Nom complet | Reial Club Deportiu Espanyol de Barcelona S.A.D.[n 1] |
---|---|
Surnoms |
Pericos (Perruches)[1] Blanquiazules Mágico |
Noms précédents |
Sociedad Española de Foot-ball (1900-1901) Club Español de Foot-ball (1901-1910) Club Deportivo Español (1910-1912) Real Club Deportivo Español (1912-1995) |
Fondation |
[n 2] (124 ans et 1 mois) |
Couleurs | Blanc et bleu |
Stade |
RCDE Stadium (40 500 places) |
Siège |
Avinguda del Baix Llobregat, 100 08940 Cornellà de Llobregat (Barcelone, Espagne) |
Championnat actuel | LaLiga EA Sports |
Propriétaire | Rastar Group |
Président | Chen Yansheng |
Entraîneur | Manolo González |
Joueur le plus capé | Raúl Tamudo (389) |
Meilleur buteur | Rafael Marañón (144) |
Site web | rcdespanyol.com |
National[3] |
Championnat de deuxième division (2) Coupe d'Espagne (4) |
---|---|
International[3] | Coupe Intertoto (1) |
Actualités
Le Reial Club Deportiu Espanyol de Barcelona, couramment abrégé RCD Espanyol ou Espanyol et communément appelé Espanyol de Barcelone en français, est un club de football espagnol fondé le et basé à Barcelone, en Catalogne.
L'Espanyol évolue en Championnat d'Espagne de football de première division. Annuellement, le club organise le tournoi estival dit Trophée de la ville de Barcelone de 1974 à 2015. L'un de ses clubs pionniers, il n'a jamais été champion d'Espagne, terminant néanmoins troisième à quatre reprises, mais gagne la Segunda División à deux reprises ainsi que quatre Coupe du Roi. Au niveau européen, l'Espanyol est finaliste de la Coupe de l'UEFA en 1988 et 2007.
Histoire
La pratique du football suscite l'intérêt tout à la fin du XIXe siècle en Catalogne. En 1897, Ángel Rodríguez, un étudiant en ingénierie de l'université de Barcelone, fonde, avec ses amis universitaires Octavi Aballí et Lluís Roca, la Societat Gimnàstica Espanyola. Ce club a pour vocation une pratique omnisports.
Trois années passent et Rodríguez, attiré par le football qui commence alors à éclore, fonde la Sociedad Española de Foot-ball le . La fondation est officialisée par une rubrique parue sur le journal Los Deportes à cette date. Le choix du nom du club est motivé par le fait que les autres clubs barcelonais — le Catalá FC, l'Hispania AC et le FC Barcelone — ont dans leurs noms une référence à la ville ou à la région mais également pour affirmer le fait que le club souhaite n'enrôler que des joueurs espagnols. Le club constitue ainsi une équipe composée de joueurs locaux, ce qui va naturellement conduire à une rivalité avec le FC Barcelone, fondé un an plus tôt par le Suisse Joan Gamper, et qui compte principalement des étrangers dans son effectif[4],[5].
Les premières couleurs de la tenue sont le jaune pour le haut et le noir pour le short et les chaussettes. Le choix du jaune trouve son origine dans le fait que l'un des premiers propriétaires, dit socio, du club avait du tissu de cette couleur dans son entreprise textile[6],[7]. L'équipe joue ses rencontres, à caractère amical, au Velódromo de la Bonanova et au Campo d'en Grassot lors de ses débuts.
Les premiers matchs connus de son histoire se déroulent les 11 et contre le Catalá FC et le 25 du même mois face à l'Hispania AC. La Sociedad a pour premiers membres Rafael Balmes, Joaquín Carril, Telesforo Álvarez, Aballí, Luciano Lizarraga, Enrique Montells, Joaquín Sánchez, Ángel Ruiz, Ángel Rodríguez, Gaspar Munner et Ángel Ponz. Le , le club affronte pour la première fois le FC Barcelone au Campo del Hotel Casanovas, stade des Blaugranas, et obtient un nul vierge.
