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Pascal Broulis
Illustration.
Fonctions
Conseiller aux États
En fonction depuis le 4 décembre 2023
Élection 12 novembre 2023
Législature 52e
Groupe politique libéral-radical (RL)
Commission CdF, CPS, CIP
Prédécesseur Olivier Français
Conseiller d'État du canton de Vaud
1er juillet 2002 – 30 juin 2022
Élection 17 mars 2002
Réélection 11 mars 2007
11 mars 2012
30 avril 2017
Département Finances et relations extérieures
Président du Conseil d'État du canton de Vaud
1er juillet 2007 – 30 juin 2012
Prédécesseur Charles-Louis Rochat
Successeur Pierre-Yves Maillard
Député au Grand Conseil du canton de Vaud
avril 1990 – juin 2002
Législature 1990-1994 à 1998-2002
Biographie
Date de naissance 3 avril 1965 (60 ans)
Lieu de naissance Sainte-Croix
Nationalité suisse
Parti politique Parti libéral-radical
Profession Banquier
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Pascal Broulis, né le 3 avril 1965 à Sainte-Croix, est une personnalité politique suisse, membre du Parti libéral-radical.

Il est membre du Conseil d'État du canton de Vaud de juillet 2002 à juin 2022, à la tête du département des finances, puis élu conseiller aux États à la fin 2023.

Biographie

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Pascal Broulis naît le 3 avril 1965 à Sainte-Croix, dans le canton de Vaud. Il est le fils d'un ouvrier grec, employé de l'usine de machines à écrire Hermès[1],[2], et d'une Vaudoise[3]. Il est naturalisé suisse, bien que sa mère soit originaire de L'Auberson[4],[N 1].

Après une formation d'employé de commerce, il entame une carrière professionnelle au sein du Crédit foncier vaudois puis à la Banque cantonale vaudoise. En 2000, il devient directeur adjoint de sa division logistique[5].

Il a le grade de caporal au sein de l'Armée suisse[6].

Il est marié à une physiothérapeute d'origine hollandaise. Ils ont un fils[1].

Parcours politique

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Élu en 1985 conseiller communal de sa commune de Sainte-Croix[7], il accède au Grand Conseil du canton de Vaud en 1990, à l'âge de 25 ans. Il est alors le plus jeune député du canton[8]. Il y préside la commission des finances[9].

Conseil d'État

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Élu conseiller d'État en 2002, en première position des candidats de la droite[9], il prend en charge le département des finances et préside le Conseil en 2006. Réélu en 2007 au premier tour[9], il voit ses prérogatives étendues avec le département des finances et des relations extérieures en assurant la présidence du Conseil pendant toute la législature. À ce titre, il préside le Conseil du Léman en 2008 et 2009[10].

Le 6 août 2009, il annonce sa candidature à la succession de Pascal Couchepin au Conseil fédéral[11], mais il n'est pas retenu dans le ticket final du Parti libéral-radical (PLR)[12].

Le 11 mars 2012, il est réélu au Conseil d'État au premier tour, en deuxième position[9],[13]. Il incarne avec Pierre-Yves Maillard, qui lui succède à la présidence du gouvernement, le « compromis dynamique » à la vaudoise[14],[15],[16],[17], où la droite s'entend avec la gauche pour faire passer des projets, tels que la réforme de l'imposition des entreprises en 2016, en prévoyant des compensations sociales comme une augmentation des allocations familiales et des subsides pour l'assurance-maladie[18],[19]. Ils sont pendant deux législatures les hommes forts du gouvernement (les « mâles alpha »[20],[21]) et leur tandem est surnommé par contrepèterie « Brouillard et Malice »[21],[22],[23],[24],[25].

Il est à nouveau réélu au premier tour le 30 avril 2017, en tête de tous les candidats, devenant le premier élu au Conseil d’État vaudois à dépasser la barre des 100 000 suffrages (100 051) et de 60 % des voix exprimées (60,42 %)[26].

En février 2018, il est attaqué sur la répartition de ses impôts entre Sainte-Croix et Lausanne. Rendant publique une triple expertise, le Conseil d’État constate le 30 mai 2018 qu’il « n’a bénéficié d’aucun traitement de faveur et été taxé dans le respect des règles et procédures »[27]. La même année, il est critiqué pour des voyages auxquels il participe avec d'autres personnalités romandes en compagnie du milliardaire suédois Frederik Paulsen[28] : soupçonné d'acceptation d'un avantage[29], il est blanchi par le ministère public à l'issue des investigations préliminaires un mois plus tard, en octobre 2018[30]. En février 2019, il lance une action civile contre Tamedia en raison de « la répétition d'articles à charge » signés par un journaliste du Tages-Anzeiger[31],[32],[33].

