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Polynice
Le combat entre Étéocle et Polynice, urne funéraire en terre cuite polychrome étrusque de Chiusi, 200 à 150 av. J.-C., musée archéologique et d'art de la Maremme.
Fonction
Roi de Thèbe (d)
Biographie
Sépulture
Tombeaux des fils d'Œdipe (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
ΠολυνείκηςVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
ŒdipeVoir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Jocaste ou Euryganie (en)
Fratrie
Ismène
Antigone
ÉtéocleVoir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
ArgieVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Thersandre
Adraste (d)
Timéas (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Conflit
Guerre des Sept ChefsVoir et modifier les données sur Wikidata

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Dans la mythologie grecque, Polynice (en grec ancien Πολυνείκης / Poluneíkēs) est un héros thébain, un des enfants d'Œdipe et le frère d'Étéocle.

Maudits par leur père, les deux frères sont destinés à se battre et s'entretuer pour le trône de Thèbes. Alors qu'Étéocle prend le pouvoir et pousse Polynice vers l'exil, celui-ci trouve refuge à Argos où il trouve le soutien du roi de la cité, Adraste. Ensemble, ils montent une expédition contre la ville natale de Polynice, menée par sept chefs, connus sous le nom des Sept contre Thèbes. Polynice et Étéocle meurent au cours de l'assaut, réalisant la malédiction d'Œdipe. Privé de sépulture sous l'ordre de Créon, Polynice est finalement enterré par sa sœur Antigone, au péril de sa vie. Il est par la suite vengé par les descendants des Sept, les Épigones, dont son fils Thersandre.

Étymologie

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En grec ancien, Polynice se nomme Πολυνείκης / Poluneíkēs[1]. Ce nom est composé de πολύς / polús (« beaucoup ») et de νεῖκος / neîkos (« querelle », « dispute ») : il signifie « celui aux nombreuses querelles »[2]. Ce nom est donc un aptonyme, ce qui est souligné par les auteurs tragiques[2],[3] :

« Mon père était dans le vrai en t'appelant, par une divine prescience, du nom qui signifie querelle. »

— Euripide, Les Phéniciennes, 636-637[4].

Ce nom s'oppose à celui de son frère Étéocle, « celui à la vraie gloire », laissant sous-entendre que Polynice est celui en tort dans les traditions les plus anciennes du mythe[4].

Mythe

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Le personnage de Polynice apparait anciennement, dès l'Iliade de Homère, où le conflit l'opposant à Étéocle est mentionné[5]. Cet affrontement et la guerre des Sept Chefs qui en découle se retrouvent dans d'autres épopées, dont la Thébaïde, une œuvre perdue du Cycle thébain[6].

Polynice est un personnage récurrent de la tragédie grecque : la confrontation entre Étéocle et Polynice est le cœur des Sept contre Thèbes d'Eschyle et se retrouve dans les pièces de Sophocle (Antigone et Œdipe à Colone) et d'Euripide (Les Phéniciennes, Les Suppliantes et Hypsipyle)[7].

Naissance et famille

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Article connexe : Labdacides.

Polynice est le fils d'Œdipe, roi de Thèbes, et le frère — cadet ou aîné selon les versions — d'Étéocle[8].

L'identité de la mère de Polynice change suivant les traditions[8]. Dans la version tragique, inaugurée par Les Sept contre Thèbes d'Eschyle et notamment reprise par Sophocle, Œdipe a quatre enfants avec sa propre mère, Jocaste : Étéocle, Polynice, Antigone et Ismène[9]. Pausanias rapporte une version issue de l'Œdipodie dans laquelle Œdipe épouse en seconde noce Euryganie (en), avec qui il a ses quatre enfants[9].

La malédiction d'Œdipe

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Johann Heinrich Füssli, Oedipus Cursing His Son, Polynices, huile sur toile, 1786, National Gallery of Art.

Œdipe découvre qu'il a, à son insu, tué son père Laïos et épousé sa mère Jocaste et se crève les yeux en punition. Il maudit Polynice et Étéocle, qui l'ont alors outragé[8]. Plusieurs versions coexistent autour de cette légende.

