Technopedia Center
PMB University Brochure
Faculty of Engineering and Computer Science
S1 Informatics S1 Information Systems S1 Information Technology S1 Computer Engineering S1 Electrical Engineering S1 Civil Engineering

faculty of Economics and Business
S1 Management S1 Accountancy

Faculty of Letters and Educational Sciences
S1 English literature S1 English language education S1 Mathematics education S1 Sports Education
  • Registerasi
  • Brosur UTI
  • Kip Scholarship Information
  • Performance
  1. Weltenzyklopädie
  2. Marcel Roclore — Wikipédia
Marcel Roclore — Wikipédia 👆 Click Here! Read More..
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Marcel Roclore
Illustration.
Buste de Marcel Roclore à Saulieu.
Fonctions
Député français
9 décembre 1958 – 9 octobre 1962
(3 ans et 10 mois)
Élection 30 novembre 1958
Circonscription 4e de la Côte-d'Or
Législature Ire (Cinquième République)
Groupe politique IPAS
Prédécesseur Circonscription créée
Successeur Robert Morlevat
19 janvier 1956 – 5 décembre 1958
(2 ans, 10 mois et 16 jours)
Élection 2 janvier 1956
Circonscription Côte-d'Or
Législature IIIe (Quatrième République)
Groupe politique IPAS
6 novembre 1945 – 3 juillet 1951
(5 ans, 7 mois et 27 jours)
Élection 21 octobre 1945
Réélection 2 juin 1946
10 novembre 1946
Circonscription Côte-d'Or
Législature Ire Constituante
IIe Constituante
Ire (Quatrième République)
Groupe politique RI
Ministre de l'Agriculture
22 octobre – 19 novembre 1947
(28 jours)
Président Vincent Auriol
Président du Conseil Paul Ramadier
Gouvernement Ramadier II
Prédécesseur François Tanguy-Prigent
Successeur Pierre Pflimlin
Ministre d'État
22 janvier – 21 octobre 1947
(8 mois et 29 jours)
Président Vincent Auriol
Président du Conseil Paul Ramadier
Gouvernement Ramadier I
Conseiller général de la Côte-d'Or
1945 – 1966
(21 ans)
Circonscription Canton de Saulieu
Successeur Auguste Hervey
Maire de Saulieu
1945 – 1965
(20 ans)
Successeur Éliane de Wignacourt
Biographie
Nom de naissance Marcel Louis François Roclore
Date de naissance 25 août 1897
Lieu de naissance Saulieu, France
Date de décès 27 octobre 1966 (à 69 ans)
Lieu de décès Dun-les-Places, France
Nationalité Française
Parti politique CNIP
modifier 

Marcel Roclore, né le 25 août 1897 à Saulieu (Côte-d'Or) et mort le 27 octobre 1966 à Dun-les-Places (Nièvre), est un homme politique français.

Ministre d'État du 22 janvier au 22 octobre 1947, ministre de l'Agriculture du 22 octobre au 24 novembre 1947, membre des deux Assemblées nationales constituantes et député de la Côte-d'Or de 1946 à 1951 et de 1956 à 1958.

Biographie

[modifier | modifier le code]

Jeunesse

[modifier | modifier le code]

Issu d'une lignée de pharmaciens et de médecins (son père était directeur du Service des enfants assistés de la Côte-d'Or), Marcel Roclore entame des études de médecine, lorsque éclate la Première Guerre mondiale. Mobilisé en janvier 1916 dans l'artillerie, il est versé dans les services de santé comme médecin auxiliaire, où son courage lui vaut la croix de guerre et une citation à l'ordre du régiment. Après-guerre, il achève ses études et devient docteur en médecine. Marié trois fois au cours de sa vie, il a quatre enfants de son premier mariage (qui date de 1922).

Sa carrière politique débute en 1935, quand il devient conseiller municipal de Saulieu. Aux élections législatives de 1936, durant lesquelles il est le candidat du Parti agraire, il se désiste au 2e tour pour faire barrage au candidat socialiste. Il demeurera tout au long de sa vie intéressé par les problèmes agricoles.

