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Un poisson clown, espĂšce hermaphrodite successive.

L'hermaphrodisme successif (ou sĂ©quentiel) est une forme d'hermaphrodisme correspondant Ă  une acquisition des caractĂšres sexuels mĂąles et femelles diffĂ©rĂ©e dans le temps. Il se retrouve - avec des sens assez diffĂ©rents - aussi bien chez les animaux que chez les plantes. Pour ces derniĂšres on prĂ©fĂ©rera le terme dichogamie. Contrairement Ă  l’hermaphrodisme simultanĂ©, la production des gamĂštes mĂąles et femelles s’effectue Ă  deux temps distincts. Ce mode de reproduction peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un intermĂ©diaire entre le gonochorisme et l'hermaphrodisme simultanĂ©, ces derniers Ă©tant les extrĂȘmes d'un mĂȘme continuum[1]. Chez les animaux, l'hermaphrodisme simultanĂ© n'est pas nĂ©cessairement constant tout au long de la vie d'un mĂȘme individu. Il peut ĂȘtre prĂ©cĂ©dĂ© par une phase d'hermaphrodisme successif. Dans ce cas, chaque individu passe ainsi successivement par trois stades[2].

On peut distinguer trois grandes tendances d’hermaphrodisme sĂ©quentiel : la protandrie (ou protĂ©randrie) oĂč l’individu est d’abord mĂąle puis devient femelle ; la protogynie (ou protĂ©rogynie) oĂč l’individu est d’abord femelle puis devient mĂąle ; et l’hermaphrodisme alternant oĂč l’individu va changer de sexe plus d’une fois au cours de sa vie[1].

HypothĂšse d'apparition

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Dans le rĂšgne animal

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Dans le rĂšgne animal, la rĂ©partition de l’hermaphrodisme est encore mal comprise, nĂ©anmoins certaines hypothĂšses se proposent d’expliquer l’apparition des diffĂ©rents types de sexualitĂ©s au sein de certains clades. Une Ă©tude portant sur les crustacĂ©s suggĂšre que l’hermaphrodisme sĂ©quentiel serait un hermaphrodisme secondaire issu du gonochorisme[3]. Dans cette hypothĂšse, l’hermaphrodisme simultanĂ© est considĂ©rĂ© comme le type de sexualitĂ© ancestrale dont est issu le gonochorisme[3]. Des conflits gĂ©nĂ©tiques liĂ©s Ă  la dĂ©termination du sexe seraient ensuite apparus chez des individus gonochoriques, causĂ©s par des mutations ou des insertions de sĂ©quences parasites influant sur ces gĂšnes de dĂ©terminations et crĂ©ant un dĂ©lai dans l’expression de ceux-ci, d’oĂč la succession chronologique des phases sexuelles chez les hermaphrodites sĂ©quentiels[3].

Dans le rÚgne végétal

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Chez les plantes Ă  fleurs (Angiospermes), l'hermaphrodisme est la forme de mise en place des appareils reproducteurs la plus rĂ©pandue. La dichogamie, qui correspond Ă  la forme successive de l'hermaphrodisme, fait partie des traits Ă©volutifs floraux mis en place par les Angiospermes pour faire face Ă  la cohabitation des fonctions mĂąles et femelles au sein d'une mĂȘme fleur. Chez les angiospermes, bien que la frĂ©quence exacte de la dichogamie soit inconnue, des observations suggĂšrent une haute frĂ©quence (87% d'espĂšces recensĂ©es sur 4277). Et bien que la fonction significative de la dichogamie reste encore incertaine, son rĂŽle est toutefois reconnu comme important dans la biologie florale (Bertin and Newman, 1993) [4]. De nombreuses hypothĂšses sont posĂ©es, notamment l'implication de la dichogame dans la rĂ©duction de la dĂ©pression de consanguinitĂ© et la rĂ©duction de l'autofĂ©condation, consĂ©quence de la gĂ©inotogamie (pollinisation par le pollen d'autres fleurs de la mĂȘme plante)[5].

