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Relecture en vue d'un label
Début de la relecture
- Bibliographie
- Je t'ai mis le premier ouvrage cité selon le modèle {{ouvrage}}, qui te fait ensuite automatiquement la mise en forme, et surtout, qui te permet un référencement beaucoup plus facile et clair au travers du modèle {{harvsp}} (le fameux référencement harvard, où tu n'as à rappeler que le nom de l'auteur, l'année d'édition, et le numéro de la ou des pages. Le modèle créé alors automatiquement un joli lien bleu vers la bibliographie.
Robert Ferrieux, Eymery, moi, Edoli, on n'utilise maintenant plus que ça. Ça fait d'ailleurs beaucoup plus propre et AdQ d'allure... — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 27 septembre 2010 à 18:51 (CEST)- OK. J'ESSAIE DE VOIR POUR LES AUTRES. Jean [de Parthenay] 27 septembre 2010 à 18:56 (CEST)
vu que les liens bleus sont plus ou moins proscrits, j'hésite.
- Liste des mathématiciens nommés par Romain dans son défi
- pourquoi avoir mis tous ces noms en tout petit ? Comme la liste est masquée, de toutes façons, la taille des caractères ne risque pas de gêner. En revanche, une fois qu'on y est, autant que les caractères soient de taille normale (remarque très mineure, on est bien d'accord, mais je te mets tout ce à quoi je réagis). — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 27 septembre 2010 à 19:20 (CEST)
- OK, on peut mettre en plus gros. Je le ferais.
- Quelques petits problèmes de forme
- Il n'est pas évident de mettre les citations en français à la fois entre guillemets et en italique. Pour moi, la bonne solution est de mettre les guillemets, et rien que les guillemets, comme le fait d'ailleurs le modèle {{citation}}. C'est un point mineur, et c'est pour ça que je n'ai pas corrigé ; mais je tombe sur la citation du révérend père Clavius, qui, elle, n'est pas en italique. Il faut donc au minimum harmoniser sur une des deux solutions.
- Je trouve plus lisible le double «italique-guillement», évidemment pas recommandé par wp... Mais mes yeux fatiguent vite et cela doit aider d'autres vieux yeux, j'imagine. Jean [de Parthenay] 29 septembre 2010 à 07:51 (CEST)
- Compte Skype
- Je n'arrive pas supprimer ces numéros de téléphone affichés par Skype à partir des nombres figurant dans le problème d'Adrien Roman :
- + 236030652(25) devient un numéro à appeler en République centrafricaine ;
- et +3764565(33) un numéro à appeler via Skype en Andorre... Avec les petits drapeaux qui s'affichent et tout et tout ! Très agaçant. Là, il vaudrait mieux un informaticien (c'est peut-être d'ailleurs mon PC à moi qui héberge Skype, mais je ne dois pas être seul si c'est ça !). Sans doute faut-il trouver moyen de mettre ces séries de chiffres sous une forme plus mathématique que Skype ne comprenne pas. — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 1 octobre 2010 à 00:39 (CEST)
- Phrases ou titre en langue étrangère
- Je sais, ça va t'agacer, mais sur un AdQ, la perfection formelle est aussi de rigueur .
- dans le principe, WP demande que tous les passages en langues étrangères soient systématiquement traduits. Plusieurs solutions sont admises :
- phrase traduite en français et texte étranger entre parenthèses,
- phrase étrangère avec traduction française entre parenthèses,
- phrase française uniquement, avec renvoi sur une note comprenant le texte étranger original.
- dans le principe, WP demande que tous les passages en langues étrangères soient systématiquement traduits. Plusieurs solutions sont admises :
- Pour moi, c'est valable pour tout, y compris le titre des oeuvres.
- De plus, le texte en langue étrangère doit faire appel au modèle {{lang}}, qui seul permet la synthèse vocale, pour ceux qui écoutent Wikipédia au lieu de le lire. Exemple : Disputatio medica de humoribus. Je viens d'ailleurs de me faire rappeler à l'ordre pour ne pas avoir respecter cette dernière demande dans un des AdQ proposé actuellement.
