12e arrt Rue de Wattignies
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Situation | |||
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Arrondissement | 12e | ||
Quartier | Picpus | ||
Début | 243, rue de Charenton | ||
Fin | 19, rue Claude-Decaen, et 43, avenue du Général-Michel-Bizot | ||
Morphologie | |||
Longueur | 700 m | ||
Largeur | 15 m | ||
Historique | |||
Création | 1862 | ||
Dénomination | Arrêté du | ||
Ancien nom | Rue Marceau | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 9935 | ||
DGI | 9952 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 12e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
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La rue de Wattignies est une voie située dans le 12e arrondissement de Paris, en France.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]Origine du nom
[modifier | modifier le code]La voie porte le nom de la bataille de Wattignies, remportée en 1793 par les troupes françaises contre les troupes autrichiennes.
Historique
[modifier | modifier le code]Autorisée par décret du , la rue est ouverte en 1866, sous le nom de « rue Marceau », suivant un tracé différent de celui qui était prévu à l'origine[1]. Elle prend sa dénomination actuelle par arrêté du .
Elle recouvre le ru de Montreuil qui coulait à ciel ouvert à son emplacement avant sa création.
Cette voie du 12e arrondissement a pu sembler trop modeste aux yeux des fondateurs de la Troisième République pour célébrer François Séverin Marceau (1769-1796), général français de la Révolution : mais il existait une « avenue Joséphine » (portant le nom de Joséphine de Beauharnais), voie des 8e et 16e arrondissements débouchant sur la place de l’Étoile et son arc de triomphe, qui a reçu le nom d’avenue Marceau, toujours par arrêté du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]- No 48 : adresse d’un ancien square Diémer portant le nom de Louis Diémer (1843-1919), fondateur de la Société des instruments anciens et auteur d’œuvres pour pianos et clavecins. Violette Nozière se cacha dans ce square le soir du crime[2] (en 1933).
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No 48 : immeuble construit en 1934 (ou 1935) à l'emplacement de l'ancien square Louis-Diémer.
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Inscription sur l'immeuble.
- No 60 : enseigne Dorin, fournisseur de la cour, 1780[3].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Éditions de minuit, 1972, 1985, 1991, 1997, etc. (1re éd. 1960), 1 476 p., 2 vol. [détail des éditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117), p. 671.
- Véronique Chalmet, Violette Nozière, la fille aux poisons, Flammarion, 2004, 254 p. (ISBN 978-2080684882), p. 175.
- « Enseigne Dorin, fournisseur de la cour, 1780. Brèves d'Histoire », Brèves d'Histoire, (lire en ligne, consulté le ).