Technopedia Center
PMB University Brochure
Faculty of Engineering and Computer Science
S1 Informatics S1 Information Systems S1 Information Technology S1 Computer Engineering S1 Electrical Engineering S1 Civil Engineering

faculty of Economics and Business
S1 Management S1 Accountancy

Faculty of Letters and Educational Sciences
S1 English literature S1 English language education S1 Mathematics education S1 Sports Education
  • Registerasi
  • Brosur UTI
  • Kip Scholarship Information
  • Performance
  1. Weltenzyklopädie
  2. Gravity Recovery and Interior Laboratory — Wikipédia
Gravity Recovery and Interior Laboratory — Wikipédia 👆 Click Here! Read More..
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir GRAIL.

GRAIL
Sonde spatiale
Description de cette image, également commentée ci-après
Les deux sondes lunaires de la mission GRAIL en orbite lunaire.
Données générales
Organisation NASA
Programme Discovery
Domaine Cartographie champ de gravité de la Lune
Constellation 2
Statut Mission achevée
Lancement 10 septembre 2011
Lanceur Delta II
Insertion en orbite 1er janvier 2012
Fin de mission 17 décembre 2012
Identifiant COSPAR 2011-046
Site Site NASA
Caractéristiques techniques
Masse au lancement 307 kg × 2
Dimensions 1,09 × 0,95× 0,76 m
Ergols Hydrazine
Masse ergols 103 kg
Contrôle d'attitude Stabilisé 3 axes
Source d'énergie Panneaux solaires
Puissance électrique 763 Watts
Orbite
Orbite Orbite lunaire basse
Principaux instruments
LGRS Radio Gravité
MoonKam Caméra visible (éducatif)

modifier

Gravity Recovery and Interior Laboratory (GRAIL) est une mission spatiale américaine du programme Discovery de la NASA qui a réalisé un relevé très détaillé du champ de gravité de la Lune pour déterminer la structure interne de celle-ci. GRAIL utilise à cet effet deux sondes spatiales, baptisées Ebb et Flow, qui sont placées en orbite autour de la Lune. La charge utile est identique à celle des satellites GRACE utilisés pour effectuer une analyse similaire du champ de gravité terrestre tandis que la plateforme dérive de celle du démonstrateur technologique XSS 11. Les deux sondes ont été lancées simultanément par une fusée Delta le 10 septembre 2011 depuis la base de lancement de Cap Canaveral. Après un transit de trois mois et demi par le point de Lagrange L1, les deux sondes placées en orbite basse autour de la Lune entament leur mission scientifique d'une durée de 90 jours.

Les sondes, en mesurant les variations de distance entre elles, permettent de dresser une carte précise du champ de gravité lunaire. Ces éléments, après rapprochement avec des données provenant d'autres sources, fournissent un éclairage sur l'épaisseur, la composition et la forme des différentes strates internes de la Lune. La mission s'est achevée le 17 décembre 2012 avec l'écrasement volontaire de Ebb et Flow sur le sol lunaire. Les sondes spatiales GRAIL sont construites par Lockheed Martin sous la maîtrise d'ouvrage du Jet Propulsion Laboratory (NASA). Le volet scientifique est placé sous la direction du Massachusetts Institute of Technology.

Contexte

[modifier | modifier le code]

GRAIL est la onzième mission sélectionnée dans le cadre programme Discovery de la NASA le 11 décembre 2007. Les missions spatiales Discovery sont des missions d'exploration robotisées du système solaire très ciblées et peu onéreuses : le coût fixé à l'avance doit être inférieur à 450 millions de dollars (en 2011) en excluant les coûts de lancement. Le responsable scientifique est Maria Zuber, du Massachusetts Institute of Technology. La construction de la sonde est confiée à Lockheed Martin tandis que la maîtrise d'ouvrage est assurée par le centre Jet Propulsion Laboratory (NASA)[1].

Objectifs scientifiques

[modifier | modifier le code]
Article connexe : Géologie de la Lune.
Comparaison entre la structure interne de la Terre et de la Lune.

Les objectifs principaux de la mission sont :

  • connaître la structure interne de la Lune depuis son cœur jusqu'à la croûte ;
  • avoir une connaissance fine de l'évolution thermique de la Lune.

Les objectifs secondaires sont :

  • extrapoler, à partir de la connaissance du comportement thermique de la Lune, celui des autres planètes ;
  • grâce à la cartographie du champ de gravité, limiter les risques courus par les futures missions lunaires, habitées ou non, en déterminant avec plus de précision la trajectoire des engins[2].

Six investigations scientifiques sont menées[3] :

  • cartographier la lithosphère de la Lune, c'est-à-dire la couche superficielle rigide constituée par la croûte et la partie supérieure du manteau. L'épaisseur de la lithosphère fournit des informations sur les conditions thermiques ayant régné à différentes époques au sein de la Lune ;
  • comprendre l'évolution thermique asymétrique de la Lune : la croûte de la Lune est moins épaisse sur la face visible de la Lune que sur sa face cachée à l'exception du bassin Pôle Sud-Aitken ;
  • déterminer la structure de la croûte sous les bassins d'impact et comprendre l'origine des mascons ;
  • déterminer l'évolution du magmatisme lunaire ;
  • mesurer les déformations des strates internes de la Lune sous l'influence des forces de marée créées par la Terre et en déduire des informations sur ces structures ;
  • estimer la taille éventuelle d'un cœur solide au sein du cœur liquide de la Lune.

