Naissance | |
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Décès |
(à 68 ans) Roulers |
Nom dans la langue maternelle |
Modest Verlinden |
Nom de naissance |
Médard Modeste Gérard Egide Verlinden |
Autres noms |
Médardus Modestus Gérardus Egidius Verlinden |
Nationalité | |
Formation |
inconnu |
Activité |
Modeste Verlinden, né Médard Modeste Gérard Egide Verlinden le 16 novembre 1840 à Merksplas, commune d'Anvers, et mort le 10 juillet 1909 à Roulers est un ébéniste, sculpteur et chef d'entreprise belge[1].
Spécialisé dans la sculpture religieuse et l'ameublement d'église, ses œuvres se rencontrent fréquemment dans le Nord de la France et en Belgique. Il est très actif dans les années 1875-1900.
Biographie
Modeste Verlinden naît le 16 novembre 1840 à Merksplas, commune d'Anvers en Belgique[1]. Il est le fils de Livin Urbain Verlinden[2], commerçant, et de Marie Thérèse Vaes[1],[3].
Les études artistiques qu'il a pu suivre nous sont encore inconnus. Néanmoins, lors de son premier mariage à Reims en 1867, à l'âge de 27 ans, il habite dans le 15e arrondissement de Paris, bien loin de sa province natale[4],[5]. Il y travaille comme "sculpteur sur bois". Malheureusement, peu de temps après son mariage, la femme qu'il vient d'épouser, Julienne Zoé Léontine Liebaert, décède.
Il se remarie en 1870 avec une certaine Antonetta Maria van Gauberge[6]. Un premier fils nait en 1871 à Cambrai[7], puis un deuxième en 1874 à Anvers où il est désormais domicilié[8]. De cette union, naissent au moins 6 autres enfants dont les naissances s'échelonnent de 1877 à 1888.
Les premières œuvres connues de Verlinden apparaissent vers la seconde moitié des années 1870. Son atelier est alors installé à Anvers. Ses œuvres sont déjà impressionnantes en dimensions, en finesse et présente une iconographie très riche.

En 1885, il participe à l'Exposition Universelle d'Anvers où il présente un autel en marbre de Carrare et en bronze doré[9]. L'ensemble impressionne les visiteurs[10], d'autant plus que le retable de l'autel culmine à onze mètres de hauteur. Il remporte deux médailles d'or[11] et ses collaborateurs reçoivent également des récompenses[12]. Une fois l'exposition terminée, l'autel est acheté 60 000 francs[11],[13]par l'architecte Charles Maillard pour l'église Saint-Maclou de Wattrelos[14].

Vers 1890, il déménage son atelier d'Anvers[15] à Roulers[16],[17],[18]. Là bas, il s'associe avec plusieurs de ses fils comme l'atteste la signature "M.Verlinden et Fils, sculpteurs à Roulers, Belgique" sur un plan de maitre-autel conservé par ses descendants.

Son entreprise, dont nous savons qu'elle était présente à Lille et à Roulers, a probablement pris le nom d' "Institut Saint-Luc d'art chrétien"[19],[20] dans les années 1900.
- Divers projets dessinés par Verlinden
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Maître-autel néogothique
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Autel néogothique
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Maître-autel néoroman pour l'église de Templemars
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Maître-autel pour une grande église
Il est toujours actif durant cette période puisqu'il fournit un banc de communion pour l'église Saint-Piat de Roncq[21] (1896), un autre pour l'église Saint-Joseph de Namur[22] (1897) et une série d'autels pour l'église Saint-Piat de Roncq dans les années 1900.

Il meurt le 10 juillet 1909 à Roulers où il est domicilié[1],[23].
Descendance
Son fils ainé, Léon Antoine Urbain Verlinden, né à Cambrai en 1871, exerce à Paris la profession de marbrier au début du XXe siècle[24].
