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Mathieu Hanotin
Illustration.
Mathieu Hanotin en 2014.
Fonctions
Maire de Saint-Denis
En fonction depuis le 4 juillet 2020
(5 ans, 5 mois et 23 jours)
Élection 4 juillet 2020
4 janvier 2025
Prédécesseur Laurent Russier
Président de l'Établissement public territorial Plaine Commune
En fonction depuis le 16 juillet 2020
(5 ans, 5 mois et 11 jours)
Élection 16 juillet 2020
Prédécesseur Patrick Braouezec
Conseiller général puis départemental
de la Seine-Saint-Denis
16 mars 2008 – 1er juillet 2021
(13 ans, 3 mois et 15 jours)
Réélection 29 mars 2015
Circonscription Canton de Saint-Denis-Sud (2008-2015)
Canton de Saint-Denis-1 (2015-2021)
Prédécesseur Ronan Kerrest
Successeur Corentin Duprey
Député français
20 juin 2012 – 20 juin 2017
(5 ans)
Élection 17 juin 2012
Circonscription 2e de la Seine-Saint-Denis
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique SRC (2012-2016)
SER (2016-2017)
Prédécesseur Patrick Braouezec
Successeur Stéphane Peu
Vice-président du conseil général
de la Seine-Saint-Denis
16 mars 2008 – 29 mars 2015
(7 ans et 13 jours)
Élection 16 mars 2008
Président Claude Bartolone
Stéphane Troussel
Biographie
Date de naissance 22 août 1978 (47 ans)
Lieu de naissance Compiègne (France)
Nationalité Française
Parti politique PS
Diplômé de Université de Strasbourg
Université Panthéon-Sorbonne
Profession Cadre de la fonction publique territoriale
Résidence Saint-Denis

Image illustrative de l’article Mathieu Hanotin
Maires de Saint-Denis
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Mathieu Hanotin, né le 22 août 1978 à Compiègne (Oise), est un homme politique français.

Membre du Parti socialiste, il est député de la 2e circonscription de la Seine-Saint-Denis de 2012 à 2017, et conseiller départemental de ce même département de 2015 à 2021.

À l'issue des élections municipales de 2020, il est élu maire de Saint-Denis et président de l'établissement public territorial Plaine Commune.

Biographie

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Il commence le militantisme au syndicat étudiant UNEF alors qu'il suit des études de droit et d’histoire à l’université de Strasbourg, puis à l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne[1]. Il adhère au Parti socialiste en 1996[1]. Il devient ensuite cadre à la mairie de Paris aux côtés du maire-adjoint chargé des sports Pascal Cherki[2].

Mandat au département

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Il s'installe en Seine-Saint-Denis vers 2005[3]. Il se présente et est élu en mars 2008 conseiller général du canton de Saint-Denis-Sud, face au sortant communiste Ronan Kerrest[4], dont le canton était réputé imprenable[3]. Nouveau président du conseil général de la Seine-Saint-Denis, Claude Bartolone charge le benjamin du conseil de conduire la priorité du département, en tant que vice-président chargé de l'Éducation, de la citoyenneté et de la lutte contre les discriminations[2]. En 2011, sa vice-présidence s'étend à l'éducation et de la jeunesse[5]. Le département vote en 2010 un plan exceptionnel d’investissement de 703 millions d'euros pour la construction ou reconstruction de 21 collèges, dont 380 millions en maîtrise d’ouvrage directe et 323 millions en contrat de partenariat[6],[7].

Candidat aux élections départementales de 2015 en binôme avec Nadège Grosbois, il devance au premier tour le duo formé des deux conseillers généraux sortants Front de gauche de Saint-Denis Bally Bagayoko et Florence Haye, ticket sur lequel le président de Plaine commune Patrick Braouezec était suppléant[8], puis reste seul en lice pour le second à la faveur d'un accord départemental de désistement des candidats de gauche pour le mieux placé[9]. Conseiller départemental chargé du sport et des grands événements, il fait adopter en novembre 2016 un programme d'investissement sur les piscines, prévoyant notamment un nouvel équipement à Pierrefitte-sur-Seine[10], et est responsable du projet départemental pour la candidature française pour Jeux olympiques de 2024, qui inclut notamment la construction d'une piscine olympique près du Stade de France et la reconstruction de la piscine de Marville[11].

