Montagne de la Frau | |
![]() Montagne de la Frau vue depuis Montségur. | |
Géographie | |
---|---|
Altitude | 1 925 m[1] |
Massif | Massif de Tabe (Pyrénées) |
Coordonnées | 42° 50′ 23″ nord, 1° 50′ 20″ est[1] |
Administration | |
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Ariège |
Géologie | |
Type | Pic pyramidal |
modifier ![]() |
La montagne de la Frau (1 925 m) est un sommet des Pyrénées françaises, situé dans l'Ariège. Il appartient au massif de Tabe, à l'est du département ; son versant oriental est limité par la haute vallée de l'Hers-Vif qui fait la limite avec le département de l'Aude.
Géographie
[modifier | modifier le code]
La montagne de la Frau est très majoritairement située sur le territoire communal de Montségur. Une infime partie de son versant nord-est appartient à la commune de Fougax-et-Barrineuf[1].
Topographie
[modifier | modifier le code]La montagne de la Frau est le plus oriental des principaux sommets du massif de Tabe. Elle se situe à l'extrémité de la crête principale du massif, à environ 5 km au nord-est du pic de Soularac, et à 10 km à l'est du mont Fourcat à vol d'oiseau. Elle domine le village de Montségur, situé au nord, et les gorges de la Frau (creusées par l'Hers-Vif) la bordent sur son versant est.
-
Vue de la montagne de la Frau depuis le pas de l'Ours (Comus), au fond le pic du Soularac.
-
Vue du versant est de la montagne de la Frau.
-
Le versant ouest.
Histoire
[modifier | modifier le code]
La montagne compte plusieurs grottes[2], dont la grotte de la Caunha, qui fut un lieu d'abri pour les maquisards durant la Seconde Guerre mondiale[3].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Carte IGN classique » sur Géoportail.
- ↑ « Société Spéléo de l’Ariège Pays d’Olmes », sur Comité départemental de spéléologie de l'Ariège (consulté le )
- ↑ André Balent, « Péreille (Ariège), 18 septembre 1943 », sur maitron-fusilles-40-44.univ-paris1.fr (consulté le ).