- Pour donner mon avis, je pense que, le latin étant de moins en moins parlé et compris (ce qu'on peut déplorer, mais c'est un autre problème), il faut systématiquement tout traduire en effet : on n'aimerait pas trop lire un texte truffé de citations chinoises et de titres d'ouvrages en chinois non traduits. À tout prendre, la solution la plus neutre est de mettre la traduction française en premier, et le texte original toujours derrière ou en Notes ... mais jamais en premier. — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 1 octobre 2010 à 01:10 (CEST)
- Il faut bien penser que, même si on comprend ce que ça dit, une phrase en langue étrangère non précédée de sa traduction française casse complètement la lecture, ce qui est dommage. J'insiste là dessus, parce que, pendant longtemps, je mettais toujours mon texte anglais avant la traduction : à l'expérience, je me suis rendu compte que la lecture était malgré tout bien moins fluide. Et pourtant, c'est de l'anglais, que tout le monde comprend.
- Modèle {{lang}}
- Dans le chapitre « Une fin de vie de chanoine », où fleurissent les textes latins (non traduits ), j'ai utilisé systématiquement le modèle {{lang}}, nécessaire à WP pour permettre la synthèse vocale dans les versions audio de l'encyclopédie.
- Sources des citations
- Ne peut-on référencer de façon précise les citations données ? Avec au moins le titre de l'ouvrage, l'édition, et le numéro de page ? Y compris par exemple pour les Historiettes de Tallement de Réaux : après tout, on peut avoir envie de retrouver l'ensemble du passage.
- Conclusion du problème d'Adrien
- Je reprend la phrase
« Le mathématicien français eut sur Ludolphe l'avantage d'assigner toutes les dérivées de l'équation-mère. Cependant à considérer l'exactitude de cette dernière, je dois dire que Ludolphe l'a résolue beaucoup plus complètement que Viète. »
- Pour les nuls en maths, que doit-on en conclure ? Car on reste un peu sur sa faim. — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 1 octobre 2010 à 01:24 (CEST)
- que Romain était vexé comme un pou. Jean [de Parthenay] 1 octobre 2010 à 13:15 (CEST)
Suite de la relecture
- Les notations de Romain
- Outre le lien rouge sur vinculum (ben non, je ne sais pas ce que c'est ), je pense surtout qu'il faudrait complètement décoller de ce qui précède le passage :
« Romain emploie également la notation « R.bin » pour la racine carrée, notant par exemple comme Viète[44] :
R.bin.2 + R.bin.2 + R.bin.2 + R2 pour (et la série des racines carrées) »
En effet, pour le moment, ce passage se mélange avec le tableau est est très confus à lire. Ça vaut le coup de faire un paragraphe (voire un chapitre) totalement distinct, pour bien l'isoler. — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 1 octobre 2010 à 12:07 (CEST)
Arrêt provisoire à « Postérité ». A suivre. — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 1 octobre 2010 à 12:46 (CEST)
- en tout cas, merci pour ton intervention. Le vinculum c'est la barre de la racine. Je pense qu'une note explicative suffit. Ou un petit article sur Wikitionnaire ? Pour le détachement proposé, j'y réfléchi. Pour le reste, je vais m'inspirer de tes modifications pour Girard. MAIS je crois que pour les ouvrages, il faut garder le texte en latin d'abord et traduire (en français) après. A+ Jean [de Parthenay] 1 octobre 2010 à 13:18 (CEST)
Fin de la relecture
J'ai fini ma relecture, à l'exception de l'essentiel des traductions latines. Mais je n'arrive plus à remettre la main sur mon Gaffiot, ce qui pénalise beaucoup mes capacités dans ce domaine .
