Technopedia Center
PMB University Brochure
Faculty of Engineering and Computer Science
S1 Informatics S1 Information Systems S1 Information Technology S1 Computer Engineering S1 Electrical Engineering S1 Civil Engineering

faculty of Economics and Business
S1 Management S1 Accountancy

Faculty of Letters and Educational Sciences
S1 English literature S1 English language education S1 Mathematics education S1 Sports Education
  • Registerasi
  • Brosur UTI
  • Kip Scholarship Information
  • Performance
  1. Weltenzyklopädie
  2. Pyromanie — Wikipédia
Pyromanie — Wikipédia 👆 Click Here! Read More..
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pyromanie
Description de l'image Burned container.jpg.
Données clés

Traitement
Spécialité Psychologie et psychiatrieVoir et modifier les données sur Wikidata
Classification et ressources externes
CIM-10 F63.1
CIM-9 312.33
MeSH D005391

Wikipédia ne donne pas de conseils médicaux Mise en garde médicale

modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide)

La pyromanie est une impulsion caractérisée par une fascination extrême pour le feu chez l'individu. Dans les cas les plus graves, cette monomanie se traduit par des pulsions qui poussent le patient à provoquer lui-même des incendies comme exutoire à un excès de tension qui provoque soulagement et gratification. Le pyromane est distinct de l'incendiaire criminel ou volontaire, du psychotique, et n'agit ni par goût du lucre (gain), ni pour des raisons politiques, ni par désir de vengeance. La pyromanie est un symptôme de certains troubles mentaux tels que le trouble de la personnalité antisociale.

Histoire

[modifier | modifier le code]

Naissance du concept

[modifier | modifier le code]

Pendant longtemps (environ jusqu'à la fin du XVIIIe siècle), les incendiaires sont considérés comme des criminels ou parfois comme des simples d'esprit. Les progrès de la psychologie clinique et de l'étude des troubles du comportement amènent une plus grande diversité des diagnostics. Les pathologistes allemands, notamment Friedrich Benjamin Osiander (1759-1822) et son élève Christian Heinrich Adolph Henke (1775-1843), observent que certains cas d'incendiaires relèvent d'un trouble du comportement qu'ils ne nomment pas encore pyromanie[1]. Le spécialiste de médecine légale, G.H. Masius (Manuel de médecine légale, 1822), parle d'un « instinct particulier à incendier, instinct qui naît d'un travail d'évolution anormal »[2]. Conscient de la conséquence qu'aurait la reconnaissance d'une telle pathologie en restreignant la culpabilité du sujet incendiaire, Masius réclame que le concept soit soumis à un examen rigoureux. Le concept d'un trouble du comportement est entretemps associé à celui de monomanie par Jean-Étienne Esquirol (1772-1840) qui mentionne la monomanie incendiaire sans s'y attarder[1]. Le docteur Charles Chrétien Henri Marc (1771-1841) reprend l'expression[3] avant d'utiliser le mot « pyromanie »[1],[4] pour la toute première fois en 1833[5], afin de distinguer les actes incendiaires dus à la malveillance ou au désir de vengeance, de ceux qui « tirent leur source d'une affection particulière du cerveau »[3]. Selon lui, la pyromanie peut correspondre à des troubles du développement de la maturité sexuelle chez les sujets âgés de 12 à 20 ans[4], ces causes physiques privant le pyromane de sa « liberté morale » au moment de la crise incendiaire. Ces travaux, comme ceux de Prosper Lucas, ont une importance dans l'évolution de l'évaluation des incendiaires par l'expertise médico-légale.

Évolution aux XIXe et XXe siècles

[modifier | modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Étymologie

[modifier | modifier le code]

Les deux mots pyromane et pyromanie sont apparus dans la langue française aux alentours de 1833, forgés à partir du grec ancien πῦρ / pūr, « feu », et de μανία / mania, « folie »

Facteurs

[modifier | modifier le code]

Facteurs environnementaux

[modifier | modifier le code]
Conteneur incendié après une attaque pyromane en Tchéquie.

Ce trouble du contrôle des impulsions est encore peu connu, mais il semble qu'il existe une composante environnementale qui intervient à la fin de l'enfance[6]. Peu d'études systématiques rigoureuses ont été faites sur le sujet, mais une des hypothèses actuelles est qu'il s'agirait d'une façon de communiquer sur des sujets pour lesquels les compétences sociales sont mal développées, ou une forme de gratification sexuelle symbolique chez des personnes souffrant de frustration dans ce domaine (on parle aussi dans ce cas de pyrophilie). Selon le professeur Pierre Lamothe, psychiatre, les pyromanes sont souvent issus de milieux où ils ont eu à souffrir soit d'une excessive permissivité, soit d'une éducation exagérément répressive qui ne leur a pas appris dans un cas à réprimer, dans l'autre à exprimer leurs émotions[7].

