Reconquête | |
Logotype officiel. | |
Présentation | |
---|---|
Président | Éric Zemmour |
Fondation | (Les Amis d'Éric Zemmour) (Reconquête) |
Scission dans | Identité-Libertés (2024) |
Siège | 10, rue Jean-Goujon 75008 Paris |
Mouvement de jeunesse | Génération Z |
Positionnement | Extrême droite[1],[2],[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9] |
Idéologie | Nationalisme[10] Identitarisme[11],[12] National-conservatisme[13] Populisme de droite[14],[15] Opposition à l'immigration[16],[17],[18] Opposition à l'islam[19],[20],[21] Souverainisme[22] Euroscepticisme modéré[23] Assimilationnisme[24] Élitisme[25],[26] |
Adhérents | 101 129 [27],[28] |
Couleurs | Bleu, blanc et rouge |
Site web | parti-reconquete.fr |
Présidents de groupe | |
Parlement européen | Stanisław Tyszka et René Aust (ENS)[29] |
Représentation | |
Députés européens | 1 / 81 |
Conseillers régionaux | 15 / 1758 |
Conseillers départementaux | 7 / 4058 |
modifier |
Reconquête[a] (R! ou REC[30]) est un parti politique français d'extrême droite. Fondé en dans la perspective de soutenir la candidature d'Éric Zemmour à l'élection présidentielle de 2022, il prend son nom actuel en de la même année, en même temps que ce dernier officialise sa candidature et prend la présidence de la formation.
Le parti bénéficie ensuite de ralliements d'élus d'extrême droite — notamment en provenance du Rassemblement national et de la mouvance identitaire — et, dans une moindre mesure, d'élus de droite, notamment des Républicains, du Centre national des indépendants et paysans, de Via, la voie du peuple et du Mouvement conservateur.
Historique
Lancement
L'association « Les Amis d'Éric Zemmour » est lancée en pour appuyer une éventuelle candidature de l'écrivain, journaliste et polémiste à l'élection présidentielle de 2022, tandis que le collectif « Génération Z » rassemble ses jeunes partisans[31]. L'« association de financement du parti “Les amis d'Éric Zemmour” » est agréée le suivant par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques[32],[33] et lance immédiatement une chasse aux financements méthodique, qui réunit près de 200 000 € dès la fin juillet, alors que le candidat laisse officiellement toujours planer le doute sur sa candidature[34].
Issu des Amis d'Éric Zemmour[35],[36], le parti Reconquête est annoncé le lors d'une réunion publique du candidat Zemmour à Villepinte, en Seine-Saint-Denis[37]. Ce nom peut faire référence à la Reconquista de la péninsule Ibérique par des royaumes chrétiens contre les États musulmans du VIIIe au XVe siècle, un nom qui ne serait pas choisi par « hasard » selon Mehdi Ghouirgate, spécialiste des études orientales et Libération[38],[39],[40]. Selon L'Opinion, « Cela fait quelques années que Sarah Knafo, sa très proche conseillère, l'avait en tête. À l'origine, ce devait être le nom de la Convention de la droite, le grand raout d'Éric Zemmour et Marion Maréchal, qui avait eu lieu en septembre 2019. »[41].
D'abord établi dans la Somme, le siège du parti est transféré à Paris, dans les locaux[b] abritant déjà le quartier général de campagne du candidat, au 10 rue Jean-Goujon, dans le 8e arrondissement[42],[43].
Campagne présidentielle de 2022
À partir de l'officialisation de sa candidature à la présidence de la République française le , Éric Zemmour essaye de rassembler de nombreuses personnalités politiques pour l'accompagner dans sa campagne électorale[44]. En , certaines personnalités issues de la droite conservatrice décident de soutenir sa candidature à la présidentielle, notamment Christine Boutin, Jean-Frédéric Poisson, Philippe de Villiers et Patrick Buisson[45]. Le , Guillaume Peltier, ancien vice-président des Républicains, annonce quitter ce parti pour rejoindre Reconquête, où il est immédiatement nommé vice-président et porte-parole[46]. Le , l'eurodéputé RN et ancien député UMP Jérôme Rivière, président de la délégation RN au Parlement européen, rallie la candidature d'Éric Zemmour[47]. Le , Gilbert Collard annonce aussi rejoindre le parti, dont il est nommé président d'honneur[48],[49]. Il est suivi le par Maxette Pirbakas[50], le 13 février par le sénateur Stéphane Ravier[51] et le 16 février par le député européen Nicolas Bay[52]. Marion Maréchal (petite-fille de Jean-Marie Le Pen et ancienne députée) rallie officiellement la candidature d'Eric Zemmour le 6 mars[53].
Eric Zemmour termine l'élection présidentielle avec un résultat de 7,07 % des voix lui permettant de passer la barre des 5 % et d'avoir le remboursement de sa campagne électorale à hauteur de 8 004 225 euros[54].
Élections législatives de 2022
Le , au soir du premier tour des élections législatives de 2022, aucun candidat de Reconquête ou de ses alliés (regroupés sous une même nuance politique ayant obtenu 4,24 % des voix à l'échelle nationale) ne parvient à se qualifier pour le second tour du scrutin. Son président Éric Zemmour est battu dans la quatrième circonscription du Var, essuyant un second revers électoral après une défaite à l'élection présidentielle d'avril 2022[55],[56].
Après ces élections, certaines personnalités du parti, comme Jacline Mouraud, Nicolas Bay ou encore Gilbert Collard[57], pensent à quitter ce dernier et/ou critiquent une autocratie interne dirigée par Éric Zemmour et Sarah Knafo. Après ses échecs électoraux qui l'empêchent d'améliorer ses finances[58], le parti est l'objet de fortes dissensions en interne et perd des adhérents et des soutiens[59]. Des dizaines de jeunes militants postulent auprès des députés nouvellement élus du Rassemblement national pour devenir leurs collaborateurs[60].
Élections européennes de 2024
Lors des élections européennes de 2024, Marion Maréchal est désignée tête de liste de la campagne de Reconquête. Elle tient son premier meeting de campagne à Paris le 10 mars 2024. Tandis que le parti doit faire face à la concurrence du Rassemblement national (RN), Maréchal tente de trouver un terrain d'entente avec le RN pour travailler ensemble au Parlement européen[61],[62],[63]. Cette campagne fait survenir des tensions entre Marion Maréchal et Éric Zemmour en raison de désaccords sur la stratégie électorale à adopter face au faible taux d'intentions de vote projetés par les sondages pour Reconquête[64],[65].
La liste obtient 5,47% des voix et donc 5 élus au Parlement européen[66], à savoir : Marion Maréchal, Sarah Knafo, Guillaume Peltier, Nicolas Bay et Laurence Trochu [67].
Le 10 juillet 2024, Sarah Knafo rejoint le groupe européen d'extrême droite L'Europe des nations souveraines (ENS), co-présidé par René Aust et Stanisław Tyszka et en devient une des vice-présidentes. Les quatre autres eurodéputés, exclus de Reconquête en juin 2024, siègent dans le groupe des Conservateurs et réformistes européens[29],[68].
Élections législatives de 2024
Trois jours après les européennes de 2024 et en préparation des élections législatives de 2024, les trois vice-présidents du parti (Marion Maréchal, Guillaume Peltier, Nicolas Bay), ainsi que Laurence Trochu, représentant quatre des cinq nouveaux eurodéputés du parti, appellent à « soutenir, partout en France, les candidats uniques de la coalition des droites », c'est-à-dire l’alliance électorale entre le Rassemblement national et Éric Ciotti, malgré l'absence d'accord de partis, et en opposition à la ligne portée par Éric Zemmour[69],[70]. Éric Zemmour évoque de leur part une trahison[71] et annonce leur exclusion[72]. L'unique sénateur du parti, Stéphane Ravier et Sébastien Meurant soutiennent aussi l'alliance derrière le RN[73],[74].