Le , l'assemblée générale décide de renommer le club en Club Deportivo Español[8]. Le , le club est une nouvelle fois renommé, recevant du roi Alphonse XIII le titre de « royal » et devenant ainsi le Real Club Deportivo Español[6]. Il adopte les couleurs blanc et bleu, en hommage à l'amiral catalan des Almogavres, Roger de Llúria[7].
En 1988, l'Espanyol, entraîné par Javier Clemente, se distingue en se qualifiant pour la finale de la Coupe UEFA contre le Bayer Leverkusen après avoir éliminé notamment l'AC Milan et l'Inter Milan. Le match aller voit les Pericos surclasser les Allemands à domicile, sur le score de 3 à 0 avec notamment un doublé de Sebastián Losada. Mais le club vit l'une des soirées les plus difficiles de son histoire au match retour, le , en concédant trois buts en seconde période. L'Espanyol débute bien les tirs au but et mène 2-1 après un échec du Bayer. Las, ses trois tireurs suivants échouent face au portier Rüdiger Vollborn et c'est Leverkusen qui remporte finalement le trophée[9],[10].
En , le club devient une sociedad anónima deportiva (es), fonctionnant grâce aux actions[11]. En , il se renomme sous forme catalane et ajoute pour la première fois le suffixe de Barcelona, ce qui donne le Reial Club Deportiu Espanyol de Barcelona[12]. Javier Sáenz, directeur de l'image du club, nie que ce renommage est une manière de réaffirmer l'identité catalane du désormais Espanyol et précise : « Nous sommes catalans depuis notre fondation en 1900[12]. »
Durant la saison 2006-2007, l'Espanyol parvient à atteindre la finale de la Coupe UEFA pour la deuxième fois de son histoire. Entraîné par Ernesto Valverde, les Catalans se défont notamment du Benfica Lisbonne et du Werder Brême durant les phases éliminatoires[10]. La finale contre le Séville FC se finit sur le score de 2 à 2, et, comme en 1988, l'Espanyol s'incline aux tirs au but (1-3)[13].
Le , le capitaine Daniel Jarque, âgé de 26 ans, décède d'une crise cardiaque lors d'un stage d'été du club dans la ville italienne de Florence[14]. Lorsqu'il inscrit l'unique but de la finale de la Coupe du monde 2010 face aux Pays-Bas, le milieu du Barça Andrés Iniesta rend hommage à son ami en retirant son maillot durant sa célébration, laissant voir le message « Dani Jarque, siempre con nosotros »[n 3],[15]. Depuis son décès, les supporters de l'Espanyol ont coutume de rendre hommage à leur capitaine en faisant une ovation sonore à la vingt-et-unième minute de chaque rencontre, le numéro qu'il portait[16].
Au mois de , le groupe chinois Rastar Group rachète plus de 50 % des actions de l'Espanyol, ce qui lui donne le contrôle total du club[17]. Le , le président Joan Collet (es) et son conseil d'administration sont démis de leurs fonctions et remplacés par l'homme d'affaires chinois Chen Yansheng (es). En plus des 15 millions d'euros pour le rachat des actions, Rastar apporte 35 millions pour éponger une partie de la dette du club, alors de 100 millions d'euros, qu'il prévoit de rembourser d'ici 2019[18].