Les enfants pyromanes ont parfois des antécédents de cruauté envers les animaux, souffrent d'autres troubles du comportement et témoignent de difficultés d'apprentissage et du trouble déficitaire de l'attention. La pyromanie juvénile est également parfois considérée comme un des trois symptômes permettant de diagnostiquer un risque de psychopathie (connus sous le nom de « triade Macdonald[8] »)[9]. D'autres études ont associé pyromanie et maltraitance infantile[9].

Facteurs biologiques

[modifier | modifier le code]

La recherche médicale étudie actuellement un lien possible avec la neuroglucopénie résultant d'une hypoglycémie ou un taux anormalement bas de 3-methoxy-4-hydroxyphenylglycol et de sérotonine (5-HIAA) dans le fluide cérébro-spinal[10].

Des traits biologiques communs ont pu être mis en évidence, par exemple des anomalies du niveau des neurotransmetteurs, comme la norépinéphrine et la sérotonine, ou une baisse du taux de sucre, qui peuvent être liées à des troubles du contrôle de l'émotion[9].

Traitements

[modifier | modifier le code]

La pyromanie peut avoir des conséquences dramatiques autant pour la personne qui en souffre que pour les autres. C'est pourquoi une personne qui présente des symptômes de pyromanie doit être dirigée vers un médecin le plus tôt possible. Le traitement de la pyromanie peut combiner la médication et les thérapies comportementales et cognitives.

Profil

[modifier | modifier le code]

La pyromanie est une pathologie assez rare, son taux d'incidence étant évalué à moins d'un pour cent selon la plupart des travaux de recherche qui lui sont consacrés. Les pyromanes sont très faiblement représentés dans les admissions en hôpital psychiatrique[11]. Des cas de pyromanie chez des enfants de trois ans et plus ont été enregistrés, mais c'est une pathologie encore plus rare chez les enfants que chez les adultes. Parmi les enfants et les adolescents arrêtés pour incendie volontaire, rares sont ceux qui souffrent réellement de pyromanie. 90 % des personnes diagnostiquées comme pyromanes sont des hommes[9]. Une enquête menée sur 9 282 Américains selon les critères édictés par le Diagnostic & Statistical Manual on Mental Disorders (Manuel de statistique et de diagnostic des troubles mentaux 4e édition), les problèmes de contrôle des impulsions telles que le jeu, la pyromanie et les achats compulsifs ne toucheraient que 9 % de la population[12]. Une étude américaine qui date de 1979, menée dans le cadre du département d'assistance à l'application de la loi (Law Enforcement Assistance Administration) a pu établir que 14 % seulement des incendies étaient le fait de pyromanes, ou de personnes souffrant d'une pathologie mentale[13].

Le professeur Pierre Lamothe, quant à lui, considère que le pyromane est dans la majorité des cas un homme adulte (98 % des cas)[7]. Les pyromanes appartiennent selon lui à toutes les classes sociales, mais il a trouvé parmi eux un nombre élevé d'instituteurs, de professeurs ou de notaires[7]. Il existe également des pompiers parmi les incendiaires pervers, rares selon lui[14]. Pour Pierre Lamothe, le profil de l'incendiaire est celui d'un pervers, son acte est souvent étudié, prémédité, et justifié a posteriori par le pyromane qui témoigne d'une absence de remords pour les dégâts qu'il a pu causer[7].

Pyromanes renommés

[modifier | modifier le code]
  • Érostrate
  • Gary Ridgway, tueur en série, était pyromane.
  • Paul Keller, pyromane et tueur en série.

Signes

[modifier | modifier le code]

Le diagnostic de pyromanie est défini selon le DSM-IV par trois symptômes incluant :

  • plus d'un épisode d'incendie volontaire et prémédité ;
  • tension et excitation précédant l'incendie ;
  • plaisir et gratification lorsque l'incendie est allumé.

Les pyromanes sont fascinés par tout ce qui touche le feu. Leur intérêt se manifeste souvent par des lectures, des discussions ou des collections d'objets. Ils ont tendance à planifier leur acte et ils peuvent donner eux-mêmes l'alarme, venir en aide aux victimes ou aux secouristes ou tout simplement contempler ce qu'ils ont fait. Généralement, ils ne sont pas affectés par les dommages, les blessures et même les décès que leur acte a pu entraîner. La motivation du pyromane est le seul plaisir que provoque l'incendie. Il n'agit pas pour de l'argent, pour exprimer une idée politique, pour cacher les signes d'un crime ou pour se venger. On ne considère pas non plus quelqu'un comme pyromane s'il souffre de troubles bipolaires, s'il a une personnalité antisociale ou s'il a agi parce qu'il était victime d'hallucinations ou sous l'influence de substances.

