Technopedia Center
PMB University Brochure
Faculty of Engineering and Computer Science
S1 Informatics S1 Information Systems S1 Information Technology S1 Computer Engineering S1 Electrical Engineering S1 Civil Engineering

faculty of Economics and Business
S1 Management S1 Accountancy

Faculty of Letters and Educational Sciences
S1 English literature S1 English language education S1 Mathematics education S1 Sports Education
  • Registerasi
  • Brosur UTI
  • Kip Scholarship Information
  • Performance
  1. Weltenzyklopädie
  2. Service de documentation extérieure et de contre-espionnage — Wikipédia
Service de documentation extérieure et de contre-espionnage — Wikipédia 👆 Click Here! Read More..
48° 52′ 28″ N, 2° 24′ 26″ E
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis SDECE)

Service de documentation extérieure et de contre-espionnage
Décret portant création du Service de documentation extérieure et de contre–espionnage (SDECE), version préparatoire annotée par le président du Conseil, Charles de Gaulle. Le décret est pris en Conseil des ministres le 28 décembre 1945 et promulgué le 4 janvier 1946, mais non publié au Journal officiel[1],[2],[3],[4]. Archives nationales de France.
Décret portant création du Service de documentation extérieure et de contre–espionnage (SDECE), version préparatoire annotée par le président du Conseil, Charles de Gaulle. Le décret est pris en Conseil des ministres le 28 décembre 1945 et promulgué le 4 janvier 1946, mais non publié au Journal officiel[1],[2],[3],[4]. Archives nationales de France.

Création 28 décembre 1945
Disparition 2 avril 1982
Juridiction Gouvernement de la République française
Siège Drapeau de la France 141, boulevard Mortier, Paris 20e
Coordonnées 48° 52′ 28″ N, 2° 24′ 26″ E
Budget annuel 70 millions de francs (dont 35 en fonds spéciaux) (1971)

Carte

Précédent Direction générale des Études et Recherches (DGER) Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE) Suivant
modifier 

Le Service de documentation extérieure et de contre-espionnage, ou SDECE (prononcé /zdɛk/), est le service de renseignement extérieur français créé le 28 décembre 1945 et devenu la direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE) le 2 avril 1982[5]. Il ne prend pas pour autant la fonction du Deuxième Bureau qui reste alors consacré au renseignement militaire traditionnel.

Sous la Quatrième République, le SDECE est subordonné au président du Conseil. Avec l'instauration de la Cinquième République et jusqu'en 1962, il est utilisé par le Premier ministre Michel Debré et se montre particulièrement efficace pendant la guerre d'Algérie. À la suite de l'enlèvement et de l'assassinat de Mehdi Ben Barka, le général de Gaulle décide de subordonner le service au ministère des Armées dirigé par Pierre Messmer, fidèle compagnon du général[5]. Le SDECE et ses cadres se militarisent lentement.

Sa devise était « Ad augusta per angusta » (« Vers les sommets par des chemins étroits »)[6]. Cette devise est le mot de passe des conjurés dans Hernani de Victor Hugo (1830)[7].

Organisation

[modifier | modifier le code]

Directeurs généraux du SDECE

[modifier | modifier le code]
Le général Paul Grossin, directeur général du SDECE de 1957 à 1962.
Nom et grade militaire éventuel[8] Décret de nomination
André Dewavrin alias « colonel Passy » (DGER/SDECE) avril 1945
Henri Ribière avril 1946
Pierre Boursicot (par intérim) 18 décembre 1950 [a]
Pierre Boursicot 27 avril 1951 [b]
Paul Grossin (général d'armée) 23 septembre 1957 [c]
Paul Jacquier (général de division aérienne) 31 janvier 1962 [d]
Eugène Guibaud (général de division) 22 janvier 1966 [e]
Alexandre de Marenches 6 novembre 1970 [f]
Pierre Marion (SDECE/DGSE) 22 juin 1981 [g]

Directeurs de cabinet

[modifier | modifier le code]
  • François Thierry-Mieg (nom de résistance : « Vaudreuil ») : en 1946[9]
  • Georges Barazer de Lannurien : début 1962–printemps 1964[10]
  • Guy Marienne (« Morvan ») : 1964 – ?[11]
  • Colonel Paul Durand : 1966-1970[12]
  • Didier Faure-Beaulieu : 1970 - juin 1977[13]
  • Michel Roussin : 1977-1981[14]