Seconde Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Lors de la Seconde Guerre mondiale, il est médecin-chef. Fait prisonnier, il est libéré en août 1940. En 1941, il refuse d'être nommé maire par le régime de Vichy et entre plus tard dans la Résistance. Membre fondateur du maquis du Morvan, entré au Comité départemental de libération en novembre 1943, il devient membre du Comité directeur de Ceux de la Résistance. À la Libération, il est nommé chargé de mission pour les affaires économiques au Commissariat de la République de Dijon, et reprend son activité politique. Marcel Roclore reçoit ainsi pour son action la croix de guerre et la médaille de la Résistance

L'après-guerre

[modifier | modifier le code]

Sur le plan local, il est élu en 1945 maire de Saulieu, et le reste jusqu'en 1965 (date à laquelle il démissionne car sa liste n'a pas la majorité absolue). En 1945, il est élu également conseiller général de Saulieu, fonction à laquelle il est constamment reconduit au premier tour à chaque élection. Il devient président du Conseil général de la Côte-d'Or en 1951. Très impliqué dans la vie de sa ville et de son département, il est, au moment de son décès, le président de plusieurs associations visant à la promotion de sa région et à l'amélioration de ses équipements.

Au niveau national, il est élu député de la Côte-d'Or aux deux Assemblées constituantes de 1945 et 1946, à chaque fois second sur la liste des Républicains indépendants du chanoine Kir. Il est membre de la commission des moyens de communications et des postes et de celle de la famille, de la population et de la santé, et défend à l'Assemblée un plan de lutte contre les maladies vénériennes et l'interdiction de la prostitution (fermeture des maisons closes - voir Marthe Richard). Il intervient aussi à l'Assemblée sur les questions de politique générale et le budget. Comme les autres députés de l'opposition de droite, il vote contre les deux projets de Constitution et les nationalisations.

En octobre 1946, il est élu député Indépendant à l'Assemblée nationale, dont il devient vice-président la même année (il l'est à nouveau de 1948 à 1950). Du 22 janvier au 22 octobre 1947, il occupe le poste de ministre d'État dans le premier cabinet Ramadier. Déjà inquiet du manque de fermeté supposé vis-à-vis des communistes et des indépendantistes algériens, il se soucie du problème indochinois. Il fait partie de ceux qui, hostiles aux négociations avec le Vietminh, souhaitent gagner la guerre pour envisager ensuite une solution politique. Du 22 octobre au 24 novembre 1947, il est ensuite ministre de l'Agriculture dans l'éphémère second cabinet Ramadier, ministère difficile car très impopulaire au moment où le problème du ravitaillement obsède la population. Décidé à faire baisser les prix agricoles, il se heurte par son anti-étatisme aux projets de ses collègues socialistes (en particulier André Philip).

À l'Assemblée nationale, il est membre de la commission des affaires étrangères en 1947-1948, et de la commission de la famille, de la population et de la santé durant toute la législature, deux commissions qui correspondent à ses compétences et à ses préoccupations politiques. De 1946 à 1950, il intervient à propos de questions diverses, mais ses rapports, ses propositions de loi et de résolution concernent essentiellement des questions médicales et de santé assez techniques, auxquelles sa formation le destine particulièrement. Il se signale enfin par son appui à la politique européenne et atlantiste.

Lors des élections de juin 1951, malgré l'apparentement entre RPF et les Indépendants, Paysans et Républicains nationaux, la désunion avec le chanoine Kir (qui mène une liste concurrente de Concentration Républicaine) entraîne un affaissement des voix des Indépendants, ce qui coûte à Marcel Roclore, toujours deuxième de liste, son siège de député.

Cependant, en août 1951, l'Assemblée nationale l'élit conseiller de l’Union française en remplacement d'Estèbe. Réélu en juillet 1952, il siège au sein du groupe d'Union métropole Outre-mer puis chez les Indépendants (jusqu'à sa démission en janvier 1956). Membre de la commission des affaires sociales en 1951-1952 et de celle de l'agriculture, de l'élevage, des chasses, des pêches et des forêts de 1951 à 1956, il occupe la vice-présidence de l'assemblée de l'Union française d'octobre 1952 à décembre 1953. Il y fait quelques interventions ponctuelles, dans le domaine médical, mais aussi pour appuyer l'action de l'armée en Indochine ou le projet de CED.