Son deuxième fils, Edmond August Verlinden, né à Anvers le 27 septembre 1881, architecte et peut être aussi sculpteur, quitte Roulers et immigre aux États-Unis en 1909[25]. Il s'installe dans le Wisconsin et devient un important facteur d'orgue en fondant la société "Verlinden Organ Company" basée à Milwaukee[26],[27]. Il meurt en 1961[27].
Son plus jeune fils, Josephus Maria Pius Verlinden, lui aussi sculpteur, décède en 1913 à l'âge de 24 ans[28].
Ses filles, Jeanne (née en 1877), Isaura (née en 1879), Anna (née en 1883) et Henriette (née en 1885), toutes nées à Anvers, se marient à Roulers durant la période 1898-1913.
Œuvres
Style et production
Les œuvres de Verlinden sont marquées par le néoroman et les styles néo médiévaux alors en vogue à l'époque. Néanmoins, la physionomie des personnages reste réaliste et naturaliste. Quand ils sont sculptés sur bois, les plis des vêtements sont particulièrement abondants et complexes. Les meubles produits sont d'une grande richesse et reflète le goût des catholiques du Nord de la France et de la Belgique pour des églises richement décorées de boiserie, de marbres divers, de statues, etc...

Une publicité distribuée en 1885 durant l'Exposition universelle d'Anvers mentionne les matériaux travaillés : bois, pierre, marbre et bronze[29].

Il est à noter que de nombreux ateliers de sculptures et d'ébénisterie sont présents dans le Nord de la France et la Belgique à cette époque. Nous pouvons citer l'atelier de Charles Buisine-Rigot à Lille, l'atelier de Clermont Collesson à Wormhout, l'atelier de Gustave Pattein à Hazebrouck, l'atelier de Charles Debert à Bailleul, l'atelier de Léopold Lefebvre à Beuvry (Atelier Lefebvre Lenclos) ou encore l'atelier de Clément Carbon à Anvers.
Liste d'œuvres non exhaustive (par ordre alphabétique des villes)
- Airaines, église Saint-Denis
- autel de Saint-Roch (1897)[20], en marbre de diverses couleurs et avec retable
- Annœullin, église du Sacré-Coeur (vers 1901)
- maître-autel en marbre
- autel de Notre-Dame de Lourdes en marbre
- autel de Saint Joseph en marbre
Modeste Verlinden et ses fils sont aussi potentiellement les auteurs du reste du mobilier dont la chaire transformée en ambon au XXe siècle. Les statues garnissant les autels sont des œuvres de série, peut-être fournies par Verlinden.
- Anvers (Deurne) cimetière de l'église Saint Frédégand (Sint-Fredegandus Kerk)
- Armentières, église Notre-Dame-du-Sacré-Coeur (vers 1879)
- Maître-autel
- Autel du Sacré-Cœur
- Chaire (détruite)

Modeste a pu réaliser d'autres éléments de mobilier pour cette église. Cette dernière a été fortement endommagée par la Première Guerre mondiale. Des éléments ont été récupérés et incorporés au mobilier de l'église reconstruite. Ainsi le tombeau du maître-autel a été réutilisé comme tombeau pour le nouveau maître-autel. Le relief représentant la Cène sur l'autel du Sacré-Cœur se trouve désormais en façade du nouveau maître-autel.
- Bousbecque, église Saint-Martin
- chemin de croix (1887)[32]
- maître-autel en marbre et bronze doré (retable aujourd'hui disparu)
- Maître-Autel de l'église de Bousbecque
- Cappelle-en-Pévèle, église Saint-Nicolas
- Douai, église Saint-Jacques
- Hersin-Coupigny, église Saint-Martin
- maître-autel en chêne et marbre. Une inscription dédicatoire à l'arrière mentionne qu'il a été bâti à Roulers en 1892.