Principes de fonctionnement des sondes GRAIL

[modifier | modifier le code]
Article connexe : Gravité.

La Lune, comme les autres corps célestes, n'est pas un objet parfaitement sphérique, et sa structure interne n'est pas non plus de symétrie sphérique, c'est-à-dire formée de couches homogènes et d'égales épaisseurs. La pesanteur varie en fonction du lieu où elle est mesurée, ce qui montre que la répartition des masses à l'aplomb et autour du point de mesure varie d'un lieu à l'autre ; cette observation se modélise et s'explique par l'identification et la quantification des profils verticaux de densité (densité en fonction de la profondeur), profils qui varient (plus ou moins « légèrement ») d'un lieu à un autre de la surface lunaire. On les décrit à l'aide de différentes « strates » ou « enveloppes » lunaires, ayant des profondeurs et des densités différentes, et parfois des épaisseurs et profondeurs variables. Ces variations induisent des écarts de la gravité locale atteignant 0,5 % de la gravité moyenne. Elles reflètent également la présence de réplétions (zones ayant une densité plus importante) sous les mers lunaires. Ainsi, en mesurant les variations de la pesanteur tout autour de la Lune, peut-on déterminer les variations de densité en son intérieur et en déduire sa structure interne.

Pour mesurer les variations du champ de gravité, les sondes GRAIL reprennent le principe de fonctionnement des satellites GRACE qui ont effectué en 2002 une mesure détaillée du champ de gravité de la Terre. Les sondes GRAIL tournent autour de la Lune sur une orbite basse de 50 km d'altitude avec une période de 113 minutes. Les deux sondes partagent la même orbite et sont écartées l'une de l'autre d'une distance qui est comprise entre 75 et 225 km selon les phases de la mission. Les variations du champ de gravité lunaire modifient cette distance. Les deux sondes mesurent en permanence leur écartement à l'aide d'ondes électromagnétiques émises dans la bande Ka. Les données résultantes permettent de détecter avec une grande précision les irrégularités du champ de gravité lunaire[4].

  • Pour se placer en orbite autour de la Lune les sondes transitent par le point de Lagrange L1.
    Pour se placer en orbite autour de la Lune les sondes transitent par le point de Lagrange L1.
  • Fonctionnement des sondes GRAIL.
    Fonctionnement des sondes GRAIL.

Caractéristiques techniques

[modifier | modifier le code]
Les deux satellites GRAIL en cours de préparation pour leur lancement.

Chacune des deux sondes est à peu près de la taille d'un lave-linge (1,09 × 0,95 × 0,76 m) et a une masse de 307 kg dont 107 kg de carburant et d'hélium. Elles sont pratiquement identiques mis à part la position des antennes et détecteurs car les deux satellites doivent pointer leur antenne en bande Ka l'une vers l'autre. La plateforme reprend la conception du démonstrateur technologique Experimental Small Satellite-11 développé par l'Armée de l'Air américaine tandis que l'avionique est dérivée de celle de la sonde Mars Reconnaissance Orbiter. Les sondes GRAIL sont stabilisées 3 axes et utilisent à cet effet un viseur d'étoiles, un senseur solaire, des roues de réaction et une centrale à inertie. L'énergie électrique est fournie par deux panneaux solaires fixes déployés une fois les sondes en orbite qui fournissent 763 watts. L'énergie est stockée dans une batterie Lithium-Ion de 16 ampères-heures pour permettre à la sonde de fonctionner lorsqu'elle est située dans l'ombre de la Lune. Le système de propulsion utilisé pour l'insertion en orbite lunaire et les modifications de trajectoire est constitué d'un moteur-fusée consommant de l'hydrazine tandis que les corrections de l'orientation sont prises en charge par huit petits moteurs éjectant des gaz chauds. Le système de télécommunications comprend :

  • deux antennes en bande S pour communiquer avec la Terre ;
  • deux antennes doppler en bande X pour les mesures de la distance avec la Terre lorsque les sondes se trouvent du côté de la face cachée de la Lune ;
  • une antenne en bande S qui émet un signal permettant de synchroniser les horloges des sondes et sur Terre ;
  • une antenne en bande Ka permettant de mesurer avec une grande précision la distance entre les deux sondes.

Les deux paires d'antenne (bande S et bande X) sont constituées d'une antenne située sur la face éclairée de la sonde et d'une antenne montée sur la face de la sonde située à l'ombre. L'antenne située sur la face éclairée est tournée vers la Terre lors de la pleine Lune tandis que l'autre antenne l'est à la nouvelle Lune. Ce système permet d'éviter un mécanisme de rotation des antennes qui affecterait le barycentre de la sonde et perturberait les mesures effectuées[5],[6].

La charge utile comprend deux éléments : le LGRS (en anglais : Lunar Gravity Ranging System) qui constitue l'instrument scientifique et la caméra MoonKAM utilisée à des fins éducatives. Le LGRS est identique à l'instrument utilisé par le satellite GRACE pour sa mission de relevé du champ de gravité terrestre[5].