Accusé de ne pas avoir soutenu la candidature de la liste menée par Gilbert Roger aux sénatoriales, la fédération vote en octobre 2017 une motion lui demandant de se démettre de la présidence du groupe des élus socialistes au conseil départemental[12]. Il en démissionne en novembre, affirmant que sa délégation au sport et à l’organisation des grands événements comme les Jeux olympiques d'été de 2024 le mobilise beaucoup[13].

Mandat de député

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Après avoir soutenu Martine Aubry lors de la primaire de 2011, il soutient la campagne présidentielle victorieuse de François Hollande[1]. Candidat aux élections législatives de juin 2012, il est élu député de la Seine-Saint-Denis dans la 2e circonscription (Saint-Denis, Pierrefitte-sur-Seine, Villetaneuse) en devançant le candidat du Front de Gauche et député sortant Patrick Braouezec[14], qui se maintient au second tour malgré un accord départemental de désistement réciproque entre Socialistes et Communistes[15]. Son élection est marquée par le chahut de partisans du candidat sortant dans la salle des réceptions de Saint-Denis à l'annonce des résultats[16].

Membre de la Commission des Affaires culturelles et de l'Éducation, il s'engage sur différents sujets[17] en lien avec les préoccupations des habitants de banlieue : l'éducation et le logement. Dans le cadre du projet de loi ALUR de Cécile Duflot, il fait adopter plusieurs amendements pour lutter contre le logement insalubre[18]. Le décret d'application de la mesure prévoyant de définir où les maires peuvent exiger un « permis de louer » est pris en décembre 2016[19]. Il fait amender le projet de loi de refondation de l'école sur l'éducation prioritaire et sur la transition entre l'école primaire et le collège[20]. Il appuie le centre hospitalier de Saint-Denis afin qu'il soit le siège du groupement hospitalier de territoire l'unissant à l'hôpital de Gonesse[21] et soutient financièrement la création de la Maison des femmes de l'hôpital Delafontaine ouverte en 2016[22].

Rappelant un des engagements de campagne de François Hollande sur l'amélioration des rapports entre la police et la population, il dépose en 2016 un amendement visant à la remise d'un récépissé lors des contrôles d'identité[23]. Destiné à lutter contre les contrôles au faciès, il est cependant rejeté[24] quelques mois avant que l’État ne soit condamné pour ce motif, en novembre 2016, par la Cour de cassation[25].

Dans le cadre de l'examen du projet de loi pour une République numérique, il fait adopter en janvier 2016 un amendement pour garantir le droit au maintien à une connexion internet pour les ménages en difficultés, dont l’expérimentation débute dans deux départements en janvier 2017[26],[27].

Membre du courant de gauche Un monde d'avance fondé par Benoît Hamon[28], il s'abstient le 15 octobre 2013 sur la réforme des retraites présentée par le gouvernement Ayrault, se déclarant avec plusieurs autres élus de l'aile gauche du parti « très réservés sur l'allongement de la durée de cotisation »[29],[30] Après les annonces budgétaires de Manuel Valls en avril 2014, il cosigne avec notamment Christian Paul un courrier dans lequel il explique le plan d'économies du gouvernement ne saurait dépasser 35 milliards au lieu des 50 prévus[31]. Avec 40 autres députés socialistes, il s'abstient sur le vote du 29 avril 2014 suivant la déclaration du Gouvernement sur le projet de programme de stabilité pour 2014-2017, premier acte des députés frondeurs[32]. Il s'oppose au projet présidentiel d'inscrire la déchéance de nationalité dans la Constitution[33]. Faisant partie des parlementaires de gauche qui rappellent à l'automne 2012 au président François Hollande son engagement sur la mise en place du droit de vote des étrangers aux élections locales[34], il est cosignataire d'un amendement — rejeté en séance[35] — qui l'aurait légalisé dans le projet de réforme constitutionnelle de 2016[36],[37].