Dans les fragments de la Thébaïde, les deux frères négligent par deux fois Œdipe : une première fois, Polynice utilise deux objets interdits, une table en argent de Cadmos et une coupe en or, hérités par ses ancêtres ; une deuxième fois, les fils donnent à leur père la hanche et non l'épaule d'un animal sacrifié. Œdipe les maudit alors à se battre pour le partage de leur héritage puis à s'entretuer : leur destin est donc de s'affronter[10].

Chez Stésichore, le devin Tirésias annonce, dans une prophétie, que les deux frères vont s'entretuer : pour éviter cette issue, leur mère — anonyme dans l'extrait — leur propose de tirer au sort qui règnera sur Thèbes et qui en sera exilé, emportant avec lui les biens d'Œdipe[11]. Dans la version de Hellanicos, Étéocle propose à Polynice d'abandonner le trône contre le chiton et le collier d'Harmonie[11]. Dans d'autres versions, Étéocle fait valoir son droit d'aînesse ou utilise la force pour expulser son frère[12].

Dans Les Sept contre Thèbes, Eschyle n'explicite pas à quelle version du mythe il se rattache : les deux frères se battent pour le pouvoir, Polynice accuse Étéocle de l'avoir exilé et ce dernier espère le long de la pièce que la malédiction de son père ne se réalise pas[12]. Sophocle, dans Œdipe à Colone, raconte qu'Œdipe, expulsé de Thèbes par Créon dans l'indifférence de ses fils, maudit Polynice lorsque celui-ci souhaite se réfugier à ses côtés après son propre exil[13].

Chez Euripide, les deux frères sont maudits car ils ont enfermé Œdipe par honte pour la relation incestueuse dont ils sont issus[14]. Les frères évitent alors de se côtoyer, et décident d'alterner règne et exil : Étéocle est le premier à monter sur le trône, mais il ne le restitue pas à son frère au bout d'une année[13]. Cette version est largement reprise par les sources postérieures — comme Diodore de Sicile ou le Pseudo-Apollodore — et tend à s'imposer[15]. Hygin ajoute qu'Œdipe organise cette alternance lui-même[15].

Les Sept contre Thèbes

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Article connexe : Guerre des Sept Chefs.
Polynice offrant le collier d'Harmonie à Ériphyle, pélikè à figures rouges attique, 450 à 440 av. J.-C., museo archeologico Sigismondo Castromediano (it).

Dans les différentes versions du mythe, Polynice exilé se rend à Argos, chez le roi Adraste[15]. Cette arrivée est notamment racontée dans les trois tragédies d'Euripide : alors que Polynice arrive dans la cité et trouve un endroit où s'abriter, il se dispute avec Tydée, lui aussi exilé de Calydon. Adraste, qui assiste à la scène, voit dans les deux guerriers en train de se battre le lion et le sanglier — respectivement le sphinx de Thèbes et le sanglier de Calydon — à qui il doit marier ses filles d'après un oracle : Polynice s'unit à Argie tandis que Tydée épouse Déipyle. Adraste promet alors à ses deux gendres de reconquérir leur royaume respectif, à commencer par celui de Polynice, ce qui marque le début de la guerre des Sept Chefs ou des Sept contre Thèbes[16].

Amphiaraos, beau-frère d'Adraste et devin, s'oppose dans un premier temps à l'expédition mise en place vers Thèbes car il prévoit une fin funeste. Il est néanmoins obligé de partir sur la décision de sa femme, Ériphyle : celle-ci, depuis une dispute entre Adraste et Amphiaraos, détient le dernier mot en cas de désaccord. Or, elle reçoit de Polynice — ou d'Adraste selon les versions — le collier d'Harmonie et prend donc son parti[17]. Le nombre et l'identité des chefs de l'armée argienne changent en fonction des sources. D'après Pausanias, c'est Eschyle qui fixe leur nombre à sept, chacun menant son contingent sur une des portes de Thèbes, alors que les traditions plus anciennes semblent en compter plus[18]. Dans cette pièce, les Sept sont Polynice, Amphiaraos, Tydée, Capanée, Étéocle fils d'Iphis, Hippomédon et Parthénopée[19]. Le Pseudo-Apollodore cite une variante où Polynice est remplacé par Mécistée[20]. D'après l'Iliade, Polynice et Tydée se rendent ensemble à Mycènes pour chercher des alliés dans leur guerre, mais les habitants de la cité refusent car Zeus envoie de mauvais présages[17].