Directeurs du renseignement

[modifier | modifier le code]
  • Lieutenant-colonel Léonard Hounau (sous le titre de directeur de la production-exploitation) : 1946-1952[15]
  • Colonel Maurice Dumont : dates non précisées[16],[17]
  • Colonel Léonard Hounau : octobre 1963 – fin 1963[18]
  • Colonel René Bertrand (« Jacques Beaumont ») : 1964 – fin 1970
  • Colonel Tristan Richard : fin 1970 – été 1971[19]
  • Colonel Jeannou Lacaze : 1971 - juillet 1976[20]
  • Bernard Grué (d) : juillet 1976 - septembre 1977[21]
  • Général René Candelier : septembre 1977 - octobre 1979[22]
  • Colonel Alain Gaigneron de Marolles : octobre 1979 - septembre 1980[23]
  • Général Jacques Sylla Fouilland : septembre 1980 – ?[24]

Autres cadres

[modifier | modifier le code]

Le colonel Marcel Le Roy, dit Finville, a été membre puis directeur du Service 7. Un autre chef a été Marcel Chaumien[25].

Le secteur A est responsable du monde arabe et de l'Afrique subsaharienne, avant que le sous-secteur Afrique soit détaché pour former un secteur Afrique à part entière en 1960[26].

Chefs du secteur N (Afrique) : Maurice Robert (1960-1966) ; Léon Kinberg ; Jean-Louis Simon ; lieutenant-colonel Bouan dans les années 1980[25].

Organigrammes successifs

[modifier | modifier le code]

Prenant la suite d'un Bureau central de renseignements et d'action (BCRA), de la direction générale des Services spéciaux (DGSS) puis de la direction générale des Études et Recherches (DGER), construit autour de la lutte clandestine, le SDECE visait à doter la France de services modernes et renouvelés. Dirigé à ses débuts par des vétérans aguerris du BCRA comme André Manuel ou François Thierry-Mieg, le SDECE dut immédiatement faire face aux nouvelles menaces de la guerre froide[27].

À la création du SDECE, un directeur de la production-exploitation supervise les activités du service de contre-espionnage (CE ou service 23), du service de renseignement (SR ou service 25), le service des écoutes et du décryptage (service 28) qui a sous ses ordres le Groupement des contrôles radioélectriques (GCR), les services techniques (service 26) et le service des études. Le SR compte également une section d'opérations spéciales (service 25/2-4) d'ouverture de valises diplomatiques. En dehors de cette direction, le directeur-général du SDECE et son cabinet supervisent les sections administratives, financières, et de formation du personnel. Un service de sécurité interne et une section politique (service 25/9), qui assure une liaison avec la SFIO et certains partis socialistes étrangers, sont directement attachés au directeur-général Henri Ribière. Un service action (service 29) et un service des immigrés de l'Est (service 27) seront créés peu après[28].

À l'époque du retour au pouvoir du général de Gaulle (1958), les secteurs Afrique et monde Arabe du service de la recherche (SR ou service III) sont restructurés ; le contre-espionnage (service IV) se dote d'une section (E) chargée de suivre les trafics d'armes, particulièrement ceux destinés aux rebelles algériens. Le service VI dirige le poste de recherche de Paris dit base Bison, tandis que le service de recherche opérationnel (ancien service 25/2) devient service VII. Le service action est renuméroté service VIII et le service technique d'interceptions, service IX, tandis qu'un bureau des relations extérieures, chargé des liaisons avec les services étrangers et rattaché à la direction générale, est créé[29].

Fin 1970, Alexandre de Marenches restructure le SDECE sous deux grandes directions : la direction de l'infrastructure et des moyens (DIM) et la direction du renseignement (DR). La première comprend les services responsables de la gestion du personnel, des finances, de l'instruction, des services techniques et du matériel. La DR a cinq grands services : le service action (R1), le service des moyens conventionnels de la recherche (R2, recherche par zone géographique), le service de la documentation et des études (R3, recherche par thématique), le service de contre-espionnage (R4) et le service technique de la recherche (R5)[30].

En février 1979, une nouvelle réorganisation interne a lieu : la DIM devient la direction des services administratifs et financiers (DSAF) et perd ses départements des moyens techniques et de l'instruction, rattachés à la DR. Celle-ci perd le service action, qui est rattaché directement à la direction générale[31].