Il est le directeur de campagne de Benoît Hamon, candidat à la primaire citoyenne organisée en vue de l'élection présidentielle de 2017[38]. Lors du rassemblement de lancement de sa candidature organisé à Saint-Denis, Mathieu Hanotin considère que « la gauche n’a pas été au rendez-vous de ce quinquennat et [que] François Hollande n’a pas mené le combat pour appliquer ses engagements [alors que] Manuel Valls soutient des maires autoritaro-identitaires » faisant référence aux arrêtés anti-burkini[39]. Avant le premier tour, alors que Benoit Hamon s'est hissé parmi les favoris après avoir été initialement vu comme un outsider, il se félicite d'avoir réussi à polariser le débat autour des questions sociales et du travail : « Cet été, certains pensaient que les débats de la primaire allaient se réduire aux questions identitaires alors que non. On a réussi à imposer les sujets[40] ». De fait, Benoit Hamon vire en tête du premier tour de la primaire avec 36 % des voix[41]. Après la primaire, il devient codirecteur de la campagne présidentielle avec le député Jean-Marc Germain[42], mais Benoit Hamon n'obtient que 6,35 % de voix et n'est pas qualifié pour le second tour de la présidentielle[43]. À l'automne, il publie dans Libération un feuilleton en 20 épisodes sur la campagne présidentielle[44].

Il s'associe au projet de lancement au début de l'été 2017 du mouvement Dès demain, révélé le 10 mai par Anne Hidalgo, Martine Aubry et Christiane Taubira, où l'on retrouve aussi bien Luc Carvounas que les écologistes Karima Delli et Christophe Najdovski[45]. Il annonce dès le 10 mai 2017 qu'il « ne votera[it] pas la confiance » au futur Premier ministre nommé par Emmanuel Macron[46], mais il manque de peu la qualification pour le second tour et n'est donc pas réélu[47]. Il apporte son soutien au lancement du mouvement de Benoît Hamon Génération.s mais reste membre du PS[48].

Candidat à sa réélection aux élections législatives de 2017 dans sa deuxième circonscription de la Seine-Saint-Denis, il récolte 19,2 % des suffrages exprimés, un résultat insuffisant pour lui permettre d'accéder au second tour. Il cède ainsi son siège au communiste Stéphane Peu, élu au second tour face à la candidate LREM[49].

Mandats municipaux et intercommunaux

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Articles connexes : Élections municipales de 2014 à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), Élections municipales de 2020 à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), Liste des maires de la Seine-Saint-Denis et Établissement public territorial Plaine Commune.

En août 2013, il se déclare candidat à la mairie de Saint-Denis en vue des élections municipales de 2014[50],[51],[52]. Il obtient 34,3 % au premier tour, contre 40,2 % pour le maire communiste sortant, Didier Paillard. Face à ce dernier, il est battu au second tour en obtenant 49,50 % des voix[53]. Le mois suivant, il choisit de conserver son mandat de conseiller général et de démissionner de celui de conseiller municipal pour laisser sa place au suivant de sa liste[54].

Alors que la ville de Saint-Denis édite depuis février 2016 un journal évaluant le respect de ses engagements électoraux, les socialistes distribuent peu après à la population un questionnaire pour évaluer le bilan de la municipalité[55].

En mai 2018, il lance publiquement la démarche Notre Saint-Denis en vue des élections municipales de 2020[56]. Lors du premier tour, le 15 mars 2020, il obtient 35,3 % des suffrages. Le maire sortant communiste Laurent Russier est deuxième avec 24 % des voix[57]. Mathieu Hanotin remporte le second tour du 28 juin avec 59 % des voix. Il est élu maire le 4 juillet, devenant le premier maire dionysien issu du Parti socialiste après plus de soixante-dix ans de victoires communistes[58].