Le duel entre Polynice et Étéocle, interprétation de Carlo Ruspi (1862) d'après la peinture murale de la tombe François (IVe siècle av. J.-C.).

Dans Les Sept contre Thèbes, au moment de l'attaque, les assaillants tirent au sort l'une de sept portes de Thèbes : Polynice, qui porte sur son bouclier la déesse de la justice Dicé, se retrouve contre son frère Étéocle à la porte Hypsiste[21]. Le combat se termine sur le duel à mort entre Étéocle et Polynice : dans Les Phéniciennes, il intervient alors que les Thébains ont le dessus et qu'Adraste sonne la retraite, alors que chez Stace, les deux frères sont les derniers debout[22].

Sépulture et vengeance

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Articles connexes : Antigone fille d'Œdipe et Épigones.
Benjamin-Constant, Antigone près du corps de Polynice, huile sur toile, 1868, musée des Augustins de Toulouse.

Après la défaite des Sept, Créon, qui assure alors la régence de Thèbes, interdit d'enterrer les corps des perdants. À la fin des Sept contre Thèbes, alors qu'elle se lamente, Antigone jure de braver cet interdit et d'offrir une sépulture à son frère : ce suspens a peut-être été ajouté à postériori, à une époque où cette histoire est bien connu du public athénien[23]. Sophocle, dans la pièce Antigone, est le premier à mettre en scène l'acte de rébellion de l'héroïne : alors qu'elle est en train d'enterrer Polynice, les gardes l'appréhende et elle est condamnée à mort par Créon[24]. Hygin, dans une version peut-être inspirée de l'Antigone (en) d'Euripide, raconte qu'Antigone et Argie, l'épouse de Polynice, parviennent secrètement à apporter son cadavre sur le bûcher allumé en l'honneur d'Étéocle ; Antigone est capturée par Créon, qui ordonne alors à Hémon, son amant, de la mettre à mort[25].

Pausanias rapporte avoir vu, sur la route vers Chalcis, les tombes des fils d'Œdipe, auxquels les Thébains rendent un culte héroïque : lors des sacrifices, les flammes et la fumée du bûcher se diviseraient en deux[26].

Une génération après l'expédition des Sept contre Thèbes, leurs fils prennent les armes, sous la direction d'Adraste, pour venger leurs pères : ceux-ci, les Épigones, sont victorieux sur les Thébains, et seul Égialée, le fils d'Adraste, meurt au combat[27]. Dans Les Sept contre Thèbes, Eschyle affirme qu'Étéocle et Polynice sont morts sans descendance[28],[2]. Cependant, dans d'autres versions, plusieurs enfants de Polynice et Argie apparaissent, notamment sur deux monuments représentant les Épigones décrits par Pausanias : le premier à Delphes, où figure Thersandre, auquel s'ajoutent Adraste (d) et Timéas (d) sur un second, à Argos[29]. Thersandre, dans certaines traditions du mythe, offre le chiton d'Harmonie, transmis par Polynice, à Ériphyle, qui se laisse ainsi corrompre une deuxième fois et envoie son fils Alcméon au combat[30].

Représentations

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Polynice parmi les Sept contre Thèbes

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Pausanias le Périégète évoque deux groupes statuaires érigés par les Argiens en l'honneur des Sept contre Thèbes parmi lesquels figure Polynice : l'un sur l'agora d'Argos, datant du milieu du VIe siècle av. J.-C.[31], et l'autre sur la Voie sacrée du sanctuaire de Delphes, estimé aux alentours du milieu du Ve siècle av. J.-C.[32],[33].

Polynice et Étéocle

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Collection d'urnes funéraires et de sarcophages étrusques représentant le duel entre Polynice et Étéocle, 210 à 90 av. J.-C., musée archéologique national de Sienne.