Le , l’Espanyol est officiellement relégué à la suite de la défaite face au FC Barcelone lors de la 35e journée de Liga. C'est la cinquième fois que le club est relégué. L’Espanyol n’avait plus quitté la Liga depuis 1993[19]. Au cours d'une saison jugée comme l'une des plus catastrophiques de son histoire, le club connaît quatre entraîneurs mais ne parvient pas à s'extirper du bas du classement. Après un match nul blanc face au Celta de Vigo durant la dernière journée, l'Espanyol termine dernier du championnat. La descente du club marque un profond contraste avec la saison précédente qui avait vu les Pericos finir septième de Liga.
l'Espanyol remonte en Liga à la suite de son match nul 0-0 face au Real Saragosse le [20]. Le club est officiellement champion de Segunda à l'issue de la dernière journée de championnat, malgré une défaite à AD Alcorcón. Il finit premier du classement, à égalité avec le RCD Majorque, mais devançant son rival par les points en confrontations directes.
L'Espanyol vit une saison 2022-2023 compliquée qui le voit côtoyer le bas du classement. En panne de résultats positifs, le club se sépare de son entraîneur Diego Martínez en , à quelques semaines de la fin du championnat, et appelle Luis García, ancienne gloire blanquiazul des années 2000 et 2010. Malgré son arrivée, l'Espanyol ne parvient pas à enrayer sa dynamique négative et se retrouve officiellement relégué le lors de l'avant-dernière journée. En déplacement à Valence, également menacé de descente, les Pericos parviennent à mener au score la majorité du match mais un but adverse dans le temps additionnel permet aux locaux d'arracher un nul sur le score de deux à deux entérinant la relégation des Catalans, qui ne peuvent plus se sauver[21]. L'Espanyol subit une deuxième descente en l'espace de trois ans, première dans l'histoire du club.
Identité du club
Logo
-
Logo de 1995 à 2005.
-
Logo de 2005 à ?.
-
Logo depuis ?.
Maillot
Palmarès
Football
|
Statistiques et records
Records du club
- Saisons en Primera División : 85
- Total de matchs : 2 740
- Total de victoires : 979
- Total de matchs nuls : 642
- Total de défaites : 1 119
- Buts marqués : 3 720
- Buts concédés : 4 034
- Plus large victoire en Primera División
- à domicile : Español 8-0 Real Sociedad ()
- à l'extérieur : CE Sabadell 0-6 Español ()
- Plus grande défaite en Primera División
- à domicile : Espanyol 1-5 Getafe CF ()
- à l'extérieur : Athletic Bilbao 9-0 Español ()
Records des joueurs
- Plus grand nombre d'apparitions en Primera División :
- Raúl Tamudo : 340
- Antonio Argilés (en) : 300
- Mauricio Pochettino : 273
- Meilleurs buteurs de l'histoire en Primera División :
- Raúl Tamudo : 130
- Rafael Marañón : 111
- Julià Arcas : 86
- Trophée Zamora :
- Ricardo Zamora : 24 buts encaissés (1929)
- Marcel Domingo : 34 (1952-1953)
- Toni Jiménez : 31 (1997-1998)
Records des entraîneurs
- Plus grand nombre de matchs en Primera División :
- José Santamaría : 218
- Patricio Caicedo (en) : 198
- Javier Clemente : 159
Autres records
- Àngel Ponz est le premier buteur de l'histoire de la Coupe d'Espagne le .
- Pitus Prat est le premier buteur de l'histoire de Primera División le .
- Le club fut le premier (en 1904) et le dernier (en 1940) champion de Catalogne.
- Il est, jusqu'en 1962, le 4e club de Primera División à ne pas être descendu en Segunda División.
- Il est le 6e meilleur club de l'histoire de Primera División.
- Il est le meilleur club historique qui n'a pas gagné la Primera División.
Joueurs et personnalités du club
Présidents
Le tableau suivant présente la liste des présidents du club depuis 1902.