Parmi ses premières mesures prises à l'automne 2020 figurent plusieurs dans le domaine de la sécurité publique[59] : renforcement des effectifs de la police municipale et son armement, création d'un centre de supervision urbaine et armement des agents[60], rénovation de l'ancien commissariat pour y relocaliser la police municipale[61], abandonnant l'idée d'utiliser le site pour y implanter un conservatoire de musique[62]. Il fait de la lutte contre l’habitat indigne une autre priorité de son mandat en renforçant les inspecteurs d'hygiène et en favorisant les travaux d’office[63],[64].

Sa volonté de réformer les conditions de travail des agents municipaux est contestée par la majorité des syndicats[65] et provoque un conflit social de plusieurs semaines[65],[66],[67].

Au terme des élections municipales de 2020, il est également élu président de l'établissement public territorial Plaine Commune[68],[69]. En septembre 2020, pour défendre le choix d'une régie publique au sein du SEDIF[70], il fait adhérer les villes de Plaine Commune au Syndicat des eaux d'Île-de-France, dont six villes avaient mis la décision en attente.

Depuis son élection en 2020, Hanotin a fortement investi dans la vidéosurveillance, augmentant le nombre de caméras de la ville à 450 pour un coût total de 6,7 millions d’euros. En 2024, Hanotin met en place un système de vidéosurveillance algorithmique utilisant l'intelligence artificielle pour analyser les comportements dans l’espace public. Ce projet est annoncé sans consultation préalable des habitants ni délibération publique. Le logiciel choisi permet de surveiller en temps réel et d’analyser divers comportements via des filtres biométriques, bien que leur usage soit limité par la législation française[71],[72].

Synthèse des fonctions et mandats

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En cours

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  • Maire de Saint-Denis depuis juillet 2020 ;
  • Président du conseil de territoire de l'établissement public territorial Plaine Commune depuis juillet 2020.

Anciens mandats

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  • Conseiller métropolitain de la métropole du Grand Paris depuis juillet 2020- 2021 ;
  • Conseiller général du canton de Saint-Denis-Sud et vice-président du conseil général de mars 2008 à décembre 2015 ;
  • Député de la deuxième circonscription de Seine-Saint-Denis du 18 juin 2012 au 18 juin 2017 ;
  • Conseiller départemental du canton de Saint-Denis-1, conseiller départemental délégué aux sports et aux grands événements de décembre 2015 à juillet 2021.

Ouvrage

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  • Et si la banlieue : Saint-Denis demain, La Tour-d'Aigues, L'Aube, coll. « L'Aube poche : essai : avant-propos », 2013, 88 p. (ISBN 978-2-8159-0966-2, BNF 43728732)

Décorations

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  • Chevalier de l'ordre national du Mérite Chevalier de l'ordre national du Mérite , le 26 mai 2021[73]
  • Chevalier de la Légion d'honneur Chevalier de la Légion d'honneur, le 29 janvier 2025[74].