Sinon, ça me parait un gros BA ou un petit AdQ, je ne sais pas trop dire. Le sourçage est sans doute un peu léger pour un AdQ, et en densité, et en bibliographie, ce qui me pousserait plutôt vers un gros BA, même si la qualité générale de l'article est plutôt celle d'un AdQ.
Beau travail, en tous cas ! — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 3 octobre 2010 à 11:44 (CEST)
- Tu es sévère... La biblio, comme toujours, repose sur des articles anciens, c'est vrai. Quetelet, Ruland, Bosmans. donc 1860-1925. Mais ils sont sérieux et je ne peux pas inventer (TI) de chercheurs plus récents (il y a bien un peu Bockstele)... Donc, ce reproche, quoique fondé, ne devrait pas pour autant pénaliser l'article, qui -je l'espère- est complet, pertinent, etc, relativement aux connaissances qu'on peut avoir sur le sujet au regard de ce qui est publié.
- {{mdr} T'as perdu ton gaffiot ? Si on te l'a volé, peut-être le reconnaîtra-tu... en ligne Jean [de Parthenay] 3 octobre 2010 à 12:01 (CEST)
Article de qualité?
Certainement pas. Dès le premier paragraphe nous sommes en pleine idéologie flamande... Louvain n'est pas, et n'a jamais été en Flandre. C'est, ou bien la Région flamande (contemporaine) ou bien l'ancien duché de Brabant, ou bien les Pays-Bas méridionaux (au moment de la naissance de Adrien Romain). A la fin du même paragraphe d'ouverture: que veut dire exactement mathématicien de la noblesse flamande ?! Il n'existe pas de noblesse flamande : ou bien il s'agit de la noblesee belge (contemporaine) ou bien des familles aristocratiques d'ancien régime. --Zerged (d) 12 février 2011 à 23:29 (CET)
- Bof, il s'agit plutôt de ta part d'une hypersensibilité au mot Flandre et à l'adjectif flamand. Il suffit pour se convaincre du péché véniel de l'utilisation de ces deux mots de lire l'article Flandre de Wikipédia pour voir la polysémie du terme. Au lieu de crier au complot flamand (quel sens au mot flamand d'ailleurs ?) il suffisait de remplacer Flandre par région Flamande (si on cherche à situer la ville dans notre géographie contemporaine) ou duché de Brabant (si c'était bien le nom de la région du temps de Romain mais il me semble que Louvain à l'époque de sa naissance était géré par les Espagnols ) et noblesse flamande par noblesse tout court ou noblesse louvaniste. D'où ma modification (proposition). HB (d) 13 février 2011 à 11:03 (CET)
- Merci pour l’’hypersensibilité’ : un jugement gratuit sur quelqu’un que vous ne connaissez pas! En fait je suis surtout sensible à la qualité des articles. Croyez bien que cet article n’est pas le seul où apparaît de l’idéologie flamande (entre autres beaucoup d’articles qui tournent autour de l’université de Louvain), mais je ne m’y arrête pas. Cela n’en vaut pas la peine. Mais à propos de cet article-ci quelqu’un a décrété qu’il était un ‘’article de qualité’’. On pourrait donc s’attendre à plus de précision et neutralité... En fait j'avais l'impression que l'on ne pouvait plus modifier les soit-disant AdQ. Bien amicalement. --Zerged (d) 19 février 2011 à 23:57 (CET)
Notation π
Je n'ai pas vu de référence dans l'article sur le fait qu'Adrien Romain employait cette notation. Voir Pi#Origine_de_la_notation, Cajori contredit également la note jointe (l'adoption n'est pas définitive à partir de William Jones). Proz (d) 24 septembre 2011 à 18:41 (CEST) [passage supprimé le 29/09/11]
Rétabli le 30/09/2011 avec des « références » :
- deux sites web indiqués (l'un copiant l'autre, ou les deux un troisième) qui ne donnent aucune justification et ne sont bien-sûr pas des sources satisfaisantes.
