Giverny | |
L'église Sainte-Radegonde. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | Seine Normandie Agglomération |
Maire Mandat |
Claude Landais 2020-2026 |
Code postal | 27620 |
Code commune | 27285 |
Démographie | |
Gentilé | Givernois |
Population municipale |
467 hab. (2021 ) |
Densité | 72 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 04′ 37″ nord, 1° 31′ 48″ est |
Altitude | Min. 10 m Max. 139 m |
Superficie | 6,46 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Vernon |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
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Giverny est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie. Elle est surtout connue pour la maison et les jardins du peintre impressionniste Claude Monet (1840-1926).
Ses habitants sont appelés les Givernois.
Géographie
Localisation
Giverny est une commune de l'extrême est du département de l'Eure, limitrophe de celui des Yvelines et proche de celui du Val-d'Oise. Elle appartient à la région naturelle du Vexin bossu qui se caractérise par les multiples sillons qui ont creusé le plateau et offre un paysage très ondulé entre les vallons secs affluents de l’Epte[1]. À vol d'oiseau, la commune est à 3,5 km à l'est de Vernon[2], à 16,5 km au nord-ouest de Mantes-la-Jolie[3], à 28 km à l'est d'Évreux[4] et à 51 km au sud-est de Rouen[5].
Hydrographie
La commune est située au confluent de la Seine et de l'Epte.
Voies de communication et transports
Le sentier de grande randonnée 2 (GR2) passe par la commune.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[8]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 705 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Magnanville à 16 km à vol d'oiseau[10], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 641,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
Typologie
Au , Giverny est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,7 %), forêts (29,6 %), prairies (26,9 %), zones urbanisées (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %), eaux continentales[Note 2] (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Giverniacum vers 1025[17] ou Givernacus vers 1026 (charte de Richard II)[18], Givernei en 1055 - 1066 (Fauroux 210)[17], Gyverni en 1271 (livre des jurés de Saint-Ouen), Giverneium en 1225[18], Giverne en 1227, Juverneium en 1251[18], S. Radegunde de Giverniaco en 1274, Gyverny en 1276 (archives de la Seine-Inférieure, fonds de Saint-Ouen)[18].
Il s'agit d'un nom de domaine gaulois ou gallo-roman *GABRINIACU, composé avec le suffixe *-(I)ACU « lieu de, propriété de », autrement -acon en gaulois, qui remonte au proto-celtique *-āko(n)[19]. Pour expliquer le premier élément GABRIN(I)- François de Beaurepaire et à sa suite, René Lepelley suggèrent le nom de personne bas latin *Gabrinius (non attesté) pour le premier et Gabrinus pour le second, et que l'on retrouverait dans Givraines (Loiret)[17],[20]. Le [ʒ] initial au lieu du [g] normanno-picard, s'explique par la situation de Giverny au sud de la ligne Joret. Xavier Delamarre mentionne effectivement le nom de personne gaulois ou gallo-roman Gabrinus, dérivé du gaulois gabros, gabra « chevreuil », « chèvre » (cf. vieil irlandais gabor « bouc » ; gallois gafr « chèvre » ; vieux breton gabr → breton gaor « chèvre »)[21]. On peut considérer alors qu'il s'agit de l’anthroponyme Gabrinus, suivi du suffixe -i-acum, forme allongée d’-acum, d'où le sens global de « propriété de Gabrinus »[20].
Le thème gabro- se retrouve dans Gevry, Givry, Gièvres, Gabriac, etc.
Par contre, l'équivalent basé sur le nom latin de la chèvre, caper, d'où Caprinus, Caprinius se retrouve dans les Cheverny, Chevregny (Aisne, Capriniacum 893)[22].
Remarque : les formes anciennes Warnacus en 671, Wariniacus en 863 ont été attribuées à Giverny par Ernest Poret de Blosseville dans son Dictionnaire Topographique de l'Eure, alors qu'elles se rapportent vraisemblablement à Guerny, situé à 25 km de là, c'est la raison pour laquelle elles sont rejetées par François de Beaurepaire et René Lepelley. Malgré leur peu de compatibilité phonétique avec l'évolution en Giverny, elles ont été reprises par Albert Dauzat dans son ouvrage Dictionnaire étymologique des Noms de lieux en France et à sa suite par Ernest Nègre dans sa Toponymie générale de la France. Le premier conscient du problème, ajoute prudemment après avoir proposé l'anthroponyme germanique Warin (+ -iacum) « qui a dû se croiser au Xe siècle avec un autre nom »[23], le second lui emboite le pas en supposant une hypothétique attraction d'un nom comme Gibertus[24].