Notes et références

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  1. ↑ a b et c « Mathieu Hanotin : « J’ai la politique dans le sang depuis des années » », Bondy Blog, 23 mai 2012 (consulté le 2 mars 2014)
  2. ↑ a et b Élodie Soulié, « Les nouveaux visages du département », leparisien.fr, 27 mars 2008 (consulté le 3 décembre 2016)
  3. ↑ a et b Abel Mestre, « « Génération CPE » : de l’UNEF au pouvoir », lemonde.fr, 22 mai 2017 (consulté le 23 mai 2017)
  4. ↑ « Résultats des élections Cantonales », Ministère de l'Intérieur
  5. ↑ « Vos élus », Conseil général de Seine-Saint-Denis (consulté le 2 mars 2014)
  6. ↑ « Plan exceptionnel d’investissement pour les collèges », Blog de Claude Bartolone, 19 octobre 2010 (consulté le 2 mars 2014)
  7. ↑ « Plan exceptionnel d’investissement pour les collèges du département de la Seine-Saint-Denis », Conseil général de la Seine-Saint-Denis, 17 octobre 2010 (consulté le 2 mars 2014)
  8. ↑ Jean-Gabriel Bontinck, « Saint-Denis 1 : Hanotin (PS) prend sa revanche des municipales », leparisien.fr, 23 mars 2015 (consulté le 28 mars 2015)
  9. ↑ Olivier Faye et Nicolas Chapuis, « Départementales : à gauche, une union dictée par les circonstances », lemonde.fr, 27 mars 2015 (consulté le 28 mars 2015)
  10. ↑ Christophe Lehousse, « Plan Piscines : Le Département augmente la fréquence de battement », seinesaintdenis.fr, 10 novembre 2016 (consulté le 3 décembre 2016)
  11. ↑ Sandrine Lefèvre, « Voilà à quoi ressemblera le 93 si Paris obtient les JO 2024 », leparisien.fr, 27 mars 2017 (consulté le 3 mai 2017)
  12. ↑ Sébastien Thomas, « Seine-Saint-Denis : « La chasse aux sorcières » est lancée au sein du PS », leparisien.fr, 5 octobre 2017 (consulté le 9 octobre 2017)
  13. ↑ Sébastien Thomas, « Seine-Saint-Denis : Mathieu Hanotin quitte la présidence du groupe PS au conseil départemental », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ 16 novembre 2017 (lire en ligne, consulté le 17 novembre 2017).
  14. ↑ Résultats des élections législatives 2012 : SEINE SAINT-DENIS (93) - 2e circonscription, ministère français de l'Intérieur
  15. ↑ « 100 % des voix, 67 % d’abstention, 23 % de blancs et nuls », Le Monde, 18 juin 2012 (consulté le 19 juin 2012)
  16. ↑ « Échauffourées à Saint-Denis entre les partisans de Hanotin (PS) et ceux de Braouezec (FDG) », sur Chaîne Youtube de France 3 Paris-IDF, 18 juin 2012 (consulté le 17 août 2014)
  17. ↑ « Dossiers parlementaires de Mathieu Hanotin », nosdeputes.fr
  18. ↑ Tonino Serafini, « L'Assemblée nationale vote la création d'un permis de louer », Libération, 13 septembre 2013 (consulté le 2 mars 2014)
  19. ↑ « Lutte contre l’habitat indigne : la mise en place d’un « permis de louer » va permettre aux collectivités de s’assurer de la qualité des logements mis en location », logement.gouv.fr, 21 décembre 2016 (consulté le 19 janvier 2017)
  20. ↑ « Refondation de l'école », Un Monde d'Avance (consulté le 2 mars 2014)
  21. ↑ « Le hamoniste Mathieu Hanotin prévient qu'il "ne votera pas la confiance" au nouveau gouvernement », ch-stdenis.fr, 13 octobre 2016 (consulté le 11 mai 2017)
  22. ↑ Sébastien Banse, « Inauguration de la Maison des Femmes », sur www.lejsd.com, 8 juillet 2016 (consulté le 14 avril 2017)
  23. ↑ « Hanotin (PS) défend le récépissé de contrôle d'identité », leparisien.fr, 1er mars 2016 (consulté le 10 avril 2017)