- Lambersart, église Saint Calixte
- maître-autel en marbre et bronze doré
- autel de la Vierge en marbre et bronze doré
L'autel de la Vierge comprenait autrefois un retable en chêne qui a disparu
- Maître-autel de l'église Saint-Calixte de Lambersart
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Maître-Autel
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Maître-Autel (détail)
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Prophète Daniel
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Prophète Ezéchiel
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Prophète Isaïe
- Lille (Lomme), église Notre-Dame-de-Lourdes
- maître-autel en marbre (vers 1893)
- 2 autels latéraux (vers 1893)
- encadrements du chemin de croix (1896)
Les statues sur les tabernacles ne sont pas de Modeste Verlinden mais sont issues de la maison Raffl pour le Sacré-Coeur et de la Sainterie de Vendeuvre-sur-Barse pour Saint Joseph.
- Mobilier de l'église Notre-Dame-de-Lourdes de Lille (Lomme)
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Maître-autel peu après sa création
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Maître-autel avec son retable modifié
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Scène du maître-autel
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Autel du Sacré-Coeur
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Autel de Saint Joseph
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Encadrements du chemin de croix
- Lille, église Saint-Sauveur, aux extrémités du transept
- maître-autel (1879-1882)[37],[38]
- autel des Saints Anges (1884) : dégradé de manière importante par l'incendie de l'église en 1896. Il est ensuite restauré profondément par Edouard Buisine, fils de Charles Buisine-Rigot[38].
- calvaire (1886) : probablement détruit lors de l'incendie de 1896[38].
- Autel des saints anges de l'église Saint-Sauveur de Lille
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Après l'incendie en 1896
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Après restauration par Edouard Buisine
- Namur, église Saint-Joseph
- banc de communion en marbre (1897)[22]
- Roncq, église Saint-Piat
- chaire [21]. Le dais surmontant la chaire a été supprimé après le concile Vatican II.
- deux confessionnaux[21]. Un des deux n'a eu que la devanture de réalisé directement par Verlinden
- chemin de croix (1881)[21]
- buffet et tribune de l'orgue (1885)[21]
- banc de communion en marbre (1896)[21]. Il a été détruit après le concile Vatican II mais quelques éléments ont servi à créer un pilier pour la statue de Notre-Dame de Lourdes.
- autel du Sacré-Coeur en marbre
- autel de Saint Joseph en marbre
- autel de Saint Gérard Majella en marbre avec retable en chêne
- statue de Saint Roch et sa niche
- niche portant une statue de Saint Vincent de Paul
Les autels du Sacré-Coeur et de Saint Joseph, autrefois situés aux extrémités du transept, ont été dépouillés de leurs retables après la réforme liturgique du Concile Vatican II. Ils sont désormais dans les absidioles. L'autel du Sacré-Coeur sert aujourd'hui d'autel de Notre-Dame-de-Lourdes et de réserve eucharistique.
- Œuvres de Modeste Verlinden pour l'église Saint-Piat de Roncq
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Confessionnal gauche
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Confessionnal droit
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Chaire
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Buffet d'orgue
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Chemin de croix
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Autel de Saint Joseph (sans le retable)
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Autel du Sacré-Coeur (sans le retable)
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Autel de Saint Gérard Majella

- Saint-Just-sur-Dive, église Saint-Just
- éléments de mobilier[42]
- Templemars, église Saint-Martin
- maître-autel
Le maître-autel est détruit après la réforme liturgique. Le tabernacle a été conservé et est désormais dans la chapelle située à droite du chœur.
- Tourcoing, église Notre-Dame-de-la-Marlière
- maître-autel en marbre et bronze (1880)
- chaire
Verlinden est aussi probablement l'auteur des autels latéraux de même facture que le maître-autel et des fonts baptismaux. Le maître-autel présente des statues de Saint Jean et de Saint Luc (en marbre) similaires à celles de la chaire de l'église Saint-Piat de Roncq (en bois). La chaire a été détruite après la réforme liturgique du concile Vatican II. Le panneau de la cuve représentant le Christ en trône est désormais inclus dans un petit autel.