Déroulement de la mission

[modifier | modifier le code]
Lancement de GRAIL à bord d'une fusée Delta II.

Le transit vers la Lune

[modifier | modifier le code]

Les deux sondes ont été lancées simultanément par une fusée Delta le 10 septembre 2011 depuis la base de lancement de Cap Canaveral. Les deux sondes pour accomplir leur mission doivent circuler sur une orbite basse quasi circulaire autour de la Lune. Contrairement aux satellites GRACE, les sondes GRAIL ne sont pas solidaires jusqu'à leur mise à poste. Elles suivent des trajectoires indépendantes puis, après une vingtaine de corrections de trajectoire à l'aide de leurs moteurs, elles se rejoignent sur une orbite commune. Pour rejoindre cette orbite, elles suivent une trajectoire complexe d'une durée de trois mois et demi qui passe par le point de Lagrange L1 du système Lune-Terre. L'objectif est à la fois d'économiser du carburant, de permettre un dégazement complet des sondes (libération des bulles de gaz piégées dans la structure de l'engin spatial) pour ne pas perturber les mesures et afin de stabiliser la température des horloges pour une meilleure précision de celles-ci. GRAIL-A, la première sonde, arrive à proximité de la Lune le 31 décembre 2011 et GRAIL-B 25 heures plus tard. Ces dates sont indépendantes de la date de lancement. Les sondes passent les deux mois suivants à modifier la forme de celle-ci pour passer d'une orbite elliptique haute d'une période de 11,5 heures à une orbite basse circulaire de moins de deux heures. La durée de la mission scientifique qui commence le 8 mars 2012 est de 82 jours : elle est limitée par l'évolution de la position du Soleil vis-à-vis des sondes et de la Lune. Les sondes commencent par une orbite très basse à 15 km d'altitude qui est portée progressivement de manière naturelle à 50 km avant d'être de nouveau abaissée. La distance entre les sondes varie également passant de 85 à 225 km puis retournant à 65 km[7],[8]. Le 17 janvier, les deux sondes spatiales sont rebaptisées Ebb (reflux) et Flow (flux). Ces noms de baptême ont été choisis par les élèves d'une école primaire de Bozeman dans l’État du Montana à la suite d'un concours national lancé par la NASA. Le 7 mars, les deux sondes spatiales entament leur mission scientifique qui doit durer 85 jours[9].

Prolongation de la mission

[modifier | modifier le code]

Le 29 mai, la mission principale assignée aux deux sondes spatiales s'achève après un recueil de données qui a duré 89 jours. GRAIL a fourni à ce stade 99,99 % des données que ses instruments étaient en mesure de collecter. Les instruments sont éteints jusqu'au 30 août pour permettre aux satellites de survivre à l'éclipse du 4 juin qui doit modifier les conditions thermiques rencontrées jusque-là. Les deux sondes sont réactivées le 30 août pour une extension de leur mission dont l'objectif est de fournir des informations encore plus détaillées sur le champ gravitationnel lunaire. À cet effet, l'altitude moyenne de Ebb et Flow est abaissée à 23 km ce qui leur fait survoler les pics les plus élevés de la Lune à une distance d'environ 8 km[10].

Fin de la mission

[modifier | modifier le code]
Vidéo schématisant l'écrasement des deux sondes sur la surface lunaire.

La NASA a décidé de mettre fin à la mission qui a entièrement rempli ses objectifs en dressant une carte à haute résolution du champ gravitationnel lunaire. Les deux sondes spatiales placées sur une orbite très basse ne disposent plus d'assez de carburant pour remplir de nouveaux objectifs. Il est prévu que les deux sondes spatiales s’écrasent sur une montagne lunaire située près du cratère Goldschmidt le 17 décembre 2012. Les deux sondes se sont écrasées sur le sol lunaire à une vitesse de 1,7 km/s à 20 secondes d'intervalle et à 3 km de distance l'une de l'autre. Le site a été baptisé par la NASA Sally Ride du nom de la première astronaute américaine décédée en 2012. Aucune image de l'événement ne sera retransmise car cette partie de la Lune est plongée dans l'obscurité au moment de cet événement. Avant ce moment final, Ebb et Flow doivent mener une ultime expérience en brulant le carburant pour déterminer la quantité restante. Cela devrait permettre à la NASA d'améliorer les modèles utilisés pour estimer la consommation d'ergols des futures missions[11],[12].

Résultats scientifiques

[modifier | modifier le code]