Le 16 juin 2024, Éric Zemmour annonce que Reconquête présente 330 candidats (sur 577 circonscriptions) aux élections législatives de 2024. Les candidats Reconquête recueillent, au premier tour, 0,75 % des suffrages, un score nettement inférieur aux 3,61 % lors des élections légistlatives de 2022[75],[76]
Idéologie
Jean-Yves Camus, spécialiste de l'extrême droite, estime après les ralliements de Jérôme Rivière et Damien Rieu que Reconquête s'annonce comme « le véritable parti des identitaires »[11], identitarisme qui constitue d'ailleurs le marqueur essentiel de ce parti au sein de l'extrême droite[77].
Le parti recrute ses forces vives dans plusieurs nébuleuses préexistantes. La première est celle « de vieilles figures de l’extrême droite française », identitaire et xénophobe, comme le polémiste identitaire Jean Messiha (« collègue » d'Éric Zemmour sur CNews). Il s'y ajoute ensuite « des figures de la Manif pour tous », plus proche de l'intégrisme catholique, mais aussi d'anciens soutiens de François Fillon. Enfin, le camp royaliste est également sollicité, et la campagne achète l'accès au lectorat de Politique Magazine, la revue de l'Action française, mouvement nationaliste et royaliste[34]. Enfin, Éric Zemmour est aussi allé chercher des figures des « Gilets jaunes », en rémunérant Jacline Mouraud et Benjamin Cauchy pour leur participation aux meetings[34].
Stratégie
La stratégie revendiquée de Reconquête est l'« union des droites » et le ralliement de personnalités de tous les partis de droite et d'extrême droite, de Jean-Paul Bolufer, ancien conseiller de Jacques Chirac, à Damien Rieu, cofondateur et porte-parole de Génération identitaire[77],[78]. Reconquête mènerait une stratégie de « siphonnage » de ses adversaires que le président par intérim du Rassemblement national, Jordan Bardella, considère en comme une « guerre psychologique », accusant le parti d'Éric Zemmour de recruter avec des « méthodes déloyales » en promettant « de l'argent » et des investitures[79],[80].
La candidate des Républicains Valérie Pécresse considère que Zemmour n'est pas le candidat de l'« union des droites » mais celui de la « fusion des extrême-droites », ciblant les soutiens de Marc de Cacqueray-Valmenier, Philippe Schleiter, Jean-Yves Le Gallou, Thomas Joly, président du Parti de la France, ou encore Hervé Ryssen[81].
Financement
L'équipe d'Éric Zemmour avance être financée principalement par les adhésions à Reconquête, avec une moyenne de « 700 à 800 adhésions par jour » en et un total de 80 000 adhérents au parti au début de l'année 2022. La cotisation d'adhésion classique étant de 30 euros, la somme collectée à ce titre s'élèverait à au moins 2,4 millions d'euros en [33].
Le collectif « Les Amis d'Éric Zemmour » — dont l'association de financement a obtenu l’agrément d’association de financement politique le [82], et qui est devenu Reconquête en suivant —, indique avoir recueilli six millions d'euros de 25 000 donateurs[83],[33]. Dès , soit plusieurs mois avant la déclaration de candidature, ce collectif avait commencé à lever des fonds, avec notamment des dîners discrètement organisés à partir de à Paris et à l'étranger[33],[84]. Le collecteur est Julien Madar, employé dans l'immobilier de luxe (et ex-bénévole de la campagne d'Emmanuel Macron en 2017), assisté d'une dizaine d'autres personnalités de la finance ou des médias, comme Paul-Marie Coûteaux[34],[85]. Le millionnaire d'extrême droite Charles Gave apporte également un soutien financier, avant de le lui retirer en [86],[87]. Le même mois, la collecte de cotisations et la coordination des financements, jusque là effectuée selon La Lettre A « par une nébuleuse d'activistes », est confiée à un préfet ayant rejoint les rangs du parti[88].
D'après une enquête de Mediapart (fondée en partie sur la liste des 1 000 « invités VIP » à la réunion publique de Villepinte), les grands donateurs (ceux ayant donné entre 1 000 et 7 500 euros) sont « issus des milieux financiers et d’affaires », « cadres dans des banques, fonds d’investissement, hedge funds », « cadres évoluant dans des cabinets de conseil, des groupes industriels ou dans le secteur immobilier » (notamment des cadres dirigeants de Vinci et Chanel) et « avocats d’affaires ou fiscalistes, en poste dans de grands cabinets français ou internationaux ». S'y trouverait notamment Chantal Bolloré, sœur du milliardaire Vincent Bolloré et « éminence grise » d'Éric Zemmour. Parmi les autres personnalités identifiées figurent Sonia et Alexandre Poussin, l'ancien chanteur Pierre Beraud-Sudreau ou encore Xavier Caïtucoli. Si certains sont des soutiens de l'extrême droite de longue date, une part importante est constituée d'anciens fillonnistes[33]. Le Monde y relève paradoxalement « un profil similaire à ceux séduits par Emmanuel Macron lors de sa première campagne », peut-être du fait du recrutement de Julien Madar, et donc de son réseau[34].
Identité visuelle
Deux logos sont utilisés ; cependant l'un des deux est plus distinctif par un grand « R » bleu suivi d'un point d'exclamation rouge. Celui-ci est contesté par Jean Lassalle en pour qui le logo de son propre parti, Résistons, a été plagié ; le , il adresse en conséquence une lettre à Zemmour lui demandant de les changer sous peine d'action judiciaire[89],[90].
-
Logotype principal.
-
Alternative visuelle.
Organisation
Organigramme et encadrement
De 2021 à 2022
La composition de l'équipe dirigeant le parti est la suivante :
- président : Éric Zemmour[35] ;
- président d'honneur : Gilbert Collard[49] ;
- vice-présidents exécutifs : Marion Maréchal[91], Nicolas Bay et Guillaume Peltier ;
- porte-paroles : Jérôme Rivière, Jean-Frédéric Poisson, Laurence Trochu, Agnès Marion, Sébastien Pilard, Vijay Monany, Denis Cieslik, Stanislas Rigault ;
- responsable des fédérations : Thibaut Monnier (fondateur de l'ISSEP avec Marion Maréchal)[92] puis Nicolas Bay.
Parmi l'équipe de campagne présidentielle pour 2022 figure Sarah Knafo, qui occupe la fonction de directrice stratégique de la campagne et exerce nombre de postes-clés de l'équipe de campagne (plume, conseillère spéciale, directrice de la communication)[93],[94]. Le général Bertrand de La Chesnais est directeur de campagne, tandis que le haut fonctionnaire Jean-Paul Bolufer est chef de cabinet au sein de l'équipe[95],[96]. Éric Zemmour se dote également d'une « équipe numérique », supervisée par Samuel Lafont et active sur Internet, notamment ses réseaux sociaux[97]. Le mouvement de jeunesse du parti est Génération Z, dont le président est Stanislas Rigault, un jeune Vendéen partisan de l'« union des droites »[98]. Parmi les cadres du comité politique de Reconquête figure notamment Jean-Yves Le Gallou, ancien membre du GRECE, théoricien de la préférence nationale et ex-député européen FN avant son adhésion au MNR de Bruno Mégret[99],[100].