- Maître-autel de l'église Notre-Dame-de-la-Marlière de Tourcoing
- Wattrelos, église Saint-Maclou
- maître-autel en marbre de Carrare et bronze (1885)[9]
- Wervicq-Sud, église de l'Immaculée Conception
- maître-autel en marbre et bronze
- deux autels latéraux avec retable dont un dédié à Notre-Dame-de-Lourdes (1889) et l'autre au Sacré-Coeur
- fonts baptismaux et arc le surplombant. Le couvercle a été réalisé par la Cuivrerie Saint-Eloi de Roubaix.
- deux confessionnaux (ceux qui n'ont pas de statues)
Elèves, ouvriers et apprentis
Les artistes Josué Dupon[43] et Albert Baggen[44] ont travaillé et développé leurs compétences dans l'atelier de Verlinden.
Notes et références
- Registres des décès de la ville de Roulers (Roeselare) 1909, Acte 360 au nom de Medard Verlinden
- ↑ Lievinus Urbanus Verlinden
- ↑ Maria Theresia Vaes
- ↑ « Publications de mariage », Journal des débats politiques et littéraires, , p. 3 (NP) (lire en ligne).
- ↑ « Mariage du 1er au 8 décembre 1867 », L'Indicateur des mariages de Paris, no 1242, , p. 3 (NP) (lire en ligne).
- ↑ Registre des mariages de la ville d'Anvers, année 1870, Acte 147
- ↑ Registre de reconstitution des actes de l'état civil de la ville de Cambrai en date du 26 mars 1871. Naissance de Léon Antoine Urbain Verlinden
- ↑ Registre de l'état civil de la ville d'Anvers, Acte de naissance, 30 décembre 1874, Ludovicus Victor Verlinden.
- René Corneli et Pierre Mussely, Anvers et l'Exposition Universelle 1885, Bruxelles, Ad. Mertens, , 2e éd. (lire en ligne), p. 430-431.
- ↑ « Wereldtentoonstelling van Antwerpen. - Het wit marmeren kunstaltaar van den beeldhouwer Verlinden. », De Nieuwe Belgische Illustratie, no 4, 1885-1886, p. 26 et 28 (lire en ligne).
- Ministère du commerce et de l'industrie, Rapports des ouvriers délégués à l'Exposition internationale d'Anvers en 1885, t. I, (lire en ligne), p. 287.
- ↑ Rapports des membres du jury international des récompenses sur l'Exposition universelle d'Anvers 1885, t. VI : Liste officielle des récompenses, Bruxelles, Typographie Alfred Vromant, (lire en ligne), p. 124.
- ↑ The American Architect and Building News : July-December 1885, vol. 18, Boston, Ticknor & Co. Publishers, (lire en ligne), « The Antwerp Exhibition », p. 281.
- ↑ De Vlaamsche school, Antwerpen, Désiré van Spilbeek, (lire en ligne), p. 103-104.
- ↑ A. Rozez, Almanach général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, Société anonyme de l'Almanach du commerce et de l'industrie de Belgique, (lire en ligne).
- ↑ Dans son livre "Histoire de Roncq d'après les documents authentiques" publié en 1902, l'Abbé Alphonse-Marie Coulon évoque dans les années 1880, un "Verlinden d'Anvers" (page 20) puis en 1896 un "Verlinden de Roulers" (page 22).
- ↑ Kelly's Directory of Merchants, Manufacturers and Shippers of the United Kingdom, London, Kelly & Co, , 11e éd., 509 p. (lire en ligne).
- ↑ En 1896, son ancien atelier du 38 rue du Rossignol à Anvers est désormais occupé par le sculpteur Jan Mattheus Gerrits. Voir : A. Rozez, Almanach général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, Société anonyme de l'Almanach du commerce et de l'industrie de Belgique, 1896
- ↑ Le terme "institut" étant parfois utilisé à cette époque pour désigner le regroupement de plusieurs artistes
- Mémoires de la société d'émulation d'Abbeville, t. VI, Abbeville, Imprimerie F. Paillart (no 22), (lire en ligne), p. 611.
