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Urbanloop
Les deux O du nom forment le symbole de l'infini.
Logo d'Urbanloop.
illustration de Urbanloop
Capsules en fonctionnement, station Centre Equestre du Réseau de l'Étang de Saint-Quentin

Création 9 octobre 2019
Dates clés 2017 : lancement du projet inter-universitaire
2019 : création de la société
2024 : installation et mise en route du premier réseau pour les JOP de Paris
Forme juridique SAS
Slogan Mobilité intelligente et durable
Siège social Vandoeuvre-lès-Nancy
Drapeau de la France France
Direction Noémie Bercoff
Président Jean-Philippe Mangeot
Activité Industrie ferroviaire
Site web https://urbanloop.fr/
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Le démonstrateur Urbanloop à Saint-Quentin-en-Yvelines.
Une capsule Urbanloop présentée en 2025 à Dunkerque.

Urbanloop est une entreprise française fondée en 2019 développant un système de transport public urbain à faible impact écologique, automatisé et en site propre de type taxi-robot. Urbanloop concentre ses efforts dans les zones de moyenne densité, territoires en demande d'une mobilité décarbonée et indépendante de l'automobile.

Ce projet a pour objectif de décongestionner la circulation en rabattant une partie du trafic routier sur son propre système de transport ou sur les autres transports publics existants. Il appartient à la catégorie des PRT (Personal Rapid Transit), c'est-à-dire un système de transport de point à point sans attente ni arrêt intermédiaire. La conception du réseau avec des stations en dérivation du flux principal permet un accès direct point à point. Urbanloop se veut comme un moyen complémentaire de mobilité trouvant sa place dans les derniers kilomètres d'un trajet ou dans les zones inaccessibles aux méthodes de transports actuels (bus, métro, train, tramway).

Il réunit plusieurs acteurs académiques de l'université de Lorraine (l'École nationale supérieure des mines de Nancy, Télécom Nancy, l'École nationale supérieure de géologie, l'École nationale supérieure d'électricité et de mécanique de Nancy et Polytech Nancy) en partenariat avec la ville de Nancy et la Métropole du Grand Nancy. Initié en 2017, le projet s'est constitué en société à actions simplifiées depuis 2019.

Le concept proposé par Urbanloop repose sur un réseau de rails formé de boucles interconnectées sur lequel circulent des capsules individuelles autonomes. Ces capsules sont propulsées par des moteurs électriques alimentés par le rail en très basse tension de sécurité (72 V). Ces capsules permettent d'accueillir un ou deux passagers adultes, mais sont conçues pour avoir une certaine modularité. Par exemple elle peuvent accueillir : un adulte en situation de mobilité réduite ; un adulte et deux enfants ; un adulte et des bagages ; un adulte et un vélo ou enfin des marchandises.

L'entreprise fait partie des lauréats de la première édition du programme French Tech 2030[1].

Historique

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Le projet Urbanloop

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Intermodalité sous le prisme de la pyramide de la mobilité, telle que proposée par le projet européen Share North[2],[3].

Lancé en 2017 à l'initiative de quatre écoles d'ingénieurs de Nancy (École nationale supérieure des mines de Nancy, Télécom Nancy, l'École nationale supérieure de géologie et l'École nationale supérieure d'électricité et de mécanique de Nancy) et de l'université de Lorraine, le projet Urbanloop consiste à développer un moyen de transport rapide et autonome sur rails. Pascal Triboulot, alors directeur de l'INP Lorraine, rappelle qu'à l'origine l'idée a germé dans un embouteillage et il a demandé à des étudiants d'imaginer un mode de transport de demain[4],[5].

La région Grand-Est soutient financièrement ce projet à hauteur de 500 000 euros. Les premières capsules à échelle réelle sont produites en 2019. Elles mesurent 1 mètre de large, 1,6 mètre de haut et 3,2 mètres de long. Les capsules sont testées sur un circuit d'essai de 400 mètres mis en place au technopôle de Nancy-Brabois[6].

