Emblème du club des Jacobins (Société des Amis de la Constitution)
La Révolution française engendre l'apparition de nombreux courants politiques qui s'expriment au travers des débats législatifs, des clubs et des journaux. Les historiens ont proposé différents travaux sur l'histoire politique de la Révolution française à l'instar de l'historienne américaine Lynn Hunt qui a mené une cartographie des nuances politiques en France de 1792 à 1798 dans l'un de ses ouvrages[1]. Plus spécifiquement sur le Directoire, l'historien Jean-René Suratteau a consacré de nombreux travaux d'histoire politique sur les élections à cette période et sur les colorations politiques des départements[2].
L'évolution rapide des évènements a fait que la plupart des groupes politiques à la recherche d'un équilibre politique ont été éliminées progressivement par les « extrêmes »[3].
Dans certains cas, les positionnements des hommes politiques changent au fil du temps à l'instar du député Maximin Isnard qui siègeait à gauche sous la Législative avec les Girondins, bascule à droite sous la Convention, puis devient royaliste sous le Directoire.
Sous l'Assemblée constituante (1789-1791), les premières nuances politiques commencent à se réaliser autour des débats de septembre 1789 sur le droit de veto du roi ou la possibilité d'instaurer une chambre haute. Ces débats donnent naissance au spectre politique (gauche et droite).
Hôtel des Menus Plaisirs, premier siège des députés de l'Assemblée constituante.
La droite de l'Assemblée défend la primauté de l'exécutif avec le veto illimité du roi pour affirmer sa prééminence dans les institutions nouvelles. Les Monarchiens souhaitent instaurer une chambre haute comme en Angleterre.
La gauche défend le pouvoir législatif et s'oppose au droit de veto[4].
Progressivement, d'autres nuances commencent à se former avec les débats autour de la Constitution civile du clergé (l'abbé Maury, issu de la droite, s'y oppose) ou autour de la question du droit de vote. En effet, la « gauche » (en particulier Robespierre) se prononce pour un élargissement du suffrage et contre un droit de vote réservé aux « riches »[5].
Coup d'état du 18 fructidor an V qui élimine les députés royalistes élus en 1797.
Sous le Directoire, l'instabilité politique mène ces différents courants à s'affronter lors des élections, entrainant des coups d'état répétés de la part des élites politiques modérées pour empêcher la venue au pouvoir des « partis » jugés menaçants à l'instar des royalistes (coup d'état du 18 fructidor) ou des néo-jacobins (coup d'état du 22 floréal). Ainsi, le coup d'état de Bonaparte fut justifié par une crainte du retour au pouvoir des Jacobins[6].
Après l'instauration du Consulat, Bonaparte cherche à mettre un terme aux divisions politiques dans un régime stabilisé. Il rallie des personnalités de tous les anciens courants politiques, allant de la gauche jacobine (Fouché) à des anciens modérés (abbé Maury, Portalis, Cambacérès). Cependant, des groupes d'opposition persistent avec une opposition républicaine rapidement démantelée, une opposition royaliste (Cadoudal) et une opposition libérale au sein du Tribunat dans le groupe des Idéologues (Germaine de Staël, Benjamin Constant). Bonaparte met finalement un terme à ces courants en censurant la presse d'opposition, en déportant les anciens Jacobins, et en épurant le Tribunat en 1802.
Idéologie : patriotisme, réformisme, défense du Tiers-État puis défense de la Révolution.
Initialement les Patriotes rassemblent des nobles libéraux, des clercs, et des bourgeois partisans des idées nouvelles et de la défense du Tiers État. Inspirés par la Révolution américaine, ils souhaitent participer au renouvellement des idées en vue des États généraux de 1789. Ils se réunissent au sein de la Société des Trente qui supervise la mobilisation en province à l'aide de brochures[7]. Parmi eux se trouvent des figures politiques importantes promises à des carrières politiques d'envergure.
Plus généralement, dans les années qui suivent la création de l'Assemblée nationale, les « patriotes » désignent dans la société française les partisans de la Révolution et de ses réformes comme la Constitution civile du clergé en opposition aux « aristocrates ». Les Jacobins en province (affilié au club des Jacobins de Paris) se rassemblent ainsi en « société de patriotes ».
Sous l'Assemblée constituante, plusieurs nuances politiques se forment, allant des plus radicaux aux plus modérés mais les observateurs ne retinrent essentiellement que deux camps : le côté gauche qui rassemble les patriotes de toutes tendances (La Fayette, Barnave, Robespierre) et le côté droit de l'Assemblée (représenté par l'abbé Maury, Malouet, etc)[8].
Jean-Joseph Mounier, chef de file des Monarchiens.
Les Noirs forment le groupe le plus conservateur de l'Assemblée constituante, ils sont défenseurs des privilèges et de la monarchie. Leur pensée se structure autour du respect des libertés provinciales et du rejet des innovations[11], notamment en matière religieuse. L'abbé de Montesquiou dénonce les atteintes à la religion dans la Déclaration des droits[12]. En septembre 1789, ils votent en faveur du veto absolu au roi, ce qui aurait donné la possibilité à Louis XVI de refuser à tout moment la sanction des lois, ce qui échoue. En 1791, ils votent la « motion Dom Gerle » qui propose d'instituer le catholicisme comme religion d'état. L'abbé Maury, membre de ce groupe, s'est opposé à la Constitution civile du clergé[13].