Polynice et Étéocle apparaissent rarement dans l'art grec antique et sont presque toujours représentés lors de leur duel fatal[34]. La plus ancienne serait celle qui figurait sur un coffre appartenant à Cypsélos, décrite par Pausanias. Elle serait accompagnée d'une représentation de la malédiction d'Œdipe, sous l'apparence d'une Kèr[34]. D'autres monuments antiques perdus devaient figurer le combat fraternel, notamment un groupe statuaire de Pythagore de Rhégion et une peinture murale d'Onasias (d) à Platées[34]. Le duel se retrouve sur de nombreuses céramiques, dont une du peintre de Cléophradès (en) ; cependant, ces représentations ne sont pas toujours explicites[34]. Une peinture de Tauriscos (de), citée par Pline l'Ancien, montrerait une scène unique de négociation entre les deux frères, comme dans Les Phéniciennes[34].

La majorité des représentations de Polynice et Étéocle proviennent d'Étrurie, où elles connaissent une très grande popularité dès le IVe siècle av. J.-C. puis dans les siècles suivants[34]. La première scène monumentale se retrouve sur le fronton du temple A de Pyrgi[34], avant que l'iconographie ne se développe sur différents monuments funéraires, comme sur les murs de la tombe François mais aussi sur des sarcophages et des urnes, comme à Chiusi, avec des personnages secondaires (guerriers ou démones)[35]. En plus des scènes de combats se retrouvent des représentations où les deux frères sont morts et veillés par Vanth, Antigone ou Œdipe, comme sur le fronton du temple de Talamone[35].

Postérité

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Polynice et Étéocle sont nommés dans la Divine Comédie de Dante Alighieri : l'auteur et personnage principal voit un bûcher sur lequel sont placés deux pécheurs, ce qui lui rappelle les deux frères, dont il connait l'histoire à travers la Thébaïde de Stace[36].

L'astéroïde troyen de Jupiter (20947) Polynice, découvert le 29 septembre 1973 par Cornelis Johannes van Houten et Ingrid van Houten-Groeneveld à l'observatoire Palomar, est nommé en référence à Polynice[37].

Notes et références

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  1. ↑ Gérard Gréco et al., « Πολυνείκης », sur Bailly,‎ 2020 (consulté le 28 septembre 2025).
  2. ↑ a b et c Pellizer 2013, p. 317.
  3. ↑ Moreau 1988, p. 224-225.
  4. ↑ a et b Moreau 1988, p. 225.
  5. ↑ Gantz 2004, p. 889.
  6. ↑ Gantz 2004, p. 889 et 903.
  7. ↑ Gantz 2004, p. 891-896.
  8. ↑ a b et c Grimal 1994, p. 385.
  9. ↑ a et b Gantz 2004, p. 885-886.
  10. ↑ Gantz 2004, p. 889-890.
  11. ↑ a et b Gantz 2004, p. 890.
  12. ↑ a et b Gantz 2004, p. 891.
  13. ↑ a et b Gantz 2004, p. 895.
  14. ↑ Gantz 2004, p. 894-895.
  15. ↑ a b et c Gantz 2004, p. 896.
  16. ↑ Gantz 2004, p. 900-902.
  17. ↑ a et b Gantz 2004, p. 898-899.
  18. ↑ Gantz 2004, p. 911.
  19. ↑ Gantz 2004, p. 912-914.
  20. ↑ Gantz 2004, p. 914.
  21. ↑ Gantz 2004, p. 912-913.
  22. ↑ Gantz 2004, p. 918-919.
  23. ↑ Gantz 2004, p. 920.
  24. ↑ Gantz 2004, p. 920-921.
  25. ↑ Gantz 2004, p. 922.
  26. ↑ Krauskopf 1988, p. 27.
  27. ↑ Gantz 2004, p. 924-929.
  28. ↑ Gantz 2004, p. 925.
  29. ↑ Gantz 2004, p. 927-928.
  30. ↑ Gantz 2004, p. 929.
  31. ↑ Krauskopf 1994, p. 733.
  32. ↑ Krauskopf 1994, p. 732-733 et 745.
  33. ↑ Gantz 2004, p. 914-916.
  34. ↑ a b c d e f et g Krauskopf 1988, p. 34.
  35. ↑ a et b Krauskopf 1988, p. 35.
  36. ↑ Piero Boitani, « Dante et l'Antiquité », Comptes rendus de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, vol. 154, no 1,‎ 2010, p. 585-586 (lire en ligne, consulté le 2 octobre 2025).
  37. ↑ (en) Lutz Dieter Schmadel, Dictionary of Minor Planet Names, Berlin et Heidelberg, Springer, 2012 (ISBN 978-3-642-29717-5, lire en ligne), « (20947) Polyneikes », p. 1006.