En 2019, le directeur du projet, Jean-Philippe Mangeot, fonde la société par action simplifiées (SAS) Urbanloop pour permettre de continuer les investissements de développement et prévoir la commercialisation du projet. Le projet reçoit les labels Frenchtech et Deeptech de la part de BpiFrance en 2020. Urbanloop continue en parallèle de s'appuyer sur les écoles d'ingénieurs du Grand Est pour se développer. Aujourd'hui, on compte pas moins de huit écoles d'ingénieurs ( l'École nationale supérieure d'électricité et de mécanique de Nancy (ENSEM), l'École nationale supérieure des mines de Nancy, Télécom Nancy, l'École nationale supérieure de géologie (ENSG), l'École nationale d'ingénieurs de Metz (ENIM), l'École supérieure d'ingénieurs des travaux de la construction de Metz (ESITC), l'École nationale supérieure en génie des systèmes et de l'innovation (ENSGSI) et Polytech Nancy )[7]et quatre laboratoires de recherche impliqués dans le projet.

En mai 2021, la capsule établit le record du monde de la plus faible consommation électrique pour un véhicule autonome sur rails en présence de Jean-Baptiste Djebbari, ministre des transports. En parallèle, Urbanloop est sélectionnée par l’agglomération de Saint Quentin en Yvelines pour installer un démonstrateur aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 sur son territoire[8]. L’agglomération se charge du choix lieu, des autorisations administratives et de la réalisation de l’infrastructure[9].

Depuis, l'entreprise s'attelle à la réalisation de ses deux premières réalisations. Le 26 juillet 2024, Urbanloop ouvre son expérimentation pilote à Saint-Quentin-en-Yvelines[10],[11] située à proximité de sa Fan zone réalisée pour les jeux olympiques . En parallèle, l'entreprise est retenue dans le Plan Métropolitain des Mobilités de la Métropole du Grand Nancy pour installer une desserte de la future cité judiciaire à l'horizon 2026[12],[13]. Carte

Objectifs du projet

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Le système se veut frugal énergétiquement. Les capsules ne requièrent qu'une très faible quantité d'électricité pour avancer. Cette faible consommation est certifiée par le record du monde du 28 mai 2021[14].

De plus, le système, par la légèreté de ses capsules, requiert une infrastructure bien plus légère que les autres moyens de transport sur rails (tramway, métro, train), ce qui est un avantage à la fois économique et écologique. Cela nécessite en effet moins de ressources (béton, acier) pour installer un système. L'entreprise estime le coût du kilomètre d'infrastructure entre 1 et 4 millions d'euros, là où un tram coûte environ 20 millions et 100 millions pour un métro[15].

Enfin, l'entreprise conçoit son système avec des objectifs de simplicité et de réduction des coûts d'exploitation. Le système est entièrement automatisé et limite le nombre d'actions humaines nécessaires. Les capsules communiquent entre elles leurs vitesses et leurs positionnements respectifs sur la voie au travers d'un système de repères disposés sur le tracé. En comparaison, les trains ne communiquent pas directement entre eux. Ils passent par un système centralisateur des données qui diffusent les données. À cela s'ajoute le système d'aiguillage dit « passif » qui donne aux capsules la possibilité de préparer les changements de voies et de gagner en efficacité et rapidité lorsque plusieurs capsules se suivent et changent de direction. Un aiguillage ferroviaire ne le permet actuellement pas[16],[17].

Technique

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Capsules UrbanLoop à la station Canardières.

Contexte technologique

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Urbanloop est un type de Personal Rapid Transit. Cette notion est apparue dans les années 1960 avec l'émergence de l'informatique. Dans les années 1970, plusieurs grands groupes industriels comme Boeing ou OTIS développent des prototypes de cabines de quatre à dix personnes automatisées pour aller d'une station à l'autre sans arrêt intermédiaire. En France, le projet le plus connu est le projet ARAMIS porté par Matra (aujourd'hui Siemens Mobility France) et la RATP au début des années 1970. Cependant, la technologie n'est pas assez performante et les essais furent arrêtés en décembre 1987. À cela s'ajoute la variabilité dans le temps des soutiens politiques au projet ARAMIS, qui finit par causer la fin du projet[18].  L'informatique et l'électronique de l'époque étaient de manière générale trop peu performantes pour que ces projets de PRT puissent voir le jour. En 2021, seuls quatre systèmes de taxirobots sont véritablement opérationnels notamment à l'aéroport londonien d'Heathrow.