Au printemps 1980, Alexandre de Marenches décide de restructurer à nouveau le SDECE. Les services de la sécurité intérieure et du contre-espionnage sont coiffés par un nouveau département de la sécurité et du contre-espionnage attaché à la direction générale. Ainsi le directeur général supervise directement les services de sécurité intérieure, le contre-espionnage et le service action[32].

En juillet 1981, le nouveau directeur général du SDECE, Pierre Marion, réorganise complètement son service. Sa direction générale coiffe quatre grandes divisions : la division des affaires financières et générales (DAFG), la division de la recherche (DR) qui regroupe tous les moyens humains, techniques et opérationnels de recherche du renseignement, la division du contre-espionnage (DCE) et la division action (DA). Le service de sécurité intérieure est rattaché à la direction générale, dont dépend aussi une nouvelle subdivision « prospective, plan et évaluation »[33].

Histoire

[modifier | modifier le code]
Articles détaillés : Histoire du renseignement français et Histoire de la DGSE.

L'histoire du SDECE est riche et complexe. Le service a été fondé sur les bases du BCRA gaulliste, créé pendant la Seconde Guerre mondiale. Ces services provenaient eux-mêmes du Deuxième Bureau, le principal service de renseignement de la Troisième République. Le SDECE est fondé en Conseil des ministres en 1945. Il survit aux alternances, et est renommé en DGSE en 1982.

Membres connus

[modifier | modifier le code]

Autres membres connus

[modifier | modifier le code]
  • Colonel Pierre Fourcaud (1898-1998), Compagnon de la Libération et directeur général adjoint du SDECE (1945-1950).
  • André Manuel (1905-1991), ancien numéro deux du BCRA et secrétaire général du SDECE (1946).
  • François Thierry-Mieg (1908-1995), ancien chef de la section contre-espionnage au BCRA et directeur de cabinet de Henri Ribière au SDECE (1946-1948). L'enquête interne qu'il mènera, avec Pierre Sudreau, en avril 1946 à Londres sera à l'origine de l'« Affaire Passy »[34].
  • Claude Faure, de 1972 à 2002, auteur de Aux Services de la République, du BCRA à la DGSE (2004)[35].
  • Joseph Doudot, ancien chef des Services de contre-espionnage français, Président national fondateur de l'Amicale des anciens membres des services spéciaux de la Défense nationale (AASSDN)[36].
  • Paul-Alain Léger, parachutiste et officier du renseignement pendant la guerre d'Algérie.
  • Philippe Thyraud de Vosjoli : chef de poste à Washington de 1951 à 1963, soupçonné d'avoir fait défection auprès de la CIA.
  • Eugène Rousseau, accusé d'avoir été recruté par les services de renseignements yougoslaves (UDBA), arrêté le 7 juillet 1969 et condamné à quinze années de prison avant d'être finalement gracié par le président Pompidou à l'issue d'une importante campagne de presse en sa faveur.
  • Colonel Marcel Mercier, lié à la Main rouge.
  • Colonel Paul Fournier, dit Férère : chef du service des honorables correspondants pour l'Amérique du Nord, mis en cause par le trafiquant de drogue Roger Delouette.
  • Pierre Galopin, négociateur dans l'affaire de la prise d'otage de l'ethnologue Françoise Claustre.
  • Camille Gourvennec (en).
  • Vladimir Volkoff, auteur de la série de romans d'espionnage Langelot publiée dans la Bibliothèque verte.
  • Jean-Charles Marchiani, membre de la base Bison.
  • Jo Attia (1916-1972), truand parisien.
  • René Cailleaud, Compagnon de la Libération.
  • Bernard Nut (1935-1983), officier français de renseignement assassiné dans le sud-est de la France.

Dans la fiction à l'écran

[modifier | modifier le code]
  • 1964 : Les Barbouzes
  • 1975 : Bons Baisers de Hong Kong
  • 1981 : Le Professionnel
  • 1982 : Espion, lève-toi
  • 2006 : OSS 117 : Le Caire, nid d'espions
  • 2009 : OSS 117 : Rio ne répond plus
  • 2015-2018 : Au service de la France
  • 2021 : OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire
  • 2022 : Totems