Les deux sondes de la mission GRAIL ont permis de réaliser une cartographie du champ gravitationnel de la Lune dont le niveau de détail est sans équivalent dans le système solaire. Cette carte fournit des informations détaillées sur la structure et la composition internes de la Lune. Elle permet de mieux comprendre comment la Terre et les autres planètes rocheuses du système solaire se sont formées et ont évolué. Cette carte permet également de mettre en évidence un grand nombre de structures qui n'avaient jusque-là pas été identifiées telles que des formes tectoniques, des volcans, des bassins, des pics centraux de cratère et de nombreux cratères simples en forme de bol. Les scientifiques ont pu constater ainsi que le champ gravitationnel lunaire est différent de celui de toute autre planète terrestre du système solaire car ses variations sont systématiquement corrélées avec les caractéristiques de la topographie lunaire : cratères, failles ou montagnes. Le champ gravitationnel lunaire a notamment préservé la trace du grand bombardement qui a affecté toutes les planètes terrestres et met en évidence les fractures suscitées par ces événements qui s'étendent jusqu'aux couches inférieures de la croute et parfois jusqu'au manteau. Ces traces d'impact sont désormais précisément mesurées sur la Lune. GRAIL a permis de découvrir que la densité de la croute au niveau des Terres lunaires (les hauts-plateaux) était nettement plus faible que ce qui était attendu et néanmoins recoupe les valeurs obtenues à partir des échantillons ramenés par les équipages des missions lunaires du programme Apollo. Grâce à la mesure de la densité, l'épaisseur moyenne de la croute lunaire a pu être estimée : avec une valeur comprise entre 34 et 43 kilomètres elle est plus mince de 10 à 20 km que ce qui était attendu. Cette caractéristique rapproche la composition de la Lune de celle de la Terre et renforce la théorie d'une formation de la Lune à partir de matériaux terrestres éjectés à la suite d'un impact gigantesque au début de l'histoire du système solaire. Les données de GRAIL ont également mis en évidence des structures longues de plusieurs centaines de kilomètres et étroites qui n'avaient pas été identifiées lors des études précédentes. Il s'agit de dykes, constitués de magma solidifié. Ces dykes font partie des structures les plus anciennes de la Lune et la compréhension de leur genèse devrait fournir un éclairage important sur les débuts de l'histoire géologique de la Lune[13],[14]

  • Carte du champ gravitationnel : en rouge excès de masse, en bleu déficit de masse.
    Carte du champ gravitationnel : en rouge excès de masse, en bleu déficit de masse.
  • Épaisseur de la croute lunaire : les régions à la croute peu épaisse (parfois moins de 1 km) sont en bleu, à l'opposé les régions en rouge comportent une croute plus épaisse que la moyenne.
    Épaisseur de la croute lunaire : les régions à la croute peu épaisse (parfois moins de 1 km) sont en bleu, à l'opposé les régions en rouge comportent une croute plus épaisse que la moyenne.
  • Porosité de la croute lunaire : en rouge les régions les plus poreuses, en bleu les moins poreuses.
    Porosité de la croute lunaire : en rouge les régions les plus poreuses, en bleu les moins poreuses.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ (en) « New NASA Mission to Reveal Moon's Internal Structure and Evolution », NASA, 11 décembre 2007
  2. ↑ (en) « MIT- GRAIL : Science Objectives & Investigations », sur Massachusetts Institute of Technology (consulté le 2 juillet 2011)
  3. ↑ (en) « NASA- GRAIL : Investigations », NASA (consulté le 2 juillet 2011)
  4. ↑ (en) « MIT- GRAIL : Mission overview », sur Massachusetts Institute of Technology (consulté le 2 juillet 2011)
  5. ↑ a et b (en) « NASA- GRAIL : Spacecraft and Payload », NASA (consulté le 2 juillet 2011)
  6. ↑ (en) « Press kit GRAIL launch », NASA, aout 2911
  7. ↑ (en) « NASA- GRAIL : Mission design », NASA (consulté le 2 juillet 2011)
  8. ↑ (en) « MIT- GRAIL : Mission design », sur Massachusetts Institute of Technology (consulté le 2 juillet 2011)
  9. ↑ (en) « NASA's Twin GRAIL Spacecraft Begin Collecting Lunar Data », sur NASA, 7 mars 2012
  10. ↑ (en) « NASA Lunar Spacecraft Complete Prime Mission Ahead of Schedule », NASA, 29 mai 2012
  11. ↑ (en) « NASA Probes Prepare for Mission-Ending Moon Impact », NASA, 13 décembre 2012
  12. ↑ (en) « NASA's Grail Lunar Impact Site Named for Astronaut Sally Ride », NASA, 17 décembre 2012
  13. ↑ (en) « NASA's GRAIL Creates Most Accurate Moon Gravity Map », NASA, 5 décembre 2012
  14. ↑ (en) Emily Lakdawalla, « Isostasy, gravity, and the Moon: an explainer of the first results of the GRAIL mission », sur The Planetary Society, 11 décembre 2012

Voir aussi

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • (en) Paolo Ulivi et David M. Harland, Robotic exploration of the solar system : Part 4 : the Modern Era 2004-2013, Springer Praxis, 2014, 567 p. (ISBN 978-1-4614-4811-2 et 978-1-4614-4812-9, lire en ligne)

Articles connexes

[modifier | modifier le code]
  • Exploration de la Lune
  • Géologie de la Lune
  • Programme Discovery