  24. ↑ « Contrôles au faciès : les députés rejettent la mise en place d'un récépissé », leparisien.fr, 2 mars 2016 (consulté le 10 avril 2017)
  25. ↑ Julia Pascual, « Contrôles au faciès : après la condamnation de l’Etat, la police devra changer ses pratiques », lemonde.fr, 10 novembre 2016 (consulté le 10 avril 2017)
  26. ↑ « AMENDEMENT no 288 », assemblee-nationale.fr, 15 janvier 2016 consulté le=3 mai 2017
  27. ↑ Xavier Berne, « Le « droit au maintien de la connexion à Internet » prendra son envol en 2017 », nextinpact.com, 24 octobre 2016 (consulté le 3 mai 2017)
  28. ↑ « Mathieu Hanotin », Un Monde d'Avance (consulté le 2 mars 2014)
  29. ↑ « Analyse du scrutin no 647 », Assemblée nationale, 15 octobre 2013 (consulté le 2 mars 2014)
  30. ↑ Sophie Huet, « La gauche vote sans enthousiasme la réforme des retraites », in Le Figaro, mercredi 16 octobre 2013, page 4.
  31. ↑ Mathieu Magnaudeix et Michaël Hajdenberg, « Affaire Morelle, plan d'austérité: les socialistes sont consternés », Mediapart, 17 avril 2014 (consulté le 18 avril 2014)
  32. ↑ « Analyse du scrutin no 786 », Assemblée nationale, 29 avril 2014 (consulté le 29 avril 2014)
  33. ↑ « Élus de gauche contre la déchéance », liberation.fr, 30 décembre 2015 (consulté le 3 mai 2017)
  34. ↑ « Vote des étrangers : la gauche s'impatiente », leparisien.fr, 26 novembre 2012 (consulté le 11 mai 2017)
  35. ↑ Maxence Kagni, « Valls : le droit de vote des étrangers n'est "pas une priorité et une attente" », lcp.fr, 10 février 2016 (consulté le 11 mai 2017)
  36. ↑ Julien Absalon, « Benoît Hamon veut inclure le droit de vote des étrangers dans la réforme constitutionnelle », rtl.fr, 3 février 2016 (consulté le 11 mai 2017)
  37. ↑ « AMENDEMENT no 168 », assemblee-nationale.fr, 2 février 2016 (consulté le 11 mai 2017)
  38. ↑ Lénaïg Bredoux, Christophe Gueugneau, Stéphane Alliès, « Face à l'offensive identitaire, la gauche sort (un peu) de sa sidération », sur Mediapart, 27 août 2016 (consulté le 28 août 2016).
  39. ↑ Dominique Sanchez, « Hanotin dans le sillage d'Hamon », Le Journal de Saint-Denis, 29 août 2016 (consulté le 3 mai 2017)
  40. ↑ Rachid Laïrèche, « Benoît Hamon: «Notre heure est arrivée» », liberation.fr, 19 janvier 2017 (consulté le 19 janvier 2017)
  41. ↑ « Benoît Hamon, le frondeur arrivé en première position », lemonde.fr, 23 janvier 2017 (consulté le 23 janvier 2017)
  42. ↑ Solenn de Royer, « Jean-Marc Germain et Mathieu Hanotin codirigeront la campagne de Benoît Hamon », lemonde.fr, 7 février 2017 (consulté le 8 février 2017)
  43. ↑ Raphaël Bosse-Platière et Clarisse Martin, « Résultats élection présidentielle : Benoît Hamon obtient 6,35% des voix », rtl.fr, 23 avril 2017 (consulté le 3 mai 2017)
  44. ↑ « «Que la campagne est belle», les coulisses de la présidentielle par le directeur de campagne de Hamon », liberation.fr, 8 novembre 2017 (consulté le 14 novembre 2017)
  45. ↑ « Anne Hidalgo, Christiane Taubira et Martine Aubry lancent un mouvement politique, "Dès demain" », francetvinfo.fr, 10 mai 2017 (consulté le 10 mai 2017)
  46. ↑ « Le hamoniste Mathieu Hanotin prévient qu'il "ne votera pas la confiance" au nouveau gouvernement », europe1.fr, 10 mai 2017 (consulté le 11 mai 2017)
  47. ↑ Gwenaël Bourdon, « Législatives 2017 : le sortant Mathieu Hanotin (PS) éliminé dans la 2e circonscription de Seine-Saint-Denis », leparisien.fr, 11 juin 2017 (consulté le 12 juin 2017)