Élu à nouveau député à l'Assemblée nationale en janvier 1956 (comme Indépendant et Paysan d'Action sociale), il est membre des commissions de la famille et de l'Intérieur en 1956-1957, et de celle des affaires étrangères en 1958. Son action parlementaire se concentre sur deux points : son engagement européen, et surtout la sauvegarde des liens historiques de la France avec ses anciennes colonies et la conservation de l'Algérie. Il intervient plusieurs fois à l'Assemblée sur la question algérienne, dont il est un des spécialistes.

Partisan d'une politique de fermeté vis-à-vis des indépendantistes considérés comme des terroristes, opposé à tout défaitisme, il préconise cependant une vaste politique de réformes politiques, administratives, économiques et sociales. La pacification et le retour à l'ordre sont pour lui un préalable au sauvetage de l'Algérie française, qui passerait par la mise en place de l'autonomie, la modification du statut et des droits des indigènes (sans aller jusqu'au collège unique) et le développement économique. Il participe à une enquête parlementaire sur place, et est en septembre 1957 rapporteur du projet de loi sur les institutions de l'Algérie, rédigé par la commission de l'Intérieur dont il fait partie. Il la quitte finalement, à cause des points de vue inconciliables qui la divise.

Indépendant au sens propre du terme et peu suspect de sectarisme, Marcel Roclore a une autorité morale qui dépasse les limites de son groupe parlementaire, comme en témoignent ses vice-présidences à l'Assemblée nationale et à l'assemblée de l'Union française. Il entretient des relations avec de nombreuses personnalités ne faisant pas partie des Indépendants; il s'est en particulier lié avec à François Mitterrand, alors que celui-ci cherchait à s'implanter à Château-Chinon, et est devenu proche de sa famille. Par contre, ses liens avec les Indépendants se sont progressivement distendus, sans toutefois qu'il rompe jamais avec eux.

Aux législatives de 1958, il est confortablement élu député (Indépendant et Paysan d’Action sociale) de la Quatrième circonscription de la Côte-d'Or (Montbard). Ses désaccords avec la majorité gaulliste le pousse à se rallier à l'opposition représentée par son ami Mitterrand. Il ne se représente pas à la députation en 1962 et vise alors une élection au Sénat au sein d'une coalition de centristes de gauche. Sa courte défaite au deuxième tour face à Roger Duchet, sénateur sortant soutenu par les modérés, achève de l'éloigner de ses anciens amis Indépendants.

Retiré de la vie politique nationale depuis lors, Marcel Roclore meurt brutalement en 1966. Il est inhumé au cimetière Saint-Saturnin de Saulieu[1].

Décorations

[modifier | modifier le code]
  • Chevalier de la Légion d'honneur Chevalier de la Légion d'honneur
  • Croix de guerre 1914-1918, étoile de bronze Croix de guerre 1914-1918, étoile de bronze
  • Croix de guerre 1939-1945, palme de bronze Croix de guerre 1939-1945, palme de bronze
  • Médaille de la Résistance française Médaille de la Résistance française par décret du 3 aout 1946
  • Commandeur de l'ordre du Mérite agricole Commandeur de l'ordre du Mérite agricole
  • Commandeur de l'ordre de la Santé publique Commandeur de l'ordre de la Santé publique
  • Grand-croix de l'ordre de Saint-Charles Grand-croix de l'ordre de Saint-Charles (Monaco)

Anecdote

[modifier | modifier le code]

Dans son livre La République des mots, Ivan Levaï raconte l'anecdote que lui a confié François Mitterrand : « Le docteur Roclore mourut, frappé d'une crise cardiaque, essayant seul d'appeler des secours au téléphone, n'y parvenant pas et évaluant exactement le temps qu'il lui restait à vivre… » (p. 260).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ Cimetières de France et d'ailleurs

Liens externes

[modifier | modifier le code]