Dans la littérature

[modifier | modifier le code]
  • 1965-1986 : la série de romans d'espionnage Langelot publiée dans la Bibliothèque verte
  • Dans le roman Le Cinquième Cavalier de Larry Collins et Dominique Lapierre paru en 1980, le directeur du SDECE fournit aux États-Unis des photographies des terroristes qui menacent Manhattan.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ Faligot et Krop 1985, p. 58.
  2. ↑ Faure 2004, p. 205.
  3. ↑ Sébastien Laurent, « Politisations et politiques du renseignement sous la Ve République », dans Sébastien Laurent (dir.), Politiques du renseignement (issu du 2d colloque organisé les 18 - 19 octobre 2007 dans le cadre du programme “Information ouverte, information fermée” (IOIF) de l'ANR), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Espace public / Histoire », 2009, 355 p. (ISBN 978-2-86781-548-5), p. 295 [lire en ligne].
  4. ↑ Bertrand Warusfel, Contre-espionnage et protection du secret : Histoire, droit et organisation de la sécurité nationale en France, Panazol, Lavauzelle, 2000, 496 p. (ISBN 2-7025-0451-5), p. 52 [lire en ligne].
  5. ↑ a et b Claude Faure, « Bref historique des services de renseignement et de sécurité français contemporains », Revue historique des armées, no 247,‎ 2007 (lire en ligne).
  6. ↑ Michel Roussin, Le gendarme de Chirac, Paris, Albin Michel, 2006, 243 p. (ISBN 2-226-17261-0), p. 112.
  7. ↑ Victor Hugo, Hernani, acte IV, scène III.
  8. ↑ Jacques Baud, Encyclopédie du renseignement et des services secrets, Paris, Lavauzelle, 1997, 524 p. (ISBN 2-7025-0406-X), p. 170.
  9. ↑ Faure 2004, p. 208.
  10. ↑ Faure 2004, p. 324, 371.
  11. ↑ Faure 2004, p. 371.
  12. ↑ Faure 2004, p. 352, 409.
  13. ↑ Faure 2004, p. 409, 434.
  14. ↑ Faure 2004, p. 434.
  15. ↑ Faligot et Krop 1985, p. 70.
  16. ↑ Jacques Isnard, « Le colonel Maurice Dumont », Le Monde, 18 août 2001.
  17. ↑ (en) Douglas Johnson, « Obituaries: Col Maurice Dumont », The Independent, 4 octobre 2001.
  18. ↑ Faure 2004, p. 331, 370.
  19. ↑ Faure 2004, p. 412, 416.
  20. ↑ Faure 2004, p. 416, 430.
  21. ↑ Faure 2004, p. 431, 435.
  22. ↑ Faure 2004, p. 435, 441.
  23. ↑ Faure 2004, p. 441, 442.
  24. ↑ Faure 2004, p. 442.
  25. ↑ a et b Jean-Pierre Bat, « Le secteur N (Afrique) et la fin de la Guerre froide », Relations internationales, Presses universitaires de France, no 165,‎ 2016 (ISBN 978-2-13-073404-8, DOI 10.3917/ri.165.0043).
  26. ↑ Jean-Pierre Bat, « L'indépendance africaine dans l'œil des espions », Africa4. Regards croisés sur l'Afrique, sur libération.fr, 27 juin 2014 (consulté le 8 février 2017).
  27. ↑ Sébastien Albertelli, Les services secrets du général de Gaulle, Paris, Perrin, coll. « Pour l'histoire », 2009, 617 p. (ISBN 978-2-262-02669-1).
  28. ↑ Faligot et Krop 1985, p. 68, passim.
  29. ↑ Faure 2004, p. 310-311, 317.
  30. ↑ Faure 2004, p. 412.
  31. ↑ Faure 2004, p. 438.
  32. ↑ Faure 2004, p. 441-442.
  33. ↑ Faure 2004, p. 466-467.
  34. ↑ Sébastien Albertelli, Pierre Sudreau (ouvrage collectif- Claire Andrieu (dir.), Rennes, Presses universitaires de France, 2017, pages 51-61.
  35. ↑ Faure 2004.
  36. ↑ Joseph Dudot (consulté le 23 août 2019).

Dans le Journal officiel de la République française (JORF), sur Légifrance :

  1. ↑ Décret du 18 décembre 1950, JORF, no 298, 19 décembre 1950, p. 12855.
  2. ↑ Décret du 27 avril 1951, JORF, no 103, 29 avril 1951, p. 4395.
  3. ↑ Décret du 23 septembre 1957, JORF, no 222, 24 septembre 1957, p. 9107.
  4. ↑ Décret du 31 janvier 1962, JORF, no 26, 1er février 1962, p. 1083.
  5. ↑ Décret du 22 janvier 1966, JORF, no 19, 23 janvier 1966, p. 645.
  6. ↑ Décret du 6 novembre 1970, JORF, no 261, 8 novembre 1970, p. 10360.
  7. ↑ Décret du 22 juin 1981, JORF, no 146, 23 juin 1981, p. 1779.