Chez les animaux

[modifier | modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

En Australie, il a été observé que certaines espèces de rapaces, le milan siffleur, le milan noir et le faucon bérigora, favorisent l'extension des feux de brousse en emportant des brindilles enflammées dans des zones encore intactes afin de chasser les animaux qui fuient les flammes[15].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ a b et c Histoire des savoirs sur le crime & la peine, Christian Debuyst, De Boeck Université, 1995, (ISBN 2-7606-1663-0 et 9782760616639), p. 228.
  2. ↑ Cité par Henri Marc dans Annales d'hygiène publique et de médecine légale, 1833, t. 10, 1re part., p. 460.
  3. ↑ a et b Henri Marc, « Considérations médico-légales sur la pyromanie, Mémoires De l'Académie nationale de médecine », Paris, France, 1833.
  4. ↑ a et b Annales d'hygiène publique et de médecine légale, 1833, t. 10, 1re part., p. 450.
  5. ↑ Simon Peverelli, "Pyromanie", dans Hervé Guillemain (dir.), DicoPolHiS, Le Mans Université, 2020.
  6. ↑ (en) « Psychiatric Disorders:Pyromania », All Psych Online, 2003 (consulté le 15 juin 2006).
  7. ↑ a b c et d Nouvel Observateur, « Des milliers d'hectares partis en fumée - Pathologie du pyromane », 6 août 2003.
  8. ↑ J. M. Macdonald (1963). (en) The Threat to Kill (La Menace de passer à l'homicide). American Journal of Psychiatry 120:125-130.
  9. ↑ a b c et d (en) Gale Research, « Impulse Control Disorders (Pathologies du contrôle des impulsions) », Gale Encyclopedia of Childhood & Adolescence, 1998 (consulté le 15 juin 2006).
  10. ↑ « Pyromanie », sur eMedicine.com, 5 mars 2004 (consulté le 15 juin 2006).
  11. ↑ Institut australien de criminologie, « The arsonist's mind: part 2 - pyromania (Mentalité d'un incendiaire, deuxième partie, le pyromane) », mars 2005 (consulté le 15 juin 2006).
  12. ↑ (en) Grif Alspach, « 1-2-3-4 … mental illness out the door? (1-2-3-4 : la maladie mentale frappe à la porte ?) », sur Critical Care Nurse, 2005 (consulté le 15 mai 2006).
  13. ↑ (en) Thomas E. Smith, « The Risk of Fire - Statistical Data Included (Le risque d'incendie : données statistiques) », sur Risk & Insurance, 11 octobre 1999 (consulté le 15 mai 2006).
  14. ↑ Sophie Rostain, « J'étais un pyromane ».
  15. ↑ (en) Mark Bonta, Robert Gosford, Dick Eussen, Nathan Ferguson, Erana Loveless et Maxwell Witwer, « Intentional Fire-Spreading by “Firehawk” Raptors in Northern Australia », Journal of Ethnobiology (en),‎ 1er novembre 2017 (DOI 10.2993/0278-0771-37.4.700, lire en ligne), accès libre.

Voir aussi

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • (en) Vreeland, R.G. et Waller, M.B. (1978). The Psychology of Firesetting: A Review and Appraisal (Psychologie de l'incendie provoqué, étude et évaluation) : Université de Caroline du Nord
  • (de) Psychiatrie Der Brandstiftung (Psychiatrie de l'incendie provoqué), Barnett, Winfried, 2005,  éd. Steinkopff Dr Dietrich V