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

  • GRAIL, sur Wikimedia Commons
  • Images prises par la MoonKam, sur Wikimedia Commons
  • (en) Document de présentation de la mission [PDF], sur nasa.gov
  • (en) Page dédiée à la mission GRAIL, sur solarsystem.nasa.gov
  • (en) Page dédiée à la mission GRAIL, sur moon.mit.edu
v · m
Sondes spatiales lunaires
Programmes
  • Pioneer (1958-1960)
  • Luna (1958-1976)
  • Ranger (1961-1965)
  • Zond (1964-1970)
  • Surveyor (1966-1968)
  • Lunar Orbiter (1966-1967)
  • Lunokhod (1970-1973)
  • Lunar Precursor Robotic Program (2009-2013)
  • Commercial Lunar Payload Services (CPLS) (2018-)
  • Chang'e (2007-)
  • Chandrayaan (2003-)
Lunar Reconnaissance Orbiter.
Survols, impacteurs
  • Luna 1 (survol) (1959)
  • Luna 2 (impact) (1959)
  • Ranger 5 (impacteur) (1962)
  • Ranger 6 (impacteur) (1964)
  • Ranger 7 (impacteur) (1964)
  • Ranger 8 (impacteur) (1965)
  • Ranger 9 (impacteur) (1965)
  • Zond 3 (survol) (1965)
  • Zond 5 (survol) (1968)
  • Zond 6 (survol) (1968)
  • Zond 7 (survol) (1969)
  • Zond 8 (survol) (1970)
  • LCROSS (impact) (2009)
Orbiteurs
  • Luna 3 (1959)
  • Luna 10 (1966)
  • Luna 11 (1966)
  • Lunar Orbiter 1 (1966)
  • Lunar Orbiter 2 (1966)
  • Lunar Orbiter 3 (1967)
  • Lunar Orbiter 4 (1967)
  • Lunar Orbiter 5 (1967)
  • Explorer 35 (1967)
  • Luna 14 (1968)
  • Luna 19 (1971)
  • Luna 22 (1974)
  • Hiten (1990)
  • Clementine (1994)
  • Lunar Prospector (1998)
  • SMART-1 (2003)
  • SELENE (2007)
  • Chang'e 1 (2007)
  • Chandrayaan-1 (2008)
  • LRO (2009)
  • Chang'e 2 (2010)
  • GRAIL (2011)
  • LADEE (2013)
  • Chang'e 5-T1 (2014)
  • Danuri (2022)
  • Queqiao 2 (2024)
  • Lunar Trailblazer (2025)
  • Lunar Pathfinder (2026)
  • Chang'e 7 (2027)
  • Chang'e 8 (2028)
Atterrisseurs
  • Luna 9 (1966)
  • Luna 13 (1966)
  • Surveyor 1 (1966)
  • Surveyor 3 (1967)
  • Surveyor 4 (1967)
  • Surveyor 5 (1967)
  • Surveyor 6 (1967)
  • Surveyor 7 (1968)
  • Luna 22 (1974)
  • Beresheet (2019)
  • Chandrayaan-2 (2019)
  • Hakuto-R M1 (2022)
  • Luna 25 (2023)
  • Chandrayaan-3 (2023)
  • SLIM (2023)
  • Peregrine Mission One (2024)
  • Intuitive Machines One (2024)
  • Intuitive Machines 2 (2025)
  • Blue Ghost Mission 1 (2025)
  • RESILIENCE (2025)
  • Masten Mission One (2025)
  • Blue Ghost Mission 2 (2026)
  • Blue Ghost Mission 3 (2028)
Astromobiles/rovers (+atterrisseurs)
  • Luna 17 (rover Lunakhod) (1970)
  • Luna 21 (rover Lunakhod) (1973)
  • Chang'e 3 (2013)
  • Chang'e 4 (2018)
  • Chandrayaan-2 (2019)
  • VIPER (2024)
  • LUPEX (2024)
  • Mission lunaire des Émirats (2024)
  • Chang'e 7 (2027)
  • Chang'e 8 (2028)
Mission de retour d'échantillons
  • Luna 15 (1969)
  • Luna 16 (1970)
  • Luna 20 (1972)
  • Luna 24 (1976)
  • Chang'e 5 (2020)
  • Chang'e 6 (2024)
  • Chandrayaan-4 (2028)
CubeSats
  • Lunar IceCube (2021)
  • Lunar Flashlight (2021)
  • Lunar Polar Hydrogen Mapper (2021)
  • CAPSTONE (2021)
Support (télécoms,..)
  • Queqiao (2018, 2024)
  • Lunar Pathfinder (2024)
Missions en phase d'étude
  • Luna 26 (2024)
  • Luna 27 (rover) (2025)
  • Luna 28 (2027)
  • Endurance-A (2030)
  • Moonlight (2024)
Projets annulés
  • Google Lunar X Prize
  • HERACLES
  • Lunar-A
  • LEO (en)
  • Zond 9
  • MoonRise
  • SELENE-2
  • ILN
  • MoonLITE (en)
Voir aussi
  • Lune
  • Exploration de la Lune
  • Colonisation de la Lune
  • Liste des objets artificiels sur la Lune
  • Liste des sondes spatiales
  • Programme lunaire habité soviétique
  • Programme Apollo
Les dates indiquées sont celles de lancement.
Les missions russes et américaines ayant échoué au début de l'ère spatiale (<1975) ne sont pas listées.
v · m
Programme spatial américain
Lanceurs
  • Ares
    • I (2009)
    • IV (abandonné)
    • V (abandonné)
  • Antares (2013-)
  • Athena (1995-2001)
  • Atlas
    • I (1990-1997)
    • II (1991-2004)
    • III (2000-2005)
    • V (2002-)
  • Conestoga
  • Delta
    • II (1989-2018) Bon article
    • III (1998-2000)
    • IV (2002-2019)
    • IV Heavy (2004-2024)
  • Falcon
    • Falcon 1 (2006-2009)
    • 9 (2010-)
    • Heavy (2018-)
  • Firefly
    • Alpha (2021-)
    • MLV (2025-)
  • Juno I (1958-1959)
    • II (1958-1961)
  • LauncherOne (2020-)
  • Minotaur (1994-)
    • Minotaur-C (1994-2017)
  • New Glenn (2024-)
  • Pegasus (1990-)
  • Rocket 3 (2018-2022)
  • Rocket Lab
    • Electron (2018-)
    • Neutron (2024-)
  • RS1 (2023-)
  • Saturn
    • Saturn I (1961-1965)
    • IB (1966-1975)
    • V (1967-1973) Article de qualité
    • INT-21 (1973)
  • Scout (1965-1994)
  • SLS (2022-)
  • Starship (2023-)
  • Terran
    • Terran 1 (2023-)
    • Terran R (2024-)
  • Thor
    • Agena (1959-1968)
    • Burner (1965-1976)
  • Titan
    • II (1964-1966)
    • III (1964-1965)
    • IIIB (1966-1987)
    • 34D (1982-1989)
    • IV (1989-2005)
  • Vanguard (1957-1959)
  • Vulcan (2024-)
Programme spatial habité
Programmes
  • Mercury (1961–1963)
  • Gemini (1965–1966)
  • Apollo (1967–1972) Article de qualité
  • Skylab (1973–1974)
  • Apollo-Soyouz (1975)
  • Navette spatiale (1981–2011)
  • Shuttle-Mir (1994–1998)
  • Station spatiale internationale (depuis 1998)
  • Constellation (abandonné)
  • Artemis (en cours)
Engins spatiaux
  • Mercury (1961-1963)
  • Gemini (1964-1966)
  • Apollo
    • module de commande et de service (1966-1975)
    • module lunaire (1968-1972) Article de qualité
  • Cygnus (2013-)
  • Dragon
    • 1 (2010-2020)
    • 2 (2020-)
  • Orion (2014-)
  • Boeing CST-100 Starliner (2019-)
  • Dream Chaser (2023-)
  • Starship HLS
  • Lunar Gateway
Missions
  • Missions Mercury (1958-1963)
  • Missions Gemini (1964-1966)
  • Missions Apollo (1961-1972)
  • Missions Skylab (1973-1979)
  • Missions de navettes spatiale américaine (1981-2011)
  • Expéditions de la Station spatiale internationale (1998-)
Satellites scientifiques
Exploration du
système solaire
  • Pioneer (1958–1965)
  • Ranger (1961–1965)
  • Mariner (1962–1973)
  • Lunar Orbiter (1966–1967)
  • Surveyor (1966–1968) Bon article
  • Pioneer 10 / 11 (1972–1973)
  • Viking (1975)
  • Voyager (1977)
  • ICE (1978)
  • Pioneer Venus Orbiter (1978)
  • Pioneer Venus Multiprobe (1978)
  • Galileo (1989)
  • Magellan (1989)
  • Mars Observer (1992)
  • Clementine (1994)
  • NEAR Shoemaker (1996)
  • Mars Global Surveyor (1996) Bon article
  • Mars Pathfinder (1996)
  • Lunar Prospector (1996)
  • Cassini-Huygens (1997) Article de qualité
  • Mars Climate Orbiter (1998)
  • Deep Space (1998)
  • Stardust (1999) Bon article
  • Mars Polar Lander (1999)
  • Genesis (2001) Bon article
  • 2001 Mars Odyssey (2001)
  • CONTOUR (2002)
  • Mars Exploration Rover (Spirit) (2003)
  • Deep Impact (2004)
  • MESSENGER (2004)
  • Mars Reconnaissance Orbiter (2005)
  • New Horizons (2006)
  • Phoenix (2007)
  • Dawn (2007) Bon article
  • Lunar Reconnaissance Orbiter (2009)
  • LCROSS (2009)
  • Mars Science Laboratory (2011)
  • Juno (2011) Bon article
  • GRAIL (2011)
  • MAVEN (2013)
  • LADEE (2013)
  • OSIRIS-REx (2016)
  • InSight (2018)
  • Mars 2020 (Perseverance/Ingenuity) (2020)
  • Lucy (2021)
  • Psyché (2023)
  • Europa Clipper (2024)
  • VIPER (2024)
  • Mars Sample Return (2026)
  • Dragonfly (2028)
  • VERITAS (~2031)
  • DAVINCI+ (~2031)
Science et technologie
  • Programme Explorer (depuis 1958)
  • LAGEOS (1976–1992)
  • CRRES (1990)
  • ST5 (2006)
  • THEMIS (2007)
  • IBEX (2008)
Astronomie
  • OAO (1966–1972)
  • Uhuru (1970)
  • SAS-2 (1972)
  • Copernicus (1972)
  • Ariel V (1974)
  • HEAO-1 (1977)
  • IUE (1978)
  • Ariel VI (1979)
  • IRAS (1983)
  • Hubble (1990)
  • GCRO (1991)
  • EUVE (1992)
  • ALEXIS (1993)
  • RXTE (1995)
  • BeppoSAX (1996)
  • Chandra (1999)
  • FUSE (1999)
  • WIRE (1999)
  • Spitzer (2003)
  • GALEX (2003)
  • Swift (2004) Bon article
  • GLAST (2008)
  • Kepler (2009)
  • WISE (2009)
  • NuSTAR (2012)
  • IRIS (2013)
  • TESS (2018)
  • James-Webb (2021)
  • IXPE (2021)
  • Euclid (2023)
  • SPHEREx (2024)
  • NEO Surveyor (2025)
  • COSI (2027)
  • télescope Roman (2027)
  • Ultraviolet Explorer (2030)
  • HWO (vers 2040)
Étude du Soleil
  • OSO (1962–1975)
  • Pioneer 6, 7, 8 et 9 (1965–1968)
  • ICE (1978)
  • SolarMax (1980)
  • Ulysses (1990)
  • GGS WIND (1994)
  • SoHO (1995)
  • TRACE (1998)
  • RHESSI (2002)
  • STEREO (2006)
  • SDO (2010)
  • Parker (2018)
  • PUNCH (2025)
  • IMAP (2025)
Cosmologie et physique
fondamentale
  • COBE (1989)
  • Gravity Probe B (2004)
  • WMAP (2001)
Observation de la Terre
  • Vanguard (1957–1959)
  • OGO (1964–1969)
  • ISEE (1977–1978)
  • Seasat (1978)
  • UARS (1991)
  • TOPEX/Poseidon (1992)
  • GEOTAIL (1992)
  • WIND (1994)
  • POLAR (1996)
  • TRMM (1997)
  • Terra (1999)
  • ACRIMSAT (1999)
  • QuikSCAT (1999)
  • TIMED (2001)
  • A-train (2002–2009)
  • Aqua (2002)
  • SORCE (2003)
  • ICESat (2003)
  • Aura (2004)
  • Jason (2001–2008)
  • GRACE (2002)
  • CloudSat (2006)
  • CALIPSO (2006)
  • AIM (2007)
  • GLORY (2011)
  • SAC-D (2011)
  • Van Allen Probes (2012)
  • GPM (2014)
  • SMAP (2015)
  • MMS (2015)
  • GRACE-FO (2018)
  • ICON (2019)
  • SWOT (2022)
  • PACE (2024)
  • NISAR (2024)
  • TRACERS (2025)
  • GDC (2027)
  • GRACE-C (2028)
  • MAGIC
  • voir aussi Classe Earth Venture
Expériences scientifiques
  • SPHERES (2006)
  • Spectromètre magnétique Alpha (2011)
  • CREAM (2017)
  • NICER (2017)
  • GOLD (2018)
  • voir aussi Classe Earth Venture
Satellites d'application
Télécommunications
  • Echo (1960–1964)
  • Courier 1B (1960)
  • Telstar 1 (1962)
  • Relay (1962–1964)
  • Syncom (1963–1964)
  • Intelsat I (1965)
  • Westar 1 (1974)
  • Marisat (1976)
  • Comstar (1976–1981)
  • Satcom (1975–1992)
  • TDRS (1983–2013)
  • Iridium (depuis 1988)
  • Orbcomm (depuis 1995)
  • Globalstar (depuis 1998)
  • OneWeb (depuis 2018)
  • LeoSat (depuis 2019)
  • Starlink (depuis 2019)
Météorologie
  • TIROS (depuis 1960)
  • ESSA-1 (1966)
  • SMS (1974–1975)
  • GOES (depuis 1975)
  • GeoXO (2032)
  • Nimbus (1964–1978)
  • NOAA POES (1998–2009)
  • Suomi NPP (2013)
  • CYGNSS (2016)
  • JPSS (depuis 2017)
  • Space Weather Follow On-Lagrange 1 (2025)
Observation de la Terre
  • Landsat (depuis 1972)
  • DigitalGlobe (depuis 1997)
  • OCO (2014)
  • GeoCARB (2022)
  • Precipitation Measuring Mission (2030) avec Japon
  • AOS-Sky (2031)
  • CRISTAL (2027) avec ESA
  • Landsat Next
Technologie
  • SERT-1 (1964–1970)
  • Applications Technology Satellite (1966–1974)
  • EO-1 (2000)
  • LCRD (2019)
  • DART (2021)
  • Restore-L (2021)
Satellites militaires
Reconnaissance
  • Corona (KH-1 à KH-4) (1959–1972)
  • Samos (1960–1963)
  • Vela (1963–1984)
  • LES (1965–1976)
  • Key Hole (KH-5 à KH-11) (1966–1984)
  • KH-7 et KH-8 Gambit (1963–1984)
  • KH-9 Hexagon (1971–1986)
  • NOSS (depuis 1971)
  • KH-11 Kennen/Crystal (depuis 1976)
  • Lacrosse (1988–2005)
  • FIA Radar Topaz (depuis 2010)
Écoute électronique
  • GRAB (1960–1962)
  • Samos-F (1962–1971)
  • Poppy (1962–1971)
  • Canyon (1968–1977)
  • Aquacade (1970–1978)
  • Jumpseat (1971–1983)
  • Naval Ocean Surveillance System (depuis 1976)
  • Chalet (1978–1989)
  • Magnum/Orion (1985–1988)
  • Mercury (1994–1998)
  • Mentor/Advanced Orion (depuis 1995)
  • Trumpet (depuis 1994)
  • Nemesis (2009–2014)
  • SHARP (depuis 2014)
Alerte précoce
  • MIDAS (1960–1966)
  • DSP (1970–2007)
  • SBIRS (depuis 2011)
    • SBIRS-GEO