Voir aussi

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Témoignages

[modifier | modifier le code]
  • Jacques Henri et Jean-Michel Barrault, Vade-mecum du parfait agent secret, Paris, Arthaud, 1972.
    Livre satirique issu du témoignage d'un ancien responsable du contre-espionnage à New York. Voir Faligot, Guisnel et Kauffer 2012.
  • Philippe Thyraud de Vosjoli, Lamia : l'anti-barbouze, Montréal, Éditions de l'Homme, 1972.
  • Monique Thyraud de Vosjoli et Philippe Thyraud de Vosjoli, Le Comité, Montréal, Éditions de l'Homme, 1975, 315 p. (ISBN 0-7759-0462-7).
  • Robert Lemoine et Patrick Faure, Profession barbouze, Paris, éditions Alain Lefeuvre, coll. « Témoignages », 1980, 267 p. (ISBN 2-902639-42-2).
  • Philippe Bernert, SDECE, Service 7 : l'histoire extraordinaire du colonel Le Roy-Finville et de ses clandestins, Paris, Presses de la Cité, 1980, 410 p. (ISBN 2-258-00786-0).
  • Erwan Bergot, 11e Choc, Paris, Presses de la Cité, coll. « Troupes de choc » (no 45), 1986, 313 p. (ISBN 2-258-01788-2).
  • Christine Ockrent et Alexandre de Marenches, Dans le secret des princes, Paris, Stock, 1986, 341 p. (ISBN 2-234-01879-X).
  • (en) Alexandre de Marenches et David A. Andelman, The Fourth World War : Diplomacy and Espionage in the Age of Terrorism, New York, William Morrow, 1992, 281 p. (ISBN 0-688-09218-7).
  • Jean-Pierre Lenoir, Un espion très ordinaire : L'histoire vue du SDECE, Paris, Albin Michel, 1998, 246 p. (ISBN 2-226-10614-6).
  • Maurice Robert, « Ministre » de l'Afrique : Entretiens avec André Renault, Paris, Seuil, 2004, 410 p. (ISBN 2-02-062976-3).
  • Michel Roussin, Le Gendarme de Chirac, Paris, Albin Michel, 2006, 243 p. (ISBN 2-226-17261-0).
  • Jean-Christophe Notin, Le maître du secret : Alexandre de Marenches, légende des services secrets français, Paris, Tallandier, 2018, 555 p. (ISBN 979-10-210-3129-6)
    Biographie d'Alexandre de Marenches, directeur du SDECE de 1970 à 1981.

Ouvrages journalistiques et historiques

[modifier | modifier le code]
  • Gérald Arboit (préf. général (2s) Michel Masson), Des services secrets pour la France : Du Dépôt de la Guerre à la DGSE, 1856-2013, Paris, CNRS Éditions, 2014, 444 p. (ISBN 978-2-271-07886-5, 978-2-271-08038-7 et 978-2-271-08039-4, lire en ligne).
  • Roger Faligot, Jean Guisnel et Rémi Kauffer, Histoire politique des services secrets français : de la Seconde Guerre mondiale à nos jours, Paris, La Découverte, coll. « Cahiers libres », 2012, 734 p. (ISBN 978-2-7071-6741-5).
  • Roger Faligot et Pascal Krop, La Piscine : les services secrets français (1944-1984), Paris, Seuil, coll. « L'Épreuve des faits » (no 10), 1985, 426 p. (ISBN 2-02-008743-X).
  • Claude Faure, Aux services de la République : du BCRA à la DGSE, Paris, Fayard, 2004, 782 p. (ISBN 2-213-61593-4 et 978-2-213-66039-4, lire en ligne).
  • Philippe Millour et Gaston Erlom, Le Service Action d'Extrême-Orient, 1944-1945, Paris, Histoire & Collections, 2022, 207 p. (ISBN 979-1-038-01288-2).

Enquêtes

[modifier | modifier le code]
  • Gilles Perrault, L'Erreur (sur l'affaire Eugène Rousseau), Paris, Fayard, 1971, 229 p. ; rééd. 2008 (ISBN 978-2-213-63822-5 et 978-2-213-65643-4) [lire en ligne].

