Deux jeunes auteurs, Robert Silverberg et Harlan Ellison, ont déjà vendu à Scott des récits policiers pour ses autres magazines, Trapped et Guilty. Rapidement, ils élargissent leur collaboration en proposant également des nouvelles de science-fiction. Tout au long de la courte existence de Super-Science Fiction, Scott publie de nombreux récits signés par ce duo ; Silverberg, en particulier, figure dans chaque numéro, souvent avec deux ou trois histoires, parfois même jusqu'à quatre. Le reste du contenu provient essentiellement d'agents littéraires et comprend majoritairement des manuscrits refusés par d'autres revues. Toutefois, Scott parvient à obtenir deux nouvelles importantes d'Isaac Asimov, un pilier incontournable de la science-fiction.
Après quelques années, Feature Publications modifie la ligne éditoriale du magazine en misant sur les récits de monstres, cherchant ainsi à profiter de la popularité grandissante de Famous Monsters of Filmland. Quatre numéros supplémentaires paraissent alors, chacun centré sur une créature monstrueuse. Cependant, en , Feature décide d'arrêter la publication de Super-Science Fiction, après dix-huit numéros. Malgré une réception critique mitigée, le magazine joue un rôle clé dans la formation de plusieurs auteurs majeurs, notamment Robert Silverberg, qui reconnaît que ses contributions à Super-Science Fiction et à d'autres revues d'aventure lui ont offert une véritable « école d'écriture », lui permettant de perfectionner son art littéraire.
Une copie enfreignant le droit d’auteur est souvent aisément identifiable : une grande quantité de contenu inséré en une seule fois, sans fautes d’orthographe, avec une mise en page inhabituelle pour Wikipédia, des titres et sous-titres n’utilisant pas la syntaxe wiki et parfois numérotés, des phrases mal placées et encadrées comme celle-ci :
exemple d’affichage de texte contenant une marge à gauche.
Il est aussi fréquent que ces textes possèdent une logique thématique propre qui ne correspond pas à un article général sur le sujet, explorant un détail très particulier ou annexe du sujet de l’article. Il arrive aussi que la source du copyvio soit indiquée par un lien web ou le titre de l’ouvrage.
Il suffit de copier un bout de phrase contenant un élément significatif, comme un nom et une date, ou une action particulière, et de le coller dans le champs de recherche Google enserré de guillemets dactylographiques " ". S'il n’y a pas de résultats, essayer sans guillemets ou avec d’autres phrases de la page. Cette méthode ne permet pas de détecter tous les copyvios, en particulier ceux en provenance de textes qui ne sont pas accessibles en ligne ou provenant de documents imprimés sur papier. Mais le copyvioleur est un fainéant, sinon il ferait un effort de réécriture, et la vaste majorité des copyvios sont des copier-collers de textes numérisés accessibles en ligne.
Une copie enfreignant le droit d’auteur est souvent aisément identifiable : une grande quantité de contenu inséré en une seule fois, sans fautes d’orthographe, avec une mise en page inhabituelle pour Wikipédia, des titres et sous-titres n’utilisant pas la syntaxe wiki et parfois numérotés, des phrases mal placées et encadrées comme celle-ci :
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Il est aussi fréquent que ces textes possèdent une logique thématique propre qui ne correspond pas à un article général sur le sujet, explorant un détail très particulier ou annexe du sujet de l’article. Il arrive aussi que la source du copyvio soit indiquée par un lien web ou le titre de l’ouvrage.
Il suffit de copier un bout de phrase contenant un élément significatif, comme un nom et une date, ou une action particulière, et de le coller dans le champs de recherche Google enserré de guillemets dactylographiques " ". S'il n’y a pas de résultats, essayer sans guillemets ou avec d’autres phrases de la page. Cette méthode ne permet pas de détecter tous les copyvios, en particulier ceux en provenance de textes qui ne sont pas accessibles en ligne ou provenant de documents imprimés sur papier. Mais le copyvioleur est un fainéant, sinon il ferait un effort de réécriture, et la vaste majorité des copyvios sont des copier-collers de textes numérisés accessibles en ligne.
Les stations spatiales se distinguent des autres engins spatiaux, comme la Navette spatiale, par le fait qu'elles peuvent rester en orbite de nombreuses années. Elles sont également incapables de retourner sur Terre et ont une capacité de changement de trajectoire qui se limite à éviter des débris spatiaux.
Alors que les satellites artificiels sont mis sur orbite en une seule fois, les stations spatiales, en raison de leur taille importante, sont généralement divisées en modules. Ces derniers sont ensuite mis sur orbite et assemblées dans l'espace.
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