Histoire
Des origines à la révolution française
La paroisse a été fondée sous les Mérovingiens et l'église placée sous le vocable de sainte Radegonde.
En 863, le roi Charles II le Chauve reconnaissait aux moines de l'abbaye de Saint-Denis-le-Ferment la possession de Giverny.
Au XIe siècle, le fief et l'église de Giverny revinrent à l'abbaye de Saint-Ouen à Rouen. Au Moyen Âge, plusieurs seigneurs se succédèrent mais ils restaient toujours les vassaux du prieur de Saint-Ouen. Il existait alors plusieurs monastères, dont l'un qui était situé à l'emplacement de la maison dite le Moûtier. On relèvera que la propriété dite La Dîme doit, elle, son nom à une grange dîmière qui servait de lieu de perception de l'impôt à l'abbaye jusqu'à la Révolution. Il s'y trouvait aussi une léproserie.
À la Révolution, c'est la famille Le Lorier[25] qui possédait les terres de Giverny. Monsieur Le Lorier fut d'ailleurs le premier maire du village en 1791.
L'impressionnisme
En 1883, Claude Monet s'installe dans le village, dans une maison qu'il loue puis achète en 1890. Il en modifie la forme et réaménage complètement le verger en jardin fleuri. Il fera creuser en 1893, sur un bras de l'Epte, le bassin aux nénuphars au bord duquel il peindra les « Nymphéas ». Mort le , il est enterré dans le cimetière qui jouxte l'église.
À la même époque, plusieurs peintres, notamment américains (par exemple Mary Fairchild), s'installent au village. Certains deviennent amis avec Claude Monet[26].
Au début du XXe siècle la concentration d'américains est toujours plus forte avec l'arrivée d'une troisième génération d'artistes qui privilégient les figures féminines dans des scènes d'extérieur, tels que Richard Miller et Karl James Anderson[27]. Anderson fait une longue visite dans cette colonie d’artistes à l’été 1909, invité par le peintre américain Frederick Frieseke. Influencé par le style impressionniste décoratif de son ami et par l’accent mis sur la figure féminine, Anderson peint de jolis modèles dans des décors extérieurs ensoleillés, travaillant souvent dans le jardin de Frieseke. Une grande partie de son temps fut consacrée à The Idlers (Les Oisives) en août 1909 (Valparaiso University Museum of Art), l'une de ses peintures les plus connues qui remporta une médaille d'argent à l'exposition internationale Carnegie de 1910.
En 2001, meurt Gérald van der Kemp qui a rénové la maison et les jardins de Monet. Il est enterré non loin de ces derniers.
Le postimpressionnisme
Beaucoup d'artistes américains au cours du XXe siècle apparentés au courant postimpressionniste comme Berck ont peint à Giverny à partir de 1890[28]. Amorcée dès la fin du XIXe siècle, l'époque connaît l'implantation d'une colonie américaine de Giverny[29].
Évolution récente
En 2020, le restaurateur gastronomique de renommée internationale David Gallienne ouvre son restaurant de cuisine normande à Giverny[30].
En 2021, l'échec du véhicule automatique fonctionnant par intelligence artificielle entre Vernon et Giverny coûte près de 300 000 euros aux deux communes.
En 2022, plantation sur les hauteurs de Giverny de six mille pieds de vigne près de l'église Sainte-Radegonde[31] Parallèlement, à but écologique et touristique un retour à l'agriculture ante révolution industrielle à Giverny avec traction animale et sans utilisation de pesticide à Giverny[32]. L'exposition Rothko à Giverny et sa comparaison avec Claude Monet au musée des Impressionnismes de Giverny rencontre un important succès[33].
En 2023, l'association culturelle de Giverny et de Vernon "Le Bateau-atelier" va organiser les premières balades écocitoyennes[Quoi ?][34].