- une référence à un autre livre de Cajori, un résumé de celle plus complète à laquelle je renvoyais dans Pi#Origine_de_la_notation (Florian Cajori, A History of Mathematical Notations, volume 2, p. 8-13 nos 395 - 398), et qui ne la contredit en rien : aucune mention de Romain, selon Cajori, Jones en 1706 est le premier à utiliser cette notation, qui n'est universellement adoptée qu'au cours de la seconde moitié du XVIIIème, sous l'influence probable d'Euler.
Le bouquin de Cajori n'est pas tout récent (1929 pour le 2nd volume de History of Mathematical Notations), mais celui-ci connait Romanus ou Roomen (plusieurs fois cité cf. index du volume I et du volume II).
On est dans l'ultra-anecdotique, on peut comprendre pourquoi à l'époque d'Euler on a a vraiment besoin d'une notation, mais Romain ? C'est le processus, les raisons qui poussent à adopter une notation qui seraient intéressantes. Je suis toujours pour effacer (sinon il faut remettre la demande de ref et corriger pour Jones). Proz (d) 30 septembre 2011 à 19:56 (CEST)
- Ultra anecdotique d'accord. Donc, n'en faisons pas tout un plat. Jones est le premier à l'avoir employé systématiquement, même si ce n'est pas totalement universel à l'époque. On peut le dire comme ça. Pour Romain, puisque c'est le sujet, c'est effectivement marginal. Oughtred avait, quant à lui ... Doit-on le mentionner ? Le signaler, sans appuyer ni faire de ce truc une polémique à outrance... Ça existe, c'est tout. Maintenant, si on devait supprimer sur Wp tout ce qui est "anecdotique"... qui le décide, quand, où, selon quel critère ? 89.226.237.32 (d) 30 septembre 2011 à 20:53 (CEST) (a priori Jean de Parthenay)
Le problème numéro 1 n'est pas que ce soit anecdotique, mais de laisser, même de façon hypothétique, une information douteuse, avec des "sources" qui n'en sont pas, et qui contredisent ce qui reste la référence sur les notations mathématiques, même si elle est ancienne. Ce qui devient ultra-anecdotique c'est de signaler que des sites web attribuent, sans que l'on sache pourquoi, l'origine de cette notation à Romain, sans aucune explication ni indication de ce que cela signifie réellement. A mon avis c'est dommage dans un article qui a l'air par ailleurs d'excellente tenue. Mais soit, je corrige en suivant Cajori et place une demande de ref. sur le fait que Romain utilise cette notation (sinon Cajori mentionne Oughtred, et l'utilisation de notations analogues qui perdurent après Jones). Proz (d) 1 octobre 2011 à 14:15 (CEST)
- Bien sûr d'accord ; le seul pb, c'est que les livres d'AR sont rares... Sur les 4 que je connais, pas de trace évidente de Pi pour abréviation de peripheria... Cela prendra du temps pour le confirmer par une référence exacte... d'ailleurs inaccessible au large public. Faut-il pour autant s'en priver (serait-ce anecdotique) ? je ne le crois pas. Pour moi, demander une référence : oui, supprimer entièrement : non. Jean [de Parthenay] 2 octobre 2011 à 18:16 (CEST)
Pour la confirmer, il faudrait en premier lieu qu'elle existe, et de toute façon une référence secondaire (ne serait-ce que pour interpréter correctement). Tu sembles juger ce truc vraisemblable, mais pour des raisons qui m'échappent totalement. Proz (d) 2 octobre 2011 à 20:59 (CEST)
