Rety | |||||
L'église | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Boulogne-sur-Mer | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Terre des Deux Caps | ||||
Maire Mandat |
Patrick Bernard 2020-2026 |
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Code postal | 62720 | ||||
Code commune | 62705 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Restusiens | ||||
Population municipale |
2 069 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 113 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 47′ 53″ nord, 1° 46′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 120 m |
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Superficie | 18,25 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Boulogne-sur-Mer (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Desvres | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-rety.fr | ||||
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Rety (nom officiel) orthographiée localement Réty, est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Ses habitants sont appelés les Restusiens.
La commune fait partie de la communauté de communes de la Terre des Deux Caps qui regroupe 21 communes et compte 22 332 habitants en 2021.
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par six cours d'eau :
- le petit fleuve côtier, la Slack, d'une longueur de 22 km, qui prend sa source dans la commune de Hermelinghen et qui se jette dans la Manche au sud d'Ambleteuse[1] ;
- le Crembreux, d'une longueur de 13,32 km, qui prend sa source dans la commune d'Hardinghen et se jette dans la Slack au niveau de la commune de Marquise[2] ;
- le ruisseau de Grigny, d'une longueur de 8 km, qui prend sa source dans la commune de Boursin et se jette dans le Wimereux au niveau de la commune de Belle-et-Houllefort[3] ;
- le ruisseau de Boursin, d'une longueur de 3 km, qui prend sa source dans la commune de Boursin et se jette dans la Slack au niveau de la commune de Rety[4] ;
- le ruisseau de Rougefort, d'une longueur de 3 km, qui prend sa source dans la commune d’Hardinghen et se jette dans la Slack au niveau de la commune[5] ;
- les Broustats, d'une longueur de 2,21 km, qui prend sa source dans la commune de Ferques et se jette dans le Crembreux au niveau de la commune[6].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune s'inscrit dans le « paysage boulonnais » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[7].
Ce paysage qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’Est, par le paysage du Haut pays d’Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.
Le « paysage boulonnais », constitué d'une boutonnière bordée d’une cuesta définissant un pays d’enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l’est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d’Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.
La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d’Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d’escarpements calcaires. Dans ce paysage, on distingue trois entités :
- les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
- le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
- la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[8].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 860 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licques à 12 km à vol d'oiseau[11], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 138,1 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espace protégé
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 154 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] :
- la vallée du Wimereux entre Wimille et Belle-et-Houllefort. Cette partie de la vallée du Wimereux, située au nord de la RN 42, en marge de la cuvette du bas Boulonnais, marque les limites entre les terrains jurassiques et le bassin calcaire de Marquise-Rinxent[17].
- le bois de Fiennes, le bois de Beaulieu et la carrière de la Parisienne. Cette ZNIEFF est en limite orientale du bassin de Marquise, exploité pour l’extraction du marbre[18] ;
- le bois et les affleurements du Haut Banc et de la vallée Heureuse, d’une superficie de 45 hectares et d'une altitude variant de 25 à 75 mètres. Ce site, enclavé entre le lac d’exploitation au sud et la carrière de la vallée Heureuse, nous montre ce qu'était le paysage et les écosystèmes de la vallée[19] ;
- la vallée de la Slack entre Rinxent et Rety, d’une superficie de 541 hectares et d'une altitude variant de 12 à 45 mètres. Cette ZNIEFF correspond à un complexe de prairies pâturées, de cultures intensives et de quelques bois[20].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Rety est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle est située hors unité urbaine[22]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[22]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23],[24].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,2 %), zones agricoles hétérogènes (27,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %), mines, décharges et chantiers (2,8 %), prairies (2,7 %), zones urbanisées (2,6 %), forêts (0,5 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]Cette commune recense de nombreux hameaux :
- Austruy
- les Barreaux
- Azuingue
- Blanc Rietz
- les Carrières
- Château-Bricon
- Guelque
- Hardinxent
- Locquinghen
- le Mesnil
- les Moines ou le Moulin des Moines
- le Mont Cornet
- la Rebertingue
- Rougefort
- les Trois Cornets
- Wioves.
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risque inondation
[modifier | modifier le code]À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[27].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Rety : le nom de la commune est attesté sous les formes Reetseke (1130), Rethi et Resthi (1133), Resti (1160), Reteke (1234), Resty (vers 1512), Rety (depuis 1793)[28],[29].
Viendrait de l'anthroponyme romain Restus suivi du suffixe -acum « domaine », donnant le « domaine de Restus »[30].
Rébertingue, hameau dont le nom est attesté sous les formes Rumertenges (1286), Rebertengues (1415), Robertenghe (1492), Rebretengues (XVe siècle), Rebretencques (1512), Robretengles (vers 1743), Robertingue (1756), La Rebertingue (XVIIIe siècle)[32].
Toponyme formé de l'anthroponyme germanique Rumhart suivi du suffixe -ingen « gens de »[33] francisé en ingue.
Au , le nom de la commune est officiellement orthographié « Rety »[34], même si localement, l'orthographe « Réty » est utilisée.
Histoire
[modifier | modifier le code]Des sépultures antiques ont été découvertes à Rety en 1833[35].
Une motte situé sur la commune, au lieu-dit Blanc Riez, contenait des ossements, notamment une tête avec des restes d'armure, laissant présumer que la motte était un tumulus[35].
Après 1237, le seigneur d'Austruy, sur la commune actuelle de Rety, était un des quatre connétables et pairs héréditaires du comté de Boulogne[36]. En 1868-1869, il ne restait du château d'Austruy qu'une partie des murs, des fossés et un étang[35].
Enguerrand de Bournonville, dit « Gamot », seigneur de Château-Briçon, sur la commune actuelle de Rety, combat et trouve la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415[37].
Bassin minier du Boulonnais
[modifier | modifier le code]La commune se situe dans l'ancien bassin minier du Boulonnais où la houille est exploitée entre 1692 et 1950, soit durant plus de deux siècles.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté de communes de la Terre des Deux Caps.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton de Desvres.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].
En 2021, la commune comptait 2 069 habitants[Note 5], en évolution de −0,72 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 039 hommes pour 1 061 femmes, soit un taux de 50,52 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Martin.
- La gare du Haut-Banc.
Fromages
[modifier | modifier le code]- Ch'ti Crémeux
- Le petit retois
- Le sel de Rety
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à dix losanges de gueules ordonnés 3, 2, 3 et 2[50]. |
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Détails | Armes de la famille de Rety (ou Resty). Utilisé par la commune. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Sandre, « Fiche cours d'eau - Slack (E5100570) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Crembreux (E5100710 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de Grigny (E5200650 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Boursin (E5100600 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de Rougefort (E5100580 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - les Broustats (E5100790) » (consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Rety et Licques », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013294 - Vallée du Wimereux entre Wimille et Belle-et-Houllefort », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013293 - Bois de Fiennes, bois de Beaulieu et carrière de la Parisienne », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030112 - Bois et affleurements du Haut Banc et de la Vallée Heureuse », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013299 - Vallée de la Slack entre Rinxent et Rety », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Rety ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264, , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 321.
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- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 1, Librairie Droz (lire en ligne), p. 454.
- « proussel.voila.net/pages/noms_… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 318.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz (lire en ligne), p. 784.
- « Fiche de la commune de Rety », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, « Mémoires de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts », 1868-1869 (consulté le ), p. 193.
- P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 980, lire en ligne.
- « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
- « Réty : Patrick Bernard élu maire par le conseil municipal », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rety (62705) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « 62705 Rety (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).