Liens externes

[modifier | modifier le code]
  • Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistesVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Britannica
    • Den Store Danske Encyklopædi
    • Gran Enciclopèdia Catalana
  • Ressources relatives à la santéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Diseases Ontology
    • ICD-10 Version:2016
    • Medical Dictionary for Regulatory Activities Terminology
    • Medical Subject Headings
    • NCI Thesaurus
    • PatientLikeMe
v · m
Troubles mentaux et du comportement (CIM-11 : F00-F99)
(F00-F09) Troubles mentaux organiques, y compris les troubles symptomatiques
Démence
  • Démence vasculaire
  • Chorée de Huntington
  • Leucoaraïose
  • Maladie d'Alzheimer
  • Maladie de Creutzfeldt-Jakob
  • Maladie de Parkinson
  • Maladie de Pick
Autres
  • Amnésie
  • Delirium
  • Autres
    • Syndrome post-commotionnel
    • Trouble cognitif léger
    • Syndrome frontal
(F10-F19) Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de substances psycho-actives
  • Intoxication aiguë
  • Intoxication par les psychotropes
    • État de possession
    • État de transe
    • Ivresse alcoolique aiguë
    • Intoxication alcoolique
    • Mauvais voyages
  • Abus
  • Syndrome de dépendance
    • Alcoolisme chronique
    • Dipsomanie
    • Toxicomanie
  • Syndrome de sevrage
  • Syndrome de sevrage avec delirium
  • Trouble psychotique
    • Hallucinose alcoolique
  • Syndrome amnésique
    • Syndrome de Wernicke-Korsakoff
(F20-F29) Schizophrénie, schizotype et délire
  • Schizophrénie
    • Schizophrénie paranoïde
    • Schizophrénie hébéphrénique
    • Schizophrénie catatonique
    • Trouble schizophréniforme
  • Trouble schizotypique
  • Trouble délirant
    • Paranoïa
    • Paraphrénie
    • Psychose paranoïaque
  • Quérulence
  • Oneirophrénie
  • Psychose réactive brève
  • Trouble délirant induit
  • Troubles schizo-affectifs
  • Psychose hallucinatoire chronique
  • Psychose non organique, sans précision
(F30-F39) Troubles de l'humeur
  • Manie
    • Hypomanie
  • Trouble bipolaire
    • Trouble bipolaire non spécifié
  • Dépression
    • Dépression psychotique
    • Dépression atypique
    • Dépression masquée
    • Dépression saisonnière
    • Dépression résistante
    • Dépression périnatale
    • Humeur dépressive
  • Cyclothymie
  • Dysthymie
  • Dépression brève récurrente
  • Trouble dysphorique prémenstruel
(F40-F48) Troubles névrotiques, troubles liés à des facteurs de stress et troubles somatoformes
Troubles anxieux
  • Phobie
    • Agoraphobie
    • Phobie sociale
      • Anthropophobie
    • Phobie spécifique
      • Acrophobie
      • Claustrophobie
      • Phobie des animaux
  • Trouble panique
    • Attaque de panique
  • Anxiété généralisée
Stress et adaptation
  • Réaction aiguë au stress
  • Trouble de stress post-traumatique
  • Trouble de stress post-traumatique complexe
  • Trouble de l'adaptation
    • Hospitalisme
    • Choc culturel
Trouble somatoforme
  • Somatisation
  • Trouble hypocondriaque
    • Dysmorphophobie
    • Hypocondrie
    • Nosophobie
  • Psychalgie
Troubles dissociatifs (de conversion)
  • Fugue dissociative
  • Amnésie dissociative
  • Autres
    • Syndrome de Ganser
    • Trouble dissociatif de l'identité
Autres
  • Trouble obsessionnel compulsif (TOC)
  • Autres
    • Neurasthénie
    • Syndrome de dépersonnalisation-déréalisation
    • Psychasthénie
    • Syndrome de Briquet
(F50-F59) Comportements associés à des perturbations physiologiques et à des facteurs physiques
Troubles des conduites alimentaires
  • Anorexie mentale
    • Anorexie mentale masculine
  • Boulimie
  • Hyperphagie psychogène
  • Vomissement psychogène
  • Perte d’appétit psychogène
  • Pica de l'adulte
  • Troubles alimentaires non spécifiques
Troubles du sommeil non organiques
  • Insomnie non organique
  • Hypersomnie non organique
  • Rythme veille-sommeil irrégulier
  • Somnambulisme
  • Terreur nocturne
  • Cauchemar
  • Parasomnie non organique
Dysfonctionnement sexuel
  • Trouble du désir sexuel hypoactif
  • Dysfonction érectile
  • Anorgasmie
  • Éjaculation précoce
  • Vaginisme psychogène
  • Dyspareunie psychogène
  • Hypersexualité
Autres
  • Dépression périnatale