- AR a compris la logique lettre, (cf son travail sur Alkhwarizmi) ; donc écrire Pi=31456/10000 serait possible... mais ce serait qd même fort : cela demandeRAIT encore de comprendre SI Pi EST pour lui un nombre OU un rapport de grandeur... Un saut conceptuel qu'il a pu faire (voire de façon intermittente)ou non. Une piste intéressante en tout cas. Le pb : ces textes sont à Berlin ou dans des bibli belges... et peu numérisés, peu étudiés (essentiellement Bosmans...). En tout cas ce serait bien si on pouvait fouiller là dedans. Si j'insiste, c'est que j'attends le petit curieux QUI pourra réellement trancher sur cette "rumeur" Jean [de Parthenay] 3 octobre 2011 à 12:23 (CEST)
- Près de 4 ans est rien de nouveau malgré la référence demandée. N'est-il pas temps d'effacer ce paragraphe, qui me semble conduire à l'attribution à un mathématicien de la fin du XVIè (et début XVIIè) de préoccupations qui ne sont pas de son temps ? Proz (discuter) 29 juillet 2015 à 10:37 (CEST)
- On retrouve aussi cette attribution de la notation toujours sous forme d'une rumeur chez Gerard Villemin. Cependant, cette information n'est pas reprise dans les biographies sérieuses d'Adrien Romain (voir par exemple l'article très complet dans une langue que je ne maitrise pas du Nationaal Biografisch Woordenboek. Dans ses écrits consultables [1], il ne semble pas donner de nom au rapport entre la circonférence et le diamètre et il n'emploie pas le terme de périmètre qu'il réserve à celui des polygones. Bref, rumeur, non corroborée par des sources primaires, contredite par Cajori, n'apparaissant pas dans les bio fiables => à supprimer, amha. HB (discuter) 29 juillet 2015 à 12:13 (CEST)
- Ok, je ne sais pas quel serait l'avis aujourd'hui de Jean de P, mais comme il est absent, je supprime sans attendre. Je ne comprends pas non plus la langue. Ce serait intéressant de comparer. Mais l'article est déjà très riche (incomparable avec ce qui existe dans d'autres langues). Peut-être ne tient-il pas assez compte des travaux les plus récents (selon la déclaration sur la page de labellisation), en particulier de ceux de nl:Paul Bockstaele, cité mais pas utilisé, qui était reconnu comme "le" spécialiste de van Roomen ? Proz (discuter) 29 juillet 2015 à 12:46 (CEST)
- L'article du Nationaal Biografisch Woordenboek est justement signé P. Bockstaele. HB (discuter) 29 juillet 2015 à 12:52 (CEST)
- L'article déniché par HB est celui qui est maintenant en biblio. Proz (discuter) 30 août 2017 à 17:45 (CEST)
- Près de 4 ans est rien de nouveau malgré la référence demandée. N'est-il pas temps d'effacer ce paragraphe, qui me semble conduire à l'attribution à un mathématicien de la fin du XVIè (et début XVIIè) de préoccupations qui ne sont pas de son temps ? Proz (discuter) 29 juillet 2015 à 10:37 (CEST)
- AR a compris la logique lettre, (cf son travail sur Alkhwarizmi) ; donc écrire Pi=31456/10000 serait possible... mais ce serait qd même fort : cela demandeRAIT encore de comprendre SI Pi EST pour lui un nombre OU un rapport de grandeur... Un saut conceptuel qu'il a pu faire (voire de façon intermittente)ou non. Une piste intéressante en tout cas. Le pb : ces textes sont à Berlin ou dans des bibli belges... et peu numérisés, peu étudiés (essentiellement Bosmans...). En tout cas ce serait bien si on pouvait fouiller là dedans. Si j'insiste, c'est que j'attends le petit curieux QUI pourra réellement trancher sur cette "rumeur" Jean [de Parthenay] 3 octobre 2011 à 12:23 (CEST)
Erreur ?