Entraîneurs
Le tableau suivant présente la liste des entraîneurs du club depuis 1922.
|
|
|
Joueurs emblématiques
- Julià Arcas
- Francisco Armet
- Arteaga
- José Artigas
- Crisant Bosch
- Luis Cembranos
- Miquel Corominas
- Iván de la Peña
- José María García
- Roger
- Pere Gibert
- Mariano Homs
- Josep Munné i Sampere
- José Padron
- Pitus Prat
- Miguel Hernandez
- Marcial Pina
- Rafael Marañón
- Miquel Soler
- Francisco López Alfaro
- Toni Jiménez
- Daniel Solsona
- Daniel Jarque
- Jordi Lardín
- Raúl Tamudo
- Sergio González
- Albert Riera
- Ricardo Zamora
- Manuel Zúñiga
- Luis García
- Sergio García
- Gerard Moreno
- Marco Asensio
- Sergi Darder
- Marc Roca
- Mauricio Pochettino
- Pablo Zabaleta
- Maxi Rodríguez
- Miguel Pineda
- Marcel Domingo
- Nicolas Ouédec
- Constantin Galca
- Florin Raducioiu
- Cyril Domoraud
- Romaric N'Dri Koffi
- Cayetano Ré
- Miguel Ángel Benítez
- Shunsuke Nakamura
- Carlos Caszely
- Zoltan Czibor
- Thomas Nkono
- Carlos Kameni
- John Lauridsen
- Francisco Palencia
- Branko Brnovic
- László Kubala
Effectif actuel
Effectif professionnel actuel
Le premier tableau liste l'effectif professionnel du RCD Espanyol pour la saison 2024-2025. Le second recense les prêts effectués par le club lors de cette même saison.
Joueurs | Encadrement technique | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
|
Assistant(s) technique
Analyste(s)
Physiothérapeute(s) Nutritionniste(s) Intendant(s) Délégué(s)
|
En grisé, les sélections de joueurs internationaux chez les jeunes mais n'ayant jamais été appelés aux échelons supérieurs une fois l'âge-limite dépassé ou les joueurs ayant pris leur retraite internationale.
Joueurs prêtés | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
N° | P. | Nat. | Nom | Date de naissance | Sélection | Club en prêt | Contrat |
24 | D | Rubén Sánchez | 04/02/2001 (23 ans) | – | Grenade CF | 2022-2027 | |
— | A | Kenneth Soler | 16/02/2001 (23 ans) | – | Real Murcia | 2024-2026 |
Installations du club
Stades
Historiquement le club jouait ses matches dans l'Estadi de Sarrià, qui avait une capacité de 43 000 spectateurs. Il a accueilli la Coupe du monde de football de 1982 et le championnat de football des Jeux olympiques d'été de 1992. Il a été démoli en 1997, 74 ans après son inauguration, à cause des problèmes économiques du club.
De 1996 jusqu'à la saison 2008-09 le club jouait ses matchs, au Stade Olympique Lluís Companys à Montjuïc, le stade des Jeux olympiques d'été de 1992 de Barcelone.
En 2003 la première pierre du nouveau stade Cornellà-El Prat est posée; six ans et 65 millions d'euros après, il peut accueillir 40.500 spectateurs. L'inauguration a lieu le à l'occasion d'un match amical contre le Liverpool FC, que les Pericos remportent par 3 à 0[26].
Le stade change de nom en 2014 en raison d'un nouveau sponsor et se fait appeler Power8 Stadium. Deux ans plus tard, alors que Power8 est en liquidation judiciaire, le complexe sportif est renommé en RCDE Stadium[27].
Centre d'entraînement et de formation
La Ciutat Esportiva est inaugurée en 2001 à Sant Adrià del Besòs. Historiquement, l'Espanyol a toujours accordé une place centrale a son centre de formation. Durant son passage en tant qu'entraîneur, Mauricio Pochettino utilise à de nombreuses reprises de joueurs issus du RCD Espanyol B[28].
Il porte maintenant le nom de Ciutat Esportiva Dani Jarque en hommage à l'ancien capitaine du club, Daniel Jarque[29].
Autres équipes
Équipe réserve
En 1981, l'Espanyol décide de créer une équipe réserve. Elle se nomme le RCD Espanyol B et joue ses matchs à la Ciutat Esportiva Dani Jarque. L'équipe évolue actuellement en Segunda División B.