Sélection sur la fitness

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Avantage de la taille

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Chez les espĂšces animales hermaphrodites sĂ©quentielles, le changement de sexe a Ă©tĂ© expliquĂ© par la diffĂ©rence de succĂšs reproducteur (ou fitness) entre le sexe mĂąle et femelle pour une mĂȘme taille ou un mĂȘme Ăąge donnĂ©(e) : c’est le size-advantage model proposĂ© par Ghiselin (1969)[1]. Si cette diffĂ©rence est significative au sein d’une espĂšce, la pression de sĂ©lection va alors s’exercer en faveur de l’hermaphrodisme sĂ©quentiel, car il sera plus avantageux pour un individu d’une certaine taille d’ĂȘtre d’un certain sexe Ă  un moment donnĂ©. Plus l’allocation sexuelle sera grande pour un sexe, plus un individu de ce sexe aura intĂ©rĂȘt Ă  ĂȘtre gros pour s’assurer une fĂ©conditĂ© importante. Il est donc opportun pour un individu de changer de sexe lorsque sa fitness pour la taille atteinte est infĂ©rieure Ă  la fitness qu’il aurait en Ă©tant du sexe opposĂ©[1]. La thĂ©orie des constantes sans dimensions proposĂ© par Charnov et Skuladottir permet de prĂ©dire, Ă  partir de paramĂštres connus, Ă  quel moment (Ăąge ou taille) le changement de sexe devrait intervenir chez un individu hermaphrodite[6]. Cette thĂ©orie a Ă©tĂ© testĂ©e empiriquement sur 52 espĂšces de poissons protogynes et protandres, et les rĂ©sultats ont permis d’estimer que le changement de sexe intervenait pour une taille de 80% de la taille maximum et pour un Ăąge correspondant Ă  2,5 fois l’ñge de la maturitĂ©[6].

Chez les vĂ©gĂ©taux la dichogamie a Ă©tĂ© un mĂ©canisme initialement dĂ©crit comme permettant d'Ă©viter l'autofĂ©condation. Cependant, ce mĂ©canisme semblerait ĂȘtre un trait floral sĂ©lectionnĂ© pour d'autres raisons. En effet la rĂ©duction de l'interfĂ©rence sexuelle (causĂ© par la dichogamie) favorise le croisement chez les plantes auto-compatibles (diminuant l'autofĂ©condation) et pourtant ce trait se retrouve aussi chez les auto-incompatibles (absence d'autofĂ©conditĂ©) (Bertin, 1993). La conservation de ce trait, notamment chez les auto-incompatibles, pourrait ĂȘtre expliquĂ© par la morphologie des angiospermes. En effet il semblerait que la rĂ©duction de l'interfĂ©rence sexuelle entraĂźne une meilleure dispersion du pollen et un meilleur dĂ©veloppement de la taille des pistils, en diminuant la gĂȘne physique et en permettant une meilleure allocation Ă  la fonction sexuelle prĂ©sente et ainsi augmenter la fitness de l'individu [7]. Soit plutĂŽt comme un mĂ©canisme gĂ©nĂ©ral pour rĂ©duire l’impact de l’interfĂ©rence pollen-pistil sur l’import et l’export du pollen (Lloyd & Webb, 1986; Barrett, 2002). Contrairement Ă  l’hypothĂšse de l’évitement de la consanguinitĂ©, qui se focalisait sur la fonction femelle. Cette hypothĂšse d’interfĂ©rence-Ă©vitement considĂšre les fonctions des deux genres, et a Ă©tĂ© confirmĂ©e par un modĂšle de l'Ă©volution de la dichogamie incluant la sĂ©lection sex-ratio, l'interfĂ©rence anthĂšre-stigma et la dĂ©pression de consanguinitĂ©, par la conservation de ce trait floral chez les auto-incompatibles dans l'Ă©volution de la dichogamie[8].