  • Ressources relatives à la vie publiqueVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Archives électorales de Sciences Po
    • base Léonore
    • Sénat
    • Base Sycomore
v · m
Ministres français de l'Agriculture (depuis 1871)
IIIe République
(1871-1940)
  • Pierre Magnin
  • Félix Lambrecht
  • Victor Lefranc
  • Eugène de Goulard
  • Pierre Teisserenc de Bort
  • Marie Roullet de La Bouillerie
  • Alfred Deseilligny
  • Louis Grivart
  • Camille de Meaux
  • Pierre Teisserenc de Bort
  • Camille de Meaux
  • Jules Ozenne
  • Pierre Teisserenc de Bort
  • Charles Lepère
  • Pierre Tirard
  • Paul Devès
  • François de Mahy
  • Jules Méline
  • Hervé Mangon
  • Hippolyte Gomot
  • Jules Develle
  • François Barbe
  • Jules Viette
  • Léopold Faye
  • Jules Develle
  • Albert Viger
  • Antoine Gadaud
  • Albert Viger
  • Jules Méline
  • Albert Viger
  • Jean Dupuy
  • Léon Mougeot
  • Joseph Ruau
  • Étienne Raynaud
  • Jules Pams
  • Fernand David
  • Étienne Clémentel
  • Étienne Raynaud
  • Adrien Dariac
  • Fernand David
  • Jules Méline
  • Étienne Clémentel
  • Fernand David
  • Victor Boret
  • Joseph Noulens
  • Joseph-Honoré Ricard
  • Edmond Lefebvre du Prey
  • Henry Chéron
  • Joseph Capus
  • Henri Queuille
  • Jean Durand
  • François Binet
  • Henri Queuille
  • Jean Hennessy
  • Henri Queuille
  • Fernand David
  • Victor Boret
  • André Tardieu
  • Armand Achille-Fould
  • Claude Chauveau
  • Abel Gardey
  • Henri Queuille
  • Auguste Cassez
  • Paul Jacquier
  • Pierre Cathala
  • Paul Thellier
  • Georges Monnet
  • Fernand Chapsal
  • Georges Monnet
  • Henri Queuille
  • Paul Thellier
  • Albert Chichery
Régime de Vichy
(1940-1944)
  • Pierre Caziot
  • Jacques Le Roy Ladurie
  • Max Bonnafous
IVe République
(1946-1959)
  • François Tanguy-Prigent
  • Robert Prigent
  • François Tanguy-Prigent
  • Marcel Roclore
  • Pierre Pflimlin
  • Gabriel Valay
  • Pierre Pflimlin
  • Paul Antier
  • Camille Laurens
  • Roger Houdet
  • Jean Sourbet
  • Roland Boscary-Monsservin
  • Roger Houdet
Ve République
(depuis 1959)
  • Roger Houdet
  • Henri Rochereau
  • Edgard Pisani
  • Edgar Faure
  • Robert Boulin
  • Jacques Duhamel
  • Michel Cointat
  • Jacques Chirac
  • Raymond Marcellin
  • Christian Bonnet
  • Pierre Méhaignerie
  • Édith Cresson
  • Michel Rocard
  • Henri Nallet
  • François Guillaume
  • Henri Nallet
  • Louis Mermaz
  • Jean-Pierre Soisson
  • Jean Puech
  • Philippe Vasseur
  • Louis Le Pensec
  • Jean Glavany
  • François Patriat
  • Hervé Gaymard
  • Dominique Bussereau
  • Christine Lagarde
  • Michel Barnier
  • Bruno Le Maire
  • Stéphane Le Foll
  • Jacques Mézard
