En droit, la photographie est soumise à la fois au bon sens et aux normes juridiques. L'utilisation privée n'entraînerait pas de conflits juridiques ; toutefois, pour les questions de vie privée et de droits d'auteur, ainsi que pour les risques d'espionnage, de terrorisme et de harcèlement[1], les lois, lorsqu'elles existent, peuvent être compliquées en favorisant la rareté de la liberté d'expression[2].
Les bâtiments de l'Union européenne, tels que la Tour Eiffel de nuit et l'Atomium controversé, font partie des exemples d'interdictions, les personnes qui les distribuent se voyant infliger des amendes. En effet, la France, la Belgique et l'Italie n'adoptent pas de clause optionnelle pour la liberté de panorama[3],[4].
Notes et références
- (es) Confidencial Digital, « Prohibido grabar y fotografiar a funcionarios en su puesto de trabajo. Protección de Datos declara también ilegal que los jefes les tomen imágenes para castigar el absentismo », sur Confidencial Digital, (consulté le )
- (es-MX) « Prohibido tomar fotos », sur www.milenio.com (consulté le )
- Europa Press, « Multas por compartir una foto nocturna de la Torre Eiffel », sur www.europapress.es, (consulté le )
- (es) « Insólito: multa por compartir una foto de la Torre Eiffel », sur Todo Noticias, (consulté le )