Évitement de la dĂ©pression de consanguinitĂ©/export gamĂštes mĂąles

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Protandrie/protogynie chez une plante Ă  fleurs

La dĂ©pression de consanguinitĂ© chez les vĂ©gĂ©taux intervient lorsque l'autofĂ©condation devient dĂ©savantageuse, c’est-Ă -dire lorsque les descendants d'autofĂ©condation possĂšdent une fitness moindre que celle de descendants croisĂ©s. Ceci est le plus souvent causĂ© par des gĂšnes dĂ©lĂ©tĂšres rĂ©cessifs qui se retrouvent combinĂ©s chez les descendants homozygotes des consanguins. C'est pour cela que la dichogamie semblerait confĂ©rer un certain avantage Ă  la fitness, des auto-compatible, en Ă©vitant ce phĂ©nomĂšne par le mĂ©canisme sexuel qu'est la dichogamie. Cependant le rĂŽle exact de la dĂ©pression de consanguinitĂ© dans l'Ă©volution de la dichogamie reste incertain[8].

Sélection sur la direction du changement de sexe

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Protandrie favorisée

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Size advantage protandrie
Size advantage protogynie
ModĂšle de Pagel (1994): Taux de transition entre les 2 formes de dichotomie (protogynie et protandrie) et les 2 modes de pollinisations (biotique et abiotique). Les qij indiquent les paramĂštres du taux de transition. L’épaisseur indique le Logc de la taille relative du taux de transition dans le model LD8 avec le plus fort taux de conformitĂ©. Les astĂ©risques indiquent que le taux de transition est diffĂ©rent de zĂ©ro : * P<0,1. ** P<0,01. *** P<0,001 et le 0 indique un taux de transition qui n’est pas significativement diffĂ©rent de zĂ©ro, P>0,1.

La qualitĂ© de la gamĂ©togenĂšse chez la plupart des animaux mĂąles est peu variable selon leur taille. À l'inverse, la gamĂ©togenĂšse chez les femelles est souvent plus coĂ»teuse en Ă©nergie ce qui induit une corrĂ©lation avec la taille sur le plan de la qualitĂ© (taille des gamĂštes plus importante)[9]. Un mĂąle de petite taille pourra donc fĂ©conder un grand nombre de femelles. Cependant, le succĂšs reproducteur d’une femelle de petite taille sera moindre car sa fĂ©conditĂ© est dĂ©pendante de sa taille.

Dans les cas oĂč cette diffĂ©rence d’allocation sexuelle est trĂšs importante, la protandrie sera favorisĂ©e et les individus les plus gros (et donc les plus vieux) maximiseront leur fitness en Ă©tant de sexe fĂ©minin. Les observations effectuĂ©es Ă  ce jour suggĂšrent que la protandrie est le mode d’hermaphrodisme sĂ©quentiel le plus rĂ©pandu dans le rĂšgne animal[3]. On le retrouve chez un grand nombre d’espĂšces de mollusques (exemple de la crĂ©pidule).

Chez les angiospermes, des Ă©tudes suggĂšrent que le mode de pollinisation aurait un rĂŽle fonctionnel dans l'Ă©volution du type de dichogamie (Bertin and Newman, 1993). En effet, les espĂšces protandres semblent avoir tendance Ă  ĂȘtre pollinisĂ©es par des abeilles et/ou des mouches, correspondant Ă  des facteurs biotiques. De plus, du fait de la durĂ©e de viabilitĂ© du pollen dans de nombreuses espĂšces, la protandrie ne semblerait pas ĂȘtre efficace comme adaptation pour Ă©viter l'autopollinisation. Elle serait plutĂŽt associĂ©e Ă  une architecture d'inflorescence particuliĂšre ainsi qu'un comportement de pollinisateurs pour rĂ©duire l'autofĂ©condation et la rĂ©duction du pollen disponible pour la dispersion[10].

Protogynie favorisée

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Dans le rĂšgne animal

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Chez les animaux, la protogynie sera favorisĂ©e principalement dans les systĂšmes sociaux rĂ©gis par un mĂąle dominant. Seuls les plus gros individus peuvent avoir un succĂšs reproducteur important en tant que mĂąle. Les plus petits ont donc intĂ©rĂȘt Ă  ĂȘtre femelle pour maximiser leurs fitness et Ă©viter la compĂ©tition. On peut observer ce systĂšme de reproduction chez beaucoup d’espĂšces de poissons de rĂ©cifs coralliens. Lorsque le mĂąle dominant contrĂŽlant le harem meurt, la femelle de plus grande taille change de sexe et prend sa place[1]. Elle est trĂšs rĂ©pandue dans certaines familles de tĂ©lĂ©ostĂ©ens.