Parmi les conseillers d'Éric Zemmour en matière de politique étrangère, on trouve notamment Caroline Galactéros (dirigeante d'un cabinet de conseil en « intelligence stratégique » et qualifiée par Le Canard Enchaîné de « poutinophile impénitente », ancienne invitée récurrente de la chaine d'extrême droite TV Libertés), Loïk Le Floch-Prigent (ancien grand patron d'entreprises pétrolières condamné dans l'Affaire Elf), l'avocat Olivier Pardo (proche du dictateur africain Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, et qui a défendu au cours de sa carrière Éric Zemmour, Bernard Tapie et Ziad Takieddine), le consultant Olivier Ubéda (conseiller en communication et directeur des événements du parti), l'homme d'affaires Jean-Michel Lavoizard (proche de Robert Ménard), ou encore l'historien africaniste et militant royaliste Bernard Lugan, controversé pour sa défense de l'apartheid, du régime de Vichy, et la négation du massacre du 17 octobre 1961[101],[102].
La sécurité personnelle du candidat est en partie assurée par d'anciens membres du service d'ordre du Front national de Jean-Marie Le Pen, écartés du parti depuis 2015 à la suite d'actes de violence, certains étant par ailleurs membres de gangs néo-nazis comme le White Wolf Klan, qui a fait l'objet d'une dissolution administrative[103]puis par la société Ultreia sécurité & protection.
Jean Messiha et Antoine Diers, deux des figures les plus médiatiques de Reconquête, quittent le parti après l'élection présidentielle, Jean Messiha indiquant vouloir « reprendre [son] activité médiatique, intellectuelle ». Gilbert Collard, Jérôme Rivière, Benjamin Cauchy et Jacline Mouraud prennent également leurs distances par la suite, mettant en cause le fonctionnement de Reconquête[104],[105].
De 2022 à 2024
Les statuts du parti sont modifiés lors de l'université d'été de par un vote de 32 000 adhérents. Le comité politique est supprimé, la direction du parti est désormais assurée par un bureau exécutif. Celui-ci, piloté par Éric Zemmour, est composé d'un président, de trois vice-présidents élus par le Congrès sur proposition du président et d'un à trois membres nommés par le président[106]. L'organigramme élu à cette occasion est le suivant[106],[107] :
- Président : Éric Zemmour
- Vice-présidents : Marion Maréchal, Nicolas Bay et Guillaume Peltier (jusqu'au 12 juin 2024)
- Autres membres du bureau exécutif : Stanislas Rigault et Sarah Knafo
Partis politiques associés
- Via, la voie du peuple, présidé par Jean-Frédéric Poisson[108] (jusqu'en 2024)
- Mouvement conservateur, présidé par Laurence Trochu[109] (jusqu'au 12 juin 2024)
- Centre national des indépendants et paysans, présidé par Bruno North[110]
- Mouvement national républicain, présidé par Bruno Mégret[111]
- Parti de la France, présidé par Thomas Joly[112]
Adhérents
Le , quatre jours après le lancement de Reconquête lors de la réunion publique de Villepinte, le parti revendique 40 000 adhérents[113]. Le tarif standard d'adhésion est fixé à 30 euros[114].
Reconquête revendique par constat d'huissier un peu plus de 85 000 membres en janvier 2022[115],[116].
Le , le parti annonce atteindre le palier des 100 000 adhérents[28].
Samuel Lafont, ancien de la campagne de François Fillon et de l'association « Contribuables associés », a importé au parti une méthode particulière, consistant à lancer des sites et des pétitions en fonction de l'actualité, et pas toujours officiellement raccordées à la campagne, afin de récupérer des coordonnées de sympathisants. Selon Le Monde, « pas moins de trente-six créations en ont émané, des plus classiques (de la campagne « Les maires avec Zemmour » au site Le Programme d’Eric Zemmour) aux plus baroques (« Pétition : suppression du permis à points », « Twitter : stop censure », « Soutien à l’agriculteur cambriolé », par exemple)… Autant de moyens pour l’équipe d’Eric Zemmour d’enrichir ses bases de données »[34]. Le parti achète également des listes et bases de données à d'autres prestataires, notamment la liste du lectorat de Valeurs actuelles et de Mieux vivre votre argent, au travers d'une société prestataire, Ad Litteram, dirigée par une figure de l'extrême droite, Tristan Mordrelle[34].
Mouvement de jeunesse
Génération Z (ou Génération Zemmour) est le mouvement de jeunesse du parti. Il est lancé en février 2021, soit avant l'annonce de la candidature d'Éric Zemmour. Son représentant est Stanislas Rigault[117].
Ralliements d'élus
Le parti ayant été fondé à la fin de l'année 2021, aucun des élus élu avant cette date n'a en conséquence été élu sous l'étiquette Reconquête.
Parlementaires
Députés de la XVe législature
- Myriane Houplain, députée de la 10e circonscription du Pas-de-Calais (ex-RN)
- Guillaume Peltier, député de la 2e circonscription de Loir-et-Cher (ex-LR)[118]
- Joachim Son-Forget, député de la 6e circonscription des Français établis hors de France (ex-LREM jusqu'en 2018)[119] a soutenu Éric Zemmour pendant la campagne de l'élection présidentielle de 2022[120]. Il prend néanmoins ses distances avec le parti en appelant à voter pour Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle et en se représentant dans sa circonscription face au candidat investi par Reconquête aux élections législatives de 2022[121].
À la suite des élections législatives de juin 2022, le parti ne compte plus aucun député.
Sénateurs
- Stéphane Ravier, sénateur des Bouches-du-Rhône et conseiller municipal du 7e secteur de Marseille (ex-RN)[122]. En septembre 2024, il quitte Reconquête et milite pour une union des droites afin de conquérir la mairie de Marseille [123].
- Sébastien Meurant, sénateur et conseiller départemental du Val-d'Oise (ex-LR)[124] ; il n'est pas réélu lors des élections sénatoriales de 2023
Députés européens
- Sarah Knafo (depuis juin 2024)
- Nicolas Bay (ex-RN)[125] (jusqu'en juin 2024)
- Gilbert Collard (ex-RN) (quitte le parti en 2022)[126],[127]
- Maxette Pirbakas (ex-RN) (quitte le parti en juillet 2022)[128],[129]
- Jérôme Rivière (ex-RN) (quitte le parti en mars 2023)[130],[131]
Élus locaux
- Nicolas Bay, conseiller régional de Normandie (ex-RN). Il est exclu de Reconquête en juin 2024 par Éric Zemmour[72].