  • Psychose post-partum
(F60-F69) Troubles de la personnalité et du comportement chez l'adulte
Trouble de la personnalité
  • paranoïaque
  • schizoïde
  • dyssociale
  • borderline
  • histrionique
  • anankastique
  • évitante
  • dépendante
  • Autres
    • narcissique
    • passive-agressive
    • mégalomanie
    • mythomanie
Identité et préférence sexuelle
  • Dysphorie de genre
    • Dysphorie de Genre
    • Éonisme, transvestisme, travestisme bivalent
    • Dysphorie de genre chez les enfants
  • Troubles psychologiques et comportementaux associés au développement et à l'orientation sexuels
    • Trouble de la maturation sexuelle
    • Orientation sexuelle égodystonique
    • Problème sexuel relationnel
  • Troubles de la préférence sexuelle
    • Fétichisme
    • Travestissement fétichiste
    • Exhibitionnisme
    • Voyeurisme
    • Pédophilie
    • Sado-masochisme
    • Nécrophilie
    • Zoophilie
Autres
  • Trouble des habitudes et des impulsions
    • Jeu pathologique
    • Kleptomanie
    • Pyromanie
    • Trichotillomanie
    • Trouble explosif intermittent
  • Pathomimie
    • Syndrome de Münchhausen
(F70-F99) Troubles mentaux diagnostiqués à l'enfance
(F70-F79)
Retard mental
  • Léger (QI de 50 à 69)
  • Moyen (QI de 35 à 49)
  • Grave (QI de 20 à 34)
  • Profond (QI au-dessous de 20)
(F80-F89)
Troubles du développement
  • Trouble de la parole et du langage
    • Dyslalie
    • Dysphasie
    • Aphasie réceptive
    • Aphasie
      • Syndrome de Landau et Kleffner
    • Zézaiement
  • Trouble d'apprentissage scolaire
    • Trouble de la lecture
      • Dyslexie de développement
    • Dysgraphie
    • Agraphie
    • Acalculie
    • Dyscalculie
      • Syndrome de Gerstmann
    • Dysorthographie
  • Dyspraxie
  • Troubles envahissants du développement
    • Autisme infantile
    • Autisme atypique
    • Syndrome de Rett
    • Trouble désintégratif de l'enfance
    • Syndrome d'Asperger
    • Trouble non spécifié
(F90-F98)
Troubles émotionnels et du comportement
  • Troubles hyperkinétiques
  • Troubles des conduites
    • Trouble oppositionnel avec provocation
  • Troubles émotionnels
    • Angoisse de séparation
    • Trouble anxieux phobique de l'enfance
    • Anxiété sociale
    • Hyperanxiété
    • Trouble de l'identité
  • Mutisme sélectif
  • Trouble réactionnel de l'attachement de l'enfance
  • Trouble de l'attachement
  • Tics
    • Syndrome de Gilles de La Tourette
  • Énurésie
  • Encoprésie
  • Mérycisme de l'enfance
  • Pica du nourrisson et de l'enfant
  • Bégaiement
  • Bredouillement (langage précipité)
  • Onychophagie
  • Masturbation excessive
  • icône décorative Portail de la psychologie
  • icône décorative Portail de la médecine
  • icône décorative Portail des risques majeurs
Ce document provient de « https://fr.teknopedia.teknokrat.ac.id/w/index.php?title=Pyromanie&oldid=223132371 ».
Catégorie :
  • Pyromanie
Catégories cachées :
  • Article contenant un appel à traduction en anglais
  • Page utilisant P1995
  • Article utilisant une Infobox
  • Article avec une section vide ou incomplète
  • Page utilisant le modèle Autorité inactif
  • Page utilisant P1417
  • Page utilisant P8313
  • Page utilisant P1296
  • Page pointant vers des bases externes
  • Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes
  • Page utilisant P699
  • Page utilisant P494
  • Page utilisant P3201
  • Page utilisant P486
  • Page utilisant P1748
  • Page utilisant P4233
  • Page pointant vers des bases relatives à la santé
  • Portail:Psychologie/Articles liés
  • Portail:Sciences humaines et sociales/Articles liés
  • Portail:Sciences/Articles liés
  • Portail:Médecine/Articles liés
  • Portail:Biologie/Articles liés
  • Portail:Risques majeurs/Articles liés
  • Portail:Société/Articles liés

  • indonesia
  • Polski
  • الرية
  • Deutsch
  • English
  • Español
  • Français
  • Italiano
  • مصر
  • Nederlands
  • 本語
  • Português
  • Sinugboanong Binisaya
  • Svenska
  • Українска
  • Tiếng Việt
  • Winaray
  • 中文
  • Русски
Sunting pranala
Pusat Layanan

UNIVERSITAS TEKNOKRAT INDONESIA | ASEAN's Best Private University
Jl. ZA. Pagar Alam No.9 -11, Labuhan Ratu, Kec. Kedaton, Kota Bandar Lampung, Lampung 35132
Phone: (0721) 702022
Email: pmb@teknokrat.ac.id