Articles connexes

[modifier | modifier le code]
  • Groupe de renseignements et d'exploitation (GRE)
  • Bureau d'études et liaison
  • Service Action
v · m
Services de renseignement français
Anciens services
Ancien Régime
  • Cabinet noir
  • Secret du Roi
IIIe République et Gouvernement provisoire
  • 2e Bureau
  • Bureau des menées antinationales
  • Brigades spéciales (BS)
  • Bureau central de renseignements et d'action (BCRA)
  • Direction générale des Services spéciaux (DGSS)
  • Direction générale des Études et Recherches (DGER)
IVe République et
Ve République
  • Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE)
  • Direction de la Surveillance du territoire (DST)
  • Direction de la sécurité militaire (DSM)
  • Direction centrale des Renseignements généraux (DCRG)
  • Unité de coordination de la lutte antiterroriste (UCLAT)
Communauté du renseignement
Armées
  • Direction du Renseignement militaire (DRM)
  • Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense (DRSD)
  • Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE)
Intérieur
  • Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI)
Économie
  • Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED)
  • Traitement du renseignement et action contre les circuits financiers clandestins (TRACFIN)
Autres
  • Coordination nationale du renseignement et de la lutte contre le terrorisme (CNRLT)
  • Inspection des services de renseignement (ISR)
  • Académie du renseignement
Autres organismes
Contrôle
  • Délégation parlementaire au renseignement (DPR)
  • Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR)
Interministériel Conseil national du renseignement (CNR)
Intérieur
  • Sous-direction anti-terroriste (SDAT)
  • Direction nationale du renseignement territorial (DNRT)
  • Direction du Renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP)
  • Bureau de la lutte anti-terroriste (BLAT)
  • Sous-direction de l'anticipation opérationnelle (SDAO)
Justice
  • Service national du renseignement pénitentiaire (SNRP)
Voir aussi :
  • Histoire du renseignement français
v · m
Guerre d'Algérie
Partisans de l'Algérie française
État français
Personnalités
  • François Mitterrand
  • Charles de Gaulle
  • André Achiary
  • Robert Lacoste
  • IVe République
  • Ve République
Repressions de manifestations
  • Répression au métro Charonne de la manifestation du 8 février 1962
  • Massacre du 17 octobre 1961
Services secrets et police parallèle
  • Service de documentation extérieure et de contre-espionnage
  • Mouvement pour la communauté
  • Service d'action civique
  • Affaire Camille Petitjean
  • Barbouze
  • Opération Oiseau bleu
  • Opération homo
  • La Main rouge (groupe armé)
  • Liste d'attentats de la Main rouge
OAS
Personnalités
  • Raoul Salan
  • Edmond Jouhaud
  • Yves Godard
  • Jean-Jacques Susini
  • Jean-Claude Perez
Attentats
  • Liste d'attentats de l'OAS
  • Attentat du Petit-Clamart
  • Opération Rock and Roll
  • Attentat d'Issy-les-Moulineaux
  • Attentat du port d'Alger
  • Attentat de l'université d'Alger
  • Assassinat du général Ginestet
Commando Delta
Personnalités
  • Roger Degueldre
  • Albert Dovecar
Attentats
  • Assassinat de Château-Royal
Armée française
Personnalités
  • André Beaufre
  • Déodat du Puy-Montbrun
  • Jacques Massu
  • Joseph Katz
  • Marcel Bigeard
  • Paul Aussaresses
  • Pierre Jeanpierre
  • Rabah Kheliff
  • Raoul Salan
  • René Sentenac
  • Jean Pouget
  • Philippe Ginestet
Batailles et opérations
  • Opération Eckhmül
  • Opération Aloès
  • Opération Véronique
  • Opération Violette
  • Opération Timgad
    • Première bataille d'El Djorf
  • Détournement de l'avion du FLN
  • Bataille d'El Djorf
  • Opération Massu