- Claire-Emmanuelle Gauer, conseillère régionale de Normandie (ex-RN)[132]
- Ève Froger, conseillère régionale de Normandie (ex-RN)[132]
- Alexandra Piel, conseillère régionale de Normandie (ex-RN)[132]
- Stéphane Blanchon, conseiller régional d'Auvergne-Rhône-Alpes (ex-RN)[133]
- Catherine Bolze, conseillère régionale d'Auvergne-Rhône-Alpes (ex-LR)[134]
- Christophe Boudot, conseiller régional d'Auvergne-Rhône-Alpes (ex-RN)[135]
- Laure Chevalier, conseillère régionale de Provence-Alpes-Côte d’Azur et conseillère municipale de Gignac-la-Nerthe (ex-RN)[136]
- Nathalie Chevillard, conseillère régionale de Provence-Alpes-Côte d’Azur et conseillère municipale d'Aix-en-Provence (ex-RN)[136]
- Sandrine D'Angio, conseillère régionale de Provence-Alpes-Côte d’Azur et conseillère municipale de Marseille (ex-RN)[136]
- Cyril Hemardinquer, conseiller régional de Centre Val de Loire et conseiller municipal de Maintenon (ex-RN)[137]
- Vincent Lecaillon, conseiller régional d'Auvergne-Rhône-Alpes et conseiller municipal de Saint-Jorioz (ex-RN)[138]
- Franck Manogil, conseiller régional d’Occitanie (ex-RN)[139]
- Jean-Guillaume Remise, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur et conseiller municipal de Tarascon (ex-RN)[140]
- Éléonore Revel, conseillère régionale des Pays de la Loire (ex-RN)[141]
- Isabelle Surply, conseillère régionale d'Auvergne-Rhône-Alpes (ex-RN) et conseillère municipale de Saint-Chamond[142]
- Catherine Chambard, conseillère départementale du Jura et adjointe au maire de Saint-Claude[143]
- Cédric Dudieuzere, conseiller départemental des Bouches-du-Rhône et conseiller municipal de Marseille (ex-RN)[136]
- Sandrine D'Angio, conseillère départementale des Bouches-du-Rhône et conseillère municipale de Marseille (ex-RN)[136]
- Gérard Dézempte, conseiller départemental de l’Isère, maire de Charvieu-Chavagneux et président de la communauté de communes LYSED (ex-LR)[144]
- Sébastien Meurant, conseiller départemental du Val-d'Oise (ex-LR)
- Jean-Louis Millet, conseiller départemental du Jura et maire de Saint-Claude[143]
- Vijay Monany, conseiller départemental de la Seine-Saint-Denis (ex-LR)[145]
- Guillaume Peltier, conseiller départemental de Loir-et-Cher (ex-LR)[146]. Il est exclu de Reconquête en juin 2024 par Éric Zemmour[72].
- Brieuc Frogier, membre du Congrès de la Nouvelle-Calédonie et membre de l'Assemblée de la province Sud (ex-Rass.-LR)[147]
- Christophe Girard, conseiller métropolitain de Lyon et conseiller municipal de Vénissieux (ex-LR)[148]
Résultats électoraux
Élection présidentielle
Année | Candidat | 1er tour | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | ||
2022 | Éric Zemmour | 2 485 226 | 7,07 | 4e |
Élections législatives
Année | 1er tour | Sièges | Gouvernement | |
---|---|---|---|---|
Voix | % | |||
2022a | 821 546 | 3,61 | 0 / 577 |
Extra-parlementaire |
2024 | 239 985 | 0,75 | 0 / 577 |
Extra-parlementaire |
a Au sein d'une alliance avec Via, le Mouvement conservateur et le Centre national des indépendants et paysans
Élections européennes
Année | Voix | % | Sièges | Tête de liste | Groupe |
---|---|---|---|---|---|
2024 | 1 353 127[149] | 5,47 | 5 / 81 |
Marion Maréchal | ENS |
Condamnations du parti ou de ses membres
Condamnations d'Éric Zemmour, d'élus et de candidats
Éric Zemmour, président du parti et candidat à l'élection présidentielle de 2022 a connu plusieurs condamnations pour provocations à la haine raciale et injures racistes[150],[151],[152],[153], provocation à la discrimination et haine religieuse envers la communauté musulmane[154], pour injure homophobe[155], complicité de diffamation[156] et contrefaçon du droit d'auteur et atteinte au droit moral[157].
Le , Jérémie Piano, candidat dans la 11e circonscription des Bouches-du-Rhône est condamné en appel pour provocation à la haine[158]. La cour d'appel d'Aix-en-Provence a condamné le candidat à 1000 euros d'amende avec sursis et à verser un euro symbolique aux parties civiles dont SOS Racisme et la Ligue des droits de l'Homme[159]. Le candidat du parti, ancien cadre de l'ex-groupe d'extrême droite Génération identitaire, avait déjà été condamné pour appel à la haine par le tribunal correctionnel de Saint-Gaudens après avoir diffusé une vidéo sur Youtube en [159].
Le , Stéphane Ravier a été condamné à une amende de 3 000 euros par le tribunal correctionnel de Marseille pour diffamation à l'encontre de l'ONG SOS Méditerranée. Le sénateur qui avait accusé l'ONG en « d'être complice du trafic d'êtres humains » doit également lui verser la somme symbolique d'un euro au titre du préjudice moral et de 3 000 euros pour frais de procédure. L'élu annonce vouloir faire appel[160],[161].
Condamnation pour contrefaçon de droits d'auteur et atteinte au droit moral
Le , le parti Reconquête, son président et François Miramont, alors responsable de l'association Les Amis de Zemmour, sont condamnés par le tribunal judiciaire de Paris à verser 165 000 euros aux plaignants, parmi lesquels les sociétés Gaumont et EuropaCorp, les réalisateurs Luc Besson et François Ozon, la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD) ou encore les ayants droit du réalisateur Henri Verneuil et de l'écrivain Jacques Prévert, qui l'avaient attaqué pour l'usage non autorisé d'extraits de leurs films dans son clip d'annonce de candidature. Le tribunal a jugé que le droit de courte citation ne s'appliquait pas dans ce cas, car les extraits de films étaient utilisés pour illustrer le clip et non pour « un but exclusif d'information immédiate en relation directe avec les œuvres dont ils sont issus »[162],[163].
Collecte de données personnelles
Le , le parti est condamné par la CNIL à une amende de 20 000 euros pour avoir récolté des adresses e-mails en manquant de transparence sur leur utilisation via un réseau de sites web en 2021 et 2022[164].
Polémiques
De nombreux hashtags en faveur d'Éric Zemmour deviennent des top tendances sur Twitter au cours de la campagne présidentielle de 2022. Ces tendances sont promues par des personnes ayant plusieurs comptes et ayant des comptes automatiques, écrivant des tweets simultanément ou retweetant des centaines de fois des messages en quelques dizaines de minutes[165],[166]. Ces pratiques d'astroturfing sur plusieurs mois sont contraires aux règles fixées par le réseau social qui interdit l'amplification artificielle d'informations et les actions coordonnées de plusieurs comptes redondants par un même utilisateur[167],[165]. Cette campagne permet notamment au candidat, en dirigeant ses sympathisants vers certaines pétitions, d'avoir leurs coordonnées pour les inviter à adhérer à son parti ou pour des dons[165].
Wikipédia
Le journaliste Vincent Bresson, infiltré pendant quatre mois dans la campagne d'Éric Zemmour, dévoile la coordination de militants pour promouvoir et favoriser Zemmour sur l'encyclopédie en ligne Wikipédia en opposition avec les règles du projet. Organisés au sein d'une cellule « WikiZedia » créée par Samuel Lafont, chef de la stratégie numérique, ils utilisent les messageries Telegram et Discord. La cellule comprend sept membres, dont Gabriel, un des plus gros contributeurs de Wikipédia (sur laquelle il intervient sous le pseudonyme de Cheep), ce qui provoque un scandale dans la communauté. Les pages ciblées sont relatives à Zemmour, sa campagne ou ses thèmes de prédilection et les actions de la cellule comprennent par exemple la tentative de remplacer le positionnement à l'extrême droite de Zemmour par « droite hors des murs », la suppression de la mention des polémiques sur l'homophobie ou la relativisation du rôle de Pétain et Laval dans la Shoah[168],[169],[170].