Les Monarchiens (sous la houlette de Mounier) se distinguent par leur proposition d'instituer une chambre haute sur le modèle anglais. Ils en font la proposition en septembre 1789 mais échouent. Ils votent ensuite avec les Noirs pour le veto absolu du roi. En octobre 1789, Jean-Joseph Mounier quitte la vie politique, c'est Malouet et Clermont-Tonnerre qui prennent la suite en 1791 et constituent le Club des Impartiaux.[16]
Les Constitutionnels forment un groupe réuni autour de La Fayette et issu des patriotes. En septembre 1789, ils sont à gauche de l'Assemblée constituante et votent contre la chambre haute et le veto absolu du roi. En mai 1790, l'affaire de Nancy suscite des prises de position ; les Constitutionnels prennent position en faveur de la répression contre les Jacobins qui soutiennent les mutins[17]. En juin, La Fayette et Le Chapelier se séparent des Jacobins et créent un courant plus modéré au sein de la société de 1789[18]. Ils défendent la Constitution civile du clergé.
Ce groupe composé essentiellement de trois hommes siège à gauche. Barnave rejette ainsi la proposition de chambre haute des Monarchiens. Le Triumvirat se rapproche ensuite de la cour après la mort de Mirabeau. Ils quittent les Jacobins et rejoignent ensuite les plus modérés au sein du club des Feuillants en juillet 1791.
Robespierre, chef de file des démocrates de l'Assemblée constituante.
Issus du parti patriote et réunis au sein du club des Feuillants, ils souhaitent fixer la Révolution par la Constitution de 1791 et empêcher de nouvelles dérives après la fuite du roi. Ils se retrouvent en opposition avec les monarchistes conservateurs et dans le même temps avec la gauche démocratique (Jacobins et Cordeliers)[23]. Une partie d'entre-eux s'opposent ainsi au groupe de Brissot (futurs Girondins) sur la question de la guerre qui risque de mettre en péril la monarchie constitutionnelle. Ils sont divisés entre les fayettistes (partisans de La Fayette) ou entre les lamethistes (partisans des frères Lameth). Les fayettistes ont soutenu la guerre aux côtés des Brissotins dans l'objectif d'appuyer le nouveau régime et de renforcer le roi[24] mais cette alliance est de courte durée puisque La Fayette menace de marcher sur Paris contre les Jacobins en mai au moment où il est discrédité[25].
Ils s'opposent également à la gauche sur la citoyenneté à accorder aux hommes de couleurs libres.
Les Girondins sont méfiants à l'égard du roi et de la cour ; ils sont favorables à une guerre contre les monarchies européennes hostiles à la Révolution[30] mais dans l'objectif de dévoiler la duplicité de Louis XVI. Ils attaquent la « droite » en votant la mise en accusation de La Fayette en juillet 1792.
Située à gauche dans les bancs de l'Assemblée législative et aussi en raison de leur soutien précoce apporté à la république et leur proximité avec les Jacobins, la Gironde se voit qualifiée de « modérée » sous la Convention nationale car elle forme très vite un groupe hostile à Robespierre, Marat et aux sans-culottes. Le ministre girondin de l'Intérieur Jean-Marie Roland les qualifie de « brigands » dans la presse dès le mois d'août 1792[32]. Jean-Clément Martin relève toutefois qu'ils peuvent s'apparenter politiquement à un « centre » rendu impossible par la radicalisation de la Révolution[3].
Lors du procès du roi, ils se montrent plus modérés dans le sort à réserver à Louis XVI en votant pour l'appel au peuple[33], ce qui leur fut reproché et constitua l'une des causes de leur éviction.
Selon Jean-Clément Martin, les Girondins s'opposaient essentiellement aux Montagnards en matière politique car ils étaient ancrés dans le « légalisme », et étaient réticents à reconnaître l'expression de la volonté générale uniquement dans la Convention nationale ou dans la Commune de Paris[34]. Anne de Mathan, spécialiste des Girondins, définit l'idéologie girondine par un « absolu primat des libertés individuelles » et une opposition au mesures dirigistes de salut public[35]. En matière économique, les Girondins furent favorables à la liberté de circulation des denrées et à une défense de la propriété privée contre Robespierre qui formule le « droit à l'existence »[36]. Sur le fond, Montagnards et Girondins se rejoignaient sur la propriété privée, la régulation des inégalités par l'impôt et les projets en matière d'éducation mais la Montagne a préconisé des mesures d'exception pour conserver son alliance avec les sans-culottes parisiens[37].
La Gironde s'appuyait sur les autorités des départements qui leur étaient favorables contre les sans-culottes mais n'étaient pas fédéralistes, ils formulent un projet de Constitution centralisé[38]. Dans leur lutte contre la Montagne et contre Marat ils sont accusés de modérantisme puis évincés par les sans-culottes lors du coup d'état des 31 mai-2 juin 1793, provoquant l'indignation de certains départements et la révolte fédéraliste.
Personnalités membres ou proches de ce groupe : Emmanuel Sieyès.
Groupe hétérogène de députés hésitants, d'abord alliés aux Girondins, certains se rallient ensuite à la Montagne comme Barère ou Carnot mais certains enjoignent l'opposition à Robespierre le 9 thermidor aux côtés des Montagnards antirobespierristes (Billaud-Varenne, Fouché, Tallien).
Le Triomphe de la Montagne, estampe révolutionnaire.
La Montagne est un groupe politique constitué autour de Robespierre, Danton et Marat dans le courant de septembre 1792. Lors du procès de Louis XVI, les Montagnards se sont montrés plus radicaux que les Girondins en votant pour la mort de Louis XVI et en rejetant l'appel au peuple.
En matière politique, les Montagnards versent dans l'illibéralisme et soutiennent que la Convention nationale incarne la volonté du peuple[34]. Ils défendent la centralité législative comme principe de gouvernement[39]. Les Montagnards concèdent à certaines mesures populaires et conservent l'appui des sections parisiennes jusqu'à l'arrestation des Hébertistes.
En matière économique, Robespierre s'oppose à Jean-Marie Roland sur la liberté des denrées et fait précéder le « droit à l'existence » sur la liberté économique[36] , il est favorable à la propriété privée mais estime que des droits sociaux permettent de favoriser la liberté[40]. Les Montagnards ont ainsi promulgué des mesures dirigistes afin de répondre aux revendications sociales avec la loi du maximum qui réglemente le prix du grain ou la loi de ventôse qui transfère les biens des suspects aux populations indigentes. Françoise Brunel considère que les Montagnards souhaitaient mettre en place un projet politique basé sur la fraternité[39]. Toutefois la propriété privée et le droit de « tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens » furent inscrits dans la Constitution de 1793[41].
De surcroit, les historiens estiment que Robespierre était un « libéral égalitaire » qui insistait sur le respect des droits naturels dans l'instauration de la liberté[40]. Les Montagnards étaient libéraux mais opposés à une liberté absolue de l'économie ainsi qu'à des projets égalitaires tels que la réforme agraire, ils souhaitaient un « projet de justice distributive qui favorise l'équité plutôt que la stricte égalité »[42].
Maximilien Robespierre, l'un des chefs de file de la Montagne.
Réunis autour du prêtre activiste Jacques Roux, ce groupe proche des milieux populaires émet des revendications sociales importantes. Jacques Roux rédige une pétition à la Convention nationale le 25 juin 1793 dans laquelle il dit que « La liberté n'est qu'un vain fantôme, quand une classe d'homme peur affamer l'autre impunément. L'égalité n'est qu'un vain fantôme quand le riche, par le monopole, exerce le droit de vie et de mort sur son semblable »[44]. Les Enragés prônaient la taxation des denrées contre l'accaparement au profit des grosses fortunes[45]. Cependant, les Enragés rencontrèrent l'hostilité des Montagnards et de Hébert. En matière politique, les Enragés furent favorables à une forme de démocratie directe, ils tenaient à la surveillance des législateurs. Les meneuses de la Société des républicaines révolutionnaires reprirent les thèmes de Jacques Roux.
A droite, les royalistes (ou « crypto-royalistes »), vigoureusement opposés aux « anarchistes » (Jacobins) et au Directoire, ils sont favorables au retour de l'ordre par le rétablissement de la royauté. Soutenus depuis l'étranger par l'Agence de Paris[49] (liée au comte d'Artois), ils profitent de la tendance modérée du gouvernement et de la réaction thermidorienne pour diffuser prudemment leurs idées. Ils sont favorables aux émigrés et aux prêtres et se réunissent au sein du club de Clichy, où des monarchistes constitutionnels et absolus se rassemblent en vue des élections de 1797[48] qu'ils remportent avec succès dans de nombreux départements. En province, ils disposaient d'appuis locaux par la mise en place des « associations des amis de l'ordre »[50].
Au centre, les Thermidoriens, partisans d'une république modérée, respectueuse des biens et des propriétés, souhaitaient éviter un retour de la Terreur ou de la royauté en France car elle serait une menace pour les acquéreurs de biens nationaux.
↑Lynn Hunt, Politics, Culture and Class in the French Revolution, Berkeley, University of California Press, 1984 ; réédition en 2004, (dir.), The New Cultural History, Berkeley, University of California Press, 1989.
↑Les Élections de l'an VI et le «coup d'état du 22 floréal» (Il mai 1798). Paris, Société Les Belles Lettres, 1971.
↑ a et bJean-Clément Martin souligne que « les stigmatisations politiques ont affecté tous les groupes à un moment où à un autre, créant une zone durable de flottement autour de ceux qui demeurèrent les vrais vaincus de l'affrontement entre les extrêmes, ce centre à jamais introuvable en France qui va des monarchiens aux Girondins ».
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