Pascale Brillon, née le [1], est une psychologue psychothérapeute canadienne québécoise spécialisée dans l'étude et le soin du trauma[2].
Biographie
Après l'obtention d'un doctorat en psychologie, elle est psychologue-chercheuse à la Clinique des troubles anxieux de l'hôpital du Sacré-Cœur de Montréal et codirectrice du Laboratoire d'étude du trauma de l'université du Québec à Montréal.
Psychologue clinicienne, elle est spécialisée en stress et en deuil post-traumatiques, et dispense conférences et formations dans le monde entier[2].
Elle est l'objet ou l'autrice de nombreux articles de presse, principalement au Canada[3],[4],[5],[6].
Ouvrages
- Le concept de confiance en soi dans la littérature empirique, recensement critique et recommandations, 1993
- Contenus cognitifs de femmes ayant subi une agression sexuelle : identification et relation avec la symptomatologie post-traumatique, 1998
- Se relever d'un traumatisme : Réapprendre à vivre et à faire confiance, 2004, 2006, 2008, 2023
- Comment aider les victimes souffrant de stress post-traumatique, 2006, 2008, 2013, 2017, 2023
- Quand la mort est traumatique : passer du choc à la sérénité, 2016
- Entretenir ma vitalité d'aidant : guide pour prévenir la fatigue de compassion et la détresse professionnelle, 2020
- Le trouble de stress post-traumatique complexe : exploration de ses spécificités symptomatologiques et de ses liens avec les troubles dissociatifs. Une approche quantitative et physiologique, 2022
Notes et références
- (en) Library of Congress, « Brillon, Pascale : Birth date 1969-06-22 », sur id.loc.gov (consulté le ).
- Charles Pépin, « Pascale Brillon : comment prendre soin de ceux qui prennent soin ? », Émission Sous le soleil de Platon, sur www.radiofrance.fr, France Inter, (consulté le ).
- Pascal Brillon, « 28 jours pour prendre (aussi) soin de notre santé mentale : Vingt-huit jours. Le gouvernement nous demande 28 jours de discipline afin de « casser » la propagation de la pandémie au Québec », La Presse, Montréal, (lire en ligne, consulté le ).
- Marie Tison, « Aller au boulot. Symboliquement. », La Presse, Montréal, (lire en ligne, consulté le ).
- Magdaline Boutros, « Sans même toucher le sol canadien, la guerre s’est immiscée dans nos vies », Le Devoir, Montréal, (lire en ligne, consulté le ).
- Catherine Lalonde, « Avertissement : ce traumavertissement ne fonctionne pas », Le Devoir, Montréal, (lire en ligne, consulté le ).
Liens externes