En décembre, le parti lance des campagnes de publicité sponsorisées sur Facebook pour augmenter son nombre d'adhérents, mais elles sont rapidement retirées par la plateforme, qui juge le procédé interdit[171],[172],[173].
Vincent Bresson révèle dans son enquête que l'équipe de compagne spamme des groupes Facebook apolitiques, le directeur de la stratégie numérique du candidat, Samuel Lafont « prophétisait que Facebook serait l'un des cœurs de la bataille finale. ». Bresson a reçu un SMS lui détaillant la stratégie : « Il s'agit d’investir le plus de groupes Facebook possible sur tous les thèmes et de publier sur ces groupes, commenter les publications avec du contenu sur Zemmour ». Il s'est retrouvé avec une liste de groupes à spammer : « La France insoumise » ; « Contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes » ou encore « Mylène Farmer : le mythe français »[174].
Propos racistes au sein du parti
Le journaliste Vincent Bresson relève, outre les propos racistes de plusieurs militants, le ceux de deux proches du candidat : la secrétaire personnelle Sophie Clavel et l'ex-préfet Gilbert Payet (mandataire financier de sa campagne) désignaient par le nom de « Mamadou » les employés noirs qui plaçaient les voitures sur le parking VIP d'une réunion publique à Villepinte[175].
Violence lors d'une réunion publique
Lors de la première réunion publique d'Éric Zemmour organisée à Villepinte en Seine-Saint-Denis le , des militants de SOS Racisme venus protester contre les propos considérés comme racistes du candidat sont agressés physiquement par des personnes qui assistaient à la réunion publique[176]. Ils seraient alors insultés et victimes de jets de chaises et de coups de poing. Le président de l'association Dominique Sopo l'assure : « l’action était tout à fait non violente »[177] ainsi que « Des chaises ont été lancées sur eux, certains se sont fait frapper alors qu’ils étaient à terre, d’autres ont fini avec le visage en sang… C’était ultraviolent. Tout ça pendant qu’Éric Zemmour était en train d’expliquer qu’il n’était ni raciste ni sexiste ».
Le porte-parole du parti affirme de son côté : « Éric Zemmour a été agressé par quelqu’un qui lui a sauté dessus. Cette personne, connue des services de police, a été remise aux fonctionnaires. » puis « appelle les militants à rester calmes ».
Une enquête est ouverte sur « les faits de violences commis à l’intérieur du meeting » selon une déclaration du parquet de Bobigny à l'AFP[178].
Polémiques internes
Selon une enquête de Mediapart datant de mars 2022, des militants de Reconquête se plaignent de dérives autoritaires et radicales au sein du parti. Plusieurs militants s'étant entretenus avec Mediapart font état de procédures d'exclusion menées sans preuves contre des militants s'étant plaint de la présence d'éléments radicaux au sein du parti. Un militant ayant été exclu du parti suivant des accusations de vol d'affiches, qu'il dément, et de déguisement lors de collages dénonce « un parti qui privilégie les enfants de la bourgeoisie »[179]. Le même mois, Francine et Didier Floch, deux militants ayant par le passé travaillé dans la pornographie, se plaignent d'un « tribunal de l'Inquisition » en réaction à la démission du bureau ardéchois de Reconquête suivant le refus du couple de fermer deux blogs évoquant leur carrière pornographique[180].
Affichage sauvage
Le 20 février 2022, le Conseil départemental de l'Orne dépose plainte en accord avec le préfet du département contre Reconquête pour dégradation de biens publics à la suite d'affichages « interdits et sauvages sur les équipements du Conseil départemental à de multiples reprises » pendant la campagne présidentielle 2022[181],[182].
En , la ville de Grenoble annonce facturer les frais de nettoyage d'affichage sauvage du parti qui ont été collées sur les dispositifs d'informations de la commune et nettoyées par les services de la municipalité[183],[184].
Notes et références
Notes
- Stylisé sous la forme « Reconquête ! ».
- Décrits dans l'ouvrage Au cœur du Z de Vincent Bresson.
Références
- « Éric Zemmour et le Rassemblement national: l’extrême droite française face à la valse des traîtres », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le ).
- Karl Laske et Jacques Massey, « Les « VIP » de Zemmour : l’extrême droite et la droite dure en rang… », sur mediapart.fr, (consulté le ).
- « Qui sont les 45 candidats déclarés à la présidentielle 2022? », sur liberation.fr, (consulté le ).
- « Le parti Reconquête revendique près de 800 adhérents dans le Loiret », sur France Bleu, (consulté le ).
- « Présidentielle : Guillaume Peltier écrit aux adhérents LR pour les appeler à rejoindre Zemmour, Christian Jacob saisit la CNIL », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « Jérôme Rivière : les raisons de la défection de l’eurodéputé RN au profit d’Éric Zemmour », sur Le Monde, (consulté le ).
- « Présidentielle - Reconquête, le parti d'Éric Zemmour, lance son comité dans le Loiret », sur larep.fr, (consulté le ).
- « Reconquête, le parti d'Éric Zemmour, lance son comité dans le Loiret », sur Ouest-France, .
- « INFOGRAPHIE. Que valent les 25.000 adhérents du parti d'Éric Zemmour face aux partis traditionnels? », sur bfmtv.com (consulté le ).
- « Éric Zemmour n’est ni bonapartiste, ni gaulliste ! », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
- « Politique - Ralliements pro-Zemmour : « Il va sans doute se former avec Reconquête ! le véritable parti des identitaires » », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
- « Présidentielle : comment Eric Zemmour a épousé les thèses des identitaires (et ses membres) », sur lexpress.fr, (consulté le ).
- « National Conservatisme : l’extrême droite américaine fan d’Éric Zemmour », sur marianne.net, (consulté le ).
- « Présidentielle 2022: une insécurité culturelle et identitaire à la française? », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Le Pen / Zemmour : des rubans différents mais sous l’emballage, un même populisme conservateur pour 2022 », sur atlantico.fr, (consulté le ).
- (en) « Eric Zemmour, the anti-immigrant radical who could supplant Marine Le Pen », sur The Economist, (consulté le ).
- « Présidentielle 2022 : Eric Zemmour plaide en faveur d'une "immigration zéro" », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
- (en) « Zemmour presents anti-immigration EU vision similar to Le Pen’s », sur euractiv.com, (consulté le ).
- « Les fans de Zemmour reprennent sans filtre son discours anti-islam », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
- « La fausse main tendue par Eric Zemmour aux musulmans pour l’élection présidentielle 2022 », sur Le Monde, (consulté le ).
- « Immigration : "L'Islam n'est pas compatible avec la France", selon Zemmour », sur rtl.fr, (consulté le ).
- « Comment Zemmour veut avaler la droite souverainiste », sur bienpublic.com, (consulté le ).
- Paul Laubacher, « Le Pen et Zemmour, deux nuances d’euroscepticisme », sur lopinion.fr, .
- « L’assimilationnisme intégral d’Éric Zemmour », sur philomag.fr, (consulté le ).
- « Programme Zemmourien : l’élite libérale d’abord », sur charliehebdo.fr, (consulté le ).
- « Comment Zemmour drague les élites », sur lopinion.fr, (consulté le ).
- « Éric Zemmour: « Il faut un rassemblement de toutes les droites » », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- Yann Duvert, « Présidentielle : Eric Zemmour retrouve de l'élan », sur Les Échos, (consulté le ) : « Reconquête, son parti créé il y a à peine deux mois, continue en parallèle de faire le plein, et a franchi mardi la barre des 100.000 adhérents. ».
