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Octodurus du celtique *Octuduron ou *Oxtuduron « les huit portes » [?][1], également appelée Forum Claudii Vallensium est une cité celtique, puis romaine située sur le territoire actuel de Martigny, en Suisse. Cité romaine fondée sous l'empereur Claude et dotée de tous les aménagements d'une colonie romaine (forum, basilique, thermes, amphithéâtre), elle reste active jusqu'à la fin du IVe siècle.

Histoire

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La tribu des Véragres peuple la région de l'actuel Bas-Valais au Ve siècle av. J.-C. et dresse des fortifications au fond de la vallée, afin de contrôler simultanément le passage vers l'Italie via le col du Mont-Joux (actuel col du Grand Saint-Bernard) et vers le pays des Allobroges, via le col de la Forclaz et le col de Balme.

Durant la guerre des Gaules, Jules César perçoit l'intérêt de sécuriser cette route commerciale vers le nord passant par le Grand Saint-Bernard[2]. En 57 av. J.-C., il envoie la Legio XII Fulminata de Servius Galba prendre le contrôle de la région du Léman. Les Romains s'installent dans la bourgade d'Octodurus pour l'hiver, mais les deux tribus Véragres et Sédunes (autre tribu du Valais) attaquent leur camp (bataille d'Octodure), et les Romains parviennent à les repousser. Néanmoins, Galba doit se replier au pays des Allobroges en Savoie pour hiverner. Même si les Véragres ne sortent pas victorieux de ce combat, ils mettent momentanément en échec la tentative de César de contrôler le versant nord du col du Grand Saint-Bernard pour quelques décennies[3].

Le Valais est conquis par les Romains vers 15 av. J.-C., et la ville devient en 47 apr. J.-C. le Forum Claudii Vallensium, en l'honneur de l'empereur Claude[4]. Elle devient aussi la capitale de la province des Alpium Graiarum et Vallis Poenina[5]. Au début de notre ère, Octodurus est un centre administratif politique et culturel.

L'appelation officielle Forum Claudii Vallensium n'élimine pas l'usage du toponyme gaulois Octodurus, qu'on retrouve dans des inscriptions locales[6] comme dans la désignation de la cité par les auteurs latins comme Pline l'Ancien[7] et Claude Ptolémée[8]. Au bas-Empire, Octodurus suplante dans les documents administratifs l'appelation romaine trop longue[4].

Le christianisme s'implante au IVe siècle, un évêque résidant Octodurus, devenu siège épiscopal du Valais, participe au concile d'Aquilée en 381[9], et le dernier évêque mentionné à Octodurus date de 529. À partir de 587, les évêques du Valais sont désignés comme évêques de Sedunis (Sion)[10]. Octodurus est alors délaisé comme siège épiscopal au profit de Sion, mieux situé au centre du Valais et au site plus facile à défendre[4].

Redécouverte archéologique

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Des fouilles archéologiques sont réalisées à la fin du XIXe siècle par l'architecte Albert Naef dans le quartier des Morasses[11].

  • Martigny, fouille du site romain par Albert Naef, vers 1903-1906 (Archives cantonales vaudoises).

Au cours du XXe siècle, durant 42 ans, François Wiblé mène de nombreux chantiers archéologiques sur Martigny, découvrant notamment la Domus Minerva en 1986 et le Mithraeum en 1993[12].

À sa suite, Léonard Pierre Closuit (1931-) impluse la reprise des fouilles archéologiques (1972) et fonde Pro Octoduro (1972) qui veille à la conservation et à la mise en valeur des vestiges du site gallo-romain[13],[14].

Les objets collectées lors des fouilles sont conservées au musée gallo-romain de Martigny, crée par la Fondation Pierre-Gianadda.

Site archéologique

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Plan du site archéologique.

Les nombreuses fouilles d'urgence opérées à Martigny dans les trente derniers années du XXe siècle laissent estimer l'extension maximale de la cité romain à environ 700 × 340 mètres soit 24 hectares[15].

Le sanctuaire indigène

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Le sanctuaire indigène, fréquenté dès le Ier siècle av. J.-C., est le seul témoignage d'occupation antérieure à l'époque claudienne. La palissade qui en délimitait l'espace sacré (temenos) est remplacé lors de la fondation romaine par une enceinte (péribole) en maçonnerie entourant l'espace sacré et le fanum et un espace profane avec des entrepôts et probablement des bâtiments d'hébergement destinés aux pélerins[16].

Centre ville

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Tête de taureau à trois cornes découverte sur le site de la basilique.