Le 19 août 2021, il annonce qu'il ne se présentera pas pour un cinquième mandat et qu'il se retirera donc du gouvernement le 30 juin 2022[8]. Selon le quotidien vaudois 24 Heures, « Pascal Broulis restera comme l'artisan principal du redressement des finances vaudoises »[9].

Conseil aux États

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Le 22 novembre 2022, il se porte candidat à l'investiture de son parti pour succéder à Olivier Français au Conseil des États[34]. Le 9 décembre 2022, il est désigné candidat par les délégués de son parti, qui le préfèrent à sa concurrente Jacqueline de Quattro par 213 voix contre 136[35].

Il est élu au deuxième tour le 12 novembre 2023, s'imposant par 53,6 % des voix face au Vert Raphaël Mahaim[36]. Il siège au sein de la Commission des finances (CdF), de la Commission de la politique de sécurité (CPS) et de la Commission des institutions politiques (CIP)[6].

Autres mandats

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Après son retrait du Conseil d'État vaudois, il devient président du conseil d'administration du parc technologique Y-Parc à Yverdon[37].

En octobre 2022, il est nommé président de la Fondation de l'École suisse d'archéologie en Grèce, succédant à Pascal Couchepin[37]. Il entre par ailleurs peu auparavant au conseil d'administration d'ELCA Informatique[38].

Prix et décorations

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Il obtient la mention « Manque pas de souffle » au Grand prix du maire de Champignac en 2008 pour ses phrases : « Mais pour moi, tout travail mérite salaire, et pas l'inverse » et « À coup de questions mal posées, le Centre droit s'époumone à chercher des équilibres que l'air du temps s'évertue à déchirer, alors qu'une droite dure a fait son apparition, exigeant une politique de droite sans compromis » en tant que conseiller d'État vaudois.

Publications

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  • Le Petit Broulis illustré, éd. Presse du Belvédère, Sainte-Croix, 2006 (ISBN 978-2-88419-089-3).
  • L'impôt heureux, Éditions Favre, Lausanne, 2011 (ISBN 978-2-8289-1248-2)[39].
  • Fragile pouvoir, éd. Mon Village, Sainte-Croix, 2016 (ISBN 978-2-8819-4343-0).

Notes et références

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Notes

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  1. ↑ Jusqu'en 1978, la mère ne peut pas transmettre la nationalité suisse. Cf. Nationalité suisse > Acquisition de la nationalité suisse > Par filiation.