Principes de base

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Le principe fondamental d'Urbanloop est de pouvoir réaliser 1 kilomètre en 1 minute pour 1 centime, avec pour idée de « vider les centres-villes des voitures »[19]. Pour appliquer cette maxime, le projet repose sur deux piliers fondamentaux.

Tout d'abord, Urbanloop repose sur des capsules individuelles sobres, rapides et autonomes. La base du système Urbanloop est la circulation sur rails à haute vitesse (environ 60 km/h) de capsules en site propre. Cette vitesse en ferait l'un des transports en site propre les plus rapides actuellement sur le marché. La grande légèreté de la capsule permet ainsi de prendre des vitesses en consommant peu d'énergie. Cette légèreté s'accompagne d'un système de motorisation électrique à la fois économique en énergie et performant[20].

Ensuite, Urbanloop table sur une optimisation maximale des tracés . Pour cela, Urbanloop a deux outils. Premièrement, la conception des tracés en boucles enchâssées permet une circulation optimale et rapide. Les capsules passent de boucle en boucle pour arriver à la destination finale, à l'inverse d'un métro ou d'un tramway dont les lignes ne sont pas enchâssées, et où il est donc nécessaire de prendre des correspondances et de passer humainement de ligne en ligne. Deuxièmement, l'installation des stations en dérivation du flux principal permet une optimisation des temps de trajets. En effet, un arrêt en station d'une capsule ne ralentit pas le flux des capsules car la station n'est pas située sur la voie principale. Cette dérivation du flux des capsules est très différente du modèle du métro, où les stations sont situées directement sur la voie principale, un arrêt d'une rame empêchant donc la rame derrière de poursuivre directement son trajet[21].

Record du monde

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Le 28 mai 2021, la capsule établit le record du monde de la moindre consommation énergétique au kilomètre pour un véhicule autonome sur rails. Il s'établit à 0,05 kWh/km, soit 0,47 centime d'électricité au kilomètre pour un véhicule roulant à 60 km/h. C'est Certifer qui s'est chargée d'homologuer ce record. Le record s'est déroulé en présence de Jean-Baptiste Djebbari, ministre des Transports, de Jean Rottner, président de la région Grand Est, et de Mathieu Klein, maire de Nancy et président de la Métropole du Grand Nancy[22],[23]. La capsule ayant permis la réalisation du record du monde se trouve aujourd'hui dans le hall de l'École des Mines de Nancy.

Réalisations

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Circuits d'essais

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Le premier circuit de test a été installé au technopôle Nancy Brabois en mars 2019. Long de 400 mètres, le circuit comprend une station et permet de faire tourner jusqu'à 3 capsules simultanément.

Dans l'optique de poursuivre ses expérimentations et d'homologuer l'appareil en vue de son utilisation grand public, la société Urbanloop se dote d'un nouveau circuit. Situé à l'Aéropôle Grand Nancy Tomblaine, il a été financé par Bpifrance. Long d'1,2 kilomètre, il permet à quatre capsules d'être testées sur un parcours composé de trois boucles et de trois stations. C'est sur ce circuit qu'a été établi le record du monde de moindre consommation électrique pour un véhicule autonome sur rail[24].

Projets en cours de réalisation

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En 2021, Urbanloop est sélectionné par l’agglomération de Saint Quentin en Yvelines pour installer un démonstrateur innovant à Saint-Quentin-en-Yvelines pour les jeux olympiques de 2024. Ce démonstrateur est installé dans l'île de loisirs de la communauté d'agglomération. Le circuit mesure 2 kilomètres de rails et est composé de deux stations. L'entreprise fait circuler 10 capsules. Ce projet est mené en collaboration avec l'EPCI de Saint-Quentin-en-Yvelines pour la réalisation des travaux de génie civil et par Keolis pour l'exploitation du réseau[25]. En novembre 2025, après 18 mois de fonctionnement, l'expérimentation est arrêtée. Elle a permis de transporter environ 70 000 usagers et de faire marcher le système en toute saison[26].

En parallèle, la Métropole du Grand Nancy, soutien de longue date du projet, a voté le 25 novembre 2021 le déploiement d'un Urbanloop à Nancy. Celui-ci devrait permettre de relier la future cité judiciaire à un parking relais. Ce tracé s'étendra sur environ cinq kilomètres de rails et cinq stations[27],[28].

