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Le , il prend part à l'épreuve junior aux championnats du monde de cross-country à Aarhus. Il prend le premier les commandes de la course mais se fait ensuite doubler par les Éthiopiens Milkesa Mengesha et Tadese Worku. Il perd du terrain alors que son compatriote Oscar Chelimo récupère la troisième place. Samuel Kibet termine à la neuvième place. Il remporte la médaille d'argent au classement par équipes[1]. Le , il prend le départ du 10 000 mètres aux championnats d'Afrique juniors d'athlétisme à Abidjan. Il réalise une solide course et s'empare de la médaille d'argent en 28 min 22 s 26 derrière le Kényan Bravin Kipkogei Kiptoo[2].
Le , il prend le départ de l'épreuve de montée et descente des championnats du monde de course en montagne et trail à Chiang Mai. Il forme un groupe de tête avec ses compatriotes et mène la course, suivi dans un premier temps par le Mexicain Everardo Moreno. Tandis que ce dernier finit par lever le pied, le Kényan Patrick Kipngeno parvient à s'immiscer dans le groupe ougandais. Samuel Kibet creuse une légère marge d'avance pour se distancier de Timothy Toroitich et Patrick Kipngeno en lutte pour la seconde place. Samuel Kibet franchit la ligne d'arrivée le premier avec onze secondes d'avance sur Patrick Kipngeno. Il devient le sixième Ougandais durant les huit dernières éditions et le septième au total à remporter le titre de champion du monde de course en montagne. Avec ses coéquipiers groupés derrière Patrick Kipngeno, il remporte également l'or au classement par équipes[3].
Le , il s'élance sur la course Marseille-Cassis comme grand favori en l'absence du tenant du titre, Hassan Chahdi. Il domine l'épreuve du début à la fin et s'impose en 1 h 0 min 36 s[4].