Montchanin | |||||
La place Roger-Salengro. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Autun | ||||
Intercommunalité | CU Le Creusot Montceau-lès-Mines | ||||
Maire Mandat |
Yohann Cassier 2023-2026 |
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Code postal | 71210 | ||||
Code commune | 71310 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
4 979 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 637 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 44′ 56″ nord, 4° 28′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 298 m Max. 351 m |
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Superficie | 7,82 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Montchanin (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Le Creusot (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Blanzy | ||||
Législatives | 5e circonscription de Saône-et-Loire | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | https://www.ville-montchanin.fr/ | ||||
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Montchanin est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.
La commune est située au cœur d'un important bassin houiller exploité entre les années 1820 et 1912 par les houillères de Montchanin.
Géographie
Localisation
Montchanin se situe à mi-chemin entre Le Creusot, ville de la métallurgie, et Montceau-les-Mines, ville minière.
Elle se situe aussi à quelques kilomètres de la plus grande ville du département, Chalon-sur-Saône. et non loin de Dijon également.
La commune, qui est la ville-centre son unité urbaine et de son bassin de vie, se trouve dans l'aire d'attraction du Creusot et dans la zone d'emploi de Creusot-Montceau[I 1].
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Torcy, Écuisses, Saint-Eusèbe et Saint-Laurent-d'Andenay.
Torcy | Écuisses | |||
N | ||||
O Montchanin E | ||||
S | ||||
Saint-Eusèbe | Saint-Laurent-d'Andenay |
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 7,82 km2 ; son altitude varie de 298 à 351 mètres[1].
La commune repose sur le bassin houiller de Blanzy daté du Stéphanien (daté entre -307 et -299 millions d'années)[2].
Hydrographie
La commune est limitée à l'est par le Canal du Centre.
Plusieurs étangs s'y trouvent, ainsi qu'une rigole d'alimentation du canal.
-
Le Port Schneider.
-
La rigole de Torcy.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 890 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mt-Saint-Vincent », sur la commune de Mont-Saint-Vincent à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 891,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,1 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
Typologie
Au , Montchanin est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montchanin[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[11],[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Creusot, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (66,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (41,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,6 %), prairies (12,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,5 %), forêts (5,4 %), eaux continentales[Note 5] (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 2 731, alors qu'il était de 2 722 en 2016 et de 2 700 en 2011[I 3].
Parmi ces logements, 87,4 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 9,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 55,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 44,4 % des appartements[I 4].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Montchanin en 2021 en comparaison avec celle de Saône-et-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (3,2 %) par rapport au département (7,4 %) et à la France entière (9,7 %).
Typologie | Montchanin[I 4] | Saône-et-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 87,4 | 82,4 | 82,2 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 3,2 | 7,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9,4 | 10,2 | 8,1 |
Voies de communication et transports
La commune est desservie par deux gares :
- la gare du Creusot TGV, située sur la ligne LGV Sud-Est, principalement desservie par des TGV reliant Paris Gare de Lyon à Lyon Perrache ou Saint-Étienne, desservant Lyon Part-Dieu et parfois Mâcon Loché TGV.
- la gare de Montchanin, située sur la ligne de Nevers à Chagny et desservie par des trains du réseau TER Bourgogne-Franche-Comté, qui effectuent des missions entre les gares de Paray-le-Monial et Chalon-sur-Saône, Nevers et Dijon, Étang-sur-Arroux et Dijon.
On y trouve également le canal du Centre, qui lui permet d'exploiter le tourisme fluvial (« les sept écluses » entre Montchanin et Chagny).
Toponymie
Histoire
Le village des Brosses dépendait de la paroisse de Saint-Eusèbe instituée commune par la Révolution française.
La compagnie des Houillères multiplie les instances pour faire ériger les Brosses en commune.
Par un décret impérial du , le hameau devient une commune sous le nom de Montchanin-les-Mines[15]. Un second décret, en date du , érige la dite commune en paroisse sur les propositions de l’évêque d’Autun et du préfet. La paroisse augmente rapidement sa population, son curé sollicitant l’établissement d’un vicariat. Le premier vicaire de Montchanin-les-Mines est l’abbé Paul Dessendre, en 1867[16]. La commune prend son nom actuel de Montchanin en 1958.