Projets

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Capsule Urbanloop de Dunkerque sur Commons

Patrice Vergriete, président de l'agglomération dunkerquoise, a dévoilé en janvier 2025 un projet d'Urbanloop pour le port de Dunkerque (environ 500 personnes par heure, modifiable en fonction des réseaux). L'objectif en est de densifier des zones industrielles proches de l'eau en déplaçant les parkings vers l'extérieur. Urbanloop ferait ainsi une liaison rapide[20] entre les usines et les stationnements ou arrêts de transports en communs[29]. La capsule est présentée le 20 septembre 2025 place Jean-Bart[30].

  • Présentation de la capsule Urbanloop de Dunkerque
  • Quatre mètres de longueur.
    Quatre mètres de longueur.
  • Cent-vingt centimètres de largeur.
    Cent-vingt centimètres de largeur.
  • Vue en coupe du rail central.
    Vue en coupe du rail central.
  • Vue de la voie : le rail central et les bandes de roulement.
    Vue de la voie : le rail central et les bandes de roulement.
  • Configuration permettant de fabriquer les bandes de roulement avec une pièce unique donc un moule unique.
    Configuration permettant de fabriquer les bandes de roulement avec une pièce unique donc un moule unique.
  • Intérieur de la navette.
    Intérieur de la navette.

À l'avenir, l'entreprise aimerait pouvoir réutiliser les plateformes ferroviaires[31] désaffectées de la SNCF pour mettre en place de nouveaux réseaux. Ce projet a mené à l'élaboration d'un amendement permettant l'expérimentation sur des infrastructures ferroviaires désaffectées dans l'article 52 de la Loi relative à la différenciation (dite « loi 3DS »)[32]. Cet amendement a été notamment soutenu par le sénateur socialiste Olivier Jacquin, la député LREM Laurianne Rossi et la ministre à la cohésion des territoires Jacqueline Gourault[33].

