sa descendance arriva avec Henri IV jusqu'au trône de France[3].
Lainé a donné une Généalogie de la famille d'Anthenaise[4]. M. Bonneserre de Saint-Denis a publié à Angers en 1878 une Notice historique et généalogique sur la maison d'Anthenaise[1], qui est corrigée par l'apport de l'Abbé Angot[3], au début du XXe siècle.
Selon Gustave Chaix d'Est-Ange, Hamelin et Geoffroy d'Anthenaise se croisèrent en 1190. Le premier d'entre eux figure dans un acte d'emprunt souscrit en octobre 1191 au camp devant Joppé. Leurs noms et leurs armes ont été inscrits aux Salles des Croisades du Château de Versailles[1]. Savary, que l'on croit avoir été frère de ces deux chevaliers croisés, était, vers l'an 1200, seigneur d'Anthenaise, de Bouère, etc.[5].
Branches
Considérable par son ancienneté, la maison d'Anthenaise ne l’est pas moins par ses alliances et ses illustrations. Les alliances et les possessions de cette famille sont nombreuses. Les origines historiques[3] sont aussi anciennes que la féodalité elle-même. Guillaume d'Anthenaise que le généalogiste de Quatrebarbes, Gilles Ménage et Pierre-Jean Le Corvaisier, font remonter au Xe siècle sur l'autorité de la charte de fondation du prieuré d'Auvers-le-Hamon, doit toutefois être considéré comme apocryphe, pour l'Abbé Angot, car ce nom ne se trouve même pas dans l'acte invoqué, d'ailleurs d'une date bien plus récente et certainement interpolé[3].
Première famille
- Gauslin d'Anthenaise[3], premier ancêtre connu qui fit construire l'église de Notre-Dame d’Anthenaise ; il est témoin d'un jugement de Guillaume le Conquérant entre l'Abbaye de la Couture et l'Abbaye de Marmoutier, au sujet du Prieuré Saint-Martin de Laval, 1064. Il figure effectivement, mais à la date approximative de 1050, dans la charte d'Auvers, et ratifie, avec Hamelin et Hubert, ses fils, le don de l'église de Nuillé à Abbaye Saint-Vincent du Mans, vers 1070. Un acte d'Hildebert de Lavardin, évêque du Mans, par lequel il reconnaît avoir acquis des enfants d'Hamelin d’Anthenaise des biens provenant d’Agnès de Bazougers, leur aïeule, prouve que celle-ci était femme de Gauslin d’Anthenaise et explique à quel titre la terre de Bazougers appartient à ses descendants.
- Hamelin Ier d'Anthenaise[3], dit aussi Hamelin de Bazougers ; donne, avant 1080, à l'Abbaye Saint-Vincent du Mans, l'église, le presbytère et le cimetière de Bazougers ; il assiste au jugement par lequel Guy II de Laval reconnaît les droits de l'Abbaye Saint-Serge d'Angers sur l'église d'Astillé, vers 1090 ; comme seigneur de la Motte-Achard, il fait remise au prieuré de Bouère d'un droit de péage, et se trouve au Mans en même temps que le pape Urbain II en 1096. Il dut faire un voyage forcé en Angleterre à la demande de Guillaume le Roux, probablement pour accompagner avec d'autres seigneurs l'évêque Hildebert de Lavardin, otage et prisonnier, 1099[6] Il fut époux de Domette et d'Adelaïde, si toutefois ces deux noms ne désignent point une même personne. Outre Élie, son aîné, surnommé Galbrun, qui confirma et étendit les droits de l'Abbaye Saint-Vincent du Mans sur l'Église Saint-Victeur de Bazougers, il eut : Renaud, dit Le Bouc, Guy, Fouquerand et Savary.
- Hamelin d'Anthenaise[3], dont la filiation n'est pas absolument certaine, quoiqu'il semble très probablement fils de Galbrun, vivait en 1150 ; il est surtout connu comme seigneur de Bouère et bienfaiteur de l'Abbaye de Bellebranche[7]. Hamelin était aussi, au moins partiellement, seigneur de Ballée[8]. Sa femme se nommait Cécile, et ce doit être par erreur qu'elle est dite femme au lieu de mère du suivant, dans une charte de l'Abbaye de Savigny antérieure à 1190.
- Savary d'Anthenaise[3] était à la fois seigneur de Bouère et de Bazougers. Sibille de Chaourses lui apporta en dot la terre de ce nom en Tannie. Témoin en 1199 de l’accord conclu entre Guy VI de Laval et Hamelin L'Enfant, son parent, il reconnaît aux religieux de l'Abbaye d'Évron droit d'usage dans sa forêt de Langé, part du Mans pour le Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, 1200, confirme les biens du Prieuré Saint-Martin de Laval[9] en son fief d'Anthenaise, 1214, et dotait en 1219 de quelques biens le Prieuré de Notre-Dame du Champ-de-Vigne, à Mézangers[10].