Références

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  1. ↑ a et b Yan Pauchard, « Pourquoi Pascal Broulis se cache d’être devenu Lausannois », Le Temps,‎ 21 février 2018 (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le 26 juillet 2021)
  2. ↑ (de) Stefan Bühler et Markus Häfliger, « König Pascal II. », NZZ,‎ 2 août 2009 (lire en ligne)
  3. ↑ (de) Hans-Peter Wäfler, « Bundesrat - Mögliche Couchepin-Nachfolger: Pascal Broulis - Der natürliche Kandidat », sur Aargauer Zeitung, 23 juin 2009 (consulté le 26 juillet 2021)
  4. ↑ « Pascal Broulis est candidat au Conseil fédéral », sur rts.ch, 13 août 2009 (consulté le 15 avril 2022)
  5. ↑ Bernard Wuthrich, « Pascal Broulis se lance dans la course », Le Temps,‎ 6 août 2009 (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le 26 juillet 2021)
  6. ↑ a et b « Biographie de Pascal Broulis », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.
  7. ↑ Aïna Skjellaug, « Pascal Broulis: «La tension entre Vaud et Genève est ultra-bénéfique» », Le Temps,‎ 1er octobre 2021, p. 10-11 (ISSN 1423-3967, lire en ligne Accès payant, consulté le 21 avril 2022)
  8. ↑ a et b « Pascal Broulis ne briguera pas un cinquième mandat au gouvernement vaudois », sur rts.ch, 18 août 2021 (consulté le 19 août 2021)
  9. ↑ a b c d et e Jérôme Cachin et Renaud Bournoud, « Pascal Broulis, l’homme de chiffres en 26 lettres » Accès payant, sur 24 heures, 23 juin 2022 (consulté le 4 juillet 2022)
  10. ↑ Site officiel
  11. ↑ « Un quatrième candidat au gouvernement », swissinfo, 6 août 2009
  12. ↑ Patrick Chuard, « Auf wiedersehen Pascal Broulis », 24 heures, 29 août 2009
  13. ↑ Résultats du scrutin
  14. ↑ « Béatrice Métraux et Cesla Amarelle élues au Conseil d'État vaudois », sur rts.ch, 21 mai 2017 (consulté le 24 avril 2022)
  15. ↑ François Schaller, « Réforme fiscale et AVS : compromis dynamique à la vaudoise », sur radiolac.ch, 19 février 2019
  16. ↑ « Le canton de Vaud voit son compromis dynamique entre PS et PLR s'effriter », sur rts.ch, 6 mars 2018 (consulté le 24 avril 2022)
  17. ↑ Mario Togni, « Le «compromis dynamique» vacille » Accès payant, sur Le Courrier, 18 mai 2017 (consulté le 24 avril 2022)
  18. ↑ Aïna Skjellaug, « Le compromis à la vaudoise ne fait plus recette », Le Temps,‎ 22 décembre 2017 (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le 24 avril 2022)
  19. ↑ « La RIE III, "indispensable" au bien-être de la collectivité, selon Pascal Broulis », sur rts.ch, 30 janvier 2017 (consulté le 24 avril 2022)
  20. ↑ Renaud Bournoud, « Nuria Gorrite éclipse les deux «mâles alpha» du Conseil d’État », 24 heures,‎ 22 juin 2018 (ISSN 1424-4039, lire en ligne Accès payant, consulté le 24 avril 2022)
  21. ↑ a et b Vincent Maendly, « L’année contrastée du tandem Broulis-Maillard », 24 heures,‎ 1er janvier 2019 (ISSN 1424-4039, lire en ligne, consulté le 24 avril 2022)
  22. ↑ Bureau d'information et de communication de l’État de Vaud, « Discours Nuria Gorrite, nouvelle présidente du Conseil d’État » [PDF], sur site officiel du canton de Vaud, 27 juin 2017
  23. ↑ Lise Bourgeois, « Pierre-Yves Maillard, réaliste au pouvoir », 24 heures,‎ 5 décembre 2017 (ISSN 1424-4039, lire en ligne, consulté le 24 avril 2022)
  24. ↑ Yelmarc Roulet et Aïna Skjellaug, « «J’invite le parti de l’économie à travailler avec la gauche» », Le Temps,‎ 4 décembre 2015 (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le 24 avril 2022)
  25. ↑ Aïna Skjellaug, « Pascal Broulis, l’artisan cantonal », Le Temps,‎ 19 août 2021, p. 4 (ISSN 1423-3967, lire en ligne Accès payant, consulté le 24 avril 2022)
  26. ↑ « vd.ch »
  27. ↑ « Canton de Vaud, communiqué de presse »
  28. ↑ Simone Honegger, « Gouvernement vaudois – Pascal Broulis: «J’aurais préféré décider en automne» » Accès payant, sur 24 heures, 20 août 2021 (consulté le 23 avril 2022)
  29. ↑ Agence télégraphique suisse, « Voyages de Pascal Broulis en Russie, le ministère public lance des investigations préliminaires », Le Temps,‎ 13 septembre 2018 (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le 23 avril 2022)
  30. ↑ Yelmarc Roulet, « Voyages d’élus vaudois en Russie: affaire classée », Le Temps,‎ 26 octobre 2018 (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le 23 avril 2022)
  31. ↑ Agence télégraphique suisse, « Canton de Vaud – Pascal Broulis: action civile contre un journaliste », 24 heures,‎ 22 mars 2019 (ISSN 1424-4039, lire en ligne, consulté le 23 avril 2022)
  32. ↑ « Pascal Broulis et Tamedia n'ont pas réussi à s'entendre en conciliation », sur rts.ch, 14 mai 2019 (consulté le 23 avril 2022)
  33. ↑ Fati Mansour, « Le juge en appelle à la sagesse dans la cause Pascal Broulis contre Tamedia », Le Temps,‎ 3 décembre 2021 (ISSN 1423-3967, lire en ligne Accès payant, consulté le 23 avril 2022)
  34. ↑ « Pascal Broulis brigue l'investiture du PLR vaudois pour le Conseil des États », sur rts.ch, 22 novembre 2022 (consulté le 29 novembre 2022)
  35. ↑ « Le PLR vaudois choisit Pascal Broulis comme candidat au Conseil des États », sur rts.ch, 8 décembre 2022 (consulté le 13 décembre 2022)
  36. ↑ « Le PLR Pascal Broulis remporte le deuxième tour de l'élection au Conseil des Etats », sur Radio télévision suisse, 12 novembre 2023 (consulté le 12 novembre 2023)
  37. ↑ a et b Agence télégraphique suisse/Le Temps, « Pascal Broulis succède à Pascal Couchepin à la tête de la Fondation de l’École suisse d’archéologie en Grèce », Le Temps,‎ 9 octobre 2022 (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le 25 octobre 2022)
  38. ↑ Renaud Bournoud, « Après le Conseil d’État – Pascal Broulis siège chez un fournisseur de l’État » Accès payant, sur 24 heures, 1er novembre 2022 (consulté le 30 novembre 2022)
  39. ↑ [Vidéo] Interview TSR , Article détaillé Swissinfo

Liens externes

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