Notes et références

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  1. ↑ « Annonce des lauréats de la 1ère édition du programme French Tech 2030 », sur economie.gouv.fr, 14 juin 2023
  2. ↑ (en) « Mobility pyramid », sur duurzame-mobiliteit.be.
  3. ↑ « Mobilité : et si on remettait le piéton au milieu du village ? », sur The Conversation, 11 mars 2024.
  4. ↑ « Vidéo. En quoi consiste l'Urbanloop, projet futuriste et écologique de transport public mené à Nancy ? », sur SudOuest.fr, 23 octobre 2020 (consulté le 5 avril 2024)
  5. ↑ Isabelle Jouette, « De la difficulté d'imaginer le monde de demain », Revue Générale Nucléaire, no 2,‎ mars 2016, p. 12–15 (ISSN 0335-5004, DOI 10.1051/rgn/20162012, lire en ligne, consulté le 5 avril 2024)
  6. ↑ Baptiste Zamaron, « Nancy : le projet Urbanloop devient sérieux », sur La Semaine, 5 octobre 2020 (consulté le 18 mars 2022).
  7. ↑ « Urbanloop : zoom sur 3 ans d'innovation • Mines Nancy », sur Mines Nancy, 13 novembre 2020 (consulté le 7 mars 2022).
  8. ↑ « Nancy : Urbanloop en route pour le record et les JO » [vidéo], YouTube (consulté le 7 mars 2022).
  9. ↑ « Accueil de sqy.fr, le site de Saint-Quentin-en-Yvelines », sur www.saint-quentin-en-yvelines.fr, 2 octobre 2023 (consulté le 27 novembre 2024)
  10. ↑ « Jean-Baptiste Djebbari annonce les 21 projets lauréats de l'appel à innovations mobilités « Jeux Olympiques et paralympiques 2024 » », Ministère de la Transition écologique, 6 mai 2021 (consulté le 21 mars 2022).
  11. ↑ « Nancy : Urbanloop aux Jeux Olympiques Paris 2024 avec ses capsules 100% électrique, sans batterie, pilotées par une IA », sur France 3 Grand Est (consulté le 21 mars 2022).
  12. ↑ « Résultat délibération du 25/11/2021 », sur agglo.grand-nancy.org (consulté le 21 mars 2022).
  13. ↑ Métropole du Grand Nancy, « Plan Métropolitain des Mobilités » [PDF], 25 novembre 2021 (consulté le 21 mars 2022).
  14. ↑ « Urbanloop a battu le record mondial de la plus faible consommation d'énergie pour un véhicule autonome », La Tribune, 1er juin 2021 (consulté le 18 mars 2022).
  15. ↑ « Un voyage à bord d'UrbanLoop, les navettes de transport du futur » [vidéo], YouTube, 24 février 2022 (consulté le 7 mars 2022).
  16. ↑ « Urbanloop, le projet écolo de transport public made in Lorraine INP », sur www.aurlom.com, 27 octobre 2020
  17. ↑ « Urbanloop, le rêve de mobilité des ingénieurs nancéiens », L'Usine Nouvelle,‎ 22 décembre 2020 (lire en ligne, consulté le 5 avril 2024)
  18. ↑ Bruno Latour, Aramis ou L'amour des techniques, Ed. La Découverte, 1992 (ISBN 2-7071-2120-7 et 978-2-7071-2120-2, OCLC 406895286, présentation en ligne).
  19. ↑ Paris Match, « Des étudiants français imaginent des capsules écolos pour se déplacer en ville », sur parismatch.com (consulté le 7 mars 2022).
  20. ↑ a et b (en) « French UrbanLoop aims at becoming 21st century Personal Rapid Transit », sur Urban Transport Magazine, 12 février 2021 (consulté le 7 mars 2022).
  21. ↑ « [XMOBILITY LE MANS 2021] Jean Philippe MANGEOT - Focus projet : URBANLOOP » [vidéo], YouTube (consulté le 7 mars 2022).
  22. ↑ Par G. L. Le 28 mai 2021 à 12h37, « Urbanloop, moyen de transport du futur, établit un record du monde écologique », sur leparisien.fr, 28 mai 2021 (consulté le 7 mars 2022).
  23. ↑ « On a testé pour vous l'Urbanloop, le transport en commun du futur », sur Les Echos Start, 1er juin 2021 (consulté le 7 mars 2022).
  24. ↑ (en) Rocio Ortego, « Smart – clean – fast – urban transport », sur www.innovatorsmag.com (consulté le 7 mars 2022).
  25. ↑ (en) « UrbanLoop comes to maturity - first customer applications decided », sur Urban Transport Magazine, 11 février 2022 (consulté le 7 mars 2022).
  26. ↑ « Les navettes autonomes reviennent à plus grande échelle à SQY » Accès libre [PDF], La Gazette de Saint-Quentin en Yvelines, 18 novembre 2025 (consulté le 23 novembre 2025), p. 2.
  27. ↑ « Urbanloop : Nancy première ville à accueillir ce nouveau mode de transport dès 2026 » [vidéo], YouTube (consulté le 7 mars 2022).
  28. ↑ « Plan Métropolitain des Mobilités », sur www.grandnancy.eu (consulté le 18 mars 2022).
  29. ↑ Bruno Verheyde, « Avec des navettes autonomes, nouvelle révolution dans le transport à Dunkerque », La Voix du Nord, 23 janvier 2025 (consulté le 24 janvier 2025).
  30. ↑ Bruno Verheyde, « Dunkerque : la première capsule d’Urbanloop exposée place Jean-Bart », sur https://www.lavoixdunord.fr/, La Voix du Nord, 20 septembre 2025
  31. ↑ Une plateforme, en terme de transport, est ce qui relève du génie civil (talus, ponts, tunnels, tranchées,...). L'infrastructure étant ce qui permet directement le passage des véhicules (enrobés pour les routes, ballaste et rails pour les voies ferrées,...).
  32. ↑ « LOI no 2022-217 du 21 février 2022 relative à la différenciation, la décentralisation, la déconcentration et portant diverses mesures de simplification de l'action publique locale (1) », Légifrance (consulté le 22 mars 2022).
  33. ↑ « Aperçu de l'amendement », Sénat (consulté le 9 mars 2022).

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

  • Urbanloop, sur Wikimedia Commons

Articles connexes

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  • Technologies similaires : SK • Aramis • PRT de Morgantown • ULTra

Liens externes

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  • Site officiel
  • Le projet sur le site de l'université de Lorraine
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