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• 17 février 2025 : La NASA lance une sonde pour étudier un astéroïde riche en métaux
• 17 février 2025 : Oldřich Pelčák est mort à 79 ans
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La nébuleuse du Crabe (M1, NGC 1952, Taurus A, Taurus X-1) est un rémanent de supernova résultant de l'explosion d'une étoile massive en supernova historique (SN 1054) observée par un astronome chinois durant la période de la dynastie Song de juillet 1054 à avril 1056. La nébuleuse a été observée pour la première fois en 1731 par John Bevis, puis en 1758 par Charles Messier qui en fait le premier objet de son catalogue (catalogue Messier). Son nom traditionnel remonte au XIX^e siècle, époque où William Parsons, troisième comte de Rosse, observe la nébuleuse au château de Birr dans les années 1840 et y fait référence sous le nom de nébuleuse du Crabe en raison d'un dessin qu'il en fait qui ressemble à un crabe. La nébuleuse du Crabe ne doit pas être confondue avec la nébuleuse planétaire Hen2-104, parfois appelée « nébuleuse australe du Crabe » du fait de sa ressemblance considérée comme plus manifeste avec le crustacé éponyme.

Située à une distance de ∼ 6 200 a.l. (∼ 1 900 pc) de la Terre, dans la constellation du Taureau, la nébuleuse a un diamètre de ∼ 10 a.l. (∼ 3,07 pc) et sa vitesse d'expansion est de 1 500 km/s, caractéristiques typiques pour un rémanent de cet âge. C'est le premier objet astronomique à avoir été associé à une explosion historique de supernova.

La nébuleuse contient en son centre un pulsar, le pulsar du Crabe (ou PSR B0531+21) qui tourne sur lui-même environ trente fois par seconde. Il s'agit du pulsar le plus énergétique connu, rayonnant environ 200 000 fois plus d'énergie que le Soleil, dans une gamme de fréquence extrêmement vaste, s'étalant de 10 mégahertz à plus de 30 GeV, soit près de 18 ordres de grandeurs. Le pulsar joue un rôle important dans la structure de la nébuleuse, étant entre autres responsable de son éclairement central.

Située à proximité immédiate du plan de l'écliptique, la nébuleuse est aussi une source de radiations utile pour l'étude des corps célestes qui l'occultent. Dans les années 1950 et 1960, la couronne solaire a été cartographiée grâce à l'observation des ondes radio de la nébuleuse du Crabe. Plus récemment, l'épaisseur de l'atmosphère de Titan, la lune de Saturne, a été mesurée grâce aux rayons X de la nébuleuse.

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• Généralités :

• Système solaire (par distance au Soleil) :

• Gǃkúnǁʼhòmdímà et son satellite Gǃòʼé ǃHú sont des objets transneptuniens dont les noms, approuvés le 6 avril 2019 par l'Union astronomique internationale, proviennent du juǀʼhoan, une langue de Namibie qui utilise des clics.

• Le Messier, ancienne constellation représentée dans les atlas astronomiques par la figure du messier (un garde champêtre sous l'ancien régime) fut inventée par l'astronome Jérôme Lalande en 1779 afin d'honorer l'astronome Charles Messier.

• Plus de 1 270 000 planètes mineures sont connues au 22 mai 2025 dans le système solaire.

• La planète naine Hauméa aurait pu s'appeler Atécine mais les noms de divinités chthoniennes étant réservés aux plutinos — ces transneptuniens, comme Pluton, en résonance 2:3 avec Neptune — le nom fut rejeté car le corps est en résonance 7:12 avec Neptune.

• Le 29 mars 1974, Mariner 10 devenait la première sonde à survoler Mercure. Cette sonde est également la première à utiliser l'assistance gravitationnelle d'une planète, à savoir en l'occurrence Vénus, pour modifier sa vitesse et sa trajectoire afin d'atteindre sa destination.

• Les naines jaunes (photo) sont un type d'étoiles dont le Soleil fait partie.

• Éris, identifiée en 2005, est le plus massif des plutoïdes actuellement connus. La découverte de cet objet a poussé l'Union astronomique internationale à définir le terme « planète » pour la première fois de façon formelle.

• À peu près toutes les grosses galaxies possèdent un trou noir supermassif en leur centre, comme c’est le cas dans notre propre galaxie, la Voie lactée.

• Parmi les étoiles visibles à l’œil nu, 18 Scorpii de la constellation du Scorpion est celle qui présente le plus de similarités physiques avec le Soleil.

• Le lac Ontario est le premier lac extraterrestre découvert, observé sur Titan, satellite naturel de Saturne.

• La première planète extrasolaire orbitant autour d'une étoile semblable à notre Soleil, 51 Pegasi b, a été découverte grâce à des observations effectuées en France, à l’observatoire de Haute-Provence en 1995.

• L'imagerie Zeeman-Doppler est une technique utilisée pour cartographier le champ magnétique des étoiles.

• Sur Vénus, la deuxième planète du système solaire, la température au sol n’est jamais inférieure à 446 °C, faisant de Vénus la planète dont la surface est la plus chaude de notre système.

• Plus la magnitude d'un objet est faible, plus celui-ci est brillant.

• Une Jupiter chaude est une exoplanète ayant une masse proche de celle de Jupiter, mais orbitant beaucoup plus près de son étoile que cette dernière.

• Le système LINEAR a détecté à lui seul plus de 211 849 astéroïdes entre 1998 et le 21 octobre 2004, dont 1622 géocroiseurs et 142 qui se sont révélés être des comètes.

• Avec leur diamètre de plus de 5 000 kilomètres, Ganymède (satellite de Jupiter) et Titan (satellite de Saturne) dépassent tous les deux en taille la planète Mercure.

• La galaxie d'Andromède et la Voie lactée entreront en collision dans 4 milliards d'années.

• Quand le Soleil n'aura plus assez d'hydrogène, il se transformera en une étoile de taille énorme, une géante rouge ; c'est ce qui se produira dans 4,5-5 milliards d'années.