« Il pousse le procédé d'approximation polygonale employé par Archimède jusqu'à exprimer le périmètre de polygones inscrits et circonscrits ayant côtés »
C’est pas un peu beaucoup ? non signé décembre 2012
- Suivre la référence indiquée (par la méthode d'Archimède cela représente 30 itérations). Proz (discuter) 29 juillet 2015 à 10:28 (CEST)
Rencontre Romain-Viète
Selon Busard 2008, qui se fonde sur Bockstaele 1966 (meilleure biographie disponible selon Busard) Romain vient en France pour raisons de santé en 1601 et c'est à ce moment qu'il rencontre Viète. Actuellement l'article propose une version de cette rencontre incompatible (1597) fondée plutôt sur Ritter 1895 mais qui invoque 4 sources, de Thou qui n'est pas cohérent du point de vue de la chronologie (le voyage aurait lieu immédiatement après la résolution par Viète du problème de Romain en 1594, mais il lui offre l'Apollonius Gallus paru en 1600), Tallemant des Réaux plus tardif et plus détaillé (!) sur les circonstances de la résolution mais sans mention de l'Apollonius Gallus ce qui résout l'incohérence, Ritter 1895 qui résout l'incohérence autrement en réinterprètant l'histoire à propos du 2nd problème (peut-être parce qu'il sait selon la correspondance de Romain que 1594 n'est pas possible, mais Jean de Parthenay : a semble-t-il eu accès à des travaux non publiés de Ritter), Bosmans 1907 dans le sens de Tallemant des Réaux. Autant que je comprenne, ne lisant pas réellement le néerlandais, Bockstaele 1966 n'en parle pas, mais surtout aucune des versions n'est compatible avec sa chronologie. Bref tout cela est bien douteux sur le plan historique et je propose de reprendre, en particulier en repassant au conditionnel. Proz (discuter) 26 août 2017 à 13:50
- Fais au mieux (dans Viète, Romain et Apollonius) et bravo pour tout ce que tu as déjà fait ailleurs. Merci et [fait 30/08/2017]
- Quant à la « surinterprétation de la source invoquée » (dans Le problème d'Adrien), je suis d'accord aussi mais je mentionne, juste pour mémoire, que la version initiale était :
« En retour Adrien Romain paraît irrité, comme le note le Révérend Père Henri Bosmans<ref>Article du R.P. Henri Bosmans, Adrien Romain sur le site de la BLU, page 866 [lire en ligne (page consultée le 24 septembre 2010)].</ref>, par le ton du Français, et ses sarcasmes. »
- Comme je n'avais rien trouvé de tel dans cette ref (ni à la page 866, ni aux autres pages) je l'avais virée. Anne, 26/08, 21 h 28
- Je crains aussi une interprétation anachronique des textes originaux, idem pour l'"orgueil" de Romain (quand il vante ses mérites auprès de son patron, il faut bien qu'il justifie les avantages dont il bénéficie) ou ailleurs. A cet égard les textes historiques anciens (XIX) d'auteurs de plus pas forcément historiens sont à prendre avec précaution, même s'ils peuvent être utiles ailleurs. Proz (discuter) 30 août 2017 à 17:41 (CEST)
Mathesis universalis
la référence à la fin de la section "Viète, Romain et Al-Khuwārizmī" n'est plus accessible en ligne. Il s'agit de David Rabouin, « Le rôle de Proclus dans les débats sur la mathématique universelle à la Renaissance » in Etudes sur le Commentaire de Proclus au premier livre des Eléments d'Euclide, Presses du Septentrion, 2010, pp. 217-234. Nous avons un accès partiel ici https://books.google.fr/books?id=iPefvsCd5QcC&pg=P217, je ne trouve rien qui accrédite l'idée que "la mathesis (ou matheseos) n'est pas d'ordre analytique ou algébrique (comme chez Viète), mais « propositionnelle »", mais plutôt que c'est algébrique. Si quelqu'un a un accès complet à l'article ça pourrait aider, Jean de Parthenay : ? Proz (discuter) 30 août 2017 à 18:06 (CEST)
Problème d'Adrien Romain
1/ Si j'ai bien compris, l'équation revient à résoudre sin(45*x)=sin(a), il y a 45 solutions réelles par 2*sin(a+2kpi)/45, 23 positives en tout (et non 23+2 comme dit ensuite),le calcul en boîte déroulante qui donne deux solutions complexes est donc forcément faux, non ? De plus personne ne le vérifie du fait de la boîte déroulante. De toute façon c'est l'énoncé du premier exemple de Romain, et non du problème.