Entre 41 et 47, la ville est implantées sur des terrains cultivés et vierges de toute construction, en dehors du sanctuaire pré-romain. Trois rangées de six insulae sont cadastrées par plusieurs grandes rues d'axe sud-ouest/nord-est, la rue Principale, large de 16,50 mètres, portiques inclus, la rue de la Basilique (environ 15 mètres de large) et la rue du Nord-Ouest, de largueur indéterminée. Les voies perpendiculaires à ces axes sont moins larges, 8 à 12 mètres au maximum. La rue Principale a été dallée à une époque tardive, pas avant le IIIe siècle[15].

Forum

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L'espace public du forum occupant la place de l'insula centrale (insula 3). Autour du forum étaient disposés des boutiques et un péristyle et au fond, une basilique. Les fouilles de 1883 découvrirent dans ce bâtiment des fragments en bronze de grandes statues humaines et animales, dont une tête de taureau à trois cornes[17].

De l'autre côté de la rue principale, on pense qu'il était prévu de construire l'area sacra du forum, avec un temple dédié à Jupiter. Mais la construction n'a pas eu lieu, peut-être faute de moyens. Des quartiers périphériques se développent dès le troisième quart du Ier siècle, sans toujours respecter l'orientation du découpage central ni l'axe de la voierie[15]. À la même époque la basilique est remaniée, et empiète largement sur la rue qui en bordairt l'arrière[18].

Autour du forum sont implantés dès l'époque claudienne plusieurs domus à péristyle, riches demeures urbaines, qui restent en usage jusqu'au IVe siècle[18].

La domus du Génie domestique

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La domus du génie domestique a été découverte en 1993 et appelée comme cela à cause d'une statuette de Génie découverte en 1993.

La domus du Génie domestique est implantée dans l'insula 8, zone inoccupée envisagée pour l'area sacra[15]. Édifiée au début du IIe siècle, large de 17,5 mètres (soit le quart de la façade de l'insula), elle s'organise autour d'un grand péristyle central, avec, du coté de l'entrée, des bains privés et deux pièces au sol en terre battue. Elle possède des latrines, une cuisine, un triclinium (salle à manger), divers locaux et un jardin[18]. Dans une petite salle au centre de la domus, ont été découvert divers objets dont la majorité avaient souffert du feu : deux statuettes en bronze représentant Mercure, un Génie, un Lare, une Victoire, trois cornes d'abondance, des fragments d'ornement en bronze, dont l'abandon peut être daté vers 238-244 d'après une petite monnaie en bronze de Gordien III. L'ensemble pourrait appartenir au laraire de cette domus[19].

À l'époque tardive, des activités artisanales sont installées dans la partie résidentielle, dont dans les galeries du péristyle[18],[20]. La domus est laissée à l'abandon vers la fin du IVe siècle[18].

La domus Minerva

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La domus Minerva est découverte en 1987 lors de travaux de construction d'un immeuble et fouillée par François Wiblé. Elle est située dans l'insula 12, où elle occupe une surface estimée à plus de 1 500 m2.

Les thermes

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Les premiers thermes publics, découverts en 1974[21], dits « thermes du forum » sont édifiés dans l'insula 2 voisine du forum peut-être dès le règne de Claude (règne 41-54)[15] ou au plus tard à l'époque flavienne [18]. Un égout vouté aménagé dans la rue de la Basilique recueillait les eaux usées de ces thermes[15].

Les vestiges du caldarium des thermes publics sont protégés sous abri et accessibles aux visites du public[22].

D'autres thermes, dits « thermes du sud-ouest », sont situés sur le rue Principale, entre le temenos et le Mithraeum. Leur égout remontait la rue du Nymphée, faisait un coude repéré dès 1936 et rejoignait l'égout de la rue de la Basilique. Á intervalles irréguliers, cet égout possède des regards fermés par de lourdes dalles[21],[15].

L'amphithéâtre

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Article détaillé : Amphithéâtre de Martigny.

L'amphithéâtre d'Octodurus est le seul monument dont tous les vestiges ont toujours été visibles. Il a été bâti après le début du IIe siècle sur une ancienne nécropôle[15] et il était le siège des jeux antiques. Ensuite il fut abandonné pendant plus de 1 600 ans. Sondé à la fin du XIXe siècle, il est fouillé à partir de 1978 et rénové pour des activités sportives et des manifestations culturelles organisées spécialement pour le 700e anniversaire de la Confédération suisse.