- Valentin Ledroit, « Les groupes du Parlement européen : l'Europe des Nations Souveraines (ENS) » , sur touteleurope.eu, (consulté le ).
- Circulaires du ministère de l'Intérieur relatives à l'attribution des nuances aux candidats aux élections législatives de 2022 :
- circulaire du , NOR INTA2212053C ;
- circulaire du , NOR INTA2214249C ;
- addendum du , NOR INTA2216639C.
- Samuel Laurent, « La campagne d’affichage en faveur d’Éric Zemmour, nouvelle pierre sur le chemin d’une candidature à la présidentielle », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- « L'association “Les amis d'Éric Zemmour” agréée par la Commission des comptes de campagne », sur Le Figaro, (consulté le ).
- Sébastien Bourdon, Ariane Lavrilleux et Marine Turchi, « Révélations sur les grands donateurs de la campagne d’Éric Zemmour », sur mediapart.fr, (consulté le ).
- Samuel Laurent, Anne Michel et Laura Motet, « Eric Zemmour : ce que révèlent les comptes de campagne du candidat surprise de la présidentielle de 2022 », sur Le Monde, .
- « Abbeville. Les amis d'Éric Zemmour attendent que leur candidat “sauve la France” », sur actu.fr (consulté le ).
- « Annonce de modification de titre de l'association Les Amis d'Éric Zemmour », sur journal-officiel.gouv.fr, (consulté le ).
- « Meeting d'Éric Zemmour : sur scène et dans la salle, la “reconquête” par la division », sur lexpress.fr, (consulté le ).
- « Présidentielle 2022 La «Reconquête» de Zemmour : l’extrême référence espagnole », sur liberation.fr, (consulté le ).
- « Présidentielle 2022 : le parti d'Éric Zemmour s'appelle “Reconquête” », sur lci.fr, (consulté le ).
- « Qu’est-ce que la Reconquista espagnole, qui a inspiré le nom du parti d’Éric Zemmour ? », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- Éric Zemmour lance sa « Reconquête », L'Opinion, 5/12/2021.
- « Les Amis d'Eric Zemmour - modification », sur journal-officiel.gouv.fr (consulté le ).
- « Pour sa campagne, Zemmour se fait offrir la moitié du loyer de son QG », sur liberation.fr, (consulté le ).
- « Éric Zemmour officialise sa candidature à l’élection présidentielle », sur lemonde.fr.
- « Présidentielle 2022 : Collard, Peltier, Villiers… qui sont les transfuges de la droite qui ont rejoint Zemmour ? », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
- « Présidentielle : Guillaume Peltier nommé vice-président du parti reconquête d'Éric Zemmour », sur bfmtv.com, (consulté le ).
- « L'eurodéputé RN Jérôme Rivière rejoint Éric Zemmour », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Politique : Gilbert Collard choisit Reconquête et Éric Zemmour », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- « Présidentielle 2022 : Gilbert Collard nommé président d'honneur du parti Reconquête d'Éric Zemmour », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
- « Présidentielles: Maxette Pirbakas rejoint Éric Zemmour », sur guadeloupe.franceantilles.fr (consulté le ).
- Jean Cittone, « Présidentielle 2022 : le sénateur ex-RN Stéphane Ravier annonce son ralliement à Éric Zemmour », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
- « Nicolas Bay : “Pourquoi j’ai décidé de m’engager aux côtés d’Éric Zemmour” », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- Nathalie MAURET, « Présidentielle 2022. Zemmour : Marion Maréchal à la rescousse », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne , consulté le ).
- « Élection présidentielle 2022 », sur resultats-elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Législatives : le candidat Reconquête Guillaume Peltier, éliminé dès le premier tour, découvre sa défaite en direct sur TF1 », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « Autour d’Eric Zemmour, la déception après la claque électorale », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Avis de tempête à Reconquête!, le parti d'Eric Zemmour », sur Le Monde, .
- « Le parti de Zemmour mise sur les législatives pour remplir ses caisses », sur StreetPress (consulté le ).
- « Avis de tempête à Reconquête !, le parti d’Eric Zemmour », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Quel avenir pour Éric Zemmour et son parti Reconquête », sur rtl.fr (consulté le ).
- « Marion Maréchal lance la campagne de Reconquête ! pour les européennes avec un premier grand meeting » , sur Le Monde, (consulté le ).
- M. Lampageu, « Élections européennes : coup d'envoi de la campagne du parti Reconquête ! » , sur France Info, (consulté le ).
- Wally Bordas, « Reconquête! en campagne contre «l’islamisation de la France et de l’Europe» » , sur Le Figaro, (consulté le ).
- Nicolas Massol, « Rififi à Reconquête : rien ne va plus entre Marion Maréchal et Eric Zemmour » , sur Libération, (consulté le ).
- Martin Lagrave, « Tensions à Reconquête! : «J'ai toujours été libre», répond Marion Maréchal à Éric Zemmour » , sur Le Figaro, (consulté le ).
- « Élections européennes 2024 : Reconquête passe le seuil des 5 % et obtient ses premiers sièges au Parlement », sur Le Parisien, (consulté le ).
- « Publication des candidatures et des résultats aux élections Européennes 2024 », sur Ministère de l'Intérieur, (consulté le ).
- « L’extrême droite allemande avec Reconquête dans un nouveau groupe au Parlement européen », sur Nouvel Obs, (consulté le ).
- « En direct, législatives 2024 – La recomposition politique à l’extrême droite s’accélère : Eric Ciotti exclu de LR pour son alliance avec le RN, Marion Maréchal refuse la stratégie d’Eric Zemmour » , sur Le Monde, (consulté le ).
- « Législatives 2024 : Marion Maréchal acte sa rupture avec Eric Zemmour », sur Les Echos, (consulté le ).
- « Législatives 2024 : Eric Zemmour annonce l'exclusion de Marion Maréchal de Reconquête », sur Europe 1, (consulté le ).
- « DIRECT. Législatives 2024 : Eric Zemmour annonce l'exclusion de Marion Maréchal, Nicolas Bay, Guillaume Peltier et Laurence Trochu de son parti, Reconquête », sur Franceinfo, (consulté le ).
- « Législatives: le sénateur Reconquête Stéphane Ravier assure "s'inscrire dans la démarche" de Marion Maréchal », sur BFMTV (consulté le ).
- Daniel Chollet, « Législatives : Sébastien Meurant en reconquête d'un siège au Parlement avec le soutien du RN... et des LR ? », sur actu.fr, (consulté le ).
- « Législatives 2024 : seulement 0,6 % des voix pour le parti Reconquête d’Éric Zemmour », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « Publication des candidatures et des résultats aux élections. Législatives 2024 », sur Ministère de l'intérieur élection, (consulté le ).
- Louis Mollier-Sabet, « Défections au RN : tectonique des plaques à l’extrême droite », sur Public Sénat, (consulté le ).
- Géraldine Woessner, « Présidentielle : le « pari américain » d’Éric Zemmour », sur Le Point, (consulté le ).
- « Présidentielle : Bardella tacle les « méthodes déloyales » d’Éric Zemmour », sur Le Point, (consulté le ).
- Clément Boutin, « Bardella accuse Zemmour et ses équipes d'avoir promis de l'"argent" pour rallier des élus du RN », sur BFM TV, (consulté le ).
- Victor Boiteau, « «Sympathies nazies»: les équipes de Pécresse dézinguent les accointances de Zemmour », sur liberation.fr, (consulté le ).
- « L'association Les amis d'Eric Zemmour agréée par la Commission des comptes de campagne », sur Challenges, (consulté le ).