  48. ↑ Rachid Laïreche, « Après le plantage, Benoît Hamon arrache la rose de son jardin », liberation.fr, 2 juillet 2017 (consulté le 3 juillet 2017)
  49. ↑ Gwenaël Bourdon, « Législatives 2017 : avec Stéphane Peu, le PCF reconquiert la 2e circonscription », leparisien.fr, 18 juin 2017 (consulté le 14 novembre 2017)
  50. ↑ « Le député PS Mathieu Hanotin se présente contre le maire PC de Saint-Denis », Le Parisien, 26 août 2013.
  51. ↑ « Municipales : duel PS-PCF à Saint-Denis ? », Le Figaro, 27 août 2013.
  52. ↑ Pauline Graulle, « Mathieu Hanotin (PS) : “Les communistes ont fait leur temps” », Politis,‎ 8 octobre 2013 (ISSN 1290-5550, lire en ligne, consulté le 16 mars 2014).
  53. ↑ Barthélémy Gaillard, « Saint-Denis : les communistes conservent la mairie de justesse », europe1.fr, 30 mars 2014 (consulté le 11 septembre 2016).
  54. ↑ Sébastien Thomas, « Seine-Saint-Denis : Bartolone démissionne du conseil général », leparisien.fr, 28 avril 2014 (consulté le 29 avril 2014).
  55. ↑ Jean-Gabriel Bontinck, « Saint-Denis : le match PC-PS reprend dans les boîtes aux lettres », leparisien.fr, 27 mars 2016 (consulté le 28 mars 2016).
  56. ↑ Yann Lalande, « Mathieu Hanotin : “Ce n’est pas une entrée en campagne” », lejsd.com, 25 mai 2018 (consulté le 26 mai 2018).
  57. ↑ « Municipales 2020 / Mathieu Hanotin (PS) en tête : les réactions à chaud », sur lejsd.com, 16 mars 2020 (consulté le 17 mars 2020).
  58. ↑ Hélène Haus, « Saint-Denis : les socialistes s’installent à l’hôtel de ville », sur Le Parisien, 4 juillet 2020 (consulté le 6 juillet 2020).
  59. ↑ Pauline Graulle, « A Saint-Denis, le pari sécuritaire de Mathieu Hanotin : En armant sa police municipale, le maire veut rompre avec le « laisser-faire » imputé à la mandature communiste. Opposition, syndicats et associations dénoncent l’inefficacité et la dangerosité de cette nouvelle doctrine », Médiapart,‎ 12 septembre 2020 (lire en ligne, consulté le 18 janvier 2021).
  60. ↑ Claire Guédon, « A Saint-Denis, le maire PS arme la police municipale et fracture encore plus la gauche : Un conseil municipal extraordinaire était consacré jeudi soir, à la sécurité. Le PS, majoritaire depuis juin, et son opposition de gauche se sont affrontés avec en toile de fond, la question de répartition de compétences et de missions entre l’Etat et la ville », Le Parisien,‎ 11 décembre 2020 (lire en ligne, consulté le 18 janvier 2021).
  61. ↑ Maëlys Dolbois, « Seine-Saint-Denis. Découvrez ce que va devenir l'ancien commissariat de Saint-Denis : L'ancien commissariat de la police nationale à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) va bientôt accueillir les policiers municipaux de Saint-Denis. Le maire explique ce choix », Actu Seine-Saint-Denis,‎ 11 décembre 2020 (lire en ligne, consulté le 18 janvier 2021).
  62. ↑ Dorine Goth, « Saint-Denis. La Ville renonce définitivement au projet de conservatoire : Le projet de conservatoire, qui devait voir le jour en 2023 à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) a définitivement été abandonné jeudi 17 décembre 2020 lors du conseil municipal », Actu Seine-Saint-Denis,‎ 18 décembre 2020 (lire en ligne, consulté le 18 janvier 2021).