- Abbé Alphonse-Marie Coulon, Histoire de Roncq d'après les documents authentiques, Courtrai, Imprimerie mécanique de Veuve Nys & fils, (lire en ligne), p. 20 et 22.
- (en-US) « Balat object: 10036318 », sur BALaT KIK-IRPA (consulté le ).
- ↑ Domicilié Consciencestraat à Roulers
- ↑ « Publications légales - sociétés - faillites », Gazette des tribunaux, no 25294, , p. 514 (lire en ligne).
- ↑ "Milwaukee, Milwaukee, Wisconsin, United States documents," images, FamilySearch (https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QSQ-G9DZ-WCK6?view=index : 19 févr. 2025), Image 637 sur 899; United States. National Archives and Records Administration. Great Lakes Region.
- ↑ (en) David Bohn et Marilyn Stulken, « The Wangerin Organ Company and its Predecessors : Milwaukee Organbuilders », The Tracker : Journal of the Organ historical Society, vol. 34, no 2, (lire en ligne).
- « Nunc Dimittis », The Diapason, vol. 53, no 1, , p. 38 (lire en ligne).
- ↑ Belgium, West Vlaanderen, Roeselare, Registers van de Burgerlijke Stand. Huwelijken, overlijdens, 3457, 1913. Akte 182
- ↑ Modeste Verlinden, Français : Modeste Verlinden - carte publicitaire - description de l'activité et des produits, (lire en ligne).
- ↑ « Van Beynen », sur schoonselhof.be (consulté le ).
- ↑ De Vlaamsche School, Antwerpen, Désiré van Spilbeek, (lire en ligne), p. 131.
- ↑ « Hallekerque Saint-Martin à Bousbecque - Découvrez cet édifice ouvert et accueillant », sur openchurches.eu (consulté le ).
- « Cappelle - Consécration de la nouvelle église : journal politique, littéraire, commercial et industriel », Gazette de Cambrai, no 5139, , p. 3 (NP) (lire en ligne).
- ↑ Abbé Théodore Leuridan, Mémoires de la Société d'études de la province de Cambrai, vol. 5, t. XXI : Epigraphie ou recueil des inscriptions du département du Nord ou du diocèse de Cambrai, Société d'études de la province de Cambrai, (lire en ligne), p. 90.
- ↑ Trésors cachés de Douai, Les amis de Douai, 243 p. (ISBN 978-2-9576693-1-8), p. 93
- ↑ Abbé Mortreux, Discours prononcé dans l'Eglise Saint-Jacques à Douai le 11 décembre 1881... pour l'inauguration du monument érigé à la mémoire de Mgr. Bataille, Evêque d'Amiens..., L. Dechristé, (lire en ligne)
- ↑ Marie-Hélène Cingal, Lille (59): église St Sauveur, (lire en ligne).
- Abbé Bonnet, Saint-Sauveur de Lille : La vie d'une église populaire, Lille, Imprimerie de la Croix du Nord, , 46 p. (lire en ligne), p. 35 et 41.
- ↑ « Orgue de tribune », notice no AP12R073893, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PM59009140, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PM59009142, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no IM49000132, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ Gustave de Graef, Nos artistes Anversois : notices biographiques, Anvers, J. Theunis, (lire en ligne), p. 95.
- ↑ Gustave de Graef, Nos artistes Anversois : notices biographiques, Anvers, J. Theunis, (lire en ligne), p. 237.
Annexes
Autres projets
Bibliographie
- René Corneli et Pierre Mussely, Anvers et l'Exposition Universelle 1885, Bruxelles, Ad. Mertens, , 2e éd. (lire en ligne), p. 430-431
Articles connexes
- Clément Carbon, autre ébéniste et sculpteur dont l'atelier était situé à Anvers.
- Charles Buisine-Rigot, ébéniste et sculpteur lillois
- Gustave Pattein, ébéniste et sculpteur dont les ateliers étaient situés à Hazebrouck
- Exposition Universelle d'Anvers de 1885