2/ Je ne comprends pas la description de la solution de Viète (qui est je crois entièrement par la trigo) : en quoi a-t-il besoin de deux solutions "triviales" (terme abusif) pour en déduire les autres ? Proz (discuter) 31 août 2017 à 11:13 (CEST)
- Si mes souvenirs sont bons, il est dit par de Thou (qui doit enjoliver) et rapporte par Ritter (qui enjolive aussi sans doute) que Viète s'appuie à une fenêtre pendant cinq minutes, le temps que le Roi fasse patienter l'ambassadeur en quelque sorte. Viète revient avec deux solutions triviales (qui sont probablement les deux plus évidentes des cordes ou des sinus des sin(a+2kpi)/45. Ce sont des solutions positives car il n'admet a priori que celles-ci. Le lendemain il fait porter les autres à l'ambassadeur. Lesquelles ? C'est un problème d'autant plus intéressant que Viète connait des 1595 une façon de multiplier les triangles et de faire opérer en quelque sorte des polynômes non pas sur des grandeurs réelles mais aussi des valeurs planes. Cette représentation des complexes par des triangles rectangles dans le plan affine (en dévectorialisant C) a été complètement ratée par les historiens des sciences me semble-t-il sauf Chasles, Ritter, et quelques russes... Viète a-t-il osé donner l'Ambassadeur les formules dites aujourd'hui "complexes" ? Je ne sais. Il a publié ses réponses à Adrien Romain mais je ne crois aps qu'elles y figurent. Il écrira plus tard que seules trois personnes savent résoudre les équations du 3e degré (Van Coelen, Viete et lui), c'est à dire dans tous les cas et de façon formelle... Amha tu as raison cependant. Les 2 font parie des 23. Peut-être peux-tu corriger en conséquence l'article ? Indiquer 2+21 et indiquer aussi que les résolutions proposées dans l'annexe sont en des termes contemporains. Pardonne-moi de ne pas me replonger plus à fond dans cette contribution. Jean [de Parthenay] 29 octobre 2017 à 11:21 (CET)
- Cela fait 7 à 8 ans que j'ai cessé de peaufiner ce sujet... Tout ce que j'espérais en réalisant ça (outre une certaine réhabilitation) c'est de fixer N/B ce qu'on sait sans qu'un étudiant en épistemo doive tout redécouvrir... Si j'ai commis qqs abus par enthousiasme, tu me pardonneras.. La sorte de malédiction qui s'est abattue sur cet héritage m'était insupportable. Tu imagines sans doute tout le travail que j'ai effectué pour Wpfr si tu as parcouru le portail et tous les articles liés à l'algèbre nouvelle. Par ailleurs, je connais le dévouement de toutes les équipes de Wp et je sais combien vous donner tous. Soyez en ici remerciés collectivement. Jean [de Parthenay] 29 octobre 2017 à 11:21 (CET)
- Si mes souvenirs sont bons, il est dit par de Thou (qui doit enjoliver) et rapporte par Ritter (qui enjolive aussi sans doute) que Viète s'appuie à une fenêtre pendant cinq minutes, le temps que le Roi fasse patienter l'ambassadeur en quelque sorte. Viète revient avec deux solutions triviales (qui sont probablement les deux plus évidentes des cordes ou des sinus des sin(a+2kpi)/45. Ce sont des solutions positives car il n'admet a priori que celles-ci. Le lendemain il fait porter les autres à l'ambassadeur. Lesquelles ? C'est un problème d'autant plus intéressant que Viète connait des 1595 une façon de multiplier les triangles et de faire opérer en quelque sorte des polynômes non pas sur des grandeurs réelles mais aussi des valeurs planes. Cette représentation des complexes par des triangles rectangles dans le plan affine (en dévectorialisant C) a été complètement