  • Bataille d'Alger
  • Bataille de Bouzegza
  • Bleuite
  • Bataille de Timimoun
  • Opération Jumelles
  • Bataille des Frontières (guerre d'Algérie)
  • Opération Résurrection
  • Opération Couronne
  • Opération Brumaire
  • Bleuïte
  • Combat du Fedj Zezoua
  • Plan Challe
  • Bataille de Bab El Oued
Unités engagées
  • Division (puis corps d'armée) d'Alger
  • Division (puis corps d'armée) de Constantine
  • Division (puis corps d'armée) d'Oran
  • Appelé du contingent lors de la guerre d'Algérie
  • Commando Georges
  • Commandos de chasse
  • Unité territoriale (militaire)
  • Bureau d'études et liaison
  • Compagnies nomades d'Algérie
  • 1re demi-brigade coloniale de commandos parachutistes
  • Commandos noirs
  • Commando Alcazar
Massacres, torture
  • Massacres de Sétif, Guelma et Kherrata (représailles)
  • Torture pendant la guerre d'Algérie (Villa Sésini, Ferme Ameziane, Ferme Gauthier, Ferme Lucas)
  • Massacres d'août 1955 dans le Constantinois (représailles)
  • Massacre de Beni Oudjehane
  • Fusillade de la rue d'Isly
  • Bombardement de Sakiet Sidi Youssef
  • Armes chimiques
  • Crevette Bigeard
  • Guerre des grottes
Coup d'État du 13 mai 1958
  • Groupe des sept
  • Pierre Lagaillarde
  • Raoul Salan
  • Edmond Jouhaud
  • Jean Gracieux
  • Philippe Auboyneau
  • Robert Martel
  • Jean-Robert Thomazo
Putsch des généraux
  • Maurice Challe
  • Edmond Jouhaud
  • Raoul Salan
  • André Zeller
Autres
  • Ligne Morice
  • Ligne Challe
  • Sections administratives spécialisées
Organisation de la résistance de l'Algérie française (ORAF)
  • Attentat de la rue de Thèbes
  • René Kovacs
  • Affaire du bazooka
  • Liste d'attentats de l'ORAF
Harki
  • Harkettes
  • Harkis pendant la guerre d'Algérie
  • Camps de transit et de reclassement pour les harkis
  • Moghazni
  • Groupe d'autodéfense
  • Groupe mobile de sécurité
  • Groupe mobile de police rurale
Intellectuels
  • Manifeste des intellectuels français pour la résistance à l'abandon
Front Algérie française
  • Saïd Boualam
Partisans de l'indépendance de l’Algérie
Front de libération nationale (FLN) et Armée de libération nationale (ALN)
Personnalités
  • Comité révolutionnaire d'unité et d'action
    • Mostefa Ben Boulaïd
    • Krim Belkacem
    • Larbi Ben M'hidi
    • Abane Ramdane
    • Rabah Bitat
    • Didouche Mourad
  • Réseau bombes
    • Djamila Bouhired
    • Zohra Drif
    • Ali la Pointe
    • Hassiba Ben Bouali
    • Yacef Saâdi
    • Baya Hocine
  • Si Salah
  • Wilaya (guerre d'Algérie)
  • Fédération de France du FLN
  • Déserteurs de l'armée française durant la guerre d'Algérie
  • Amirouche Aït Hamouda
  • État-major général
  • Organisation spéciale
    • Mohamed Boudiaf
  • Ali Zamoum
  • Amar Ouamrane
  • Abbas Laghrour
  • Adjoul-Adjoul
  • Bachir Chihani
  • Slimane Asselah
Attentats, massacres
  • Liste d'attentats et massacres du FLN
  • Massacres de Sétif, Guelma et Kherrata
  • Toussaint rouge
  • Massacres d'août 1955 dans le Constantinois
  • Massacres des harkis
  • Massacre de Melouza
  • Attentat du Milk-Bar
  • Attentat du casino de la corniche
  • Sourire kabyle
  • Massacre d'Oran
  • Embuscade de Palestro
Organisations politiques
Personnalités
  • Conseil national de la Révolution algérienne
  • Comité de coordination et d'exécution
  • Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD)
  • Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA)
    • Benyoucef Benkhedda
  • Union démocratique du Manifeste algérien
    • Ferhat Abbas
  • Déclaration du 1er novembre 1954
  • Mouvement national algérien
    • Messali Hadj
    • Mohammed Bellounis
Parti communiste algérien
  • Combattants de la libération
  • Bachir Hadj Ali