De 1857 à 1968, bénéficiant de précieux atouts (l'un géologique, la présence massive de houille — exploité entre 1820 et 1912[17] — et d'argile, l'autre géographique, le canal du Centre et des réseaux ferré et routier développés), Montchanin fut le siège de l'une des plus importantes tuileries de France. Cette tuilerie développée par Charles Avril (1817-1891) devint la Grande Tuilerie mécanique et perfectionnée de Bourgogne ; elle fusionna en 1938 avec la Société des grandes tuileries bourguignonnes de Chagny (établissements Lambert)[18].
-
Paysage des puits de Montchanin en 1856.
-
Le puits Wilson vers 1900.
-
La tuilerie.
-
La tuilerie.
De 1889 au (date de sa fermeture par la SNCF), Montchanin est reliée à Saint-Gengoux-le-National par l;a ligne d'Étiveau à Montchanin[19].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune, créée en 1854, se trouve dans l'arrondissement de Chalon-sur-Saône du département de Saône-et-Loire[I 2]
Elle faisait partie de 1854 à 1926 du canton de Mont-Saint-Vincent, année où elle devient le chef-lieu du canton de Montchanin[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Blanzy[I 1]
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de Saône-et-Loire.
Intercommunalité
Montchanin est membre de la communauté urbaine Creusot Montceau[I 2], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1970 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Jumelages
La ville de Montchanin est jumelée avec[28] :
Équipements et services publics
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1856. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].
En 2021, la commune comptait 4 979 habitants[Note 9], en évolution de −3,84 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports et loisirs
- Rugby à XV : le Stade montchaninois Bourgogne a évolué par le passé jusqu'en 1re division groupe A,
- Football : Jeunesse Sportive Montchanin Odra (JSMO).
Cultes
Montchanin dispose d'une église de culte catholique et d'une association Islamique.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église de 1846/1847 édifiée par la Société des Houillères de Montchanin, devenue église paroissiale en 1854; et agrandie de deux collatéraux et 1877 puis dotée d'une église en 1893[32]
- Ancienne école, construite en 1838 par la Société des Houillères de Montchanin. La mairie s'y implante de 1854 à 1927, après la création de la commune et la Compagnie construit ailleurs de nouvelles écoles. Le bâtiment est ensuite utilisé comme perception et par le Secours catholique jusqu'à la fin des années 1990[33].
- Anciennes écoles Schneider, construites en 1877 par les Établissements Schneider à proximité immédiate de la Cité Nouvelle et agrandies entre 1880 et 1898 d'une chapelle, d'une cuisine, d'un réfectoire, d'un parloir et d'un dortoir de 16 lits, destinés aux sœurs dirigeant l'école.
L'ancienne école de garçons accueille désormais la bibliothèque municipale, et celle des filles l'actuelle école primaire Curie Pasteur[34].
- cure.
- Château Avril, logement patronal construit en 1855 par la Société des Houillères de Montchanin alors dirigée par Charles Avril. Le château est détruit en 1891 en raison des dégâts causés par les travaux miniers souterrains et il n'en subsiste que les écuries et les communs fortement remaniés, ainsi que la ferme du château (pigeonnier et remise) ainsi que la conciergerie appelée pavillon neuf. Ils sont revêtus de nombreuses céramiques architecturales de production locale[35].
- Château de la Tuilerie, logement patronal édifié entre 1880 et 1890 par le nouveau propriétaire de la Grande Tuilerie de Bourgogne, C. Duval[36].
- Cité ouvrière des Pisés, construite en 1861 par la Société des Houillères de Montchanin et constituée de quatre bâtiments de quatre logements chacun. En 1869, elle devient propriété des établissements Schneider lors de l'acquisition des houillères en 1869. L'un des bâtiments est reconstruit à l'identique en 1899 après son effondrement[37].
- Cité ouvrière dite La Cité Nouvelle, de 32 logements ouvriers et deux de contremaîtres, construite entre 1874 à 1876 pour les ouvriers des mines de Montchanin exploitées par les Établissements Schneider[38].
- Logements ouvriers, 49-93 avenue de la Libération, construits à partir de 1869 pour loger les ouvriers de la Grande Tuilerie de Bourgogne[39].
- Maison Godillot, 127 Avenue de la Libération, construite en 1905 comme maison témoin sur les plans de la Grande Tuilerie de Bourgogne, qui exposait ainsi certaines de ses productions le long de la route conduisant de la gare au centre de Montchanin[40].
- Immeuble dce quatre logements ouvriers, rue du Pont Jeanne-Rose, construit en 1903 par la Grande Tuilerie de Bourgogne, qui y présente également des éléments décoratifs en céramique produits par la tuilerie[41].
