Pour étudier la sociabilité, l'auteur recherche les différentes formes d'associations repérables dans les sources. Son exposé est divisé en trois parties. La première décrit les confréries, et en particulier les confréries de pénitents — associations à la fois cultuelles et charitables — parce qu'elles sont nombreuses et parce que l'adhésion y est volontaire. L'auteur dépeint la diversité des confréries et leur évolution vers une laïcisation. La deuxième partie porte sur le développement des loges maçonniques dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Elle démontre que les élites sociales, les nobles et les riches bourgeois, délaissent les confréries pour adhérer à cette nouvelle forme de sociabilité. La troisième partie étudie les sociétés populaires de l'époque révolutionnaire, qui bien souvent prennent la suite des confréries.
Ainsi, Maurice Agulhon démontre que, si la structure et les buts des associations évoluent, passant du religieux au philosophique puis au politique, la sociabilité, pratique culturelle de rassemblement des individus, perdure. Il caractérise de cette manière une sociabilité méridionale.
Le livre reçoit un accueil très favorable, matérialisé par de nombreux comptes rendus pour chacune des éditions. Novateur par ses méthodes et son sujet, il se situe au carrefour de plusieurs domaines historiques, montrant la possibilité d'écrire une histoire sociale et culturelle du religieux et du politique. Il met au premier plan la notion de sociabilité, dont Maurice Agulhon, qui poursuit par deux ouvrages son étude de ce phénomène dans la première moitié du XIXe siècle, passe pour « l'inventeur ». Ce concept de sociabilité connaît un grand succès, il est repris et adapté à d'autres cadres géographiques et à d'autres périodes.
À la fin du tournage du film Le Viager (1971), l’équipe de Pierre Tchernia fut dans l’obligation de « désembellir » la maison utilisée pour le personnage du crédirentier.
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À la fin du tournage du film Le Viager (1971), l’équipe de Pierre Tchernia fut dans l’obligation de « désembellir » la maison utilisée pour le personnage du crédirentier.
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Les stations spatiales se distinguent des autres engins spatiaux, comme la Navette spatiale, par le fait qu'elles peuvent rester en orbite de nombreuses années. Elles sont également incapables de retourner sur Terre et ont une capacité de changement de trajectoire qui se limite à éviter des débris spatiaux.
Alors que les satellites artificiels sont mis sur orbite en une seule fois, les stations spatiales, en raison de leur taille importante, sont généralement divisées en modules. Ces derniers sont ensuite mis sur orbite et assemblées dans l'espace.
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