  • Larbi Bouhali
  • Daniel Timsit
Parti communiste français
et Gauche française
Militants
  • Maurice Audin
  • Fernand Iveton
  • Djamila Amrane-Minne
  • Henri Maillot
  • Henri Curiel
  • Francis Jeanson
  • Janine Cahen
  • Hélène Cuenat
  • Soldats du refus
Intellectuels
  • Jean-Paul Sartre
  • Albert Camus
  • Henri Alleg
  • Manifeste des 121
  • Appel pour une trêve civile
  • Claude Bourdet
  • Jean-Jacques Servan-Schreiber
  • Jacques Vergès
  • Frantz Fanon
Autres
  • Réseau Jeanson
  • Jacques Charby
  • Jean-Marie Boëglin
  • Pieds-rouges
  • Liste d'attentats des communistes
Église catholique en France
Personnalités
  • Robert Davezies
  • Jacques Pâris de Bollardière
  • Dossier Müller
  • Jean Scotto
  • Jean Tissot
Libéraux d'Algérie
  • Alain Accardo
  • Antoine Blanca
  • Louis Bénisti
  • Pierre Bourdieu
  • Edmond Charlot
  • Pierre Chaulet
  • Evelyne Chauvin
  • Jacques Chevallier
  • Léon-Étienne Duval
  • Mouloud Feraoun
  • Marc Ferro
  • Jean Foscoso
  • Jean de Maisonseul
  • Saadia Mebarek
  • Louis Miquel
  • Claude Olivieri
  • Maurice Perrin
  • Pierre Popie
  • Emmanuel Roblès
  • Abdelmalek Sayad
  • Roland Simounet
  • René Sintès
  • Jean Sprecher
  • Germaine Tillion
  • Pierre Vidal-Naquet
Chronologie de la guerre d'Algérie
  • Toussaint rouge (1 novembre 1954)
  • Congrès de la Soummam (13 août au 20 août 1956)
  • Coup d'État du 13 mai 1958
  • Je vous ai compris (4 juin 1958)
  • Référendum constitutionnel français du 28 décembre 1958
  • Cinquième République (4 octobre 1958)
  • Paix des Braves (23 octobre 1958)
  • Semaine des barricades (24 janvier au 1er février 1960)
  • Affaire Si Salah
  • Manifestations de décembre 1960
  • Référendum sur l'autodétermination de l'Algérie (8 janvier 1961)
  • Putsch des généraux (21 avril 1961)
  • Manifestation du 17 octobre 1961
  • Accords d'Évian (18 mars 1962)
  • Référendum sur l'indépendance de l'Algérie (1er juillet 1962)
  • Déclaration d'indépendance de l'Algérie (5 juillet 1962)
  • Massacre d'Oran (5 juillet 1962)
  • Exode des pieds-noirs (principalement entre 1962 et 1965)
  • Massacres des harkis (du 19 mars 1962 jusqu'au cours de l'année 1963)
Autres
  • Grève des étudiants algériens de 1956
  • Attentats pendant la guerre d'Algérie
  • Pieds-noirs
  • Partition de l'Algérie
  • Crise de l'été 1962
  • icône décorative Portail du renseignement
  • icône décorative Portail du droit français
Ce document provient de « https://fr.teknopedia.teknokrat.ac.id/w/index.php?title=Service_de_documentation_extérieure_et_de_contre-espionnage&oldid=228653958 ».
Catégories :
  • Service de documentation extérieure et de contre-espionnage
  • Guerre d'Algérie
  • Organisme fondé en 1945
  • Organisme disparu en 1982
Catégories cachées :
  • Page avec coordonnées similaires sur Wikidata
  • Article géolocalisé en France
  • Infobox mapframe sans ID de relation OSM sur Wikidata
  • Article utilisant une Infobox
  • Article contenant un appel à traduction en anglais
  • Portail:Renseignement/Articles liés
  • Portail:Droit français/Articles liés
  • Portail:Droit/Articles liés
  • Portail:Société/Articles liés
  • Portail:France/Articles liés
  • Portail:Europe/Articles liés
  • Page avec des cartes

  • indonesia
  • Polski
  • الرية
  • Deutsch
  • English
  • Español
  • Français
  • Italiano
  • مصر
  • Nederlands
  • 本語
  • Português
  • Sinugboanong Binisaya
  • Svenska
  • Українска
  • Tiếng Việt
  • Winaray
  • 中文
  • Русски
Sunting pranala
Pusat Layanan

UNIVERSITAS TEKNOKRAT INDONESIA | ASEAN's Best Private University
Jl. ZA. Pagar Alam No.9 -11, Labuhan Ratu, Kec. Kedaton, Kota Bandar Lampung, Lampung 35132
Phone: (0721) 702022
Email: pmb@teknokrat.ac.id