- Logements ouvriers, 3-5 rue de la Tuilerie, construits vers 1904 par la Grande Tuilerie de Bourgogne de Montchanin, à proximité immédiate de son usine[42].
- Ancienne Fonderie Henri-Paul, traversée par le Canal du Centre, construite en 1918 par les Établissements Schneider du Creusot. En 2020, elle a une capacité de production de 30 000 tonnes annuelles d'acier et de 3.000 tonnes de bronze et laiton. La dernière coulée a lieu en janvier 1984 et les locaux servent désormais à de nouvelles activités industrielles.
La fonderie employait 1500 ouvriers en 1921, 780 en 1965, 700 et 1977[43].
- Ancienne Grande Tuilerie de Bourgogne, rue Lamartine, créé en 1858 sous la raison sociale Georges et Cie, cet ensemble d'industrie céramique se développe après son rachat en 1863 par la société Charles Avril et Cie, alors propriétaire des houillères de Montchanin. Vendue en 1878, elle devient la Société Anonyme de la Grande Tuilerie de Bourgogne à Montchanin-les-Mine, tuilerie majeure en France qui produit en 1862 1, 2 million de tuiles mécanique, 5 millions en 1864, 12 à 14 millions en 1910. En 1938, elle fusionne avec la tuilerie de Chagny et son activité commence à décliner. L'entreprise ferme en 1969 et la grande majorité des bâtiments d'exploitation sont détruits en 1978. En 2020, il en subsiste l'ancien atelier des réfractaires datant de 1927, l'atelier des creusets (dont la destruction est programmée), et l'ancienne fonderie de 1927.
L'usine connaît deux grandes grèves, en 1899-1900 et 1936. Effectifs : 200 ouvriers en 1865 ; 500 en 1880 ; 330 en 1890 ; 600 en 1901[44].
- Il subsiste plusieurs vestiges de l'exploitation des Houillères de Montchanin sur le territoire de la commune, notamment, le puits de la Grille, le puits Wilson et des cheminées d'aérage[45],[46].
-
Le terril du puits de la Grille.
-
L’entonnoir formé par le puits de la Grille.
-
Puits secondaire inondé du puits de la Grille.
-
Les ruines du puits Wilson.
-
Deux cheminées d'aérage alignées.
-
Le monument aux morts et l'église.
-
Intérieur de l'église.
-
La cité du Château-d'eau.
-
Logements ouvriers, 3-5 rue de la Tuilerie.
-
L'ancienne fonderie.
Héraldique
Personnalités liées à la commune
- Léon Gromier (1879-1965), prélat catholique français, rubriciste et liturgiste, y est né.
- Lazare Venot (1902-1977), coureur cycliste, est mort à Montchanin.
- Jean Mattéoli (1922-2008), homme politique français, ministre du travail de 1979 à 1981, y est né.
- Sergio Lanfranchi (1925-2000), joueur italien de rugby à XV, joueur au Stade montchaninois Bourgogne de 1965 à 1971.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Montchanin(71310) », Recensement général de la population de 2021, INSEE, (consulté le ).
- « Montchanin » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Montchanin comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Une rue de la commune porte le nom de ce maire[22]
- Un complexe sportif de la commune porte le nom de ce maire.
- Une résidence de personnes âgées de la commune porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
Site de l'Insee
- « Commune de Montchanin », Code Officiel Géographique au 1er janvier 2024, sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Montchanin ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Montchanin - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Montchanin - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la Saône-et-Loire - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- [PDF] C. Raymond, Synthèse géologique sur les ressources charbonnières de la Bourgogne, BRGM, (lire en ligne).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montchanin et Mont-Saint-Vincent », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mt-Saint-Vincent », sur la commune de Mont-Saint-Vincent - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mt-Saint-Vincent », sur la commune de Mont-Saint-Vincent - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montchanin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Creusot », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Bulletin des lois de la République française », sur Gallica, (consulté le ).
- « Montchanin. Montchanin-les-Mines est né en 1854 et la paroisse en 1855 », sur lejsl.com (consulté le ).
- Mandy Descamps, Bassin houiller de Blanzy - Concessions de Montchanin et Longpendu : Évaluation et cartographie des aléas liés aux mouvements de terrains, INERIS, (lire en ligne [PDF]).