Représentations de Giverny par Claude Monet
Tableau | Titre | Date | Dimensions | Lieu d’exposition |
---|---|---|---|---|
Coucher du Soleil à Giverny | 1883 | non précisé | ||
Entrée de Giverny en hiver, soleil couchant | 1885 | 65 × 81 cm | Collection privée | |
Paysage d'hiver au val de Falaise (Giverny) (W975) | 1885 | 65 × 81 cm | Collection privée | |
Dans le bois de Giverny, Blanche Hoschedé à son chevalet avec Suzanne lisant | 1885 | 91 × 98 cm | Musée d'art du comté de Los Angeles | |
Champ de coquelicots dans un creux près de Giverny | 1885 | 65 × 81 cm | Musée des beaux-arts de Boston | |
Champ de coquelicots à Giverny | 1885 | 60 × 73 cm | Musée des beaux-arts de Virginie, Richmond (Virginie) | |
Meules à Giverny | 1886 | 60 × 81 cm | Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg | |
En Norvégienne. La barque à Giverny | 1887 | 69 × 80 cm | Musée d'Orsay, Paris | |
La Barque | 1887 | 146 × 133 cm | Musée Marmottan, Paris | |
Sous les peupliers, effet de soleil | 1887 | 74× 93 cm | Staatsgalerie (Stuttgart) | |
Peupliers à Giverny | 1888 | 93 × 74 cm | Museum of Modern Art (New York) | |
Courbe de l'Epte | 1888 | Philadelphia Museum of Art | ||
Le Pré à Giverny, soleil levant | 1888 | Musée de l'Ermitage (Saint-Pétersbourg) | ||
Canoé sur l'Epte | 1890 | 133 × 145 cm | São Paulo Museum of Art | |
Champ d'avoine aux coquelicots | vers 1890 | 65 × 92 cm | Musée d'art moderne et contemporain de Strasbourg | |
Champ de coquelicots à Giverny | 1891 | 61 × 96 cm | Art Institute of Chicago | |
Prairie à Giverny | 1894 | 73 × 92 cm | Musée d'art de l'université de Princeton | |
Jeunes femmes de Giverny, effets de soleil | 1894 | Musée d'Israël (Jérusalem) | ||
Inondation à Giverny | 1896 | Ny Carlsberg Glyptotek, Copenhague | ||
La Seine à Giverny | 1897 | 73 × 92 cm | National Gallery of Art, Washington | |
Matin sur la Seine, beau temps | 1897 | 89 × 92 cm | Maison-Blanche, Washington | |
Bras de Seine près de Giverny | 1897 | 73 × 93 cm | Musée d'Orsay, Paris | |
Bras de Seine près de Giverny | 1897 | 81 × 92 cm | Musée des beaux-arts de Boston | |
Matin sur la Seine (W1499) | 1898 | 73 × 91 cm | Musée national de l'art occidental (Tokyo) |
En 1992, la Terra Foundation for American Art inaugure le musée d'art américain qui devient le musée des impressionnismes Giverny en 2009.
En 1996, Giverny reçoit la visite de Hillary Clinton, épouse du président des États-Unis et en 2007 celle de l'empereur du Japon Akihito.
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2021, la commune comptait 467 habitants[Note 3], en évolution de −8,25 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Événements
- Salon international du pastel (art du pastel en France) chaque année fin mai-début juin
- Musique de chambre à Giverny (festival international de musique de chambre fin août-début septembre)
- Festival de Giverny, festival de musiques actuelles, présente des auteurs compositeurs interprètes. Courant septembre.
- La Normandie et le Monde de l'Art, festival international de cinéma de Vernon (début juillet, au musée des impressionnismes).
- Rock in the Barn, festival [Quand ?] de musiques actuelles.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La maison et les jardins de Claude Monet. Les jardins ont reçu le label « jardin remarquable ».
- La propriété fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [39].
- Le musée des impressionnismes Giverny expose les œuvres originales des plus grands noms du courant impressionniste, notamment la colonie de peintres de Giverny et de la vallée de la Seine.
- Le muséum de mécanique naturelle abrite une collection de 130 moteurs anciens[40].
- L'ancien hôtel Baudy et sa roseraie, où se réunissaient les peintres.
- L'église Sainte-Radegonde fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [41]. Auparavant, l'abside et le pignon sud étaient inscrits partiellement en date [42].
- La Pierre de Sainte-Radegonde, à proximité ouest de l'église du même nom.
- La stèle des Aviateurs Britanniques se situant également à proximité de l'église[43].
- un buste de Claude Monet[44]
Patrimoine naturel
Site classé
- Giverny – Claude Monet – Confluent de la Seine et de l’Epte Site classé (1985)[45].
Personnalités liées à la commune
- Leni Escudero (ou Leny Escudero) (né le , mort le ), chanteur, résident du village.
- Gabrielle Bonaventure (1890-1964), peintre, belle-fille de Claude Monet.
- Albert Collignon (1839-1922), avocat et homme de lettres, fut maire de Giverny.
- René Mayer (1895-1972), ancien président du Conseil, ancien ministre, écrivain, maire du village, qui a vécu au hameau de Falaise.
- Claude Monet, peintre impressionniste, y a vécu de 1883 à sa mort, le .
- Jean-Marie Toulgouat (né à Giverny le - mort à Giverny le ), peintre.
- Germain Delavigne (1790-1868), auteur dramatique, né le à Giverny.
- Sébastien Lecornu, président du Musée des Impressionnismes.
- David Gallienne, né le au Mans (Sarthe)[46], le chef étoilé du restaurant le Jardin des Plumes, à Giverny, est le vainqueur de la saison 11 de Top Chef, diffusée sur M6 en 2020.
- Patrick et Isabelle Balkany, anciens maire et premier adjoint de Levallois-Perret, y possèdent une résidence, à cheval entre le 27 et le 78.
Périphrase désignant Giverny
- Le village des peintres[réf. nécessaire], acte de candidature pour un classement avec la commune voisine de Vernon sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco (octobre 2018).
Dans les arts
Musique
- Chris Rea consacre un titre de son album On the Beach (1986) à Giverny
Littérature
Michel Bussi, deuxième écrivain français en nombre de livres vendus, derrière Guillaume Musso (classement GFK-Le Figaro, 2017) développe l'intrigue de Nymphéas noirs dans le village de Giverny. Ce roman a été le roman policier français le plus primé en 2011[47].
Galerie
-
Late Afternoon, Giverny ; Guy Rose, 1910. Musée d'art de San Diego
-
The House in Giverny, Frederick Carl Frieseke, 1912. Collection Carmen Thyssen-Bornemisza, en dépôt au Musée Thyssen-Bornemisza, Madrid
-
L'entrée du Musée des Impressionnismes
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L'hôtel Baudy
-
L'église Sainte-Radegonde
-
Maison de Claude Monet à Giverny
-
Nymphéas dans les jardins de Claude Monet
Notes et références
Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Le Vexin bossu », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Giverny et Vernon »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Giverny et Mantes-la-Jolie »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Giverny et Évreux »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Giverny et Rouen »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Giverny et Lieuvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 98.
- Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, errance 1994.
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen, , 284 p. (ISBN 2-905461-80-2), p. 134a
- Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, 2003, p. 172-173.
- François de Beaurepaire, op. cit..
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 321b
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non romanes ; formations dialectales, vol. 2, Droz, , p. 749 n°12611 [1]
- Un Lelorier fut maire de Vernon en 1831.
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- https://www.giverny.fr/informations/touristiques/le-musee-de-mecanique-naturelle/giverny-musee-de-mecanique-naturelle/
- Notice no PA00099434, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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- https://www.giverny.fr/informations/touristiques/stele-des-aviateurs-britaniques/giverny-stele-des-aviateurs-britanniques/
- https://www.giverny.fr/informations/touristiques/bronze-de-claude-monet/buste-de-claude-monet/
- « Giverny – Claude Monet, le confluent de la Seine et de l’Epte à Giverny, Sainte-Geneviève-lès-Gasny, Vernon » [PDF], sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
- Prisma Média, « David Gallienne - La biographie de David Gallienne avec Gala.fr », sur Gala.fr (consulté le ).
- « Michel Bussi, un auteur à succès », sur France 3 Normandie, 27 mais 2016.
Voir aussi
Bibliographie
- Marina Bocquillon-Ferretti, Le Jardin de Monet à Giverny, l'invention d'un paysage, 5 continents,
- Marc Elder, Giverny, chez Claude Monet, Le Livre d'Histoire, , 176 p.
Articles connexes
- Hameau de Falaise, hameau de Giverny
- Musée des impressionnismes Giverny.
- Liste de périphrases désignant des villes.
- Jardins labellisés remarquables de Normandie.
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Giverny sur le site de l'Institut géographique national
- Giverny et Vernon: Au Cœur de l'Impressionnisme
- Le village de Giverny sur le site des Partenaires de l'Office de tourisme
- Le village de Giverny
- Maison du Tourisme Normandie-Giverny
- Office du tourisme