Il mesure 75,5 m dans le grand axe pour 63,7 dans le petit. Il n'a ni d'infrastructure de couloirs, ni d'escaliers ou de rampes, et . L'amphithéâtre d'Octodurus est un ovale, coupé en deux, avec six rampes pour accéder aux gradins et deux pour aller dans l'arène. Il pouvait contenir quelque 5 000 spectateurs[23].

Le Mithraeum

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Plan du mithraeum.

Le Mitraeum a été construit à l'ouest de la ville romaine vers la fin du IIe siècle[24] ou au IIIe siècle, à l'emplacement d'une modeste maison[18]. Il a été identifié comme lieu de culte par des inscriptions lapidaires sur trois autels[25] et des graffitis, et les vestiges en bronze représentant une tauroctonie. il est détruit et abandonné vers la fin du IVe siècle[18].

Il a été découvert lors de la construction d'un immeuble en 1993 et il a pu être conservé dans un sous-sol. Son plan est très représentatif de l'architecure des sanctuaires de Mithra. Le sanctuaire est délimité par une pallissade entourant l'enclos sacré. À l'entrée de l'enclos, une fosse cultuelle (1,70 × 1,35 mètres) recevait les offrandes. elle contenait de nombreux gobelets dont un dédié par une inscription en grec au dieu Soleil par un certain Théodore, des lampes et plus de deux mille pièces de monnaies, la plupart du IVe siècle. Le bâtiment du Mitraeum mesure 23,36 mètres sur 8,95. Seule ouverture, l'entrée de deux mètres de largeur mène dans un pronaos carré où un angle sert de local de service (apparitorium). Du pronaos on descend dans la crypte (spelaeum), lieu du culte partiellement souterrain de 14,40 × 8 mètres. Cette nef était bordée de deux banquettes de 2,10 de largeur, où prenaient place les initiés pour le banquet rituel. Au fond, un podium où tronait la représentation rituelle de la tauroctonie, la mise à mort du taureau blanc par Mithra, qui lui plongeait un poignard au défaut de l'épaule, tandis qu'intervenaient sur la victime un chien et un serpent qui buvaient son sang et un scorpion qui lui mordait les testicules[26].

Les éléments en bronze recueillis lors des fouilles conduites par François Wiblé renvoient aux détails du culte de Mithra : statuette de Cautès et jambe de son probable compagnon Cautopatès, les deux acolytes de Mithra, deux bonnets phrygiens, un scorpion et plus étonnant un buste de Tutela, dont la présence ne peut s'expliquer que par une confusion entre sa coiffe et celle du Soleil[27]

  • Artefacts des fouilles du Mithraeum
  • Gobelet votif de Théodoros.
    Gobelet votif de Théodoros.
  • statuette de Cautès - 23 cm.
    statuette de Cautès - 23 cm.
  • Statuette de scorpion.
    Statuette de scorpion.
  • Buste de Tutela.
    Buste de Tutela.

Le site du Mithreaum est protégé sous abri et accessible aux visites du public[28].

La cathédrale paléochrétienne

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Les fouilles qui ont été entreprises entre 1990 et 1993 dans le sous-sol de l’église paroissiale de Martigny ont permis de révéler les vestiges d’un premier lieu de culte chrétien. Il était aménagé à l’intérieur d’un habitat privé romain, qui devait peut-être une villa suburbana, situé au niveau archéologiue le plus profond. Cette villa, située à l'écart et dont les murs ne suivaient pas l'orientation générale du centre ville, comportait une sallle rectengulaire prolongée par un bassin et une grande abside en cercle outrepassé, qui a été interprétée comme le premier baptistère. Au niveau archéologique supérieur (au IVe siècle), une salle rectangulaire de 15 mètres de long, prolongée par une nouvelle abside et accollée à une seconde salle, est clairement l'église primitive[29]. Cette église double est identifiée comme la première cathédrale du Valais[18].

Aujourd'hui une église baroque a remplacé l'ancienne église.

