Robecq | |||||
La mairie. | |||||
![]() Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Hervé Deroubaix 2020-2026 |
||||
Code postal | 62350 | ||||
Code commune | 62713 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Robecquois | ||||
Population municipale |
1 320 hab. (2022 ![]() |
||||
Densité | 125 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 35′ 48″ nord, 2° 33′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 16 m Max. 20 m |
||||
Superficie | 10,56 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lillers | ||||
Législatives | 9e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | village-de-robecq.fr | ||||
modifier ![]() |
Robecq est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Robecquois. La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais, Robecq est une commune rurale, traversée par le canal d'Aire à la Bassée, située à 10 km au nord-ouest de la commune de Béthune (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes. Les communes limitrophes sont Busnes, Calonne-sur-la-Lys, Gonnehem, Mont-Bernanchon, Saint-Floris et Saint-Venant.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 10,56 km2 ; son altitude varie de 16 à 20 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune, située dans le bassin Artois-Picardie[2], est, selon le Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre), drainée par sept cours d'eau :
- le canal d'Aire à la Bassée, d'une longueur de 39,29 km, qui prend sa source dans la commune de Bauvin et se jette dans La Lys au niveau de la commune d'Aire-sur-la-Lys[3] ;
- la Clarence, d'une longueur de 32,7 km, qui prend sa source dans la commune de Sains-lès-Pernes et se jette dans la Vieille Lys aval au niveau de la commune de Calonne-sur-la-Lys[4] ;
- la Nave, d'une longueur de 21,88 km, qui prend sa source dans la commune de Fontaine-lès-Hermans et se jette dans la Clarence[5] ;
- la rivière de Busnes, d'une longueur de 12,64 km, qui prend sa source dans la commune de Lillers et se jette dans la Lys, au niveau de la commune de Haverskerque[6] ;
- le Courant de la Demingue, d'une longueur de 7,47 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Venant et se jette dans la Lys, au niveau de la commune de Merville[7] ;
- l'Eclème, d'une longueur de 4,52 km qui prend sa source dans la commune de Busnes et se jette dans la rivière de Busnes au niveau de la commune[8] ;
- le courant de la demingue, d'une longueur de 0,97 km qui prend sa source dans la commune et se jette dans la rivière de Busnes au niveau de la commune de Busnes[9].
Et par deux petits cours d'eau aux toponymes hydrographiques inconnus[10],[11].

Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 707 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 7 km à vol d'oiseau[14], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Robecq est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[Insee 2],[Insee 3]. La commune est en outre hors attraction des villes[Insee 4],[Insee 5].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (97,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,9 %), prairies (16,9 %), zones urbanisées (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[19].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Rosbeccam en 1104, Rosbeca en 1152, Rosbecca en 1163[20] ; Rosbeca en 1184 ; Robeca en 1194 ; Robecca en 1202 ; Rosbeke en 1221 ; Rosbek en 1221 ; Robieke en 1294 ; Robecque en 1357 ; Robeique en 1366 ; Robecques en 1435 ; Raubeka vers 1512 ; Robech en 1590 ; Roobecque en 1720 ; Robecq au XVIIIe siècle[21] ; Robecq en 1793 et depuis 1801[1].
Il s'agit d'un type toponymique courant, dans ce cas issu de l'ancien néerlandais, la forme issu du vieux bas francique ayant généralement été latinisée en Rosbaci- ou Resbaci-. C'est un composé des éléments ancien néerlandais *raus > *ros (cf. ancien français ros dont le diminutif rosel a donné roseau) et bēke « ruisseau ». La rivière qui irrigue le village s'appelle aujourd'hui la Clarence (la rivière claire). Homophonie partiellement fortuite avec le Robec, rivière traversant Rouen.
Le vieux bas francique explique en revanche les composés analogues Rebais, Rebets, Roubaix, etc.
Histoire
[modifier | modifier le code]En 1583, Louis de Saint-Omer (maison de Saint-Omer) est seigneur de Robecq[22].
Le , des lettres de Madrid érigent la terre et seigneurie de Robecque (Robecq) en principauté au bénéfice de Jean de Montmorency (maison de Montmorency), en y incorporant la ville et vicomté d'Aire, les villages de Blessy, Blesselles, Saint-Quentin, Glomenghen, Famechon.
Jean de Montmorency est ainsi prince de Robecq, marquis de Morbecque, comte d'Estaires, vicomte d'Aire, baron d'Haverskerque et des Wastines, seigneur de Robecq et de Bersée[23].
En 1724, un membre de la famille d'Oignies, François Joseph d'Oignies est baron de Robecq, et possesseur d'une seigneurie dans la châtellenie de Bourbourg. Son frère Louis Théodore est baron d'Oignies et prêtre de l'église Saint-Donat de Bruges[24].
D'après l'historien français Auguste de Loisne : « Robecq (érection en principauté de 1634) faisait partie de la gouvernance de Béthune en 1789 et avait une coutume locale rédigée en 1507 suivant la coutume d’Artois. Son église paroissiale, d’abord diocèse de Thérouanne, puis de Saint-Omer, doyenné de Lillers, était consacrée à saint Maurice ; l’abbé de Saint-Augustin-lez-Thérouanne présentait à la cure[25]. »
La commune est décorée de la croix de guerre 1914-1918 par décret du , distinction également attribuée à 276 autres communes du Pas-de-Calais[26].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais[Insee 6].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et totalise 275 327 habitants en 2021[Insee 6].