Dans le rÚgne végétal

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La protogynie est supposĂ©e ĂȘtre un trait ancestral chez les angiospermes (Endress, 1997). Elle aurait tendance Ă  ĂȘtre groupĂ©e dans les familles Ă  la base du branchement des angiospermes. Ce trait semble ĂȘtre un moyen pour prĂ©venir l'autofĂ©condation (Lloyd and Webb, 1986). En effet, les ovules peuvent ĂȘtre fĂ©condĂ©s par du pollen de sources externes, avant que la fleur ne prĂ©sente son pollen. De plus, s'il reste des ovules non fĂ©condĂ©s, ils peuvent l'ĂȘtre par autofĂ©condation, lors de l'expulsion du pollen. Enfin, les plantes Ă  fleurs protogynes sembleraient ĂȘtre prĂ©fĂ©rentiellement pollinisĂ© par le vent, facteur abiotique, hypothĂšse confirmĂ©e par le modĂšle de Pagel (1994) [10].

Alternant favorisé

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Chez les angiospermes, ce type d’hermaphrodisme est assez rare[1]. Arisaema triphyllum, par exemple, peut ĂȘtre soit mĂąle soit femelle au cours d’une saison de reproduction, son changement de sexe s’effectuant en rĂ©ponse Ă  l’environnement d’une saison sur l’autre.

Chez les animaux, l’hermaphrodisme alternant peut ĂȘtre accommodant pour la reproduction d’une population : chez certains poissons, le changement de sexe d’un individu va permettre de reformer une paire fonctionnelle dans le cas de la perte d’un partenaire ou d’assurer la reproduction lorsque la recherche de partenaire sexuel est trop dangereuse[1]. Un autre exemple peut ĂȘtre observĂ© chez l’huĂźtre, dont la capacitĂ© reproductive en tant que femelle est limitĂ©e par la taille de la chambre de gestation et non pas par l’énergie disponible ; cette Ă©nergie en excĂšs va ĂȘtre utilisĂ©e pour la production de sperme durant la pĂ©riode de « gestation Â» des Ɠufs fertilisĂ©s[1]. Ainsi, l’huĂźtre maximise sa fitness en Ă©tant successivement femelle (production d'Ɠufs) puis mĂąle (spermatogenĂšse) au cours de son cycle de reproduction.

Facteurs du changement de sexe

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Génétiques

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D’un point de vue gĂ©nĂ©tique, le changement de sexe chez les animaux est le plus souvent liĂ© Ă  l’ñge ou Ă  la taille de l’individu [11]. Les diffĂ©rences en croissance et en taux de mortalitĂ© des sexes jouent Ă©galement un rĂŽle moteur dans l'hermaphrodisme sĂ©quentiel. Si un sexe a un taux de mortalitĂ© plus Ă©levĂ©, il est plus avantageux d'ĂȘtre du sexe opposĂ©. De la mĂȘme maniĂšre, si un sexe a un taux de croissance plus Ă©levĂ©, il sera plus avantageux d'ĂȘtre de ce sexe en premier lieu.

Abiotiques

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Il y a des avantages Ă©volutifs Ă  ĂȘtre un hermaphrodite sĂ©quentiel. La capacitĂ© Ă  changer de genre en rĂ©ponse aux pressions environnementales fait des hermaphrodites sĂ©quentiels des individus bien plus flexibles. Ils sont ainsi susceptibles de faire face Ă  des situations qui pourraient conduire Ă  une baisse de population voire Ă  une extinction pour d’autres espĂšces. DiffĂ©rents paramĂštres environnementaux peuvent influer, comme la tempĂ©rature, les ressources en nourriture, la salinitĂ© du milieu, la pollution 
 L’environnement peut ainsi influer sur le sex-ratio. C’est le dĂ©terminisme environnemental du sexe (ESD)[11]. Par exemple, les peintures anti fouling, utilisĂ©es par les coques des bateaux, contiennent de l’étain-tributyle qui provoque le dĂ©veloppement de caractĂšres mĂąles chez les femelles, source de stĂ©rilitĂ© chez certains gastĂ©ropodes (pseudo-hermaphrodisme).