- Savary d'Anthenaise, son grand-oncle, avait un sceau sans armoiries[3].
- Hamelin d'Anthenaise[3], plusieurs fois qualifié seigneur d'Anthenaise, de Bazougers et de Bouère, avait succédé à son père en 1234 et vivait en 1242. On ne saurait dire si c'est lui encore qui épousa en secondes noces Julienne, dame de la Guierche, que Blanche de Castille nomme gouverneur de Sablé en 1250, et qu'on trouverait encore en 1259 bienfaiteur de l'Abbaye de Bellebranche, ou si ces derniers actes se rapportent à un fils du même nom. Son écu était vairé de cinq tires. Le contre-sceau portant l'aigle à deux têtes. Avec Hamelin s'éteint le nom, au moins dans la branche aînée. Emmanuelle, seule héritière, épousa Jean Chamaillard. Sa descendance arriva avec Henri IV jusqu'au trône de France[3].
- Pierre d'Anthenaise[3], doyen de Sablé de 1199 à 1212 au moins, et chanoine de Notre-Dame du Bourg-Chevrau, 1205, cité dans un grand nombre de chartes lavalloises, et Robert d'Anthenaise, qui lui avait succédé dans sa charge en 1217, étaient des cadets de la famille. Pierre, d’après Gilles Ménage, serait fils d'Hamelin et de Cécile.
Deuxième famille
Les d'Anthenaise reparaissent, au XIVe siècle avec des armoiries nouvelles ; leur écu est maintenant chargé de trois jumelles[3].
Toutes les branches connues depuis sont issues de celle du Plessis d'Anthenaise. Ce sont celles de Valleray, du Fresne et de la Haie-sur-Colmont ; celle du Port-Joulain qui a pour auteur Jean d'Anthenaise, lieutenant de Pierre Le Cornu au gouvernement de Craon pour la Ligue catholique ; celle de la Pitellière et celle de Saint-Philbert en Anjou qui subsiste[3].
Filiation
La filiation de cette ligne ne parait être à peu près établie qu'à partir de 1368, date à laquelle Hamelin, seigneur d'Anthenaise, et sa femme, Marguerite de la Ferté ou plutôt de la Frette, firent leur testament en faveur de leur fils Aimery. Celui-ci servit dans les armées du Roi suivant une quittance de ses gages donnée à Orléans le . Il épousa successivement Lucrèce de Montjean et Péronnelle de Briolay, veuve de N. Fresnel, seigneur du Plessis-Fresneau.
Jean, seigneur d'Anthenaise et de Villeray, né de la première union, est mentionné dans des actes du , du et de 1395. Il épousa en 1393[11] Jeanne Fresnel, dame du Plessis-Fresneau, fille de sa belle-mère. Il en eut deux fils, Aimery et Pierre d'Anthenaise, qui furent les auteurs de deux branches[5].
Première branche
L'aîné des deux frères, Aimery[5], fut un des plus vaillants capitaines du roi Charles VII, fut fait prisonnier par les Anglais à la Bataille de Verneuil, en 1424, et dut emprunter pour sa rançon la somme de 2 800 écus d'or. Il soutint en 1432 un siège contre les Anglais dans le Château de Sillé-le-Guillaume, transigea en 144S avec Jean d'Anthenaise, chef de la branche cadette, pour le remboursement des 2800 écus d'or qu'il avait dû emprunter et fit son testament à l'âge de 75 ans le . Sa descendance s'éteignit avec René, connu sous le titre de baron d'Anthenaise, seigneur d'Anthenaise, né le , décédé sans postérité en 1643. Il avait épousé en 1642 Marie de Montesson qui lui survécut de longues années.
Deuxième branche
L'auteur de la branche cadette, Pierre d'Anthenaise[5], chevalier, seiggneur de Villeray, épousa en 1416 Marie du Fresne. Son fils, Jean d'Anthenaise, Seigneur de Villeray et de Villepuy, passa en 1445 avec Aimery d'Anthenaise la transaction dont il a été parlé plus haut. Il épousa en 1440 Guyonne Bineu, sœur et héritière du seigneur de Portjoulain, en la paroisse de Marigné. Il fut vraisemblablement père d'Aimery d'Anthenaise, chevalier, seigneur de Villeray, du Fresne, de Portjoulain et de Villepuy, dont la veuve, Anne de la Chapelle, fit un partage avec ses enfants en 1507 et fit son testament le .