L'équipe réserve est un vrai vivier pour le club qui porte une attention particulière a sa formation et a vu de nombreux joueurs en sortir, comme Raúl Tamudo ou Daniel Jarque.
Équipe féminine
La section féminine de l'Espanyol est fondée en 1970. Elle évolue en Primera División.
Notes et références
Notes
- Litt. « Club sportif royal Espagnol de Barcelone » ; en castillan : Real Club Deportivo Español de Barcelona.
- Selon Carolina Rodríguez, fille du fondateur Ángel Rodríguez, la véritable date de création du club remonte au [2]. La date officielle du correspond au jour où le magazine Los Deportes a publié un article faisant mention du club en tant que société sportive.
- « Dani Jarque, pour toujours avec nous. »
Références
- « #101 – RCD Espanyol Barcelone : Pericos », sur footnickname.wordpress.com (consulté le )
- (es) « Historia, obra y milagros de nuestro amado RCD Espanyol », sur lacontradeportiva.com,
- Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
- Gabriel Colomé, « Conflits et identités en Catalogne », sur monde-diplomatique.fr (consulté le ).
- (es) Alberto Lati, « Cuando el idioma separa: El derby catalan », sur albertolati.com, .
- (en) « History | RCD Espanyol », sur www.rcdespanyol.com (consulté le ).
- (es) Alberto Martínez, « Collet saca los colores a Junqueras por sus palabras », As, .
- (es) « EFEMÉRIDES DEL R.C.D. ESPAÑOL » [PDF], sur hemeroteca.lavanguardia.com, .
- (es) Jordi Quixano, « El batacazo del 88 », El País, .
- Andrew Haslam, « L'Espanyol pour effacer 88 », sur fr.uefa.com, .
- (es) Vicent Masià, « Sociedades Anónimas Deportivas: Luces y sombras », sur lafutbolteca.com, .
- (es) Manel Serras, « El Espanyol catalaniza su nombre y le añade 'de Barcelona' », El País, .
- « Séville dans l'histoire », sur sport24.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Le football espagnol en deuil après le décès de Dani Jarque », Le Monde, .
- Robin Delorme et Antoine Donnarieix, « Iniesta, Jarque, et un but pour l'éternité », sur sofoot.com, So Foot, .
- (es) « El Espanyol homenajea a Daniel Jarque en el noveno aniversario de su muerte », sur lavanguardia.com, .
- (en) He Lanying, « Rastar Group complete Espanyol takeover », sur mobile.ytsports.cn, .
- (es) Juan I. Irigoyen, « El Espanyol ya es de Rastar Group », El País, .
- « Liga : l'Espanyol Barcelone relégué pour la première fois depuis 1994 », L'Équipe, .
- « L'Espanyol retrouve la Liga, Dimata quitte définitivement Anderlecht », sur www.footnews.be (consulté le )
- (es) Jon Barco, « El Espanyol confirma el descenso con empate en Mestalla y seis equipos se jugarán la permanencia en la última jornada », sur cadenaser.com, (consulté le )
- « Primer equipo - RC Celta », sur rcdespanyol.com (consulté le ).
- « Espanyol Barcelona - Effectif détaillé 24/25 », sur transfermarkt.co.uk (consulté le ).
- Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.
- Seule la sélection la plus importante est indiquée.
- (ca) « L'Espanyol inaugura camp guanyant el Liverpool (3-0) », sur vilaweb.cat, .
- (es) Raúl Paniagua, « El Espanyol da por liquidado el contrato con Power8 », sur elperiodico.com, .
- « RCD Espanyol, « l’autre » formation à la Catalane », sur vavel.com, (consulté le ).
- « Mais qui est Dani Jarque ? », sur om.net, .
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- (mul) Site officiel
- Ressources relatives au sport :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :