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La zédification est un procédé photographique de création d'images à profondeur de champ étendue à partir de la fusion des zones nettes d’une série d’images à mise au point étagée. Il est synonyme de l’expression anglaise « focus stacking ».
Le terme est apparu vers 2010 comme proposition de remplacement de « focus stacking »[1]. Des usages sont référencés depuis sur le Web.
Ce procédé a connu des précurseur à l’époque argentique (photosynthèse de M.Locquin, collages de J.Delly de parties de tirages (livre photomacrography chez Kodak vers 1970) , ou encore des techniques de « balayage » en argentique, utilisées par exemple par le système Dynaphot, ou par Sébastien Woehl).
Mais il n’a pu être utilisé efficacement qu’à partir du développement de la photographie numérique et de logiciels associés. Les premiers logiciels universitaires datent des années 1990. Les premiers logiciels commerciaux des années 2000 (Zerene Stacker, Helicon focus...).
La zédification se compose de la réalisation d’une série (ou pile) d’images avec variation de mise au point ou « focus bracketing », suivie de la synthèse de l'image finale par fusion des zones nettes par un logiciel adapté.
Cette technique a été utilisée en proxiphotographie dès 2010 par Philippe Martin, sous le nom de « hyperfocus » [2]. Mais son principal domaine est la macrophotographie car la profondeur de champ y est très contrainte[3]. Les photographes de microminéraux ont en particulier bénéficié de cette technique qui nécessite que le sujet ne bouge pas durant la phase de focus bracketing. Mais des photographes d'insectes peuvent utiliser aussi cette technique depuis que des firmes comme Nikon ou Olympus ont introduit un mode automatique de focus bracketing via le moteur autofocus en un temps assez bref. (mode "prise de vue avec décalage de mise au point " chez Nikon)