- « Annonce de modification de titre de l'association Les Amis d'Eric Zemmour », sur journal-officiel.gouv.fr, (consulté le ).
- Guilhem Dorandeu et Gael Cérez, « Les « amis » de Zemmour s’occupent de financer sa candidature à la présidentielle », sur mediapart.fr, (consulté le ).
- Philippe Randé, « Révélations sur l’organisation mise en place par Eric Zemmour pour financer sa campagne », sur franceinter.fr, (consulté le ).
- Jérôme Lefilliâtre et Tristan Berteloot, « Charles Gave, le financier d’extrême droite qui roule pour Zemmour », sur liberation.fr, (consulté le ).
- Géraldine Woessner, « La comptabilité fragile de la campagne Zemmour », sur lepoint.fr, (consulté le ).
- « Eric Zemmour désigne un préfet pour remettre de l'ordre dans ses finances - 24/11/2021 », sur La Lettre A, (consulté le ).
- A.L avec AFP, « Le candidat béarnais Jean Lassalle estime que son logo de parti a été "volé" par Éric Zemmour », sur france3-regions.francetvinfo.fr (France 3 Nouvelle-Aquitaine), (consulté le ) : « Le député et candidat déclaré à la présidentielle Jean Lassalle a accusé vendredi Éric Zemmour d'avoir plagié les logos de son mouvement Résistons! et lui demande de changer ceux de Reconquête!, sous peine d'action judiciaire. ».
- Gabriel Blaise, « Éric Zemmour a-t-il « volé » le logo de Jean Lassalle ? » , sur sudouest.fr, (consulté le ).
- « Présidentielle 2022 : Marion Maréchal nommée vice-présidente de Reconquête! », sur leprogres.fr, .
- Gwendal Chabas, « Présidentielle : le Lyonnais Thibaut Monnier va diriger les fédérations du parti Reconquête d'Éric Zemmour », sur lyoncapitale.fr, (consulté le ).
- Jérémie Baruch, Maxime Vaudano, Vincent Nouvet et Anne Michel, « Derrière Éric Zemmour, les cinquante lieutenants d’une campagne d’extrême droite », lemonde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- Paul Laubacher, « Éric Zemmour candidat: ceux qui composent son équipe de campagne présidentielle » , sur lopinion.fr, (consulté le ).
- Ronan Tésorière, « Qui est Bertrand de la Chesnais, directeur de campagne d’Eric Zemmour ? » , sur Le Parisien, (consulté le ).
- Antoine Comte, « Présidentielle 2022 : conseillers, financiers, soutiens… Qui sont les membres de la galaxie Zemmour ? », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- « Réseaux sociaux, Wikipédia, pétitions… Les secrets de la campagne numérique d’Éric Zemmour », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « Dans les coulisses de "GZ", les jeunes partisans d'Éric Zemmour », sur challenges.fr, (consulté le ).
- « Derrière Eric Zemmour, les cinquante lieutenants d’une campagne d’extrême droite », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Razmig Keucheyan, « Alain de Benoist, du néofascisme à l’extrême droite « respectable » », Revue du Crieur, (lire en ligne)
- Nicolas Bernard, « 17 octobre 1961 : quand Bernard Lugan nie le massacre des Algériens », sur conspiracywatch.info, (consulté le ).
- Jérôme Canard, « Les étranges affaires des conseillers de Zemmour aux affaires étrangères », Le Canard Enchaîné, no 5284, .
- J.C., « Un brun de chemin avec Zemmour », Le Canard Enchaîné, no 5286, , p. 3.
- « La délicate reconquête d’Eric Zemmour », Le Monde.fr, (lire en ligne)
- « Jean Messiha, ex-porte-parole de la campagne de Zemmour, quitte Reconquête », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Une semaine de rentrée compliquée pour Éric Zemmour », sur 20 Minutes, (consulté le ).
- Camille Vigogne Le Coat, « Éric Zemmour : en 2023, polémiste ou politique, il faudra choisir », sur L'Express, (consulté le ).
- Arthur Berdah, « Jean-Frédéric Poisson retire sa candidature et rejoint la campagne d'Éric Zemmour », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Le Mouvement conservateur affilié à LR rejoint Éric Zemmour », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- « Le CNIP un petit parti de droite rallie Éric Zemmour », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- « Bruno Mégret apporte son soutien à Éric Zemmour », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- Pierre Plottu et Maxime Macé, « L’armée de l’ombre d’Éric Zemmour » , sur StreetPress, (consulté le ).
- Jeanne Bulant, « Éric Zemmour revendique 40 000 adhérents au sein de son parti Reconquête », sur bfmtv.com, (consulté le ).
- Louis Hausalter, « Éric Zemmour revendique 60 000 adhérents pour son parti, Édouard Philippe entretient le mystère », sur marianne.net, (consulté le ) : « Éric Zemmour a fixé le tarif standard d’adhésion à son parti à 30 euros… comme Édouard Philippe ».
- Géraldine Woessner, « Éric Zemmour et les ralliements de la dernière chance » , sur Le Point, (consulté le ).
- J.C., « Course aux parrainages : où en sont les candidats à la présidentielle ? » , sur L'Express, (consulté le ).
- « Dans les coulisses de « Génération Z », qui réunit les jeunes partisans d’Éric Zemmour », sur Le Telegramme, (consulté le ).
- Sarah Belouezzane et Ivanne Trippenbach, « Guillaume Peltier, député LR, première grosse prise de droite pour Éric Zemmour », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- Céline Clément, « Joachim Son-Forget prépare-t-il son retour « à la maison » ? », sur jhm.fr, (consulté le ).
- Louis Valleau, « Législatives : Joachim Son-Forget, l’ex-LREM devenu soutien de Zemmour, écarté au premier tour », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « Joachim Son-Forget éliminé dès le premier tour des élections législatives », sur Le HuffPost, (consulté le ).
- « Stéphane Ravier, sénateur RN, annonce son ralliement à Eric Zemmour », lemonde.fr,
- « Le sénateur Stéphane Ravier quitte Reconquête ! et appelle à une union des droites pour les municipales à Marseille », sur Le Monde, (consulté le ).
- « Présidentielle : le sénateur LR Sébastien Meurant apporte son soutien à Éric Zemmour », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Nicolas BAY | Députés » , sur Site du Parlement européen (consulté le ).
- « Poids lourd du Rassemblement national, Gilbert Collard rejoint Éric Zemmour », sur franceinter.fr, (consulté le ).
- « "Il a tout raté": Gilbert Collard veut que Marion Maréchal remplace Éric Zemmour à la tête de Reconquête », sur bfmtv.com, (consulté le ).
- « Éric Zemmour pique sa caution outre-mer au Rassemblement national », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « 9ème législature - Maxette PIRBAKAS - Députés - Parlement européen », sur europarl.europa.eu, .
- « Le patron des eurodéputés RN, Jérôme Rivière rejoint lui aussi Éric Zemmour », sur Le HuffPost, (consulté le ).
- « 9ème législature - Jérôme RIVIÈRE - Députés - Parlement européen », sur europarl.europa.eu, .
- Jean-Christophe LALAY, « Normandie. Un nouveau groupe « Reconquête » au conseil régional mené par Nicolas Bay », sur Ouest-France.fr, .
- « Auvergne-Rhône-Alpes. Le conseiller régional Stéphane Blanchon (ex-RN) rejoint Eric Zemmour », sur ledauphine.com (consulté le ).