  • Stéphane Travert
  • Didier Guillaume
  • Julien Denormandie
  • Marc Fesneau
  • Annie Genevard
v · m
Ministres français de la Santé (depuis 1915)
Troisième République
(1915-1940)
  • Justin Godart
  • Louis Mourier
  • Jules Breton
  • Georges Leredu
  • Paul Strauss
  • Daniel Vincent
  • Paul Jourdain
  • Justin Godart
  • Antoine Durafour
  • Louis Pasquet
  • André Fallières
  • Louis Loucheur
  • Désiré Ferry
  • Henri Queuille
  • Camille Blaisot
  • Justin Godart
  • Charles Daniélou
  • Émile Lisbonne
  • Alexandre Israël
  • Émile Lisbonne
  • Louis Marin
  • Henri Queuille
  • Ernest Lafont
  • Louis Nicolle
  • Henri Sellier
  • Marc Rucart
  • Fernand Gentin
  • Marc Rucart
  • Marcel Héraud
  • Georges Pernot
  • Jean Ybarnégaray
Régime de Vichy
(1940-1944)
  • Jean Ybarnégaray
  • Jacques Chevalier
  • Serge Huard
  • Raymond Grasset
  • Louis Aublant
CFLN et GPRF
(1943-1946)
  • Jules Abadie
  • Louis Pasteur Vallery-Radot
  • François Billoux
  • Robert Prigent
Quatrième République
(1946-1958)
  • Robert Prigent
  • René Arthaud
  • Pierre Ségelle
  • Georges Marrane
  • Marcel Roclore
  • Robert Prigent
  • Germaine Poinso-Chapuis
  • Pierre Schneiter
  • Paul Ribeyre
  • André Boutemy
  • Paul Ribeyre
  • Paul Coste-Floret
  • Louis-Paul Aujoulat
  • André Monteil
  • Bernard Lafay
  • André Maroselli
  • Félix Houphouët-Boigny
  • André Maroselli
  • Bernard Chenot
Cinquième République
(depuis 1959)
  • Bernard Chenot
  • Joseph Fontanet
  • Raymond Marcellin
  • Robert Boulin
  • Jean Foyer
  • Michel Poniatowski
  • Simone Veil
  • Jacques Barrot
  • Edmond Hervé
  • Jack Ralite
  • Edmond Hervé
  • Michèle Barzach
  • Claude Évin
  • Léon Schwartzenberg
  • Claude Évin
  • Bruno Durieux
  • Bernard Kouchner
  • Simone Veil
  • Philippe Douste-Blazy
  • Élisabeth Hubert
  • Hervé Gaymard
  • Bernard Kouchner
  • Dominique Gillot
  • Bernard Kouchner
  • Jean-François Mattei
  • Philippe Douste-Blazy
  • Xavier Bertrand
  • Philippe Bas
  • Roselyne Bachelot
  • Xavier Bertrand
  • Nora Berra
  • Marisol Touraine
  • Agnès Buzyn
  • Olivier Véran
  • Brigitte Bourguignon
  • François Braun
  • Aurélien Rousseau
  • Agnès Firmin-Le Bodo
  • Catherine Vautrin (Frédéric Valletoux)
  • Geneviève Darrieussecq
  • Catherine Vautrin
  • Stéphanie Rist
En italique : les ministres délégués, secrétaires d'État ou sous-secrétaires d'État seuls titulaires du portefeuille de la Santé
v · m
Gouvernements Ramadier I et II (22 janvier 1947 - 19 novembre 1947)
Sous la présidence de Vincent Auriol
Ministres d'État
  • Maurice Thorez
  • Pierre-Henri Teitgen
  • Félix Gouin
  • Yvon Delbos
  • Marcel Roclore