- Jacques d'Anthenaise[5], fils d'Aimery et seigneur des mêmes domaines, épousa d'abord, le , Renée de Froulay, puis Renée de Bouillé, de laquelle il n'eut pas d'enfants. Il fut lui-même père de Jean d'Anthenaise, seigneur des mêmes domaines, marié le à Simone de Champagne, dont les deux fils, Pierre et Jean, partagèrent la succession par acte du . Ceux-ci furent les auteurs de deux grands rameaux.
Premier rameau
L'auteur du premier rameau, Pierre d'Anthenaise[5], seigneur de Villeray et de Portjoulain, épousa Madeleine de Loisel par contrat du . Il en eut deux fils:
- (1) Urbain, seigneur de Rouilly et du Douet, dans l'élection de Lisieux, marié en 1633 à Louise de Bocquencey, dont la descendance donna un page de la Reine en 1733 et s'éteignit dans les mâles en 1802
- (2) Pierre, seigneur de la Pitellerie, marié en 1622 à Marie des Faveries, dontla descendance parait s'être éteinte en la personne de Charles-Claude d'Anthenaise, né en 1748, admis en 1761 parmi les pages de la Reine. Les divers représentants de ce rameau avaient été maintenus dans leur noblesse, le , par jugement de M. de Marie, intendant d'Alençon.
Deuxième rameau
Jean d'Anthenaise, seigneur de la Bigne, auteur du rameau cadet[5], fut lieutenant au gouvernement de la ville et du Château de Craon et épousa, le , Françoise de Teillé. Son fils, François d'Anthenaise, seigneur du Port-Joulain, marié en 1618 à Marie de Charnacé, en eut, entre autres enfants, deux fils, Charles et Augustin, qui furent les auteurs de deux sous-rameaux. Les représentants de ces deux sous-rameaux furent maintenus dans leur noblesse, le , par jugement de Daniel Voysin de La Noiraye, Intendant de la généralité de Tours.
- Le premier sous-rameau fut encore maintenu dans sa noblesse, le , par arrêt du Parlement de Bretagne il s'éteignit avec Marie-Marquise d'Anthenaise, dame de Portjoulain, née en 1689, mariée à Achille de Barrin, seigneur de Fromenteau, conseiller au Parlement de Bretagne, décédée en 1762[5].
- Le deuxième sous-rameau acquit en 1700 la terre importante de Saint-Philbert-du-Peuple, en Anjou. Son chef, François-Pierre d'Anthenaise, seigneur de Saint-Philbert, né en 1744, marié en 1776 à Anne Trowic de la Gagnerie, prit part en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues à Angers. Armand d'Anthenaise, né à Saint-Philbert en 1779, fils unique du précédent, prit part, malgré sa jeunesse, à l'a Guerre de Vendée. Il épousa plus tard, en 1809, Mademoiselle de Contades, reçut le titre héréditaire de comte, le , par lettres patentes du roi Charles X avec institution en majorat de sa terre de Saint-Philibert et de divers immeubles à Angers et mourut en 1834. C'est du fils de celui-ci, Victor, comte d'Anthenaise, né à Angers en 1809, marié en 1837 à Mademoiselle Famille de Rougé, décédé en 1882, que descendent les représentants actuels[5].
Héraldique
Les armes de la famille se blasonnent ainsi d'argent à l'aigle éployée de gueules, au vol abaissé. L'Alias est écartelé aux 1 et 4 d'argent à l'aigle éployée de gueules au vol abaissé ; aux 2 et 3 vairé d'or et de gueules de cinq tires ; sur le tout bandé d'argent et de gueules de huit pièces.[12]. La couronne de comte est Supports deux aigles au vol abaissé. Le cimier est une aigle essorante. L'écu est posé sur deux bannières en sautoir d'argent à trois jumelles de gueules. On croit que la famille d'Anthenaise portait primitivement: d'argent à une croix de gueules cantonnée de quatre rosés de même[12]. Le rameau, aujourd'hui éteint, qui était fixé en Normandie portait d'argent à trois bandes de gueules.
Alliances
Les principales alliances de la famille d'Anthenaise sont : Maillé de la Tour-Landry 1600, de Montesson, 1642, de Froulay 1806, de Bouillé, de Champagne 1539, de Courdemanche, 1708, de Barrin (de la Gallissonnière), d'Andigné 1677, Leclerc de Juigné, de Charnacé, de Cantineau 1741, de Contades 1809, du Buat 1833, de Rougé 1837, 1917, Destutt d'Assay 1868, de Pérusse des Cars 1877, Gravier de Vergennes 1912, de Vigneral 1904, Jousseaume de la Bretesche 1910, de Montalembert 1906, de Roquefeuil Blanquefort, de Tucé, etc.