  63. ↑ Yann Lalande, « Mathieu Hanotin / « Quand on est élu, il faut savoir assumer ses responsabilités » : Le 11 octobre Mathieu Hanotin (PS) a passé le cap des 100 jours à la tête de la Ville de Saint-Denis. L’occasion de faire un point sur les premiers pas du nouveau maire et président de Plaine Commune », Le Journal de Saint-Denis,‎ 13 octobre 2020 mis à jour le 15 octobre 2020 (lire en ligne, consulté le 18 janvier 2021).
  64. ↑ Mathieu Hanotin et Katy Bontinck, « Face à l’habitat indigne, nous devons agir plus vite et plus fort » : Le maire de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, et sa première adjointe, Katy Bontinck, soulignent, dans une tribune au « Monde », que la crise sanitaire et le confinement ont rendu encore plus cruciale la lutte contre les logements dégradés. Ils demandent davantage d’outils juridiques et de moyens. », Le Monde,‎ 12 octobre 2020 (lire en ligne, consulté le 18 janvier 2021).
  65. ↑ a et b Louise Couvelaire, « A Saint-Denis, des agents municipaux fustigent la « méthode Hanotin » : Jeudi, le conseil municipal a viré à l’échauffourée. Des fonctionnaires de la ville s’opposent à la réforme de leurs conditions de travail menée par le maire socialiste », Le Monde,‎ 10 octobre 2020 (lire en ligne, consulté le 18 janvier 2021).
  66. ↑ Aziz Oguz, « Des parents manifestent pour les cantines, la grève continue », sur lejsd.com, 18 novembre 2020 (consulté le 12 décembre 2020)
  67. ↑ Aziz Oguz, « Fin des débrayages, le mouvement social continue en pointillé », sur lejsd.com, 7 décembre 2020 (consulté le 11 octobre 2020)
  68. ↑ Maëlys Dolbois, « Le maire de Saint-Denis devient président de Plaine Commune mais la parité n'est pas au rendez-vous : Après avoir fait basculer la ville de Saint-Denis c'est le territoire de Plaine Commune (Seine-Saint-Denis) qui bascule du côté socialiste. Mathieu Hanotin est devenu président », Actu Seine-Saint-Denis,‎ 17 juillet 2020 (lire en ligne, consulté le 18 janvier 2021).
  69. ↑ Hajera Mohammad, « Le maire de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, élu président de Plaine Commune : Plaine Commune, le territoire qui regroupe neuf communes de la Seine-Saint-Denis, a un nouveau président. Mathieu Hanotin, le nouveau maire (PS) de Saint-Denis a été élu ce jeudi 16 juillet », France Bleu Paris,‎ 16 juillet 2020 (lire en ligne, consulté le 18 janvier 2021).
  70. ↑ Anthony Lieures, « Seine-Saint-Denis : Mathieu Hanotin et Plaine Commune accusés de passer en force sur la gestion de l’eau : Une manifestation était organisée ce mardi soir à Saint-Denis pour protester contre la décision de Mathieu Hanotin, président (PS) de Plaine Commune. Ce mercredi, il fera réadhérer les neuf villes du territoire au Sedif, le syndicat des eaux d’Île-de-France. », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,‎ 8 septembre 2020 (lire en ligne, consulté le 18 janvier 2021).
  71. ↑ Thomas Jusquiame, « Sans demander, la mairie de Saint-Denis a imposé la vidéosurveillance algorithmique dans la ville » Accès libre, sur StreetPress, 28 octobre 2024 (consulté le 28 octobre 2024)
  72. ↑ Clément Le Foll, « En catimini, Saint-Denis achète un logiciel de surveillance algorithmique » Accès payant, sur Mediapart, 30 juillet 2024 (consulté le 28 octobre 2024)
  73. ↑ Dorine Goth, « Mathieu Hanotin, maire de Saint-Denis, décoré de l'ordre national du Mérite », sur actu.fr, 26 mai 2021 (consulté le 30 mai 2021)
  74. ↑ Décret du 29 janvier 2025 portant promotion et nomination dans l'ordre national de la Légion d'honneur (lire en ligne)

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