Paul Ramadier
Justice André Marie
Affaires étrangères Georges Bidault
Intérieur Édouard Depreux
Défense nationale
  • François Billoux
  • Pierre-Henri Teitgen
Guerre
  • Paul Coste-Floret
  • Pierre-Henri Teitgen
Marine
  • Louis Jacquinot
  • Pierre-Henri Teitgen
Air
  • André Maroselli
  • Pierre-Henri Teitgen
Finances Robert Schuman
Économie nationale
  • André Philip
  • Jules Moch
Agriculture
  • François Tanguy-Prigent
  • Marcel Roclore
Production industrielle Robert Lacoste
Reconstruction et Urbanisme
  • Charles Tillon
  • Jules Moch
  • Jean Letourneau
  • Jules Moch
Commerce
  • Jean Letourneau
  • Robert Lacoste
Éducation nationale Marcel-Edmond Naegelen
Transports et Travaux publics Jules Moch
Outre-Mer
  • Marius Moutet
  • Paul Ramadier
Travail et Sécurité sociale
  • Ambroise Croizat
  • Daniel Mayer
Santé publique et Population
  • Georges Marrane
  • Robert Prigent
Jeunesse, Arts et Lettres Pierre Bourdan
Anciens combattants et Victimes de la guerre
  • François Mitterrand
  • Daniel Mayer
PTT Eugène Thomas
Liste des hauts-commissaires et sous-secrétaires d’État
  • Georges Rastel
  • Paul Béchard
  • Jean Baylot
  • Eugène Thomas
  • André Maroselli
  • Joannès Dupraz
  • Jean Letourneau
  • Albert Forcinal
(← BLUM III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (SCHUMAN I →)
  • icône décorative Portail de la politique française
  • icône décorative Portail de la Résistance française
  • icône décorative Portail du Morvan
  • icône décorative Portail de la Côte-d’Or
Ce document provient de « https://fr.teknopedia.teknokrat.ac.id/w/index.php?title=Marcel_Roclore&oldid=230501390 ».
Catégories :
  • Ministre français de la Santé
  • Ministre d'État (France)
  • Personnalité du Parti agraire et paysan français
  • Personnalité du Centre national des indépendants et paysans
  • Ministre de la Quatrième République
  • Membre de l'Assemblée constituante de 1945
  • Membre de l'Assemblée constituante de 1946
  • Député de la première législature de la Quatrième République
  • Député de la troisième législature de la Quatrième République
  • Député de la Ire législature de la Ve République
  • Député de la Côte-d'Or
  • Président du conseil général de la Côte-d'Or
  • Résistant français
  • Résistant en Morvan
  • Chevalier de la Légion d'honneur
  • Commandeur du Mérite agricole
  • Commandeur de l'ordre de la Santé publique
  • Grand-croix de l'ordre de Saint-Charles
  • Titulaire de la croix de guerre 1914-1918
  • Titulaire de la croix de guerre 1939-1945
  • Titulaire de la médaille de la Résistance française
  • Ministre français de l'Agriculture
  • Naissance en août 1897
  • Naissance à Saulieu
  • Décès en octobre 1966
  • Décès dans la Nièvre
  • Décès à 69 ans
  • Personnalité inhumée en Côte-d'Or
Catégories cachées :
  • Article utilisant une Infobox
  • Page utilisant P12865
  • Page utilisant P11152
  • Page utilisant P1808
  • Page utilisant P1045
  • Page pointant vers des bases externes
  • Page pointant vers des bases relatives à la vie publique
  • Article utilisant le modèle Dictionnaires inactif
  • Page utilisant le modèle Autorité inactif
  • Portail:Politique française/Articles liés
  • Portail:Politique/Articles liés
  • Portail:France/Articles liés
  • Portail:Europe/Articles liés
  • Portail:Résistance française/Articles liés
  • Portail:Seconde Guerre mondiale/Articles liés
  • Portail:Années 1940/Articles liés
  • Portail:XXe siècle/Articles liés
  • Portail:Époque contemporaine/Articles liés
  • Portail:Histoire/Articles liés
  • Portail:Morvan/Articles liés
  • Portail:Bourgogne/Articles liés
  • Portail:Côte-d'Or/Articles liés
  • Portail:Bourgogne-Franche-Comté/Articles liés
  • Wikipédia:Article biographique
  • Portail:Biographie/Articles liés/Politique

  • indonesia
  • Polski
  • الرية
  • Deutsch
  • English
  • Español
  • Français
  • Italiano
  • مصر
  • Nederlands
  • 本語
  • Português
  • Sinugboanong Binisaya
  • Svenska
  • Українска
  • Tiếng Việt
  • Winaray
  • 中文
  • Русски
Sunting pranala
Pusat Layanan

UNIVERSITAS TEKNOKRAT INDONESIA | ASEAN's Best Private University
Jl. ZA. Pagar Alam No.9 -11, Labuhan Ratu, Kec. Kedaton, Kota Bandar Lampung, Lampung 35132
Phone: (0721) 702022
Email: pmb@teknokrat.ac.id