- « Un siècle d'histoire industrielle : la tuilerie de Montchanin », article de Nathalie Perraudin-Leininger paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 87 (automne 1991), pages 10 à 12.
- « Le chemin de fer de Saint-Gengoux à Montchanin : un souvenir inscrit dans le paysage », article d'Alain Dessertenne paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 75 (automne 1988), pages 17 à 20.
- « Les maires de Montchanin », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Gilles Morin, Jean-François Poujeade, « GILLOT Jean-Marie », Le Maitron en ligne, 17/2/2010 mis à jour le 13/9/2010 (consulté le ) « Né le 9 mars 1873 à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire), mort le 21 août 1947 à Montchanin-les-Mines (Saône-et-Loire) ; mineur puis libraire ; militant socialiste de la Saône-et-Loire ; maire de Montchanin-les-Mines (1919-1940 ; 1945-1947), conseiller général de Mont-Saint-Vincent puis de Montchanin (1925-1947), président du conseil général (1945-1947) ».
- « Jean-Marie Gillot, maire de Montchanin de 1919 à 1947 », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne , consulté le ).
- Jean-François Poujeade, « FARASTIER Louis, Joseph », Le Maitron en ligne, 16/3/2009 mis à jour le 21/6/2009 (consulté le ) « Né le 21 août 1903 à Pierre-de-Bresse (Saône-et-Loire), mort le 2 mai 1983 à Saint-Vallier (Saône-et-Loire) ; chef d’atelier à la fonderie Henri-Paul de Montchanin (Saône-et-Loire) ; militant socialiste de Saône-et-Loire ; maire (1969-1979) et conseiller général (1970-1982) de Montchanin ; conseiller régional ».
- Thérèse Verdreau, « Pierre Forest ancien maire n’est plus », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne, consulté le ) « En 1965, il a été élu conseiller municipal, alors que Lucien Parriat était maire, puis il a continué à servir sa commune avec le maire Louis Farastier, où il a occupé les postes d’adjoint, puis de premier adjoint. Pierre Forest a été élu maire de Montchanin de 1979 à 1989 ».
- Emmanuel Le Neve, « Pierre Corneloup, ancien maire de Montchanin et vice-président du Conseil général de Saône-et-Loire, est décédé », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne) « Il avait été maire de Montchanin pendant 19 ans, trois mandats au total, de 1989 à 2008. Dans le même temps, de 1988 à 2008, il fut conseiller général puis vice-président du Conseil général de Saône-et-Loire. Ainsi que vice-président de la Communauté urbaine Creusot Monceau et représentant de la France au congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l’Europe ».
- « Jean-Yves Vernochet : «Je pars avec le sentiment du devoir accompli» », Creusot-Infos, (lire en ligne, consulté le ).
- Tristan Aubry, « Yohann Cassier nouveau maire de Montchanin », Le Journal de Saône-et-Loire, 30/3/2023 mis à jour=31/3/2023 (lire en ligne, consulté le ) « Premier adjoint depuis 2016, Yohann Cassier succède à Jean-Yves Vernochet, démissionnaire, au poste de maire de Montchanin ».
- L'histoire du Jumelage
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no IA71000102Eglise paroissiale, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ecole », notice no IA71000103, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Écoles de filles et de garçons dites écoles Schneider, actuellement bibliothèque et école primaire Curie Pasteur », notice no IA71000107, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Logement patronal dit Château Avril », notice no IA71000106, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Logement patronal dit Château de la Tuilerie », notice no IA71000112, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Cité ouvrière des Pisés », notice no IA71000104, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Cité ouvrière dite La Cité Nouvelle », notice no IA71000105, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Logement d'ouvriers », notice no IA71000111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison Godillot », notice no IA71000113, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Immeuble à logements », notice no IA71000114, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Logement d'ouvriers », notice no IA71000115, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fonderie Henri-Paul, actuellement usines de construction mécanique et de chaudronnerie (activités liées au canal du Centre) », notice no IA71000109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ensemble d'industrie céramique de la Grande Tuilerie de Bourgogne, actuellement usine de construction mécanique et entrepôt commercial », notice no IA71000110, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Mandy Descamps, Bassin houiller de Blanzy - Concessions de Montchanin et Longpendu : Évaluation et cartographie des aléas liés aux mouvements de terrains (planches annexes), INERIS, (lire en ligne [PDF]).
- « Mine de houille dite houillères de Montchanin », notice no IA71000100, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture