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![]() Perfect Dark est un jeu vidéo de tir à la première personne, développé et édité par Rare, et sorti sur Nintendo 64 en . Premier opus de la série Perfect Dark, il suit les missions de l'agente secrète Joanna Dark au service du fictif Institut Carrington, qui tente de déjouer une conspiration orchestrée par la puissante entreprise rivale dataDyne. Le jeu propose un mode campagne où le joueur doit accomplir une série de niveaux pour progresser dans l'histoire, ainsi que plusieurs modes multijoueur, incluant un mode coopératif et des parties en match à mort. Successeur spirituel du jeu GoldenEye 007, également développé par Rare, Perfect Dark en reprend de nombreuses caractéristiques. Bien que n'exploitant pas la licence James Bond, le jeu possède un gameplay similaire et utilise une version améliorée du moteur de jeu. Martin Hollis, directeur de GoldenEye 007, supervise la production durant les quatorze premiers mois de son développement avant de quitter Rare pour fonder Free Radical Design. Perfect Dark sorti à un moment où la Nintendo 64 arrive en fin de vie, et c'est peut-être pour cette raison qu'il n'a pas connu le même succès que son prédécesseur, bien qu'il soit l'un des jeux les plus avancés techniquement sur cette console. À sa sortie, Perfect Dark reçoit des éloges critiques et se vend relativement bien, intégrant finalement la sélection Choix des Joueurs de Nintendo. Les critiques saluent ses graphismes, son intelligence artificielle et son large éventail d'options multijoueur, mais certains pointent du doigt des ralentissements fréquents. Le jeu remporte un BAFTA Award et un Golden Satellite Award. Il est régulièrement cité parmi les meilleurs jeux de tous les temps. Un jeu en 2D pour Game Boy Color, également nommé Perfect Dark, sort peu de temps après la version originale. Rare publie ensuite Perfect Dark Zero, préquelle de Perfect Dark comme l'un des titres de lancement pour la Xbox 360 en . Un remaster, également nommé Perfect Dark, développé par 4J Studios et édité par Microsoft Game Studios, proposant des graphismes améliorés et un multijoueur en ligne, sort en sur Xbox Live Arcade. Enfin, un reboot est actuellement en développement par The Initiative. |
![]() SIC, sous-titrée Sons Idées Couleurs, Formes, est une revue d'avant-garde parisienne, publiée de à , sous la direction du poète Pierre Albert-Birot. D'abord entièrement rédigée sans nom d'auteur par ce dernier avec l'aide de sa femme, la compositrice Germaine Albert-Birot, la revue bénéficie dès le deuxième numéro de l'impulsion du peintre futuriste Gino Severini puis du patronage de Guillaume Apollinaire. Ouverte grâce à lui aux milieux de l'avant-garde, elle compte ensuite pour collaborateurs réguliers Joan Pérez-Jorba, Pierre Reverdy et Louis Aragon, et découvre de jeunes talents comme Philippe Soupault et Raymond Radiguet. Née pendant la Grande Guerre, qui a interrompu ou mis fin à la publication de plusieurs périodiques artistiques, la revue est d'abord vaguement nationaliste et vitaliste, avant de se vouloir le lieu d'une synthèse de tous les arts modernistes, et d'aspirer à un dépassement des frontières. Elle entre ainsi en réseau avec d'autres revues d'avant-garde européennes, en particulier Nord-Sud, Dada et 391. Ouverte à toutes les avant-gardes de son temps, comme le futurisme, le cubisme et Dada, la revue connaît son apogée en 1917, année où elle organise la création des Mamelles de Tirésias d'Apollinaire. Après quatre ans d'activité, sa fin est précipitée pour des raisons économiques et par la rupture du climat de front commun des avant-gardes, à partir du moment où les dadaïstes et les futurs surréalistes affirment leur indépendance. Au terme de sa publication, elle compte cinquante-quatre numéros répartis en quarante-et-une livraisons. Accueillant œuvres originales et textes critiques, la revue se démarque par son souci de la forme, de la typographie, et conçoit souvent ses pages comme des affiches. Elle a également tenté de diversifier son activité à travers l'édition de livres. | |
![]() L'agglomération antique de Montaigu-la-Brisette est une agglomération secondaire gallo-romaine des trois premiers siècles de notre ère située sur le territoire de la commune moderne de Montaigu-la-Brisette, dans le département français de la Manche, en région Normandie. Dans la géographie antique, elle est située dans la partie nord-est de la civitas des Unelles (province de Gaule lyonnaise) ; elle n'est toutefois citée dans aucun texte et ne figure sur aucun itinéraire antique. Malgré sa petite taille, estimée à 15 hectares tout au plus pour sa partie densément construite, elle comporte un vaste sanctuaire au nord-ouest et des thermes publics monumentaux partiellement aménagés au-dessus du lit d'un ruisseau canalisé au sud-est ; par opposition, les bâtiments édifiés dans la partie centrale voient se côtoyer des habitations aisées pourvues de portiques et des constructions au plan plus modeste mais dotées de jardins ou de dépendances à vocation peut-être artisanale, le tout selon une organisation assez lâche, sans schéma urbain uniforme. Cette configuration interroge sur la fonction et le statut de l'agglomération, peut-être une ville-étape sur un itinéraire antique et/ou un centre de production céréalière. À proximité plus ou moins grande de l'agglomération, des établissements agricoles ou artisanaux semblent liés au site principal ; ils sont en tout cas actifs du Ier au IIIe siècle apr. J.-C., tout comme l'agglomération elle-même. Le site voit son activité décliner vers la fin du IIIe siècle puis il est définitivement abandonné au début du IVe siècle, ses maçonneries étant systématiquement récupérées au fil des siècles. Aucun habitat médiéval n'émergeant des vestiges de la ville antique, celle-ci est recouverte par la forêt et tombe dans l'oubli avant que ses vestiges ne soient redécouverts au début du XIXe siècle et étudiés deux siècles plus tard (prospections prolongées par des sondages et des fouilles programmées entre 1999 et 2011). Ces vestiges, des fondations de murs ou de voies de circulation ou parfois même leur simple trace, ont été ré-enfouis à l'issue des fouilles : plus rien de l'agglomération antique ne subsiste en élévation ; seuls des fragments de terres cuites architecturales ou des bandes de galets à la surface du sol signalent sa présence. |
![]() Batalha do Avaí ou Batalha de Avahy est une peinture à l'huile monumentale réalisée par le peintre brésilien Pedro Américo entre 1872 et 1877. Commandée par le gouvernement impérial, cette œuvre représente la bataille d'Avaí, un affrontement majeur de la guerre de la Triple-Alliance (1864-1870) opposant le Paraguay à la coalition formée par le Brésil, l'Argentine et l'Uruguay. Américo a peint cette toile à Florence, en Italie, alors qu'il avait environ 29 ans. La toile, qui mesure 6 mètres de haut sur 11 mètres de large, est une représentation dramatique et détaillée de la bataille. Elle illustre le chaos et la brutalité des combats, mettant en scène des soldats en pleine action et des scènes de souffrance humaine. Américo a cherché à capturer l'intensité émotionnelle de la guerre en général, plutôt qu'à représenter fidèlement la bataille. L'œuvre a été exposée pour la première fois à Florence en 1877, puis elle a été transférée à Rio de Janeiro. Elle est exposée avec Batalha dos Guararapes de Victor Meirelles à la 25e exposition générale de l'Académie impériale des beaux-arts en 1879, devant quelque trois cent mille visiteurs. L'exposition, qui a d'abord mis en évidence les qualités des œuvres, exposées côte à côte, a été marquée par une atmosphère de rivalité entre les auteurs, suscitée par les opinions de la presse. La peinture a en effet suscité des réactions contrastées : certains l'ont louée pour sa puissance évocatrice, tandis que d'autres l'ont critiquée pour son style dramatique et sa représentation idéalisée des événements. Malgré les controverses, Batalha do Avaí, désormais conservée au musée national des Beaux-Arts, est considérée comme l'une des œuvres majeures de la peinture brésilienne du XIXe siècle et un « jalon essentiel, une œuvre d'exception » dans la production picturale brésilienne. |
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