ratée par les historiens des sciences me semble-t-il sauf Chasles, Ritter, et quelques russes... Viète a-t-il osé donner l'Ambassadeur les formules dites aujourd'hui "complexes" ? Je ne sais. Il a publié ses réponses à Adrien Romain mais je ne crois aps qu'elles y figurent. Il écrira plus tard que seules trois personnes savent résoudre les équations du 3e degré (Van Coelen, Viete et lui), c'est à dire dans tous les cas et de façon formelle... Amha tu as raison cependant. Les 2 font parie des 23. Peut-être peux-tu corriger en conséquence l'article ? Indiquer 2+21 et indiquer aussi que les résolutions proposées dans l'annexe sont en des termes contemporains. Pardonne-moi de ne pas me replonger plus à fond dans cette contribution. Jean [de Parthenay] 29 octobre 2017 à 11:21 (CET)
J'avais déjà corrigé en septembre (j'aurais dû le signaler ici) : il n'y a bien que des solutions réelles et j'ai retiré le calcul (qui était faux à plusieurs titres) et vient très certainement de nl:Adriaan_van_Roomen, avant que tu interviennes sur l'article (il faudrait leur signaler que ça ne va pas). Le livre de Tignol que j'ai ajouté en référence (dont j'ai découvert après avoir laissé le premier message de cette section qu'il traite le problème d'A. R.) décrit la solution (publiée) de Viète, qui est au final approchée, il décompose d'abord l'équation polynomiale en 2 équations de degré 3 et une de degré 5, et signale les solutions négatives (je n'ai pas vu d'annexe), tout ça est intéressant, polynômes trigonométriques, prémisses du th. fondamental de l'algèbre, de composées d'extensions algébriques. Sinon j'imagine bien le travail, et apprécie l'enthousiasme et l'énorme progrès que cela a été. Qu'il y ait à corriger, conséquence je crois d'une somme de travail réalisée sur un intervalle de temps pas si long, de sources qui n'étaient pas accessibles, voire ont été écrites depuis (et on peut ajouter qu'il n'y a eu guère d'effort de relecture pour le label mais c'est habituel), pas de doute non plus, et parfois je pose des questions en pdd quand ça n'est pas évident de comprendre ce qui fonde ou devrait fonder le texte, et pour laisser une trace pour plus tard. J'ai laissé d'ailleurs un peu à faire sur cet article, mais pas trop de temps en ce moment. Proz (discuter) 2 novembre 2017 à 00:40 (CET)
Quadrature
L'interprétation de la lettre au prince-évêque de Würzburg de 1594 (et non une dédicace adressée à l'empereur comme il était dit) ne me paraissait pas correcte. Je ne pense pas que quadrature signifie alors forcément à la règle et au compas comme le prétendait la note 3 (sans source), mais que ce peut être simplement le calcul de l'aire. De plus, bien que non latiniste, j'ai des doutes sur l'exactitude de la traduction de Ruland (qui n'est pas mathématicien), car la lettre au prince-évêque de 1594 ne paraît pas parler de démonstration de la quadrature : « in quo imprimis circuli hactenus desideratam atque a tot viris praestantissimis desideratam doceo quadraturum », cf. Bockstaele http://webdoc.ubn.ru.nl/tijd/l/lias/vol.3_1976.html p. 112. Il n'est pas question non plus d'orgueil (il se vend, Roomen est un protégé du prince-évêque dont il dépend pour sa situation, le financement de ses publications comme le dit Bockstaele, c'est le système du "patronage" courant à l'époque). J'ai repris plus prudemment à partir de la note de Bockstaele (n'interprétons pas nous mêmes les sources primaires, encore moins via des traductions). Proz (discuter) 13 mars 2018 à 20:10 (CET)