Chronologies
1653 1654 1655 1656 1657 1658 1659 Décennies : 1620 1630 1640 1650 1660 1670 1680 Siècles : XVe XVIe XVIIe XVIIIe XIXe Millénaires : -Ier Ier IIe IIIe |
Architecture, Arts plastiques (Dessin, Gravure, Peinture et Sculpture), (), (), Littérature (), Musique (Classique) et Théâtre |
Années de la santé et de la médecine : 1653 - 1654 - 1655 - 1656 - 1657 - 1658 - 1659 | |
Décennies de la santé et de la médecine : 1620 - 1630 - 1640 - 1650 - 1660 - 1670 - 1680 |
Cet article présente les faits marquants de l'année 1656 en santé et médecine.
Événements
- Avril : signature de l'édit du roi « portant établissement de l’hôpital général, pour le renfermement des pauvres mendiants de la ville et faubourgs de Paris[1] ».
Publications
- Traduction anglaise des Institutiones medicinae (1611) et des De febribus libri quatuor (1619) de Daniel Sennert (1572–1637) sous le titre commun de Nine books of physick and chirurgery[2].
Naissances
- 5 juin : Joseph Pitton de Tournefort (mort en 1708) , médecin et botaniste français[3].
Décès
- 24 avril : Thomas Fincke (né en 1561), mathématicien et médecin danois[4].
Références
- ↑ Jean-Pierre Carrez, « La Salpêtrière de Paris sous l’Ancien Régime : Lieu d’exclusion et de punition pour femmes », Criminocorpus [en ligne], Varia, , « 1 : Les Origines », § 6 (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Daniel Sennert (trad. [N. D. B. P.]), Nine books of physick and chirurgery, written by that great and learned physitian D. Sennertus, the first five being his Institutions of the whole body of physick, the other four, of Fevers and Agues, with the differences, signs and cures, London [Londres], printed by J[ohn] M[acock] for Lodowick Lloyd [imprimé par John Macock pour Lodowick Lloyd], [1656], [18]−492-[12]−118 p. (lire en ligne).
- ↑ A—t (Pierre-Hyacinthe Audiffret), « Tournefort, Joseph Pitton de », dans Gabriel Michaud (dir.), Biographie universelle ancienne et moderne, t. 42, Paris, chez madame C. Desplaces, [1843], nouv. éd. (lire en ligne), p. 41-45.
- ↑ (en) John Joseph O'Connor et Edmund Frederick Robertson, « Thomas Fincke », dans MacTutor. Biographies, St Andrews, University of St Andrews, School of Mathematics and Statistics, (lire en ligne).