- « Présidentielle 2022 : à Lyon, les soutiens de Zemmour organisent leur "Reconquête" », sur laprovence.com, .
- « Auvergne-Rhône-Alpes: le conseiller régional Christophe Boudot quitte le RN et parraine Eric Zemmour », sur bfmtv.com (consulté le ).
- José Darrigo, « Le Méridional - Gilbert Collard à Marseille : quatre nouveaux ralliements à Eric Zemmour », sur Le Méridional, (consulté le ).
- « Présidentielle : le patron du Rassemblement national dans le Loiret (et élu régional) rejoint Zemmour », sur francebleu.fr, .
- « Métropole de Lyon. Christophe Boudot rompt avec le RN et file chez Zemmour », sur leprogres.fr (consulté le ).
- Nicolas Boutin, « [Info VA] Occitanie : le conseiller régional RN, Franck Manogil, rejoint Éric Zemmour », sur Valeurs actuelles, .
- « Tarascon : élu RN à la Région, Remise quitte Le Pen pour Zemmour », sur laprovence.com, (consulté le ).
- « Éléonore Revel (RN) rejoint Eric Zemmour », sur Ouest-France.
- « Isabelle Surply, candidate Reconquête : l’étiquette change, le programme reste », sur leprogres.fr, (consulté le ).
- Monique Henriet, « Présidentielle 2022. A Saint-Claude Jean-Louis Millet et Catherine Chambard donnent leur parrainage à Eric Zemmour », sur actu.fr, (consulté le ).
- « Gérard Dézempte parraine la candidature d'Éric Zemmour et rejoint son mouvement », sur placegrenet.fr, (consulté le ).
- Alex, « Blanc-Mesnil : Vijay Monany prend du galon auprès d’Éric Zemmour… et du recul à la mairie », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « Présidentielle 2022: Guillaume Peltier rejoint finalement Éric Zemmour », sur Le Figaro (consulté le ).
- « Brieuc Frogier représente Zemmour en Calédonie », sur NouméaPost, (consulté le ).
- « Christophe Girard, leader de la droite vénissiane, rejoint Eric Zemmour », sur leprogres.fr, (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur et des Outre-mer, « Publication des candidatures et des résultats aux élections Européennes 2024 » , sur https://www.resultats-elections.interieur.gouv.fr (consulté le )
- « Éric Zemmour condamné pour provocation à la discrimination raciale », sur Le Point, (consulté le ).
- Victor Vasseur, « Propos sur les mineurs isolés : Éric Zemmour condamné à 10.000 euros d'amende », sur France Inter, (consulté le ).
- David Perrotin, « Éric Zemmour condamné pour injure raciste contre l’ex-animatrice Hapsatou Sy », sur Mediapart, (consulté le ).
- « Relaxé en 2021, Zemmour finalement condamné en appel pour sa diatribe anti-islam », sur Le HuffPost, (consulté le ).
- « La CEDH valide la condamnation de Zemmour pour ses propos discriminatoires en 2016 », sur Libération (consulté le ).
- « Eric Zemmour encore condamné, cette fois pour injure homophobe », sur Libération (consulté le ).
- « Eric Zemmour condamné pour complicité de diffamation à l’encontre de la députée LFI Danièle Obono », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Eric Zemmour condamné pour la quatrième fois », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Un candidat de Reconquête! condamné en appel pour "provocation à la haine" », sur Le HuffPost, (consulté le ).
- « Législatives: un candidat Reconquête! condamné en appel pour "provocation à la haine" », sur France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, (consulté le ).
- « Marseille: le sénateur Reconquête Stéphane Ravier condamné pour diffamation contre SOS Méditerranée », sur BFMTV (consulté le ).
- Ouest-France, « Le sénateur d’extrême droite Stéphane Ravier condamné pour diffamation envers SOS Méditerranée », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
- « Eric Zemmour condamné pour "contrefaçon de droits d'auteur" dans son clip d'annonce de candidature », sur Franceinfo, (consulté le ).
- Franck Johannès, « Eric Zemmour condamné pour la quatrième fois », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- Martin Untersinger et Corentin Lesueur, « Le parti d’Eric Zemmour sanctionné d’une amende par la CNIL pour « manque de transparence » dans sa collecte de données personnelles », Le Monde, (lire en ligne)
- Arthur Carpentier, Marceau Bretonnier, Adrien Sahli, Elisa Bellanger et Emile Costard, « Comment des militants d’Eric Zemmour gonflent artificiellement la présence de leur candidat sur Twitter » , sur Le Monde, .
- Arthur Quentin, « Sur Internet, les équipes d’Eric Zemmour se spamment d’admiration » , sur Libération, .
- Pierre Plottu et Maxime Macé, « L’astroturfing, l’arme secrète de l’armée numérique de Zemmour sur Twitter » , sur Libération, .
- « "Wikizedia": comment l'équipe d'Eric Zemmour a utilisé Wikipédia pour promouvoir le candidat », sur bfmtv.com (consulté le ).
- « Comment Wikipédia a été trompé par une cellule de militants pro-Zemmour », sur Numerama, (consulté le ).
- « Numérique: comment l'équipe Zemmour fait feu de tout bois », sur arabnews.fr (consulté le ).
- Ludwig Gallet, « Présidentielle 2022 : les publicités Facebook du parti d’Éric Zemmour sont-elles illégales ? », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- Noémie Lair, « La diffusion de publicités sur Facebook par le parti d'Éric Zemmour est-elle autorisée ? », sur franceinter.fr, (consulté le ).
- Aurore Gayte, « Les pubs politiques du parti d’Éric Zemmour sur Facebook sont-elles légales ? », sur numerama.com, (consulté le ).
- Juliette Geay, « Ce que nous apprend le livre "Au cœur du Z" sur la stratégie numérique d'Éric Zemmour », sur France Inter, (consulté le ).
- « [VIDEO] Chants nazis, "nègre", "Mamadou" et autres propos racistes : un journaliste infiltre la campagne de Zemmour et raconte », sur midilibre.fr (consulté le ).
- A.Be., « Meeting de Zemmour : des violences éclatent en plein discours du candidat », Le Parisien, (consulté le ).
- Youen Tanguy, Agence France-Presse, « Le président de SOS Racisme revient sur la violence "ahurissante" au meeting de Zemmour », sur Le HuffPost, (consulté le ).
- Irène Ahmadi, « Présidentielle 2022. Ce que l’on sait des violences qui ont émaillé le meeting d’Éric Zemmour », Ouest-France, (lire en ligne )
- Pascale Pascariello, « Des militants de Reconquête lèvent le voile sur les dérives autoritaires et radicales du parti » , sur Mediapart, (consulté le ).
- Claire Tervé, Agence France Presse, « Cette ex-actrice porno n'est pas la bienvenue chez Zemmour » , sur Le HuffPost, (consulté le ).
- « Le président du Département de l’Orne porte plainte contre le parti d’Éric Zemmour » , sur Ouest-France, (consulté le ).
- « Des affichages sauvages "inadmissibles" selon certains élus du Pays de L'Aigle ? », sur actu.fr (consulté le ).
- « Grenoble Mag », sur Grenoble Mag, (consulté le ).
- « Isère. Campagne de lutte contre les discriminations : Grenoble va facturer l’affichage sauvage à « Reconquête » ! », sur ledauphine.com (consulté le ).
Bibliographie
- Vincent Bresson, Au cœur du Z, éditions Goutte d'Or, , 250 p. (ISBN 979-10-96906-33-8)
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives aux organisations :