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton de Lillers[Insee 6].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la neuvième circonscription du Pas-de-Calais[27].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Instances de démocratie participative
[modifier | modifier le code]La commune s'est dotée d'un Conseil municipal des jeunes[33].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Robecquois[34].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].
En 2022, la commune comptait 1 320 habitants[Note 5], en évolution de −3,51 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 685 hommes pour 666 femmes, soit un taux de 50,70 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]
- L'espace culturel Au coin de l'Espérance comprenant une bibliothèque et une salle de musique.
- Le monument aux morts, surmonté d'une croix de guerre[39].
- Le monument, en trois éléments, érigé à l'intersection de la rue Saint-Venant et la rue de l'Eclème, en souvenir des combats de la bataille de Dunkerque lors de la Seconde Guerre mondiale[39].
- La borne commémorative élevée par le gouvernement portugais à l’endroit où fut repoussé l’armée allemande en avril 1918. Au total, sept bornes sont élevées : deux à Hinges, une à Mont-Bernanchon, à Saint-Floris, Essars, Beuvry-le-Hamel[40].
- Le cimetière militaire britannique (intercommunal avec Saint-Venant).
- Le sentier pédestre fléché.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]![]() |
Blason | De gueules à la bande d'or accompagnée de six billettes du même ordonnées en orle[41].
|
---|---|---|
Détails | Adopté par la municipalité en . |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[42] :
- G. Lados, Robecq autrefois, souvenirs et anecdotes, Robecq, 1998.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel de la commune
- Dossier de la commune sur la base nationale sur l'intercommunalité (BANATIC) du Ministère de l'intérieur (DGCL), [lire en ligne]
- Dossier complet de la commune sur le site de l'Insee[Note 6], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN[Note 7], [lire en ligne]
- « La commune » sur Géoportail.
- Le réseau France services pour la région Hauts-de-France, [lire en ligne]
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- ↑ Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- ↑ Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- ↑ Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune, le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- ↑ "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Insee
[modifier | modifier le code]- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- ↑ Insee, « Métadonnées de la commune de Robecq ».
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Robecq (62713) », (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - canal d'Aire à la Bassée (E35-0282 ) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Clarence (E3640620 ) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Nave (E3640630 ) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière de Busnes (E3630770) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Courant de la Demingue (E36-0150) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - Eclème (E3630820) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - courant de la Demingue (E3630780) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - cours d'eau au toponyme hydrographique inconnu (E3631170) » (consulté le )
- ↑ Sandre, « Fiche cours d'eau - cours d'eau au toponyme hydrographique inconnu (E3630830) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- ↑ « Orthodromie entre Robecq et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1978.
- ↑ « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- ↑ Jules Rouyer, « Recherches historiques sur le chapitre et l'église collégiale de Saint-Pierre d'Aire », dans Mémoire de la Société des antiquaires de la Morinie, 1858, Saint-Omer, p. 250, vue 734, lire en ligne.
- ↑ Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 242, lire en ligne.
- ↑ Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, , p. 119.
- ↑ Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica).
- ↑ « Communes décorées de la Croix de guerre 1914 - 1918 » [PDF], sur Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51) (consulté le ), p. 69.
- ↑ « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ Selon l'un des registres d'état civil de Robecq.
- ↑ « Les maires de Robecq », sur francegenweb.org (consulté le ).
- ↑ Benoît Fauconnier, « Robecq : le village s’équipe, dans la continuité du précédent mandat : Entré au conseil municipal de Robecq en 1995, et maire depuis 2008, Hervé Deroubaix entend, pendant son deuxième mandat, développer l’équipement de la commune de 1 350 habitants, sans oublier l’entretien de l’existant, dont l’église et certaines rues, sécurisées », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Aïcha Noui, « Les projets des maires: à Mont-Bernanchon, un mandat positif pour pérenniser les actions avec Marie-Claude Duhamel : Sécurité, réforme des rythmes scolaires, travaux, imposition... Marie-Claude Duhamel, élue depuis dix-neuf ans à la tête de Mont-Bernanchon, est sur tous les fronts. Pas question de changer la cadence. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ C. J., « Les maires réélus à Mont-Bernenchon et Robecq », L'Écho de la Lys, (lire en ligne, consulté le ) « À Robecq, Hervé Deroubaix attaque un nouveau mandat de maire ».
- ↑ « Robecq : sus aux détritus avec le conseil municipal des jeunes ! : Le conseil municipal des jeunes, dirigé par l’adjointe Emmanuelle Flajolet, a procédé ce samedi à un nettoyage de printemps », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- ↑ Arlette Sebzda, « La borne portugaise de Mont-Bernanchon inaugurée pour la 3e fois depuis la Première Guerre mondiale », La Voix du Nord, (lire en ligne
, consulté le ).
- ↑ Armorial de France, p. 16526
- ↑ « La commune de Robecq », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).