Sociaux

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On trouve ces facteurs du changement de sexe chez une multitude d’espĂšces animales, essentiellement marines. Ces facteurs sociaux sont principalement dus Ă  des problĂ©matiques de sex-ratio au sein d'une population et peuvent ainsi se manifester dans des situations de dĂ©sĂ©quilibre des populations [11]. C’est le cas de Thalassoma bifasciatum, un petit poisson qui vit territorialement au niveau de rĂ©cifs. Selon la taille du rĂ©cif, un ou plusieurs mĂąles peuvent ĂȘtre prĂ©sents pour un harem de femelles. Cette espĂšce se caractĂ©rise par un hermaphrodisme sĂ©quentiel de type protogynie. Au sein de ce harem, un ou plusieurs mĂąles (selon la taille du rĂ©cif) seront dominants. Ainsi pour les autres individus de la population, la stratĂ©gie optimale consiste Ă  commencer le cycle de vie comme un individu de type femelle. Quand un mĂąle territorial meurt, la plus grande femelle change de sexe et obtient ainsi le territoire qui s'accompagne du statut de mĂąle dominant. Les femelles changent ainsi de sexe en rĂ©ponse Ă  un manque de mĂąles Ă  proximitĂ©. En effet, Ă  la mort du mĂąle dominant, des hormones de stress sont sĂ©crĂ©tĂ©es induisant un changement de sexe pour la femelle dominante.

Notes et références

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  1. ↑ a b c d e f g et h (en) Janet L. Leonard, « Williams' Paradox and the Role of Phenotypic Plasticity in Sexual Systems Â», sur Integrative and Comparative Biology, 2013
  2. ↑ Micheline Martoja, Mollusques, Institut ocĂ©anographique, 1995, p. 95
  3. ↑ a b c et d (en) Pierre Juchault, « Hermaphroditism and gonochorism. A new hypothesis on the evolution of sexuality in crustacea Â», sur Comptes rendus de l'AcadĂ©mie des sciences, 1999
  4. ↑ (en) Matthew B. Routley, Robert I. Bertin, and Brian C. Husband, « Correlated evolution of dichogamy and self-incompatibility :a phylogenetic perspective Â», sur International Journal of Plant Sciences, 2004
  5. ↑ (en) Eduardo Narbona, Pedro L. Ortiz, Montserrat Arista, « Linking Self-Incompatibility, Dichogamy, and Flowering Synchrony in Two Euphorbia Species: Alternative Mechanisms for Avoiding Self-Fertilization? Â», sur PLOS one, 2011
  6. ↑ a et b (en) D.J. Allsop & S.A. West, « Constant relative age and size at sex change for sequentially hermaphroditic fish Â», sur Journal of Evolutionary Biology, 2003
  7. ↑ (en) Can Dai,Laura F. Galloway, « Do dichogamy and herkogamy reduce sexual interference in a self-incompatible species? Â», sur Functional Ecology, 2010
  8. ↑ a et b (en) Risa D. Sargent, Mohammad A. Mandegar and Sarah P. Otto, « A model of the evolution of dichogamy incorporating sex ratio selection anther-stigma interference and inbreeding depression Â», sur Evolution, 2006
  9. ↑ (en) Ronald George Oldfield, « Genetic, abiotic and social influences on sex differentiation in cichlid fishes and the evolution of sequential hermaphroditism Â», sur Fish and Fisheries, 2005
  10. ↑ a et b (en) Risa D. Sargent and Sarah P. Otto, « A phylogenetic analysis of pollination mode and the evolution of dichogamy in angiosperms Â», sur Evolutionary Ecology Research, 2004
  11. ↑ a b et c (en) Robert R. Warner, « Sex change and the size-advantage model Â», sur Trends in Ecology and Evolution, 1988

Voir aussi

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  • DĂ©terminisme du sexe
  • Reproduction (biologie)
  • Hermaphrodisme
  • Gonochorisme
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