    • STSS
    • SBIRS HEO
    • SBIRS-LADS
  • WFOV
  • NG-OPIR (2023-)
  • Tracking Layer (2023-)
Navigation
  • Transit (1960–1988)
  • SECOR (1962–1969)
  • Navstar (GPS) (depuis 1978)
Télécommunications
  • DSCS (1970–2009)
  • SDS (depuis 1976)
  • FLTSATCOM (1978–1989)
  • Leasat (1984–1990)
  • UFO (depuis 1993)
  • Milstar (1994–2003)
  • WGS (depuis 2007)
  • AEHF (depuis 2010)
  • MUOS (depuis 2012)
  • CBAS (depuis 2018)
  • ESS (depuis 2025)
  • Transport Layer (2024-)
Météorologie
  • DMSP (1962–2014)
  • WSF-M (2024-)
  • EWS
Technologie
  • MiTex (2006)
  • TacSat (depuis 2009)
  • X-37 (depuis 2010)
  • EAGLE
Surveillance de l'espace
  • SBSS 1 (2010)
  • ORS-5 (2017)
  • Odyssey (2021)
  • GSSAP (2014-)
  • Silentbarker (2023)
Bases de lancement
  • Centre spatial Kennedy (1962-)
  • Cap Canaveral (1949-)
  • Vandenberg (1941-)
  • Wallops Island (1945-)
  • Pacific Spaceport Complex – Alaska (1998-)
  • Mars (1995-)
  • Spaceport America (2006-)
  • Site d'essai balistique Ronald-Reagan (1945-)
  • Starbase (2023-)
Établissements
  • NASA
  • Lyndon B. Johnson
  • Langley
  • Marshall
  • Neil A. Armstrong Flight Research Center
  • JPL
  • Ames
  • su Glenn
  • Goddard
  • John C. Stennis
  • Michoud
  • White Sands Test Facility
  • Deep Space Network
Programmes
En cours
  • Artemis
  • CCDeV
  • CLPS
  • COTS
  • Discovery
  • Earth Observing System
  • NASA Earth Science
  • Explorer
  • Flagship
  • Living With a Star
  • Lunar Precursor Robotic
  • New Frontiers
  • NextSTEP
  • SERT
Passés
  • Apollo
  • Constellation (abandonné)
  • Grands observatoires
  • Grand Tour
  • Mars Scout
  • Mars Surveyor (1996–2001)
  • New Millennium (1998–2006)
  • Planetary Observer
Articles liés
  • NACA (1915–1958)
  • National Aeronautics and Space Act
  • X-15
  • X-33
  • Département de la Défense des États-Unis
  • Insigne de mission spatiale
  • NRO
  • NGA
  • NOAA
  • Operationally Responsive Space Office
  • Quindar tones
  • Station spatiale analogique Scott Carpenter
La première date est celle du lancement du lancement (du premier lancement s'il y a plusieurs exemplaires). Lorsqu'elle existe la deuxième date indique la date de lancement du dernier exemplaire. Si d'autres exemplaires doivent lancés la deuxième date est remplacée par un -. Pour les engins spatiaux autres que les lanceurs les dates de fin de mission ne sont jamais fournies.
  • icône décorative Portail de l’astronautique
  • icône décorative Portail de la Lune
Ce document provient de « https://fr.teknopedia.teknokrat.ac.id/w/index.php?title=Gravity_Recovery_and_Interior_Laboratory&oldid=222785811 ».
Catégories :
  • Sonde spatiale
  • Programme Discovery
  • Exploration de l'espace en 2011
  • Exploration de l'espace en 2012
  • Exploration de la Lune
  • Quadrangle LQ01
Catégories cachées :
  • Article utilisant une Infobox
  • Catégorie Commons avec lien local différent sur Wikidata
  • Article contenant un appel à traduction en anglais
  • Portail:Astronautique/Articles liés
  • Portail:Transports/Articles liés
  • Portail:Technologies/Articles liés
  • Portail:Lune/Articles liés
  • Portail:Astronomie/Articles liés
  • Portail:Sciences de la Terre et de l'Univers/Articles liés
  • Portail:Sciences/Articles liés
  • Portail:Système solaire/Articles liés

  • indonesia
  • Polski
  • الرية
  • Deutsch
  • English
  • Español
  • Français
  • Italiano
  • مصر
  • Nederlands
  • 本語
  • Português
  • Sinugboanong Binisaya
  • Svenska
  • Українска
  • Tiếng Việt
  • Winaray
  • 中文
  • Русски
Sunting pranala
Pusat Layanan

UNIVERSITAS TEKNOKRAT INDONESIA | ASEAN's Best Private University
Jl. ZA. Pagar Alam No.9 -11, Labuhan Ratu, Kec. Kedaton, Kota Bandar Lampung, Lampung 35132
Phone: (0721) 702022
Email: pmb@teknokrat.ac.id