Notes et références

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Sur les autres projets Wikimedia :

  • Octodurus, sur Wikimedia Commons
  1. ↑ Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance. p. 245.
  2. ↑ Chossenot Michel, Pinnelli François, Valette Jean-Jacques. Sur les traces de César pendant la campagne de 57 avant J.-C. (de Besançon au Sabis) : apports de la toponymie, de la cartographie et de l’archéologie. In: Noms des villes, noms des champs. Actes du Colloque d’onomastique d’Arras (octobre 2008) Paris : Société française d'onomastique, 2014. p. 160 lire en ligne.
  3. ↑ Jules César, Guerre des Gaules, III, 1-6.
  4. ↑ a b et c Wiblé 2004, p. 451.
  5. ↑ Baumer 2020, p. 127.
  6. ↑ CIL XII, 5523.
  7. ↑ Pline l'Ancien, Histoire Naturelle, III, 24 ou 135.
  8. ↑ Claude Ptolémée, Géographie, II, 12, 3.
  9. ↑ Baumer 2020, p. 128.
  10. ↑ Duval 1997, p. 151.
  11. ↑ Collectif 1899, p. 3-4.
  12. ↑ « François Wiblé a consacré 42 ans de sa vie à fouiller le sol de Martigny », sur Le Nouvelliste, 30 octobre 2015 (consulté le 6 octobre 2025).
  13. ↑ « Fondation Pro Octoduro », 2017 (consulté le 7 octobre 2025).
  14. ↑ Wiblé 2008, p. 46.
  15. ↑ a b c d e f g et h Wiblé 2004, p. 453.
  16. ↑ Paunier 1998, p. 239-240.
  17. ↑ Collectif 1899, p. 4.
  18. ↑ a b c d e f g h et i Paunier 1998, p. 240.
  19. ↑ Cibu 2005, p. 755 et 762.
  20. ↑ http://www.martigny.ch/pagetype.cfm?page=pages/fr/culture_archeologie.cfm&sousmenuId=32&section=3
  21. ↑ a et b Wiblé 1977, p. 202.
  22. ↑ « Caldarium », sur Martigny Art city et région (consulté le 24 octobre 2025).
  23. ↑ Pro Octoduro, L'amphithéâtre: un lieu de spectacle.
  24. ↑ Wiblé 2004, p. 455.
  25. ↑ AE 1998, 00872.
  26. ↑ Jourdain-Annequin 2005, p. 199-201.
  27. ↑ Jourdain-Annequin 2005, p. 201.
  28. ↑ « Mithraeum », sur Martigny Art city et région (consulté le 24 octobre 2025).
  29. ↑ Duval 1997, p. 152.

Bibliographie

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  • Collectif, « Inscriptions 1265 à 1272 », Revue épigraphique, t. 4, no 92,‎ 1899, p. 1-7 (lire en ligne).
  • (de) Collectif, « Octodurus-Martigny-en-Valais », helvetia archeologica, nos 39/40,‎ octobre 1979, p. 93-194.
  • Lorenz E. Baumer, « Hercule et Apollon à Martigny – Destins de deux sculptures antiques en Suisse occidentale », Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France,‎ 2020, p. 127-141 (lire en ligne).
  • Léonard Pierre Closuit, « Les grands bronzes de Martigny », helvetia archeologica, nos 55-56,‎ 1983, p. 64-73.
  • Simina Cibu, « Mercure dans les provinces romaines des Alpes occidentales », Mélanges de l'École française de Rome. Antiquité, t. 117, no 2,‎ 2005, p. 747-776 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Noël Duval, « L'église de Martigny (Valais) : une nouvelle cathédrale double ? », Bulletin Monumental, t. 155, no 2,‎ 1997, p. 151-153. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Colette Jourdain-Annequin, « Les divinités orientales dans les Alpes », Dialogues d'histoire ancienne, no 1 Supplément,‎ 2005, p. 191-212 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Claude Olive, « Évolution de la production animale sur deux territoires des Alpes du Nord (Ier et IIIe/IVe siècles de notre ère) », Revue archéologique de Picardie, nos 1-2,‎ 2003, p. 227-237 (lire en ligne).
  • Daniel Paunier, « Dix ans d'archéologie gallo-romaine en Suisse : esquisse d'un bilan (1998) », Revue du Nord,, t. 80, no 328,‎ 1998, p. 235-251 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • François Wiblé, « Fouilles gallo-romaines de Martigny », Annales valaisannes,‎ 1977, p. 199-214 (lire en ligne [PDF]).
  • François Wiblé, « Martigny / Octodurus (Suisse) », dans Capitales éphémères. Des Capitales de cités perdent leur statut dans l’Antiquité tardive, Actes du colloque Tours 6-8 mars 2003, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, 2004 (lire en ligne), p. 451-456. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • François Wiblé, Martigny-la-Romaine, Fondation Pierre Gianadda, 2008, 351 p. (ISBN 2884431136).

Liens externes

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  • « Fondation Pro Octoduro », 2017 (consulté le 7 octobre 2025).
  • François Wiblé, « Octodurus » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du 25 août 2009.
  • François Wiblé, « Forum Claudii Vallensium » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du 21 octobre 2009.
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