Noms isolés
Pour l'Abbé Angot[3], quelques noms isolés sont à signaler :
- Colonie d'Anthenaise, femme de Michel de Jonchères, laquelle vivait vers 1350 et dont les armoiries étaient dans un vitrail de l'Église de la Trinité d'Angers ;
- Alix d'Anthenaise, femme de Hugues de Tucé, inhumée dans l'abbaye de Champagne, 1335 ;
- Eustachie d'Anthenaise, femme de Renaud de Montgazon, germana domini d'Anthenaise ; cette dernière vivait, non au XIVe siècle, mais au XVe siècle
- François d'Anthenaise, seigneur du Port-Joulain, et Marie de Charnacé, sa femme, demeuraient à Saint-Laurent-des-Mortiers, où naissent François et Charles, leurs fils, 1624, 1626 ; le père meurt prêtre au Château d'Hauteville en 1648.
- René d’Anthenaise, seigneur de Tillé et d'Ouville, en Saint-Léger-sur-Sarthe, mari de Gilberde de l'Étang, habitait Saint-Isle, où Jean d'Anthenaise était prieur, et y fait baptiser un fils, Urbain, 1632.
- Julien d’Anthenaise, de la branche du Port-Joulain, épousa à Grez-en-Bouère[13], Renée Esnault, et y demeura.
- Jean-Baptiste-Prosper d'Anthenaise[3], né à Port-Joulain, le , de Charles d'Anthenaise, lieutenant du roi à Château-Gontier et de Jeanne Olivier, religieux de Saint-Maur. Il dédia sa thèse de philosophie, soutenue à Angers, le , à Adélaïde d'Orléans, abbesse de Chelles, fille du Régent Philippe d'Orléans[14]. Il fut prieur claustral de l'Abbaye d'Évron, 1741, 1742, et arrêta, dit-on, des démarches entamées pour le faire relever de ses vœux après la mort de quatre de ses frères. En 1746, il passe bail à Château-Gontier du prieuré de Villiers-Charlemagne et meurt à l'Abbaye de Marmoutier[3].
Voir aussi
Bibliographie
- « Maison d'Anthenaise », dans Alphonse-Victor Angot et Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Laval, A. Goupil, 1900-1910 [détail des éditions] (BNF 34106789, présentation en ligne)
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle., Évreux, impr. de C. Hérissey, (lire en ligne), p. 89-90.
Références de l'Abbé Angot
- Bonneserre de Saint-Denis, Notices sur la Maison d’Anthenaise, 1878.
- Célestin Port, Dictionnaire de Maine-et-Loire, aux mots Anthenaise, Port-Joulain, etc.
- Archives départementales d'Indre-et-Loire, H 360.
- Tous les cartulaires du Maine.
Articles connexes
- Armorial des familles du Maine
- Armorial des familles de Normandie
- Liste des familles subsistantes de la noblesse française (A à K)
Liens externes
Notes et références
Notes
Références
- Chaix d'Est-Ange 1911, p. 391.
- ↑ L'Abbé Angot indique que M. Bonneserre de Saint-Denis pour en lier le premier anneau, dans la personne d'un Amaury, fils puîné d'Hamelin, fait dire à Gilles Ménage ce qu'il ne dit pas (Sablé, 166). Les degrés suivants : Jean, Anceau, Aymery, donnés par Pierre d'Hozier, ne sont établis par aucun titre auquel on puisse se référer.
- Angot et Gaugain 1900-1910.
- ↑ Tome VIII des ""Archives de la noblesse"".
- Chaix d'Est-Ange 1911, p. 392.
- ↑ Avant son départ, il demande aux religieux de l'Abbaye Saint-Vincent du Mans de dire pour lui soixante messes. Après son retour, il donne à l'Abbaye Saint-Aubin d'Angers quelques biens en Luché et assiste à la fondation du prieuré de la Cropte.
- ↑ On montre encore dans les dépendances de l'ancienne abbaye la base d'une croix, dite la Croix d'Anthenaise.
- ↑ Un des quartiers du bourg s’est toujours nommé la rue d'Anthenaise.
- ↑ Et non de la Vallée.
- ↑ Il est le premier de sa famille dont on connaisse le sceau armorié, chargé d'une aigle à deux têtes — empreintes de 1217, 1226, 1229.
- ↑ D'après M. Bonneserre de Saint-Denis.
- Chaix d'Est-Ange 1911, p. 390.
- ↑ Et non à Grez-Neuville.
- ↑ Par une erreur déjà relevée, on a eu tort de dire qu'il grava lui-même le portrait de cette dame en tête de sa thèse.