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

  • Polynice, sur Wikimedia Commons

Sources antiques

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  • Pseudo-Apollodore, Bibliothèque [détail des éditions] [lire en ligne] (III, 5, 8-9 ; III, 6, 1 ; III, 7, 2).
  • Pseudo-Apollodore, Épitome [détail des éditions] [lire en ligne] (III, 17).
  • Diodore de Sicile, Bibliothèque historique [détail des éditions] [lire en ligne] (IV, 65).
  • Eschyle, Les Sept contre Thèbes [détail des éditions] [lire en ligne] (passim).
  • Euripide, Les Phéniciennes [détail des éditions] [lire en ligne] (passim)
  • Hésiode, Les Travaux et les Jours [détail des éditions] [lire en ligne] (162).
  • Homère, Iliade [détail des éditions] [lire en ligne] (IV, 377).
  • Hygin, Fables [détail des éditions] [(la) lire en ligne] (LXVII-LXXII ; LXXVI ; CCXLIII ; CCLIV).
  • Pausanias, Description de la Grèce [détail des éditions] [lire en ligne] (II, 20, 5 ; IX, 5, 10).
  • Pindare, Odes [détail des éditions] (lire en ligne), « Néméennes » (IX, 18).
  • Sophocle, Antigone [détail des éditions] [lire en ligne] (passim).
  • Sophocle, Œdipe à Colone [détail des éditions] [lire en ligne] (passim).
  • Stace, Thébaïde [détail des éditions] [lire en ligne] (passim)

Bibliographie

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  • Timothy Gantz, Mythes de la Grèce archaïque, Belin, 2004 [détail de l’édition].
  • Pierre Grimal (préf. Charles Picard), Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Paris, Presses universitaires de France, 1994, 12e éd. (1re éd. 1951), 574 p. (ISBN 2-13-044446-6), « Polynice », p. 385-386.
  • (en) Claudia Klodt, « Polyneices », sur Brill's New Pauly Online, 2005 (consulté le 5 octobre 2025).
  • (de) Ingrid Krauskopf, « Eteokles », dans Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae, vol. IV, Zurich, Munich et Düsseldorf, Artemis Verlag, 1988 (ISBN 3-7608-8751-1, lire en ligne), p. 26-37 et pl. 15-19.
  • (de) Ingrid Krauskopf, « Septem », dans Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae, vol. VII, Zurich, Munich et Düsseldorf, Artemis Verlag, 1994 (ISBN 3-7608-8751-1, lire en ligne), p. 730-748 et pl. 539-546.
  • Alain Moreau, « Polynice le querelleur », Bulletin de l'association Guillaume-Budé, no 3,‎ octobre 1988, p. 224-231 (lire en ligne, consulté le 2 octobre 2025).
  • (it) Ezio Pellizer et al., Dizionario Etimologico della Mitologia Greca, 2013, 367 p. (lire en ligne), « Polinice », p. 317.
  • (de) Oswald Wolff, « Polyneikes », dans Wilhelm Heinrich Roscher, Ausführliches Lexikon der griechischen und römischen Mythologie, vol. III-2, Leipzig, Teubner-Verlag, 1909 (lire sur Wikisource), col. 2661-2680.
  • (de) Ernst Wüst, « Polyneikes 1 », dans Realencyclopädie der classischen Altertumswissenschaft, vol. XXI-2, Stuttgart, Metzler, 1952 (lire sur Wikisource), col. 1774-1788.

Liens externes

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